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A noção de habitar na ontologia de Heidegger: mundanidade e quadraturaTeixeira, Sônia Maria Platon January 2006 (has links)
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Previous issue date: 2006 / A noção de habitar constitui na analítica existencial de Ser e Tempo, a estrutura fundamental da presença como ser-no-mundo, como desvelamento da relação ser-homem-mundo. No pensamento tardio de Heidegger, habitar é compreendido como a relação essencial que caracteriza a co-pertença entre ser, homem, mundo no âmbito de uma conjunção ontológica que manifesta a unidade das quatro instâncias que desvelam o ser e a totalidade do mundo. O objetivo desta investigação consiste em compreender e identificar as articulações que implicam a noção de habitar abordadas em Ser e Tempo e os seus desdobramentos nas conferências A coisa e Construir, habitar, pensar com o propósito de identificar as suas semelhanças e diferenças. Com esta finalidade explicitamos, inicialmente, as estruturas fundamentais da presença para expor o seu caráter eksistente e evidenciar a mundanidade do mundo. Em seguida explicitamos a quadratura enquanto conjunção de terra, céu, mortais e imortais para esclarecer que a constituição do homem e do mundo origina-se da morada do homem junto ao mundo. Tanto no primeiro momento quanto no segundo procuramos esclarecer como a noção de habitar é central para a constituição ontológica do mundo, ou seja, para a doação do sentido do ser. / Salvador
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Donner forme au sensible. La perception dans l'oeuvre de Peter Handke, Malcolm Lowry et Claude Simon / Shaping the perceptible. A study of perception in the works of Peter Handke, Malcolm Lowry and Claude SimonSarfati Lanter, Judith 07 December 2009 (has links)
Question centrale dans l’œuvre de Peter Handke, Malcolm Lowry et Claude Simon, la perception manifeste, dans la manière dont elle travaille et infléchit l’écriture, un mode particulier d’être-au-monde, entendu non seulement comme lien phénoménologique au monde mais aussi comme ajustement singulier à un univers collectif. La manière dont la conscience reçoit les phénomènes, se les représente et tente de les maîtriser par le raisonnement et le travail de l’imaginaire, pose en effet le problème de leur interprétation et d’un possible partage du sensible. L’étude de la perception permet ainsi d’interroger l’articulation entre la poétique, l’esthétique et la politique, en marge des jalons que les écrivains eux-mêmes ont souvent ménagés à la critique pour aborder leurs œuvres. L’analyse des différentes modalités d’apparition des phénomènes à la conscience, notamment le traitement des sensations fractionnées et proliférantes, jette un premier éclairage sur les implications existentielles du processus perceptif. Est ensuite mise au jour la tension, qui traverse les œuvres du corpus, entre des formes esthétiques visant à synthétiser et à harmoniser la diversité du sensible, et des formes qui en maintiennent au contraire la force de surgissement et de déstabilisation. Enfin, on a montré comment l’interprétation des phénomènes, en rendant compte d’une possible intégration du sensible à l’intelligible ou en marquant, à l’inverse, leur irréductibilité, traduit certains modes d’ajustement au commun ; autrement dit, comment les formes sensibles apparaissent aussi comme des formes de communauté. / A central issue in the work of Peter Handke, Malcolm Lowry and Claude Simon, perception, in the way it works on and modifies writing, demonstrates a particular way of being-in-the-world, understood not only as a phenomenological link to the world but also as a singular adjustment to a collective universe. The way in which the consciousness receives phenomena, visualises them and attempts to control them, through reasoning and imagination, naturally raises the question of their interpretation and a possible role of the perceptible. The study of perception thus makes it possible to question the connection between the poetics, aesthetics and politics, aside from the indications the writers themselves have often provided to help critics tackle their works. An analysis of the different ways in which phenomena appear to the consciousness, particularly the treatment of fragmented, proliferating sensations, provides an initial glimpse into the existential implications of the perceptive process. Next it brings to light the tension that runs through the works in the corpus between aesthetic forms aiming to synthesise and harmonise the diversity of the perceptible, and forms that, on the contrary, maintain its power to suddenly appear and destabilise. Lastly, we show how the interpretation of phenomena, by taking into account a possible integration of the perceptible into the intelligible or, on the contrary, by highlighting their irreducibility, expresses certain modes of adjustment to what is common; in other words, how perceptible forms also appear as forms of community.
