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Globalisation, communication et champ du pouvoir. Une socio-économie comparée des structures actionnariales et dirigeantes des groupes de médias et des entreprises dans le domaine des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication en Europe et aux États-Unis

Geuens, Geoffrey 22 May 2007 (has links)
Les « Nouvelles Technologies de lInformation et de la Communication » (NTIC) font aujourdhui lobjet dune abondante littérature, tant francophone quanglo-saxonne. Lobjectif de la thèse était précisément de soumettre à lanalyse critique cette prolifération de discours le plus souvent clichés associés, pour les uns, à la « société de linformation », pour les autres, à la « mondialisation » de léconomie qui forment presque un discours social à part entière, et dont lun des traits communs est notamment de révoquer en doute, à lexemple des phénomènes examinés sous le point de vue quils adoptent, les principaux référents théoriques dantan. Les « idéologèmes » véhiculés par ce discours social, on la montré, relèvent pour lessentiel de trois grandes catégories particulièrement saillantes, organisées en loccurrence sous la forme de trois binômes largement reçus, qui tendent à fonctionner comme des structures de pensée communes : a)Privatisation/désétatisation. La croyance en lomnipotence des communications de masse a généralement son corollaire dans la mise à mort symbolique de lÉtat. Nés de lautorité publique mais arrivés à maturité, les « nouveaux médias » et les NTIC libéralisés auraient enfin acquis leur autonomie et placeraient nos sociétés à lenseigne du réticulaire marchand. La « nouvelle économie » en réseaux se serait définitivement libérée de la tutelle politique, pour le meilleur (dynamisme, efficacité, compétitivité) comme pour le pire (marchandisation, affaiblissement de lÉtat, soumission du politique), selon le point de vue adopté à légard de ces évolutions données pour inévitables ; b)Mondialisation/déterritorialisation. Linternationalisation des structures de pouvoir des groupes de communication entretient une relation organique avec la dépolitisation du secteur. Cest que lexplication majeure de la disjonction État/médias réside, justement, dans la logique de dissociation croissante entre lespace démocratique national et les réseaux technologiques mondiaux. Les nouveaux conglomérats de linformation sidentifieraient alors à des géants transnationaux apatrides et déterritorialisés. Quant à la « financiarisation » des industries culturelles, elle annoncerait la fin des actionnaires de références nationaux et lavènement parallèle dune nouvelle économie sappuyant sur une multitude de petits porteurs disséminés aux quatre coins de la planète dont les investisseurs institutionnels constituent, en quelque sorte, le modèle le plus abouti ; c)Libéralisation/dérégulation. La « dépolitisation » et la « globalisation » des industries technologiques auraient instauré un marché débarrassé des entraves et des privilèges associés aux anciens opérateurs publics. Décidées au nom du libéralisme économique, les réformes de dérégulation adoptées dès le début des années 80 auraient ainsi abouti à la décomposition des antiques monopoles et à la mise en concurrence dentités industrielles isolées les unes des autres. Quant aux conquérants de la Silicon Valley, Media Moguls et autres Tycoons, ils seraient en quelque sorte les effigies suprêmement individuelles de cette métamorphose du « capitalisme numérique » : autant de managers déracinés, dépeints comme dinfatigables compétiteurs apolitiques, engagés dans une course féroce au gigantisme, nayant pas la moindre solidarité de classe et nayant pour seul moteur que la quête du profit à court terme. Les discours convenus touchant à la « société de linformation » et aux phénomènes de « globalisation », il nous faut en réalité les relativiser, sinon même les infirmer, à la lumière de nos observations et analyses. Cest que la « mondialisation » de léconomie doit en effet compter non seulement avec la permanence de particularismes nationaux dont témoignent les structures de détention et de contrôle des groupes de médias et des NTIC, mais également avec le fait que la très grande majorité des entreprises étudiées sont caractérisées par un rapport entre investisseurs résidents et non-résidents tournant très nettement à lavantage des premiers. On peut ainsi affirmer que les « multinationales » de la communication nexistent pas. Souhaitée par les uns ou redoutée par les autres, mais proclamée par tous, la « financiarisation » des industries culturelles na pas, en effet, débouché sur la trans-nationalisation du capital dont elle se voulait, pourtant, annonciatrice. Le « marché global » de linformation demeure, à ce jour, une vue de lesprit séduisante, mais scientifiquement non fondée, les réseaux technologiques