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Le statut de la croyance à travers les représentations mythiques et scientifiques du monde

Vanatoru, Brigitte 17 November 2008 (has links)
Etude du statut de la croyance à travers les représentations mythiques et scientifiques des origines de l'univers. seront étudiés les mythologies issues de textes anciens qui nous sont parvenus (Théogonie d'Hésiode, Rg veda, etc aisni que les théories scientifiques les plus récentes. L'apport des neurosciences est ici déterminante et permet de mieux cerner le statut de la croyance. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La carrière publique de la consolidation des garanties d'indépendance de la justice: un phénomène social et politique dans la Roumanie post-communiste

Coman, Ramona 07 May 2008 (has links)
Il y a un siècle, en 1903, un jeune étudiant roumain présentait à la Faculté de droit de l’Université de Paris une dissertation intitulée « Etude sur la magistrature roumaine ». Son travail s’attachait à montrer « la crise de l’institution judiciaire » ainsi que les nombreux « espoirs de réformes (…) pour constituer une magistrature capable de rendre tous les services nécessaires à la stabilité et au progrès » du pays. Descriptive et normative, cette thèse se terminait par la phrase suivante :« Nous courrons à l’abîme, à l’écroulement de nos institutions et de nos lois (…) et cela justement parce que nous n’avons pas su assurer à notre magistrature l’indépendance nécessaire pour la défense et pour le châtiment ».<p><p>La présente dissertation se situe certes dans la prolongation de cette recherche, mais ce n’est pas le désir de la continuer qui justifie notre intérêt pour la réforme de la justice dans le contexte de l’adhésion de la Roumanie à l’Union européenne. Un siècle plus tard, d’autres raisons nous ont poussée à convertir une question médiatisée en problématique de recherche en science politique. Dans les années 2000, le processus de « retour à l’Europe » de la Roumanie a été sérieusement ralenti. La crise de l’institution judiciaire roumaine était d’une actualité évidente. Elle se présentait, d’ailleurs, comme le dernier bastion de résistance aux changements imposés par la transition vers la démocratie et par la nécessité de s’adapter aux exigences formulées par l’Union européenne. Devant une littérature récente qui met l’accent sur l’exceptionnalisme du communisme et du post-communisme roumain, la question qui a stimulé au départ notre réflexion a été de savoir comment et pourquoi ce pays, dont les réformes sont lentes et difficiles, s’adapte aux exigences de l’Union européenne. <p><p>A partir de cet encadrement générique, quelques précisions méthodologiques s’imposent. Construire un objet scientifique consiste d’abord à réaliser une mise en problématique de la réalité que l’on souhaite observer et analyser. Dans le cas qui nous intéresse, ce qu’on appelle « la réforme de la justice » est un champ d’action publique extrêmement vaste, mais ce qui fédère les différentes mesures de réforme est leur finalité :une indépendance plus affirmée de l’institution judiciaire vis-à-vis du pouvoir politique. <p>Que doit-on expliquer et en quoi doit consister l’explication lorsque l’on veut comprendre et expliquer une réforme dans ce domaine ?Pour nous, l’exercice de reconstruction de l’émergence et du développement de ce processus législatif consiste à mettre en lumière à la fois ses étapes et ses phases, mais aussi les interactions entre des facteurs qui accélèrent ou freinent le mouvement de réforme. Cette dissertation traite de la façon dont la consolidation des garanties d’indépendance de la justice a été envisagée comme problème public dans la Roumanie post-communiste, des significations ainsi que des réponses politiques et institutionnelles qui ont été données à travers le temps à ce problème. La dissertation se propose de voir comment et dans quelles conditions on passe, lors de l’adhésion à l’UE, d’une justice « aveugle » et asservie au pouvoir politique vers ce qu’un magistrat qualifiait récemment de « paradis de la démocratie de la magistrature ». <p><p>Cette première opération de problématisation s’est poursuivie par la formulation d’une série d’hypothèses. Comme toute étude sur le policy change se focalise sur un ou plusieurs facteurs explicatifs, au départ, nous avons envisagé d’analyser cette décision politique dans une double perspective :comme l’effet de la conditionnalité de l’Union européenne et comme le résultat de la compétition partisane. Au fur et à mesure que la vérification de ces deux hypothèses avançait, nous en avons testé une 3ème à partir de laquelle nous avons analysé la consolidation des garanties d’indépendance de la justice comme le résultat de la compétition des acteurs nationaux dans la définition politique et sociale du secteur à réformer. Nous avons opérationnalisé ces 3 hypothèses en utilisant des concepts propres à trois littératures distinctes :le néo-institutionnalisme historique, la