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Vie humaine et historicité. Un parcours dans la phénoménologie de Jan Patočka / Human life and historicity. Un itinerary through Patočka's phenomenologyScarabelli, Matteo 20 November 2015 (has links)
Aux sorts de l’Europe et de son humanité philosophique était liée, aux yeux Husserl, la possibilité de la perte ou de la conquête du sens pour l’humanité universelle. Mais pour Patočka, si l’Europe est bien une idée, elle est aussi une réalité historique et un héritage conséquent. Ainsi, l’universalisation de l’Europe sous la forme d’un savoir dépourvu d’historicité telle que la rationalité scientifique, est un héritage qui représente aussi la fin de l’Europe comme réalité historique et aussi la perte du principe qui l’a engendrée. Le sentiment de contradiction dû à la perte de sens de la rationalité européenne constitue, pour Patočka, le signe d’une expérience du monde qui ne connaît plus l’unité entre la vie et la compréhension du monde qui la soutient. La crise du sens de l’humanité européenne, aujourd’hui planétaire, est donc une crise du monde de la vie. Ainsi, c’est à partir d’une élucidation phénoménologique de la vie humaine au monde que Patočka accomplie une réforme profonde de la phénoménologie transcendantale, qui met au profit et répète sur une base nouvelle l’analytique existentiale heideggérienne de l’être-au-monde dans sa forme la plus avancée. D’abord, il s’agit de ressaisir le monde comme principe ultime de la phénoménalité, et ensuite de réinterpréter l’être du Dasein comme une existence qui n’est pas d’emblée historique, mais qui est à même de le devenir dans un mouvement de réalisation incarné et intersubjectif dont il faut élucider les conditions pré-historiques. La crise de l’Europe et de l’humanité contemporaine n’est pas un destin, mais la possibilité d’un nouveau chemin vers la conquête de l’historicité de la vie humaine, voire vers son redressement contre sa forme de vie “anhistorique”. / According to Husserl, the Joss or the discovery of meaning for the whole humanity, was linked to the destiny of Europe and to its philosophical humanity. On the contrary Patočka states that even if Europe is an idea, this idea is provided with an historical reality and a consistent inheritance. For this reason, the universalization of Europe as knowledge without historicity-as it happens for the scientific rationality-is a consequence representing both the end of Europe as historical reality and the Joss of its founding idea. The loss of meaning of European rationality engenders a feeling of contradiction: for Patočka it is the evidence of an experience of the world stranger to the unity existing between life and the understanding of world it belongs to. Thus, the crisis concerning the meaning of European humanity and, nowadays the entire planet, is a crisis in the world of life. Clarifying from a phenomenological point of view the human life in the world, Patočka reforms deeply the transcendental phenomenology. By doing so he exploits and repeats with a new base the Heidegger's existential analytics concerning the being-in-the-world in its most developed form. First, it is necessary to take possession of the world as the supreme principle of phenomenalism, then a reinterpretation of the being of Dasein must occur: as an existence which is not automatically historical, but can become so in a movement of intersubjective incarnation. The crisis of Europe and contemporary humanity is not a destiny, on the contrary, this is the possibility of a new way to discover the historicity of human life, in order to affirm it against its anti-historical form.
