• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 388
  • 78
  • 53
  • 1
  • Tagged with
  • 545
  • 276
  • 150
  • 113
  • 107
  • 96
  • 95
  • 93
  • 88
  • 68
  • 62
  • 59
  • 56
  • 50
  • 45
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
111

The comorbidity of psychopathy, anxiety, and depression disorder

Labow, Melissa Amber 09 1900 (has links)
La psychopathie est un désordre de la personnalité caractérisé par des traits de comportement, tels qu’un manque d’empathie, du narcissisme, une estime de soi élevée, etc. Souvent, ces traits sont considérés comme indésirables. Ces caractéristiques se manifestent chez l’homme et la femme, autant dans la population criminelle que non-criminelle. L’étude de la psychopathie et la relation entre celle-ci et d’autres désordres mentaux représente un domaine relativement novateur de la psychologie. Des études démontrent une forte corrélation négative entre la psychopathie et l'anxiété, et entre la psychopathie et la dépression. Au total, 92 étudiants actuels ou ayant récemment graduées, au niveau du baccalauréat, de la maîtrise, et du doctorat ont été recrutés pour participer à cette étude. Ces participants ont complété quatre questionnaires standardisées qui évaluent leur niveau de psychopathie, d’anxiété et de dépression. Les évaluations utilisées sont le « Levenson’s Self-Report Psychopathy scale », le « Childhood and Adolescent Taxon Self-Report », le « Beck Depression Inventory », et le « Beck Anxiety Inventory ». Les résultats suggèrent l'existence d'une forte corrélation positive entre la dépression et la psychopathie, entre l'anxiété et la psychopathie, et entre l'anxiété et la dépression. Des variables additionnelles, tels que le sexe et l’éducation antérieure, contribuent aussi de façon significatives à ce modèle. Les résultats sont analysés tout en considérant des études antérieures et l’importance de la comorbidité psychopathique dans la recherche à venir. / Psychopathy is a personality disorder characterized by behavioral traits that are often considered undesirable. These traits include callousness, lack of empathy, narcissism, and increased sense of self-worth. These characteristics of psychopathy manifest themselves in men and women alike, and within both criminal and noncriminal populations. The study of the relationship between psychopathy and other mental disorders is a relatively new area of research within the field of psychology. The present study attempted to expand this area of research, namely by examining the relationship between psychopathy, anxiety, and depression. Studies conducted on this relationship have thus far shown that both anxiety and depression disorder are significantly and negatively correlated with psychopathy. For the present study, a total of 92 currently enrolled or recently graduated undergraduate and graduate students were recruited for participation. The participants completed four standardized scales that assessed their level of psychopathy, anxiety, and depression disorder. Participants were assessed using the Levenson’s Self-Report Psychopathy scale, the Childhood and Adolescent Taxon Self-Report, the Beck Depression Inventory, and the Beck Anxiety Inventory. The results suggested that both anxiety and depression are positively and significantly correlated with psychopathy as well as with each other. Additional variables, such as gender and educational origins, were found to contribute significantly to the model. The discussion of the results of the present study includes the findings of previous, related research as well as the importance of psychopathic comorbidity analyses in future research.
112

Les préférences musicales et la dépression à l'adolescence : une perspective développementale tenant compte également des traits de personnalité, des pairs et du coping

Miranda, Dave January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
113

Dépression, conduites violentes et de négociation en réaction à la violence d'un conjoint : contribution de la dépendance et de l'autocritique

Boucher, Sophie January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
114

Mesures physiologiques de la réactivité émotionnelle des personnes souffrant d'acouphènes

Cormier, Marie-Andrée January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
115

Dérèglement des cytokines inflammatoires chez les schizophrènes avec abus de substances

Bah, Ramatoulaye January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
116

Prématurité : vécu maternel, état de stress posttraumatique et dépression du postpartum / Premature birth : maternal experience, posttraumatic stress disorder and postpartum depression