nayant pu transformer les capitalismes en un marché mondial faisant fi des principaux référentiels dantan tels que ceux de « propriété », de « classes sociales » et de « souveraineté nationale ». Quant au pouvoir des grands actionnaires traditionnels (familles, pouvoirs publics, etc.), il na pas non plus cédé face à la pression des fonds dinvestissements anglo-saxons, mais sest au contraire consolidé à cette haute finance ayant permis le lancement dopérations de fusion et acquisition, sans précédent jusque-là, dans le secteur de la communication. La « globalisation » des réseaux informationnels ne sidentifie pas, enfin, à la régénérescence dun libéralisme pur et parfaitement concurrentiel, mais à la réaffirmation de quelques-unes des caractéristiques les plus fondamentales des industries culturelles en régime capitaliste : concentration de la propriété des firmes, centralisation de léconomie nationale, fusion des intérêts bancaires et industriels, consolidation des principaux holdings et, enfin, imbrication des groupes financiers et de lappareil dEtat. On aurait tort cependant de se limiter à une approche strictement financière de ces phénomènes. La situation quasi monopolistique que connaissent certaines compagnies leaders dans le domaine de la presse ou des NTIC ne séclaire, en effet, véritablement quà la lumière de leur très forte centralité au sein des réseaux de pouvoir. La densité des relations que les firmes en question entretiennent avec lappareil dEtat, les principales entreprises industrielles et financières, et les plus influents groupes de pression et autres think tanks constitue à nos yeux la première des conditions garantissant la reproduction des positions dominantes occupées par ces sociétés privées sur leur marché respectif. Cette approche relationnelle du pouvoir économique est illustrée par la multiplicité des positions institutionnelles détenues par les dirigeants des entreprises médiatiques. Représentant autant de formes incarnées de relations sociales génériques entre Economie, Politique et Communication, les grands administrateurs, issus pour la plupart dentre eux du secteur financier ou de la très haute fonction publique, peuvent être légitimement considérés, pour parler le langage un peu oublié dun Gramsci, comme les intellectuels organiques de la fraction hégémonique du bloc au pouvoir. Ce quil faut, au total, rejeter dans la définition des médias en tant que « quatrième pouvoir » ou dans celle des réseaux numériques en tant que « nouveaux pouvoirs », cest limpensé théorique qui sous-tend cette représentation dune industrie de la communication qui « globalisée », « libéralisée » et « dérégulée », se serait simultanément affranchie des territoires nationaux, des gouvernements et de la grande bourgeoisie daffaires. Il nest pas non plus conforme à la vérité des faits et de leur recoupement de penser que la classe dirigeante ne se servirait de la presse que comme vulgaire relais ou instrument de propagande. Tout semble plutôt se passer comme si le champ du pouvoir était invaginé dans le champ médiatique du fait de la circulation ininterrompue de certains agents sociaux privilégiés entre les divers sous-espaces constitutifs du champ du pouvoir (pouvoir économique, pouvoir dEtat, pouvoir idéologique, etc.).
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Dva autoři - Dvě díla - Dvojí obraz světa (Vladimír Neff - Jaroslaw Iwaszkiewicz) / Two autorst - Two works - Two images of the world (Vladimír Neff - Jaroslaw Iwaszkiewicz)

Sikora, Dorota January 2011 (has links)
Resumé v anglickém jazyce Summary This thesis is an attempt to show two authors and mainly two of their major works created in two different cultures, concluded by comparison of these two key works. Vladimír Neff, through his five-part cycle of novels Sňatky z rozumu (and following) dealing to the broad extent with the lives of members of Born and Nedobyl families, has proved his outstanding narrative skills which, together with a fair dose of irony and perfect knowledge of historical facts, make this pentalogy Neff's life work that in a remarkable manner made its way into the history of Czech literature. The author draws very accurate picture of Prague changing over a hundred of years and portrays the glamour of the age that is to be noted for the pursuit of economic and technological progress. Thanks to psychologically very thoroughly and accurately depicted key figures of the founders of abovementioned families, some of which were given the typically bourgeois features by Neff, the readers become close witnesses of their rise and fall. Jaroslaw Iwaszkiewicz in his relatively extensive work Čest a sláva presents the life of two generations on the historical and social background depicted in great detail. It captures the hasty and sometimes breakneck changes in the modern history and the fate of the Polish...
