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L'acquisition de la coréférence chez les enfants ayant un trouble développemental du langage : revue méta-analytique des facteurs influençant ce phénomène

Murphy-Pilon, Joanie 07 1900 (has links)
Le présent projet vise à mieux comprendre les difficultés reliées à l’acquisition de la coréférence chez les enfants francophones présentant un trouble développemental du langage (TDL) et à déterminer les différents facteurs influençant son acquisition et sa maitrise. La définition actuelle du TDL indique qu’il s’agit d’une difficulté du langage oral qui affecte à la fois la compréhension et l’expression. Il s’agit d’un trouble neurodéveloppemental caractérisé par des retards développementaux très variables dans une ou plusieurs sphères langagières. Deux théories sont vues en détail : la théorie de la complexité des structures syntaxiques (van der Lely et Stollwerck, 1997) et la théorie du déficit de la mémoire de travail (Montgomery et Evans, 2009). La première propose que les difficultés d’utilisation de la coréférence soient dues à la représentation innée de la syntaxe qui serait immature pour les enfants TDL et, en particulier, le principe B qui ne serait pas acquis. En revanche, Montgomery et Evans soutiennent que cette difficulté de compréhension et d’utilisation provient d’une limitation quant à la mémoire de travail plus précisément avec l’allocation et la capacité des ressources attentionnelles. Nous concluons que les différents facteurs influençant l’acquisition de la coréférence chez les enfants ayant un TDL sont les suivants : premièrement, l’enfant doit posséder les connaissances lexicales et sémantiques reliées aux pronoms et aux anaphores ; deuxièmement, l’enfant doit acquérir des connaissances syntaxiques afin de connaitre les antécédents possibles pour les pronoms et les anaphores ainsi que les règles les reliant. Finalement, la mémoire de travail et l’allocation et la capacité des ressources mentales jouent un rôle important dans la résolution des anaphores. Il est donc clair, selon nous, que les théories ne sont pas totalement suffisantes pour expliquer les troubles de la coréférence, mais qu’elles permettent d’expliquer en partie d’autres types de problèmes qui sont nécessaires pour la résolution de l’anaphore. La résolution des anaphores est un phénomène important surtout chez les enfants francophones puisqu’il s’agirait d’un marqueur clinique du trouble en français. / This project aims to understand the difficulties related to the acquisition of coreference of French speaking children with developmental language disorder (DLD) and to determine the various factors influencing its acquisition and mastery. The current definition of DLD indicates that it is a spoken language difficulty that affects both comprehension and expression. It is a neurodevelopmental disorder characterized by highly variable developmental delays in one or more language spheres. Two theories are seen in detail: the computational grammatical complexity (CGC) hypothesis (van der Lely and Stollwerck, 1997) and the working memory–based account (Montgomery and Evans, 2009). The CGC theory proposes that the difficulties of using coreference are due to the innate representation of the syntax which would be immature for DLD children and particularly the principle B which would not be acquired. In contrast, Montgomery and Evans argue that this difficulty in understanding and using anaphoras stems from a limitation in working memory and specifically with the allocation and capacity of attentional resources. Different factors influencing the acquisition of coreference in children with are discussed. First, the child must have lexical and semantic knowledge related to pronouns and anaphoras. Second, the child must acquire syntactic knowledge in order to know the possible antecedents for pronouns and anaphoras as well as the rules connecting them. Finally, working memory and the allocation and capacity of mental resources play an important role in the resolution of anaphoras. It is thus clear, according to us, that the theories are not totally sufficient to explain the deficit in coreference, but they partly explain other types of problems which are necessary for the resolution of the anaphora. The resolution of anaphoras is an important phenomenon for a good understanding of developmental language disorder, especially in French speaking children, since it is a clinical marker of the disorder in French.