Goutaudier, Nelly 25 November 2013 (has links)
ETUDE 1- Le traumatisme de l’accouchement prématuré et de la césarienne, un sentiment de culpabilité, une anxiété et une ambivalence envers l’enfant et l’équipe médicale ont été rapportés. Des difficultés dans l’investissement du lien mère-enfant et dans l’accès au rôle de mère ainsi que l’importance du partage d’expérience avec des femmes ayant accouché avant-terme ont également été identifiés. Enfin, des signes de dépression postnatale et de stress posttraumatique ont été relevés. ETUDE 2- 53% des participantes ont rapporté un score à l’IES-R indiquant un probable ESPT. La présence de symptômes de dépression postnatale (ß = 0,40, p< 0,05), de difficultés pendant la grossesse (ß= 0,20, p< 0,05), la perception maternelle de l’enfant comme étant vulnérable (ß = 0,17, p< 0,05), l’insatisfaction de la grossesse (ß = -0,13; p< 0,05) et des cognitions maternelles mal-adaptées (ß = -0,12, p< 0,05) étaient indépendamment associés à l’intensité des symptômes d’ESPT. ETUDE 3- 3 profils de femmes ont été identifiés: les parturientes au profil « dépressif », « faible niveau de symptômes » et les mères du groupe « dépressif anxieux traumatisé ». Nos résultats démontrent également une forte comorbidité entre troubles anxieux et dépression postnatale ainsi que l’influence négative des symptômes de dépression postnatale sur le lien mère-enfant. ETUDE 4- 64,3% des femmes de l’échantillon ont rapporté un score à l’EPDS indiquant une possible dépression postnatale. Le placement de l’enfant sous assistance respiratoire (ß = 0,23, p< 0,05), le type de prématurité (ß= 0,16, p< 0,05), et la baisse de la qualité de la relation conjugale (ß = -0,39, p< 0,05) étaient indépendamment associés à l’intensité des symptômes de dépression postnatale. / STUDY 1- Trauma of premature birth and c-section, feelings of guilt, anxiety, ambivalence towards the infant, the medical staff and the infant’s hospital discharge, were all part of their perception. Furthermore, difficulties for mothers to define themselves as such and the importance of sharing with women who have been through the same experience were evidenced. Postpartum depression and PTSD symptoms were also highlighted. STUDY 2- 53% of participants scored above the cut-off for probable PTSD. Increased postpartum depressive symptoms (ß = 0.40, p< .05), difficulties during pregnancy (ß= 0.20, p< .05), maternal perception of infant vulnerability (ß = 0.17, p< .05), decreased satisfaction with delivery (ß = -0.13; p< .05) and cognitions relating to role change (ß = -0.12, p< .05) were independently associated with PTSD symptoms. STUDY 3- 3 profiles were highlighted: “depressive”, “low level of symptoms” and “anxious-depressive-traumatized” mothers. Our findings also evidenced a high comorbidity between anxious and depressive symptoms as well as a negative impact of postpartum depression on mother-infant bond. STUDY 4- 64.3% of our sample reported a score on the EPDS highlighting a probable postpartum depression. Having an infant who experienced ventilator support (ß = 0.23, p< 0,05), type of prematurity (ß= 0.16, p< 0,05), and decreased quality of marital relationship (ß = -0.39, p< 0,05) were independently associated with the intensity of postpartum depressive symptoms.
117

Comparaison de l’efficacité thérapeutique de la stimulation magnétique transcrânienne répétée basse fréquence de l’aire corticale 9 par rapport à l’aire corticale 46 de Brodmann dans le traitement des troubles dépressifs / Comparison of the antidepressent efficacy of low-frequency transcranial magnetic stimulation delivered to Brodmann areas 9 and 46 in patients with depression

Trojak, Benoît 21 December 2011 (has links)
Les résultats de la Stimulation Magnétique Transcrânienne répétée (rTMS) dans le traitement des troubles dépressifs résistants, bien que positifs, sont modestes. Ces résultats modérés pourraient s’expliquer par une mauvaise définition de la cible thérapeutique. En effet, la cible thérapeutique dans cette indication est le cortex dorsolatéral préfrontal, c’est-à-dire une large région corticale constituée de plusieurs sub-régions cyto-architecturalement différentes, dont les aires 9 et 46 de Brodmann (BA 9 et BA 46). A partir de l’hypothèse que seule l’une de ces 2 sub-régions pourrait représenter une cible thérapeutique efficace en rTMS, une étude est réalisée afin de comparer la réponse thérapeutique observée par stimulations appliquées sur l’aire 9 et sur l’aire 46 de Brodmann.Quinze patients souffrant de troubles dépressifs (âge moyen : 55 ans) sont randomisés dans une étude en cross-over. Les patients reçoivent 10 séances de rTMS sur chacune des 2 aires (wash-out de 4 semaines entre les 2 séries de stimulation). La rTMS est administrée à 1 Hz sur le cortex droit (120 % du seuil moteur, 360 stimuli par séance). Un neuronavigateur est utilisé pour cibler la BA 9 et BA 46. Les effets thérapeutiques sont mesurés en aveugle avec des échelles standardisées (échelles de dépression de Hamilton et de Montgomery).Les résultats montrent que la rTMS peut être efficace aussi bien sur l’aire 9 que sur l’aire 46 de Brodmann. Toutefois, parmi les répondants, seulement deux d’entre eux ont présenté une réponse thérapeutique sur les 2 aires cérébrales. La plupart des participants n’ont répondu qu’à une seule des deux cibles corticales.Ce résultat suggère que l’identification systématique de la meilleure cible corticale pourrait augmenter les résultats thérapeutiques de la rTMS dans le traitement des troubles dépressifs. Par ailleurs, d’autres paramètres (anatomiques, génétiques, endocriniens) pourraient être déterminants dans l’efficacité des stimulations cérébrales / No abstract
118