littérature sur l’européanisation et l’approche cognitive des politiques publiques. <p>Précisons d’abord que cette recherche a été commencée dans le contexte d’un apparent « renouveau » conceptuel dans l’étude des transformations post-communistes. Vers la fin des années 1990, la littérature sur l’européanisation lançait de nouvelles pistes de recherche et offrait de nouveaux outils d’analyse et hypothèses de recherche. C’est dans cette perspective que nous avons inscrit notre réflexion en postulant que dans l’étude de la consolidation des garanties d’indépendance de la justice en Roumanie, l’Union européenne met la question de l’indépendance de la justice à l’agenda du pays et qu’elle impulse le changement par un large éventail de mécanismes d’européanisation.<p><p>Ensuite, une deuxième hypothèse a été formulée - centrée sur le rôle des élites politiques nationales - pour expliquer la résistance au changement. Si par le rôle de l’UE on se proposait d’expliquer le changement, la lenteur de la réforme de l’institution judiciaire résultait à nos yeux de l’absence au niveau national d’une matrice cognitive et normative qui conduise à un renouveau de l’institution judiciaire. <p><p>Mais, le test de ces deux hypothèses a révélé un certain nombre de surprises. La première survalorisait le rôle de l’UE, la portée de sa conditionnalité et des mécanismes d’européanisation tandis que la deuxième minimalisait le rôle du législateur roumain et la modernité de sa réflexion sur une indépendance plus affirmée de l’institution judiciaire. Qui plus est, en formulant ces deux hypothèses, la recherche se focalisait uniquement sur la période post-communiste. La longue durée était écartée et le processus de réforme était analysé comme une réponse des élites politiques de Bucarest à un paquet de normes prédéfinies à Bruxelles. Nous avons observé que, d’une part, il fallait « faire de l’histoire » pour comprendre le changement, car la méconnaissance du passé de l’organisation judiciaire roumaine nous empêchait d’avancer dans la compréhension du présent et que, d’autre part, les deux axes d’analyse - la conditionnalité de l’UE et les réponses données par les élites politiques de Bucarest – s’avéraient insuffisantes pour comprendre l’émergence et le développement de cette politique publique.<p><p>En testant ces deux hypothèses, combinées avec la prise en considération de la longue durée, nous sommes arrivée à un ensemble de conclusions dont les plus importantes sont les suivantes :<p>Premièrement, le chapitre consacré à l’histoire moderne de l’institution judiciaire roumaine permet d’observer que les dysfonctionnements actuels de la justice sont similaires à ceux signalés par les élites politiques et judiciaires roumaines à la fin du 19ème siècle, et pointés justement par ce docteur de 1903. La réforme de la justice, dans le sens qu’on lui donne en 2004, est exigée depuis 1859. En dépit de la reprise de modèles d’organisation politique occidentaux, la création de la Roumanie moderne est la période de la formation et de la reproduction d’un pattern institutionnel qui ne sort pas l’institution judiciaire de son archaïsme et de son retard. Dans une perspective néo-institutionnaliste, nous pouvons dire que l’institution judiciaire roumaine connaît deux points de bifurcation :l’instauration du communisme et sa chute en 1989. L’institution judiciaire a fait l’objet d’une longue série de réformes, plus ou moins ambitieuses, mais qui n’ont jamais été à la hauteur des attentes sociales ou politiques.<p>La deuxième série de conclusions se rapporte au rôle des élites politiques post-communistes, les principaux acteurs qui participent à la redéfinition du cadre institutionnel roumain. Après 1989, leur vision normative sur le rôle et le fonctionnement de l’institution judiciaire s’impose. En 1992, une large majorité politique soutient la reprise du modèle d’organisation judiciaire instauré lors de la création de la Roumanie moderne, modèle largement critiqué à l’époque pour l’étendue des prérogatives du pouvoir exécutif en matière d’administration de la justice. Malgré le fait que l’indépendance de la justice s’impose comme un thème central des répertoires critiques de la politique, malgré les recommandations formulées par les organisations internationales qui exigent une indépendance plus affirmée des juges, les partis politiques post-communistes procèdent tous à une consolidation des pouvoirs de l’exécutif sur l’institution judiciaire.