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Évaluation des connaissances morphologiques dérivationnelles d’apprentis-lecteurs présentant une dysphasie

Gagnon-Nault, Marie-Eve 02 1900 (has links)
La dysphasie consiste en une atteinte sévère et persistante de l’acquisition et du développement du langage oral. Les élèves qui en sont atteints peinent à devenir des lecteurs habiles et sont à haut risque d’échec scolaire. Si ce trouble très complexe est étudié dans différents domaines (la santé et l’éducation, entre autres), peu d’études se sont spécifiquement intéressées à vérifier si les élèves dysphasiques possèdent des connaissances morphologiques dérivationnelles. Or, depuis un certain nombre d’années, de nombreux chercheurs soutiennent que ces connaissances, qui concernent la forme des mots et leurs règles de formation, peuvent constituer une stratégie supplémentaire aidante pour les élèves aux prises avec un déficit phonologique, comme les élèves dysphasiques. C’est dans ce cadre que se situe la présente étude, dont l’objectif général est d’évaluer les connaissances morphologiques dérivationnelles d’apprentis-lecteurs dysphasiques francophones du primaire. Pour y parvenir, trois tâches morphologiques, soit une tâche de jugement de relation, une tâche de dérivation et une tâche de plausibilité, ont été soumises à trois groupes de participants dont un groupe d’élèves dysphasiques (D=30) et deux groupes contrôles, c’est-à-dire des élèves du même âge chronologique (CA, n=30) et des élèves plus jeunes, mais du même niveau de lecture (CL, n=30). Nos résultats montrent que l’ensemble des trois groupes de participants a tiré profit des unités morphologiques contenues dans les items pour réussir les tâches proposées, les dysphasiques obtenant des résultats inférieurs aux CA mais comparables aux CL. Toutefois, ces résultats ne s’apparentent pas tout à fait au continuum de développement des connaissances morphologiques dérivationnelles établi par Tyler et Nagy (1989). De plus, aucun effet du type d’affixation (items préfixés vs suffixés) n’a été observé. Les résultats obtenus nous permettent de proposer des pistes d’interventions orthodidactiques visant l’enseignement de la morphologie dérivationnelle auprès des élèves aux prises avec des difficultés de lecture, à l’instar des participants dysphasiques qui ont participé à cette étude. / Dysphasia, also known as specific language impairment, is a severe and persistent impairment of acquisition and development of oral language. Students struggling with dysphasia have reading issues and are at high risk of school failure. If this complex disorder is studied in different areas (health and education, among others), few studies have specifically focused on the evaluation of morphological knowledge of dysphasic students. Morphology refers to the study of the internal structure of words and to how small meaningful linguistic units, termed “morphemes”, can be combined to form words. Over the past 30 years, numerous studies have been published on morphological knowledge, showing that awareness of words’ morphological structure can be a very helpful tool for students who are regularly exposed to unfamiliar words and can contribute to reading comprehension, among other skills. From these observations, we conducted a study to investigate morphological knowledge in young French students with dysphasia. To achieve this, three morphological tasks were used among three groups of students including a group of dysphasic students (D=30) and two control groups (students of the same chronological age (CA=30) and younger students of the same reading level (CL=30)). Our results show that all groups of participants took advantage of the units of meaning contained in the words in order to succeed tasks. Results also indicate that D and CL performed similarly on three tasks, but were outperformed by the CA group. For all three groups, results are not following the morphological knowledge continuum suggested by Tyler and Nagy (1989). Moreover, our results show no effect of the type of affixation (prefixed items vs suffixed items). These results have implications for teaching practices, especially when teachers plan specific activities to teach derivational morphology to students struggling with reading difficulties.