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Faces da assistência social do setor carbonífero catarinense: (Criciúma 1930-1960)

Alves, Ismael Gonçalves 03 July 2009 (has links)
Made available in DSpace on 2016-12-08T16:59:59Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Ismael.pdf: 2238943 bytes, checksum: 320141c48f88391b9d6579b4d7cb8490 (MD5) Previous issue date: 2009-07-03 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / From the installation of the first coal mine companies at the town of Criciúma, a ample contingent populational, coming mostly from coastal regions migrating to the city and looking for jobs at the coal sector. Between the years 1930 and 1960, the extraction of coal reached a peak, creating a series of problems in the social field. In this same period, they anchor at the citty autarchies governmental, civil entities and religious associations, having as a goal implement with the miner population a series of public policies looking for social assistance. The villages of the coal mine complex it was the principal space of action of these institutions. The village of Próspera was the biggest and more populational village, beeing property of National steel metallurgy Company (Companhia Siderúrgica Nacional), became the principal place for inumerous assistance projects, having for objective disciplinary the workers inside and outside the factory. Manager by the coal mine companny and financial by SESI SC. Part of these workers were realized by the assembly from the Congregation of little sisters of divine providence, by series of popular courses,tryed to introduce between the miners families practices and values from bourgeoisie familiar norms / A partir da instalação das primeiras companhias mineradoras na cidade de Criciúma, um grande contingente populacional, oriundo principalmente das regiões litorâneas migrou para o município em busca de empregos no setor carbonífero. Entre os anos de 1930 e 1960, a extração do carvão mineral chegou a seu ápice, gerando uma série de problemas no campo social. Neste mesmo período, instalaram-se na cidade autarquias governamentais, entidades civis e congregações religiosas, com intuito de implementar junto às populações mineiras uma série de políticas públicas voltadas à assistência social. As vilas operárias do complexo carbonífero criciumense foram o principal espaço de atuação destas instituições. Dentre estas, a vila operária Próspera, a maior e mais densamente povoada e de propriedade da Companhia Siderúrgica Nacional, tornou-se alvo de inúmeros projetos assistenciais tinham por objetivo disciplinar o operariado dentro e fora da fábrica. Gerenciados pela própria empresa mineradora e financiados pelo SESI-SC parte destes trabalhos foi realizado pela congregação das Pequenas Irmãs da Divina Providência, que através de uma série de cursos populares, tentaram introduzir entre as famílias de mineiros práticas e valores da norma familiar burguesa
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Étude de l'univers domestique en milieu bourgeois chez les anglophones et les francophones du Québec : le cas Jourdain-Fiset / Cas Jourdain-Fiset

Fillion, Pascal 24 April 2018 (has links)
Notre étude porte sur le Fonds-Jourdain-Fiset, acquis en 1993 par le Musée de la civilisation, qui représente la presque totalité d'un univers domestique dans lequel ont évolué cinq générations de la famille Tourangeau-Fiset aux XIXe et XXe siècles. Son caractère exceptionnel découle surtout du fait que les objets qui composent le Fonds représentent des ensembles constitués qui sont, pour la grande majorité, en parfait état de conservation. L'objectif de notre étude est de découvrir l'existence éventuelle d'un modèle d'organisation spécifique de la vie domestique de la famille Tourangeau-Fiset. L'analyse du Fonds devrait permettre de dégager des éléments permettant d'affirmer que l'organisation domestique suivait un modèle semblable à ce que l'on retrouve dans les maisons bourgeoises anglophones. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Vivre dans un secteur industriel à la fin de l'époque victorienne : pratiques et appartenances de ménages ayant résidé à l'Îlot des Palais (CeEt-30), à Québec, à travers leurs déchets céramiques et les sources archivistiques