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Danser au monde : étude du mouvement dans l'espace textuel de Marguerite DurasRoy, Marie-Soleil 04 1900 (has links)
Peu d’études ont été faites sur le mouvement dans l’œuvre de Marguerite Duras (1914-1996). Or réécritures et répétitions qui marquent la pratique scripturaire de celle-ci permettent de penser des déplacements, des métamorphoses que cette thèse se propose de lire dans l’accompagnement de penseurs tels que Maurice Merleau-Ponty, Gilles Deleuze, Georges Didi-Huberman, et de manière plus spectrale, mais non moins essentielle, Jacques Derrida, Claude Lévesque et Maurice Blanchot. Le premier chapitre s’intéresse à « la marche-danse de la mendiante », qui prend place dans Le Vice-consul (1966). Le mouvement de perte de la mendiante se donne comme un procès de déterritorialisation sans fin où ne cessent d’opérer métamorphoses et devenirs. Cette dernière entraîne dans son rhizome des lieux où faire l’expérience d’un visible difficilement isolable de sa doublure d’invisible. Des lieux sont ainsi « créés » pour faire du « lieu dansé un espace dansant » (chapitre 2). On ne saurait cependant rendre compte du mouvement sans questionner « les rythmes de la danse » (chapitre 3) dont l’épreuve possède une puissance métamorphosante, particulièrement sensible dans L’Après-midi de monsieur Andesmas (1962). Mais le rythme est aussi ce par quoi s’ouvre le temps. Et le temps durassien plonge son lecteur aussi bien que ses personnages dans un univers où virtuel et actuel ne cessent d’échanger leurs forces. C’est alors la question de l’événement, de sa possibilité dans la rencontre et le crime, qui fait l’objet du « temps qu’entrouvre la danse » (chapitre 4). Dépositaire d’un étrange hiatus qu’elle suscite pour qu’un écart se creuse afin de dire l’événement, cette œuvre rêve finalement, à travers la langue, de l’événement inséparé dans le mouvement perpétuel du sens, dans « la danse du sens » (chapitre 5). Cependant, si le sens peut d’abord apparaître dansant parce qu’instable, il faut admettre qu’on tourne toujours autour de certains mots qui échappent. Quelque chose échappera toujours. C’est ce que le sixième chapitre, « Échappé(e) de la danse », appréhende, alors que le mouvement, qui n’a d’autre finalité que lui-même, inscrit un inachèvement perpétuel dont les réécritures témoignent. Parce qu’elle met en scène des êtres en mouvement dans une œuvre elle-même en mouvement, l’œuvre de Marguerite Duras permet de penser l’être-au-monde en danseur. / Few studies have been undertaken on movement in the work of Marguerite Duras (1914-1996). Yet, the rewritings and repetitions that mark her scripturary practice allow for the thinking of displacements, metamorphoses that the present thesis proposes to read in the company of such thinkers as Maurice Merleau-Ponty, Gilles Deleuze, Georges Didi-Huberman, and in a more spectral, but no less essential way, Jacques Derrida, Claude Lévesque and Maurice Blanchot. The first chapter is interested in “the dancing-walk of the beggarwoman”, which takes place in Le Vice-consul (1966). The movement of loss in the beggarwoman proposes itself as a process of endless deterritorialization in which metamorphoses and becomings are ceaselessly operative. The latter draws into its rhizome places in which having an experience of the visible is isolatable with difficulty from its invisible doubling. Places are thus “created” to make of the “danced place a dancing space” (Chapter 2). It would not, however, be possible to account for movement without questioning “the rhythms of dance” (Chapter 3), the ordeal of which possesses a metamorphosizing power, and is particularly sensible in L’Après-midi de monsieur Andesmas (1962). But rhythm is also that through which time is opened. And Durassian time plunges her reader as well as her characters into a universe in which the virtual and the actual tirelessly exchange forces. Thus does the question of the event, of its possibility in encounter and crime, which is the object of “time parted by dance” (Chapter 4). The depository of a strange hiatus aroused such that a distance can be excavated in order to speak the event, this work dreams, finally, through language, of the unseparated event in the perpetual movement of sense, in “the dance of sense” (Chapter 5). Nonetheless, if sense can first appear to be dancing because it is unstable, it must be recognized that one is always turning around certain words that escape. Something will always escape. That is what the sixth chapter, “Dance’s échappé(e),” apprehends, when movement, which has no finality other than itself, inscribes a perpetual incompletion to which the rewritings testify. Because she stages beings in movement in a work itself in movement, Marguerite Duras’s œuvre enables one to think the being-in-the-world as a dancer.