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Symphonie des oscillations cérébrales lors de la perception de la parole : études comportementale et en magnétoencéphalographie chez les enfants neurotypiques et dysphasiques / Symphony of cerebral oscillations during speech perception : Behavioral and magnetoencephalography studies in children with typical and atypical language development

Guiraud, Hélène 15 December 2017 (has links)
Les modèles actuels de perception de la parole suggèrent un couplage étroit entre les rythmes cérébraux, caractérisés par les oscillations neuronales, et le rythme de la parole, permettant de segmenter le flux verbal continu en unités linguistiques pertinentes pour la reconnaissance. En particulier, les modulations lentes d’amplitude de l’enveloppe temporelle de la parole, véhiculant l’information syllabique et prosodique, sont capables d’« entrainer » les oscillations corticales auditives dans la bande de fréquence thêta (4-7 Hz), échantillonnant le signal verbal en unités syllabiques. L’information temporelle qui caractérise la parole joue un rôle fondamental dans l’acquisition et le développement du langage ; un déficit de traitement des indices rythmiques de la parole a d’ailleurs été décrit dans les troubles développementaux du langage. L’objectif de ce travail de thèse était de mieux comprendre les processus neurocognitifs sous-tendant la perception du rythme de la parole naturelle chez l’enfant présentant un développement langagier typique ou atypique (dysphasie) dans trois études. Une première étude en magnétoencéphalographie (MEG) a permis de dévoiler la dynamique corticale oscillatoire chez des enfants francophones neurotypiques (8-13 ans) lors de l’écoute de phrases naturellement produites à un débit normal ou rapide. Nos résultats suggèrent l’existence de deux phénomènes d’« entrainment » des oscillations sur l’enveloppe temporelle de la parole à débit normal, l’un dans la bande thêta au sein des régions auditives droites, l’autre dans une bande centrée sur le débit syllabique moyen des stimuli dans les régions temporales antérieures gauches. Dans la condition de parole rapide, une synchronisation cortico-acoustique a été mise en évidence dans la bande thêta au sein des régions (pré)motrices gauches, reflétant le rôle de la voie dorsale d’intégration sensori-motrice dans les conditions d’écoute difficiles mais aussi dans le développement du langage oral. Les deux études suivantes ont été réalisées chez des enfants présentant une dysphasie expressive (8-13 ans) afin de tester l’hypothèse d’un trouble de traitement du rythme syllabique chez ces enfants, potentiellement sous-tendu par une dynamique corticale oscillatoire atypique. Dans une étude comportementale, nous avons évalué les capacités des enfants dysphasiques à décoder de la parole naturellement produite à débit normal ou rapide, ou accélérée artificiellement. Nous avons montré des performances réduites chez ces enfants, en regard d’enfants neurotypiques, pour traiter des phrases accélérées naturellement et artificiellement, suggérant un déficit d’extraction du rythme de la parole lorsque la fréquence des modulations de l’enveloppe temporelle augmente. Une étude en MEG, identique à celle réalisée chez les enfants neurotypiques, nous a permis d’apporter de premiers éléments en faveur de cette interprétation en révélant un traitement cortical atypique de l’information syllabique dans la dysphasie, qui pourrait rendre compte des troubles phonologiques et morpho-syntaxiques souvent décrits dans ce trouble neuro-développemental. Une synchronisation réduite des oscillations thêta du cortex auditif a ainsi été mise en évidence chez les enfants dysphasiques par rapport à leurs pairs lors de la perception de parole à débit normal. L’absence d’alignement de l’activité oscillatoire des régions prémotrices sur l’enveloppe temporelle des phrases à débit rapide nous a en outre conduit à émettre l’hypothèse d’un dysfonctionnement de la voie dorsale chez ces enfants. Dans l’ensemble, ce travail de thèse fournit donc, pour la première fois à notre connaissance, des preuves expérimentales (i) de la synchronisation entre rythmes corticaux et rythme de la parole naturelle chez les enfants à développement langagier typique et (ii) d’une dynamique oscillatoire atypique lors de la perception de parole à débit normal et rapide chez les enfants dysphasiques. / Current models of speech perception suggest a close correspondence between brain rhythms, characterized by neuronal oscillations, and speech rhythm, which would allow the brain to parse the incoming speech signal into relevant linguistic units for decoding. Slow amplitude modulations in speech temporal envelope, which convey syllabic and prosodic information, have been shown to entrain oscillatory activity of auditory cortex in the theta frequency band (4-7 Hz), sampling the acoustic signal into syllable-sized units. Temporal information in speech is a foundation for oral language acquisition and development; accordingly, deficits in processing speech rhythmic cues have been described in developmental language disorders. This thesis sought to throw light on the neurocognitive processes underlying the perception of natural speech in children with typical and atypical language development (Specific Language Impairment – SLI – or Developmental Language Disorder – DLD) in three experimental studies. In a first magnetoencephalography (MEG) study, we unraveled the oscillatory dynamics in a group of French-speaking typically-developing children aged 8 to 13 years old during listening to naturally-produced sentences either at a normal or fast rate. Our results suggested two types of entrainment of cortical oscillations on the temporal envelope of normal rate speech: the first one occurred in the theta band in right auditory cortex whereas the second one was found in a frequency band centered on the mean syllabic rate of our stimuli in left anterior temporal regions. As to the fast rate condition, we showed cortico-acoustic coupling in the theta band in left (pre)motor areas, reflecting the role of the sensorimotor dorsal pathway in challenging listening conditions as well as in language development. In two other studies, we tested the hypothesis of an impairment to process speech syllabic rhythm, potentially underpinned by atypical oscillatory cortical dynamics, in children with developmental language disorders mainly at the expressive level. In a behavioral study, we examined how French-speaking children with expressive DLD (8-13 years old) processed speech naturally produced at a normal or fast rate, or artificially accelerated. Our results showed poorer performance to decode fast sentences, either accelerated naturally or artificially, in these children as compared to their typically-developing peers, which suggests a deficit in extracting speech syllabic information with increased modulation frequency in the amplitude envelope. The last study, identical to the first one in MEG conducted in typically-developing children, provided the first piece of evidence in favor of this interpretation by showing atypical cortical processing of syllabic information in children with DLD, which may account for the phonological and morpho-syntactic deficits frequently described in this developmental disorder. Reduced alignment of theta oscillatory activity in auditory cortex to normal rate speech has indeed been evidenced in children with DLD as compared to typically-developing children. Lack of synchronization of oscillations in left (pre)motor regions to amplitude envelope of fast rate sentences was also observed, which we interpreted as potential dysfunction of the dorsal stream in this population. To the best of our knowledge, the findings obtained in this thesis therefore provide first experimental evidence for (i) coupling between brain rhythms and rhythm of naturally produced speech in typically-developing children and (ii) atypical oscillatory cortical dynamics underlying normal and fast rate speech in children with developmental language disorders.
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Study of interactions between processing capacities and language development in children with specific language impairment/ Etude des interactions entre les capacités de traitement et le développement du langage chez des enfants dysphasiques

Leclercq, Anne-Lise 18 February 2011 (has links)
Ce travail est consacré à lévaluation de lhypothèse selon laquelle une limitation des capacités de traitement est à lorigine des troubles langagiers et non langagiers des enfants dysphasiques (ou enfants avec troubles spécifiques du langage, TSL). Les enfants présentant ces troubles montrent des limitations importantes de leurs compétences langagières sans raison apparente (absence de troubles auditifs, intellectuels et affectifs ou de lésions neurologiques). Ces dernières années, la spécificité des troubles langagiers a été remise en cause par de nombreuses études révélant lexistence de difficultés non spécifiquement linguistiques chez les enfants avec TSL, tels que des troubles attentionnels, exécutifs et moteurs. Certains auteurs ont formulé l'hypothèse quune limitation des capacités de traitement est à lorigine des troubles langagiers et non langagiers des enfants avec TSL. Selon cette hypothèse, les troubles langagiers observés chez ces enfants ne sont pas dus à un déficit des représentations linguistiques, mais reflètent une performance limitée par des difficultés à mobiliser lensemble des ressources, linguistiques et/ou non linguistiques, nécessaires à la réalisation de la tâche. Les recherches réalisées ont permis dévaluer si une telle hypothèse permet dexpliquer les performances observées dans deux épreuves linguistiques considérées par plusieurs auteurs comme des marqueurs comportementaux des TSL, les traitements morphosyntaxiques et la répétition de non-mots, en manipulant les processus recrutés ou la quantité de ressources nécessaires lors de la réalisation de la tâche. Nous avons également manipulé la complexité dans une épreuve non linguistique afin détudier si les limitations des capacités de traitement peuvent être considérées comme générales ou si elles savèrent limitées aux traitements linguistiques. Globalement, nos résultats ne sont pas compatibles avec lhypothèse dune limitation des capacités de traitement à lorigine des troubles linguistiques des enfants avec TSL. Ces enfants ne présentent pas de limitation importante de leurs capacités de traitements qui permette dexpliquer leurs troubles langagiers.