Blouin Rondeau, Eli 03 February 2023 (has links)
Le secteur de l'îlot des Palais durant la seconde moitié du dix-neuvième siècle se trouvant à la limite de trois quartiers dans un environnement fortement industriel, nous nous sommes interrogés sur les pratiques des ménages y ayant résidé à ce moment. Il était question de voir si les pratiques de ces derniers correspondaient aux normes des groupes d'appartenance auxquels ces maisonnées ont pu s'identifier. Pour ce faire, plusieurs étapes alliant recherches historiques et étude de la culture matérielle ont été nécessaires. Spécifiquement, ce sont les céramiques découvertes dans des fosses à déchets liées à l'occupation domestique de deux bâtiments qui ont été comparées aux portraits des ménages y ayant résidé. Ces portraits ont été réalisés à partir de documents d'archives et de sources secondaires. À cette fin, l'archéologie sociale, dont l'archéologie des maisonnées, a été mise à contribution. Les études queer appliquées à l'archéologie ont aussi servi de trame de fond. Elles ont encouragé une remise en question de concepts souvent vus comme immuables, par exemple la famille ou les identités, en plus d'encourager une meilleure réflexivité. Ainsi, s'il nous a été possible de déterminer que de nombreux éléments reflètent des pratiques conformes aux prescriptions faites aux classes moyennes victoriennes, des nuances doivent être apportées. En effet, d'autres indices pourraient indiquer des pratiques liées à des appartenances diversifiées ou différenciées de la part de certains ménages ou individus. Nous en concluons que, si la céramique a fourni des indices quant aux pratiques et aux appartenances des maisonnées étudiées, elle n'est pas suffisante à elle seule. Les expériences humaines étant variées et fluides, une multitude de nuances doivent être apportées à nos interprétations. Malgré tout, cette étude a permis d'esquisser un portrait des résidents de ce secteur à une époque pour laquelle la composante industrielle du site avait jusqu'à maintenant préséance. / This study explores the domestic practices of households who, during the latter half of the nineteenth century, lived at the îlot des Palais site, at the intersection of three neighbourhoods in an industrial area of Quebec city. We wanted to examine if their practices complied with the norms of the social groups with which they may have identified. To this effect, the study of the associated material culture and archival documents was necessary. Specifically, we studied the ceramic assemblages found in trash deposits linked to the occupation of three dwellings, combined with information on the occupants. This was obtained through both archival documents and secondary sources. The theme of social archaeology, and specifically household archaeology was useful in the undertaking of this project, and queer archaeology served as a lens through which we questioned ourselves, and examined concepts often regarded as self-evident, such as family. This approach enabled us to better identify our biases and to consider a broader spectrum of possibilities regarding the identities and practices of the studied households. While we identified many elements indicating conformity to Victorian norms and practices of the middle-class, some elements suggest different practices which could have been linked to other groups or identities. The human experience is complex, varied, and fluid, and many nuances must be considered in our interpretations. Nevertheless, we achieved a more nuanced understanding of the daily lives and practices of the people in this area of the city that most archaeologists simply consider an industrial sector.