L’évaluation de groupes de thérapie relationnelle de femmes âgées, atteintes de la maladie d’Alzheimer, à un stade avancé / Assessment of relational therapy group of elderly women, suffering from Alzheimer's disease at an advanced stage.

Dayoub, Sue Ellen 23 May 2011 (has links)
Objectif - Le nombre de patients souffrant de la maladie d’Alzheimer augmente de plus en plus or il n'existe toujours pas de traitement qui puisse arrêter son évolution. L’objectif de l’étude est de mettre en évidence l’intérêt de dispositifs groupaux à médiation «chant», avec une méthodologie d’inspiration psychodynamique, sur les troubles psycho-comportementaux et la dépression des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer à un stade avancé (MMS ≤ 10). Méthode - Nous avons constitué 10 groupes de 6 à 8 femmes âgées chacun, bénéficiant d’une participation à un groupe thérapeutique de chant sur 12 séances hebdomadaires et 10 groupes « témoin » de 6 à 8 femmes âgées chacun, ne bénéficiant pas d’une participation à ces groupes. Tous les sujets ont été évalués (chant et témoin) en début et en fin de session de l’activité chant. Les outils utilisés sont le NPI (Inventaire Neuro Psychiatrique), l’échelle de Cornell et l’échelle de Cohen-Mansfield.Résultats - Pour les 61 sujets ayant participé aux groupes « chant », nous observons une amélioration significative (p < 0.01) à toutes les échelles mais la taille de l’effet (associée à la thérapie de groupe) est très grande.Conclusion - Nous avons pu mettre en évidence un impact statistiquement significatif des groupes de sociothérapie, à médiation « chant », sur la thymie et sur les troubles psycho-comportementaux. Cette amélioration a été constatée sur les trois échelles (NPI, CMAI, Cornell). / Aim - The number of patients with Alzheimer's disease increases more and more (a pathology for which there is still no treatment that can stop its progression). The aim of this study is to highlight the interest of "song mediated groupal therapy (psychodynamic inspired group therapy) on behavior disorders and depression when taking care of elderly people with Alzheimer's disease at an advanced stage.Method - We create 10 groups of 6 to 8 elderly women each that would participate to twelve overall therapy group seances at a single seance per week basis. These are named “singing groups”. We create 10 groups of 6 to 8 elderly women each the so called "control groups", that would not participate to the group therapy.We evaluate the groups (control and singing) twice; at the beginning and the end of the session. The tools that are used are the NPI (Neuro Psychiatric Inventory), the Cornell scale and the Cohen-Mansfield agitation inventory.Results - For the 61 subjects who participated to the “groups singing”, we observed a significant improvement (p <0.01) at all scales but the size effect (associated to the group therapy) is very large.Conclusion - In conclusion, we were able to demonstrate an impact on the humor and the psychobehavioral disorders, with a statistically significant impact with an acceptable number of subjects. This improvement was noticed on the three scales (NPI, CMAI, Cornell).
119

Contribution à l’étude de la physiologie et de la physiopathologie du sommeil chez l’individu normal et chez les patients souffrant de dépression majeure et d’insomnie primaire.