<p>C’est à ce stade de la recherche que l’hypothèse relative au rôle de l’Union européenne est avancée et décortiquée. C’est ainsi qu’on découvre les points forts et les faiblesses de la conditionnalité européenne et des mécanismes d’européanisation. On observe que la conditionnalité ne peut pas être utilisée comme variable uniforme, que l’UE n’impose pas un modèle d’organisation de la justice et que la principale caractéristique de la conditionnalité en la matière est la fluidité. Son inconsistance s’explique par la diversité des modèles de justice existants dans les pays européens. Tous les systèmes manient les mêmes principes :efficacité, indépendance et responsabilité de la justice et tous les systèmes les abordent dans des termes similaires. Mais quand il s’agit de les interpréter et de les mettre en œuvre à travers des institutions et des pratiques concrètes, chaque pays produit un modèle différent. C’est ainsi que nous sommes arrivée à la conclusion que la conditionnalité informelle de l’UE est un construit politique et social. <p><p>Pour toutes ces raisons, une fois ces deux premières hypothèses testées, au lieu de terminer le travail, nous l’avons continué en rajoutant une nouvelle séquence analytique. Dans le processus étudié, à savoir l’élaboration des lois sur l’indépendance de la justice, le véritable législateur, « n’est pas le rédacteur de la loi », ni la Commission européenne, mais un ensemble d’acteurs « qui, dans des champs différents, élaborent des aspirations, les font accéder à l’état de problèmes sociaux, organisent les expressions et les pressions pour faire avancer » des normes et des valeurs par des algorithmes et des images. Des lors, une troisième hypothèse a été rajoutée pour étudier ce processus de décision politique comme le résultat d’une compétition entre des acteurs politiques et sociaux nationaux dans le processus de définition politique et sociale de la réalité sur laquelle le législateur roumain a dû intervenir. <p><p>Ce troisième niveau d’analyse nous amène aux résultats suivants. Dans les années 2000, la consolidation des garanties d’indépendance de la justice a suscité des passions politiques et médiatiques incontrôlables. Ce processus de décision politique a eu lieu dans une situation de crise. Et les récits (une série d’histoires causales) ont été le principal vecteur par lequel ils ont été diffusés. Un récit de délégitimation des institutions politiques et judiciaires a été forgé par les médias, par un nombre réduit de professionnels de droit et par des représentants de la société civile. Ces récits synthétisent « le paradigme de la dégradation », le « déficit de modernité » de la démocratie roumaine et les aspects défectueux de son fonctionnement. Les conditions de la démocratie roumaine sont difficiles mais leur interprétation et narration leur donne un élan décisif sur la critique radicale du système. Ces récits visent tant les institutions politiques que les institutions judiciaires. La classe politique roumaine est discréditée. Mais ces critiques n’ont en rien empêché ceux à qui elles étaient adressées de maintenir leurs positions dans les dispositifs du pouvoir. C’est dans ces conditions qu’on exige de doter la magistrature d’une capacité d’intervention dans l’espace politique pour sanctionner les illégalismes des classes dirigeantes et pour pouvoir « participer à la distribution des titres d’opprobre ou de légitimité sur le marché politique ». Mais la justice roumaine et les professionnels du droit ne bénéficient pas d’une attitude plus clémente. Selon les récits, tant les uns que les autres sont corrompus et ont fait partie des anciennes administrations coercitives du régime communiste. Quelle indépendance peut-on donner à ces juges dont on dit qu’ils ne sont « pas des anges », mais des anciens cadres de la Securitate ou des anciens tortionnaires ?<p><p>Dans ce contexte, l’indépendance de la justice est mise en avant comme la solution miracle pour résoudre un large éventail de problèmes de la société post-communiste, des problèmes du passé toujours présents ou des problèmes du présent provoqués par la transition vers la démocratie. La mission qu’on souhaite que l’institution judiciaire roumaine accomplisse est avant tout axiologique. Tant au milieu du 19ème siècle qu’après la chute du communisme, la justice est appelée à contribuer à la reconnaissance des valeurs sociales et à la séparation du « bon grain » de « l’ivraie ». En dépit de ses faiblesses et de ses propres difficultés, l’institution judiciaire est appelée à apaiser les tensions sociales et à restaurer au sein de la vie politique la moralité et la transparence. C’est dans ce contexte que des membres de ce corps professionnel parviennent à blanchir leur image en se représentant comme des victimes du pouvoir politique et de la hiérarchie interne de la magistrature.