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Commander au long cours depuis la Guyenne : les capitaines de navire bordelais au XVIIIe siècle / Commanding from Guyenne : Ship captains in Bordeaux in the 18th century

Candelon-Boudet, Frédéric 05 September 2018 (has links)
L’activité du port de Bordeaux en plein essor au XVIIIe siècle est bien connue des historiens modernistes. Paradoxalement, les développements consacrés aux professionnels embarqués sur les gréements sont plus rares, alors qu’une telle étude a déjà été réalisée pour la capitale de la Guyenne à la fin du Moyen-âge. Parmi les « gens de mer » demeurés dans l’ombre, les capitaines de navire se démarquent à plus d’un titre. Par la charge symbolique mais aussi juridique que revêt la fonction, en premier lieu, dans le convoi des hommes et des marchandises au-delà des océans. Par le champ de compétences étendu que recouvre la profession, ensuite. Les commandants de bord doivent en effet non seulement être en capacité de piloter un bâtiment au long cours, mais en outre diriger un équipage bigarré, tout en versant dans le commerce au moment jugé le plus opportun. Les capitaines apparaissent ainsi comme des acteurs incontournables des échanges maritimes à l'époque moderne, cernés par un océan d’archives dont l’importance des fonds conservés à Bordeaux, en dépit des ravages du temps, rend parfaitement compte. Par les perspectives de mobilité sociale offertes par le métier, en dernier lieu. Affiliée aux négociants avec lesquels elle partage une même communauté de vues et de pratiques, contrôlant l’information, brouillant les pistes entre les acteurs de l’échange, la figure du « capitaine-géreur » placée à la tête des expéditions maritimes ou paradant parmi les cercles mondains révèle une confusion des genres pouvant induire des changements d’état. Il s’agit de déterminer si le négoce à temps plein constitue un horizon accessible puis pérenne, parmi d’autres opportunités de reconversion à portée du groupe. Alors que le commerce colonial et négrier assure la prospérité de la capitale de la Guyenne, c’est l’identité de la profession via sa capacité à se fondre parmi les élites urbaines qui questionne, de la Régence à la Révolution française. / Modern historians have good knowledge of the 18th century growth of Bordeaux harbour activity. But works about crew members are scarce while paradoxically such a study had already been led for the « Guyenne » capital as early as in the end of the Middle Ages. Ship commanders stand out from all other rather discreet socio-professional categories related to sailors for many reasons : first, because of the symbolical and legal dimension of their occupation which implies their responsibility whenever it comes to the transportation of men and goods ; secondly, because of their huge fields of expertise, like to be able to steer boats over long distance, to handle crews of dozens of members or to carry out commercial transactions ; last, but not least, because of the social mobility offered by their position. Highly documented in a rich archive collection kept and preserved in Bordeaux, captains have turned into key players of the maritime trade of the modern era. By frequently working and diverting themselves with traders and ship owners, they developed a trusting relationship with them. The question is to determine how this cooperation was shaped, and to know if trading or ship armament were possible career changes within the reach of captains, and if not, how they could integrate the urban elites at work under the « Ancien Régime ». When the colonial and slave trade ensured the Bordeaux harbour’s prosperity, it is the identity of the merchant navy ship commanders working from the capital of « Guyenne » that will be here studied, from the Regency to the French Revolution.
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Adorno on Music and Politics

Mariasin, Dalia January 2020 (has links)
This study aims to discern and assess Theodor Adorno’s theories on music as an ‘art’ and how it impacts both the political and social landscape of society; more broadly, the purposes of this paper is to identify, and determine the significance of, the relationship between music and politics – that is, whether or not, and how, music can emancipate society from capitalist enslavement. In juxtaposing Adorno’s theories, the opinions of Herbert Marcuse will be discussed as well. As both theorists are considered integral to the creation and development of critical theory of the Frankfurt School, it is only logical to examine their theories and ideologies in detail to determine the role of music as an ‘art’ in the overarching scheme of political scaffolding within which society resides. / Thesis / Master of Arts (MA)
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Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912) Miroir d'une jeune nation.