Hein, Matthieu 15 May 2019 (has links) (PDF)
L’hyperéveil peut être défini comme une augmentation de l’activité émotionnelle, cognitive et physiologique interférant avec le désengagement naturel de l’environnement et réduisant la probabilité de sommeil. Il peut être divisé en 3 catégories étroitement liées et impliquées dans le modèle de l’insomnie chronique tant primaire que concomitante à la dépression majeure (l’hyperéveil somatique, l’hyperéveil cognitif et l’hyperéveil cortical) où il est associé à la présence d’un état d’hypervigilance présent tout au long du cycle de 24h. Cependant, l’hyperéveil semble n’être uniquement présent que dans certains sous-types de dépression majeure caractérisés par un pattern polysomnographique similaire à celui de l’insomnie primaire, tant au niveau de la totalité de la nuit que des tiers de nuit. De plus, chez les individus souffrant d’insomnie et déprimés majeurs, ces altérations polysomnographiques compatibles avec le modèle de l’hyperéveil (courte durée de sommeil, efficience réduite du sommeil et fragmentation du sommeil) sont associées à un risque cardio-métabolique accru par l’intermédiaire d’une action combinée des différentes composantes de l’hyperéveil. Enfin, chez les individus déprimés majeurs présentant une insomnie caractérisée par la présence d’altérations polysomnographiques compatibles avec le modèle de l’hyperéveil, il existe des altérations de la neurotransmission caractérisées par la présence d’une organisation small-world moins efficiente du réseau neuronal durant le sommeil paradoxal et delta. En conclusion, dans l’insomnie et la dépression majeure avec insomnie objective, l’hyperéveil semble être un mécanisme physiopathologique fondamental favorisant la survenue de complications cardio-métaboliques et d’altérations de la neurotransmission durant le sommeil ce qui justifie une prise en charge adaptée de ce phénomène afin de permettre une meilleure prévention cardio-métabolique et une meilleure évolution clinique tant sur le plan symptomatologique que sur le plan cognitif chez ces individus. / Doctorat en Sciences médicales (Médecine) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
120

Narcolepsie chez l'enfant : caractéristiques cliniques et approches thérapeutiques / Narcolepsy in children : clinical characteristic and therapeutic approaches

Inocente, Clara Odilia 10 April 2015 (has links)
La narcolepsie, une maladie neurologique rare débute dans 50% des cas avant l'âge adulte, est caractérisée par la somnolence diurne excessive, cataplexie, la paralysie du sommeil et les hallucinations hypnagogiques. Ces manifestations affectent les aspects psychologiques, sociaux et scolaires des enfants. Sa physiopathologie est décrite par la perte de neurones à hypocrétine dans l'hypothalamus postérieur, probablement dû d'une attaque auto-immune, ainsi que par les systèmes à histamine. Au contraire de la narcolepsie adulte, les études pédiatriques ne sont pas nombreuses et peuvent être la lumière pour la compréhension de sa pathogenèse et de son évolution. L'objectif principal de la thèse est de caractériser la maladie et sa prise en charge dans population pédiatrique. Nous avons utilisé des bases de données clinique, anthropométriques, électrophysiologiques et pharmacologiques des enfants, adolescents et adultes narcoleptiques suivis dans les cinq Centres de Référence Nationale de Narcolepsie et d'Hypersomnie. Nous avons montré que la narcolepsie chez l'enfant peuvent avoir différents phénotypes, tels de da prise de poids rapide, de l'obésité, du TDAH, de la dépression, des allergies et autres, ainsi que les caractéristiques de la narcolepsie plus sévères que la population adulte, principalement l'obésité et le TDAH. Nous décrivons nos expériences du traitement et par le Pitolisant dans la narcolepsie. En conclusion, il existe un aspect distinctif de la narcolepsie adulte et pédiatrique (obésité et symptômes du TDAH plus sévères). L'obésité affecte environ 60% des enfants narcoleptiques, la plupart chez les jeunes au début de la maladie, et a un impact néfaste sur la qualité du sommeil et l'absentéisme scolaires. Le Pitolisant ont été efficace pour traiter la somnolence avec des améliorations sur la cataplexie, et bien que ont présenté un bon rapport risques/bénéfices / Narcolepsy is a rare neurological disease and it starts, in 50% of cases, before adulthood. It is characterized by excessive daytime sleepiness, cataplexy, sleep paralysis and hypnologic hallucinations, events that affect the psychological, social and school children. This pathophysiology is described by the loss of neurons in the posterior hypothalamus hypocretin, probably due to an autoimmune attack, and by histamine systems. Instead of narcolepsy adult, pediatric studies aren’t numerous and can be a light to the understanding of this pathogenesis and her evolution. The main objective of the thesis is to characterize the disease and her treatment in pediatric population. This rechearch used clinical databases, anthropometric, electrophysiological and pharmacological in children’s, adolescents and adults, with narcolepsy followed within five Centers National Reference Narcolepsy and hypersomnia. The results have shown that narcolepsy in children may have different phenotypes (rapid weight gain, obesity, ADHD, depression, allergies and others) and It can be most severe than adult population, principality obesity and ADHD. The thesis describes our experience of treatment and the utilization of pitolisant in narcolepsy (effective for treating sleepiness with improvements on cataplexy, has been presented a good risk/benefit ratio). In conclusion, there is a distinctive aspect of adult and pediatric narcolepsy (obesity and symptoms of more severe ADHD, in the way that obesity affects about 60% of narcoleptic children, most youth early in the disease, and has a negative impact on sleep quality and school absenteeism

Page generated in 0.0876 seconds