<p><p>Des communautés de politique publique se constituent qui dialoguent avec les représentants des institutions internationales, discutent des problèmes et réfléchissent à des solutions. A partir du moment où le gouvernement de Bucarest n’est plus crédible, les médias et les membres de ces communautés de politique publique deviennent de véritables interlocuteurs des organisations internationales. La crédibilité deviendra l’atout des magistrats, des journalistes et de tous ceux qui se sont autoproclamés les représentants de la société civile. Ces récits, qui parlent de la déroute d’un régime qualifié de démocratique et par lesquels on exige la moralisation de la vie publique, ont influencé la perception des élites politiques européennes lors de l’adhésion de la Roumanie à l’UE. Les acteurs politiques et sociaux roumains procèdent tous à la construction de la « vérité du moment » sur le fonctionnement de l’institution judiciaire, sur ses problèmes et ses besoins de réforme. Ils mobilisent des normes et des valeurs, des images et des causes qui jouent fort dans la définition d’un modèle institutionnel de consolidation des garanties d’indépendance de la justice. C’est par la multiplication de ces récits diffusés par des magistrats, des journalistes et des représentants de la société civile qu’on parvient à passer d’un système où la justice est soumise au pouvoir politique à une institution judiciaire qui, d’un point de vue institutionnel, vit dans « le paradis de la démocratie ». <p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Voir et entendre la destruction des Juifs d'Europe: histoire parallèle des représentations documentaires à la télévision allemande et française, 1960-2000

Maeck, Julie 03 May 2007 (has links)
Voir et entendre la destruction des Juifs d’Europe analyse l’aporie sur laquelle butent les documentaires à la télévision française et allemande, de 1960 à 2000. De Nuit et Brouillard du Français Alain Resnais aux séries de l’Allemand Guido Knopp, en passant par le Mein Kampf de Erwin Leiser, par Les Dossiers de l’écran consacrés à la diffusion d’Holocaust à la télévision française, par Shoah de Claude Lanzmann et d’autres films majeurs, tous s’affrontent à l’impossibilité de représenter, via l’image d’archives et le témoignage, de donner à « voir » et à « entendre » l’extermination de plus de cinq millions de personnes. L’examen minutieux de l’usage du témoignage et de l’image d’archives permet de dégager les stratégies mises en place, au fil du temps, par les réalisateurs pour contourner cette aporie. Les métamorphoses du statut et de la fonction des traces sonores et visuelles au sein du récit documentaire jettent également un éclairage sur la définition fluctuante de l’événement historique, sur les déplacements de regards et de sens portés sur le matériel iconographique et les souvenirs des acteurs de l’époque qui bousculent immanquablement la perception de l’histoire des Juifs sous le nazisme.<p>Parallèlement à cette analyse interne, proposant un savoir non plus livresque du film, mais, au contraire un savoir qui intègre ses qualités propres, que sont l’audio et le visuel, la focale s’élargit au contexte mémoriel de la réalisation et de la diffusion du film afin d’évaluer le degré de singularité du discours élaboré par son auteur. Le documentaire est-il créateur de débats et d’événements, de sources de représentations et de croyances ?Donne-t-il, au contraire, au débat l’occasion de s’exprimer, limitant alors son rôle à un effet de miroir – fidèle ou non – des mémoires collectives ?Au regard de la connexité des sources (orales, visuelles et scripturales) entre l’historien et le réalisateur de documentaires, se superpose une interrogation relative à la nature du discours énoncé par le film :est-il d’ordre historique ou métahistorique ?Est-il du domaine de la connaissance ou, au contraire, s’inscrit-il dans la perspective d’un discours sur l’histoire utilisant les données historiques pour servir des enjeux du temps présent qui imposent ce dont il faut se souvenir ?<p>Cette approche, replaçant les représentations documentaires dans leur propre contexte mémoriel et historiographique s’enrichit d’une perspective comparatiste entre les représentations documentaires allemandes et françaises qui a l’avantage de sortir des débats et enjeux nationaux relatifs au film documentaire.<p>Voir et entendre la destruction des Juifs d’Europe présente ainsi une histoire culturelle et critique de la mémoire télévisuelle de l’événement juif de la Seconde guerre mondiale<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Entre rupture et continuité: le champ littéraire belge après la seconde guerre mondiale (3 septembre 1944-8 octobre 1960)

Freche, Bibiane 28 April 2006 (has links)
Le champ littéraire belge francophone du second après-guerre n'a jamais fait l'objet d'une étude approfondie et exhaustive. Après avoir rappelé les conditions littéraires et culturelles de la Seconde Guerre mondiale, nous étudions l'épuration du champ littéraire, à savoir la réorganisation de celui-ci, par des instances qui lui sont extérieures. Nous analysons ensuite les rapports entre les écrivains et les institutions publiques et littéraires, avant de nous atteler à la description du champ littéraire de l'après-guerre. Nous tentons d'y décrire la position et les prises de positions des différents agents en présence. Se déploie alors en filigrane l'image d'une institution littéraire faible, incapable de faire émerger un nombre conséquent des auteurs de l'époque. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Eros et infini: essai sur les écrits de Marc-Alain Ouaknin

Bailly, Jean-Jacques 17 May 2005 (has links)