Diagre, Denis 20 April 2006 (has links)
L’histoire du Jardin botanique de Bruxelles offre l’opportunité de prendre le pouls de la capitale et de ses développements successifs ; de la bourgeoisie du XIXème siècle, de ses passions et de ses fantasmes ; de la science nationale et internationale ; des rêves coloniaux qui habitèrent les souverains belges ; bref de la société belge dans ses multiples composants… quand elle n’entrouvrait pas la porte de l’intimité psychologique de certains intervenants majeurs du passé scientifique national. En effet, le Jardin botanique fut d’abord l’expression d’une société anonyme créée sous le régime hollandais (1826) : la Société Royale d’Horticulture des Pays-Bas. Cette dernière devait enfin doter la capitale méridionale du pays d’un indispensable marqueur de sa modernité, à moindres frais pour la couronne. Dans ce modus operandi se lisaient la passion bourgeoise pour la nature (surtout exotique), certes, mais aussi son utopie, laquelle faisait dépendre le bien être de la société de l’esprit d’entrepreprise d’une classe. Il s’agissait d’une des premières sociétés anonymes belges, et l’immaturité de cet outil se paierait bien vite. Alors qu’il avait été inspiré par le Jardin des Plantes du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris – archétype de l’institution scientifique nationale totalement soutenue par l’état – le jardin de Bruxelles revêtit une forme commerciale qui devait bien le servir, lorsque la crise qui suivit la Révolution de 1830 frappa les finances publiques du nouvel état belge. Dès ce moment, le Jardin botanique se lança dans une recherche effrénée de revenus, laquelle ne cesserait qu’avec le rachat du site par l’état belge, en 1870. Unanimement considéré comme magnifique, il n’avait survécu jusque là que grâce à l’écrin qu’il offrait aux réjouissances bourgeoises de la capitale, grâce à la vente d’une partie de sa surface à la faveur de la construction de la Gare du Nord, et à des augmentations successives des subsides versés par le gouvernement et par la capitale. En réalité, la science n’avait alors jamais vraiment élu domicile à la Porte de Schaerbeek… tout au plus avait-on tenté de la singer pour feindre de mériter les subventions nationales que les Chambres devaient approuver. La beauté remarquable de la propriété, sa fonction sociale d’écrin pour la vie événementielle bruxelloise, et sa fonction symbolique de révélateur d’état de civilisation, avaient été les clefs de sa longévité. Le site fut donc racheté en 1870, à la suite d’une entreprise de persuasion, tenant parfois du lobbying, menée par Barthélémy Dumortier (1797-1878), célèbre homme politique catholique, et botaniste de renom. Il avait pour objectif de monter un équivalent belge des Royal Botanic Gardens de Kew, sur les ruines de ce jardin que la bourgeoisie avait abandonné à l’Etat, contre une somme ridicule et en sacrifiant les bénéfices de ses actionnaires. Dumortier voulait donc créer un grand centre voué à la taxonomie, et avait fait acheter le célèbre herbier brésilien de F. von Martius à cette fin. Après des années d’incertitude, marquées par des querelles internes, parfois fort menaçantes, le Jardin botanique de l’Etat échut à François Crépin, l’auteur de la fameuse Flore de Belgique. Le Rochefortois ne cesserait de tenter de déployer son institution, parfois avec succès, mais elle pâtissait d’un handicap de taille : des liens trop étroits avec la Ville de Bruxelles et son université, bastions libéraux et maçonniques. Il en découla, dans une série de ministères uniformément catholiques, une intrumentalisation du Jardin botanique, teintée de mépris, à des fins politiques, et un sous- financement chronique peu propice à la modernisation scientifique de l’institution. Le secours vint du besoin d’expertise scientifique et agronomique dont le Congo léopoldien avait cruellement besoin. Sous le bouclier du souverain de cet état indépendant, une institution scientifique belge trouva protection contre la malveillance des ministres belges, des milliers de feuilles d’herbier qui lui permirent de pratiquer légitimement une discipline bien essoufflée (la taxonomie), de s’y faire une niche et de devenir un des plus grands centres mondiaux en matière de botanique africaine. Ainsi, la colonisation donna-t-elle une base de replis à de grands fonds scientifiques, alors que les universités s’étaient emparées de la physiologie, et des nouvelles disciplines prometteuses. Ces bases de données sont aujourd’hui impliquées, en première ligne, dans les recherches suscitées par la grande inquiétude écologique contemporaine. Miroir de la Belgique, le Jardin botanique de Bruxelles refléta beaucoup de ses gloires et de ses tourments, de ses querelles politiques et philosophiques, et même de ceux qui eurent le Congo pour cadre. Son rayonnement, jadis comme aujourd’hui, doit beaucoup à ce continent. Ainsi peut-on légitimement affirmer que le Jardin botanique fut et reste un enfant de l’Afrique.
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Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912): miroir d'une jeune nation

Diagre, Denis 20 April 2006 (has links)
\ / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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