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L'interaction avec la réalité : de la fiction littéraire à l'être-au-monde L'Enfant du Liban de Mansour Labaki ; L'Aveugle de la cathédrale de Farjallah Haïk ; Khamsin de Jocelyne Awad.Joseph, Omran 28 June 2012 (has links) (PDF)
Se référant explicitement à la guerre civile libanaise des années 1975-1978, les trois romans qui constituent le corpus de cette thèse inscrivent l'aventure des héros dans un complexe historique, social, idéologique et psychologique. Les prises de position véhiculées par ces récits problématisent la question de la qualité de la fiction littéraire et celle de ses valeurs transcendantes. Loin de l'illusion du réel et du témoignage, ces fictions réussissent à construire un modèle représentationnel d'univers, construit interactivement entre l'auteur et le lecteur, mobilisant et remodelant des représentations de la réalité. L'autonomie de ce modèle est alors redevable du principe de cohérence que certifient la pertinence des différentes composantes, discernables grâce aux analyses disciplinaires, et leur incorporation dans le dispositif fictionnel. La fiction est ainsi le lieu d'une expérience du monde qui suscite des questions philosophiques sur les relations de l'être à l'univers de sa vie, tel que cet univers, tant matériel qu'humain, se manifeste à la conscience. Selon cette perspective phénoménologique, les structures idéologiques de l'être-au-monde fondent la valeur transcendante de la fiction et sous-tendent les interactions illimitées entre la conscience et l'existence, l'individuel et le collectif, l'absolu et le relatif. S'inscrivant dans la tradition du roman occidental, ces fictions sous-tendent la synergie du fait littéraire national et l'osmose de mentalités et de goûts qui se perpétue, au travers de la production romanesque, entre l'individuel, le local et l'universel.
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APPROCHE DES CONDITIONS FONDAMENTALES DE L'HABITABILITE DES ESPACES. POUR UNE CONTRIBUTION A LA GEOGRAPHIE COMME SCIENCE DE L'HABITER.Baudry, Hugues 06 July 2007 (has links) (PDF)
S'inscrivant dans la perspective d'une recherche d'anthropo-géographie, fidèle à bien des égards, tant philosophiquement que dans sa mise en œuvre expérimentale, à la conception de la géographie d'Eric Dardel, ce travail rend compte de la nécessité d'appréhender la Géographie comme la science de l'habiter en analysant pour ce faire, à partir de l'exploitation d'un matériau empirique complexe et représentatif, les conditions fondamentales de l'habitabilité de l'espace. S'appuyant en particulier sur les travaux récemment publiés de Georges Hubert de Radkowski portant sur l'anthropologie de l'habitat et sur les énoncés husserliens et habermassiens relatifs au Monde Vécu, ce travail, géographique de fonds en comble, propose et met à l'épreuve une définition de l'habiter visant à détacher cette notion des représentations que nos sociétés sédentaires et occidentales lui ont assigné, en associant de manière restrictive l'habitat à l'espace du logement stricto-sensu. Abordant l'habitabilité de l'espace, qu'il s'agisse de l'espace mondial, de l'Etat (la France, la Jordanie), du pays (le désert du Wadi Rum, la Touraine...) de la ville (Tours, Amman), de leurs " quartiers ", de certaines de leurs habitations (Grands Ensembles, internat, hôtel), des espaces domestiques à proprement parler (la tente, l'appartement, la maison) et de l'espace du Moi en général, mais surtout dans leurs nécessaires interactions mutuelles, cette recherche restitue les phénomènes matériels, immatériels et idéels de l'habiter dépendamment de ce qui les fonde : la dialogie société /espace, et toujours dépendamment de celle ci, le rapport individu /espace dans lesquels, par lesquels et pour lesquels ces actes d'habiter se manifestent dans la totalité de la durée de l'existence comme dans la synchronie de celle-ci. Se focalisant aussi bien sur le décryptage des logiques sociétales historiques et contemporaines que sur l'étude de certains actes parfois anodins mais néanmoins rituels pourvoyant à la constitution des espaces d'habitat des sociétés humaines dans leur ensemble et dans leurs relations comme des groupes ou des individus qui en sont les membres " cohabitants ", la démarche animant ce travail est tout autant heuristique que politique. Elle participe de l'institution d'une Géographie ni individualiste ni spatialiste s'inscrivant dans le procès de civilisation si ce n'est post-moderne, en tout cas post-productiviste, censée renouveler les enjeux de développement des sociétés humaines présentes sur Terre et partant le bien être essentiel de ceux qui, ensemble, l'habitent.
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