Les principaux livres de Ouaknin ont constitué un matériau de choix me permettant de poser deux questions par hypothèse liées l’une à l’autre :<p> <p>\ / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les universités belges et le monde de l'industrie: essai de repérage historique, 1880-1970 / Networks of university-industry linkages: an historical approach, 1880-1970

Bertrams, Kenneth 20 January 2004 (has links)
Cette thèse de doctorat en histoire porte sur les interactions entre les universités belges et les milieux industriels. Elle tente de dégager les mécanismes qui ont permis de faire se rapprocher sur le temps long ces deux envrionnements institutionnels, sur les plans particuliers de l'enseignement et de la formation (relations indirectes), d'une part, et de la recherche (relations directes), de l'autre/This doctoral dissertation in history focuses on the interactions between Belgian universities and the industrial milieus. It aimed at describing on the long run the mechanisms that brought the two institutional environments closer together in the fields of teaching and training (indirect connections), on the one hand, and research (direct connections), on the other. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Sovereign debts in trouble times

Oosterlinck, Kim January 2003 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Citoyenneté et construction européenne: étude de la formation du concept de citoyenneté et de la recomposition de ses formes institutionnelles dans le cadre de la construction européenne

Magnette, Paul January 1998 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La science-fiction en France de la Seconde Guerre mondiale à la fin des années soixante-dix / Science fiction in France from the Second World War to the end of the seventies

Bréan, Simon 22 November 2010 (has links)
Après la Seconde Guerre mondiale, la littérature de science-fiction s’est développée en France sous la forme d’un sous-champ isolé au sein du champ littéraire, avec ses collections, ses critiques et ses lecteurs spécifiques. Cette littérature produit des univers fictionnels en tension entre la réalité conventionnelle et des états alternatifs de cette réalité, selon une modalité dénommée dans la thèse le « régime ontologique matérialiste spéculatif ». Le corpus des romans a été analysé d’abord dans une perspective diachronique, en présentant une histoire des acteurs, des structures éditoriales et des thèmes de la science-fiction en France, articulée à une réflexion sur les conditions et les perspectives d’écriture des auteurs français. Les romans ont ensuite été analysés de manière à permettre une théorisation à plusieurs niveaux de l’écriture de la science-fiction : le mot et le texte de science-fiction, les mondes fictionnels extrapolés à partir du monde réel et enfin la mémoire collective mise en place par l’ensemble des œuvres, que nous nommons le « macrotexte » de la science-fiction. Notre contribution principale à l’histoire littéraire est l’étude de la manière dont évoluent les représentations communes en science-fiction, sous la forme de paradigmes dominants successifs où les écrivains réinterprètent les images et idées de la science-fiction. Nous avons établi selon quelles modalités le corpus des romans de science-fiction fournit à l’analyse du discours narratif, à la théorie de la fiction et à l’étude de l’intertextualité, des exemples remarquables en raison des dispositifs destinés à mettre les univers de science-fiction en concurrence avec la réalité. / After the Second World War in France, science fiction literature took the form of an isolated subaltern field within the literary field, featuring specific publishing series, critics and readership. In science fiction novels, fictional worlds are created by mixing conventional reality and alternate states of reality, a process I call “régime ontologique matérialiste spéculatif” (“speculative materialistic ontological status”). I have studied French science fiction novels first from a historical perspective, by describing the protagonists, the publishers and the themes of French science fiction, as well as by assessing how and to what end French science fiction writers wrote their novels. I have then studied these novels at several levels: how words and texts are shaped in science fiction, how fictional worlds are extrapolated from the real world and how science fiction texts generate a collective memory, which I call the “macrotext” of science fiction. Our thesis contributes to literary history by studying how the perception of science fiction gradually changes over time, each main paradigm morphing into a new one as writers adapt science fiction images and ideas to their needs. I have also pointed out how science fiction novels may prove of a keen interest to narrative discourse analysis, fiction theory and intertextuality approach, because of various devices meant to allow science fiction worlds to compete with reality.
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Par-delà le féminisme, le féminisme musulman? le cas de l'écriture-femmes en Arabie Saoudite, 1958-2008 / Beyond feminism, islamic feminism? a study case, women writing in Saudi Arabia, 1958-2008

Temsamani, Hafsa 18 October 2012 (has links)
Lorsqu’on s’interroge sur l’essor du mouvement féministe dans les pays musulmans, d’autres questions, lancinantes, se font jour. Car l’enjeu culturel, sur fond religieux, d’un islam souvent imbriqué dans la vie politique elle-même, interpelle les féministes et les penseurs de tout l’Occident. En effet, contrairement à ce qui se passe au sein de la civilisation occidentale où généralement s’est transmise une idée de la laïcité bien précise, il n’en ira guère de même dans les pays à prédominance musulmane. Dans ces contrées, la problématique féministe différera sensiblement de celle en vigueur dans les pays occidentaux. Pour les nations soumises à la loi de la charia, le champ d’action du mouvement féministe visera avant tout à libérer les femmes d’une emprise patriarcale qui se réfèrera le plus souvent à de libres interprétations des textes sacrés pour exiger de leur part une soumission absolue. <p>Dans les études sur le féminisme et le genre, l’Arabie Saoudite, il est vrai, constitue « une énigme ». Et c’est précisément ce qui nous a incité à explorer cet univers « voilé » dont nous allons, au gré de notre étude, tenter de « dévoiler » un tant soit peu le mystère.<p>Nous avons entrepris dans ce but une recherche approfondie à propos de l’écriture-femmes saoudienne romanesque depuis son essor en 1958 jusqu’à 2008. Ce sont donc cinquante années d’écriture-femmes saoudienne sur lesquelles nous nous pencherons au cours de notre étude. Le lecteur l’aura compris :le fil conducteur de notre recherche reposera sur l’écriture en tant que vecteur de prise de conscience féministe. <p>En définitive, ce travail se composera donc de trois grandes parties, chacune subdivisée en chapitres. Dans la première partie, nous développerons la question du féminisme en rapport avec l’islam. Le premier chapitre exposera le féminisme et le genre en tant qu’approche méthodologique des discours et des arguments féministes. Le deuxième chapitre traitera de la question de l’islam et de la laïcité. En effet, pour la plupart des pays musulmans, l’islam est une religion d’Etat. La charia est la source principale du droit, voire exclusive dans certains pays, comme en Arabie Saoudite où elle est considérée comme complète, suprême, supérieure à toute loi. Logiquement, une autre question surgira, celle qui sous-tend le troisième chapitre de cette première partie, au cours duquel nous nous demanderons si un « féminisme musulman » représente une réalité vraiment envisageable. La deuxième partie sera censée investiguer le contexte idéologique en vigueur en Arabie Saoudite. Ensuite, nous évoquerons une esquisse de la littérature en Arabie Saoudite et les orientations des écrivains saoudiens et saoudiennes. La troisième partie se centrera sur une analyse thématique de l’écriture-femmes romanesque saoudienne s’étalant sur une période allant de 1958 à 2008. Nous nous étendrons d’abord sur un panorama de cette écriture dans les contrées en général, avant d’aborder les thématiques les plus spécifiques de cette écriture, approuvant qu’il s’agisse d’un pays encore très mystérieux aux yeux des étrangers: l’Arabie Saoudite.<p>Il apparaîtra qu’une parenté certaine entre « écriture » et « militantisme féministe » sous-tend, à l’évidence, l’univers romanesque des femmes saoudiennes. En clair, l’apport de l’écriture-femmes saoudienne a été considérable :elle nous a offert une peinture vivante de l’Arabie Saoudite et de la condition féminine. Elle contribue à l’émergence d’un style de militantisme marqué par son berceau saoudien et, de ce fait, elle participe à l’avènement d’un féminisme proprement saoudien. <p><p><p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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