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Développement morphosyntaxique complexe : comprendre et évaluer les acquisitions syntaxiques tardives, chez l’enfant tout-venant et chez l’enfant présentant des troubles sévères d’acquisition du langage / Understanding and assessing development of complex syntax in children with typical language development and in children with specific language impairment

Prigent, Gaïd 05 January 2016 (has links)
La Théorie Usage et Construction (TUC) postule que l’enfant développe son langage, et plus précisément ses formes morphosyntaxiques, grâce à l’utilisation de processus cognitifs généraux qui permettent un mécanisme de complexification et de généralisation de ses propres productions ainsi que de celles issues de l’input. L’approche cognitivo-fonctionnelle n’a été appliquée à la dysphasie que dans peu d’études. De plus, l'acquisition de la syntaxe complexe chez l'enfant dysphasique est un domaine délaissé dans la littérature existante. Ainsi, dans ce travail de thèse, nous nous sommes intéressés aux difficultés des enfants dysphasiques pour la complexité morphosyntaxique à travers la lunette de la TUC, et ce en utilisant à les fois des tâches expérimentales et des situations de génération de langage spontané. Nous postulions que la complexité, concept au cœur de notre travail, est définie par ce qui est cognitivement coûteux, désignant ainsi les formes linguistiques rares, longues ou imbriquées. Notre travail met en évidence que les enfants dysphasiques peuvent être productifs seulement avec les schémas fréquents dans le langage qui leur est adressé, alors que les structures complexes, peu fréquentes dans l’input, sont particulièrement difficiles à appréhender pour eux. Dès lors, ces enfants ont besoin d’être confrontés à davantage d’exemplaires et de contextes de pratique pour que la masse critique suffisante soit atteinte et que l’apprentissage de constructions soit possible. Enfin, un lien relativement clair entre la difficulté de complexification syntaxique et les troubles de la généralisation est mis en évidence. / The Construction and Usage-based Theory (CUT) argues that children develop their language, and more precisely morphosyntactic structures, thanks to the use of general cognitive processes by complexifying and generalizing their own prior productions and productions used in the input. These hypotheses have been tested in children with specific language impairment (SLI) in very few studies. Moreover, development of complex syntax is a little studied area in the literature. Thus, the current doctoral thesis focused on complex syntax difficulties of children with SLI using spontaneous language samples and experimental tasks. This work defines complexity as linguistics forms which are rare, long or nested and more generally cognitively costly. The results obtained show that children with SLI use frequent forms heard in the input productively, whereas complex forms, which are rare in the input are difficult for them. These children need to be exposed to more exemplars and practice settings to reach critical mass and making possible learning of constructions. Finally, this current doctoral thesis highlights a relatively obvious link between complex syntax difficulties and lack of generalization of construction schemas.
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Learning and memory consolidation processes in children and adults: a neurophysiological and neuropsychological investigation

Urbain, Charline 30 May 2012 (has links)
Learning and memory consolidation processes in children and adults: a<p>neurophysiological and neuropsychological investigation.<p><p>Sleep is a complex and active state of the brain, associated with essential functional changes<p>[1]. Accumulated evidence in the adult population indicates that sleep participates in the<p>consolidation of declarative (i.e. memory for facts and episodes) and procedural (i.e. skills<p>and habits) memory, allowing novel information to be integrated for the long term in cerebral<p>networks [2]. Whether sleep supports memory consolidation in children likewise and to the<p>same extent than in adults remains disputed. In this framework, I have developed<p>experiments aimed at investigating sleep-dependent consolidation processes both in children<p>and adults, using behavioral and neurophysiological techniques (magneto-encephalography<p>[MEG]; electro-encephalography [EEG]; functional magnetic resonance imaging [fMRI]). To<p>sum up, researches conducted during my PhD thesis have contributed to start unraveling<p>neurophysiological mechanisms participating in sleep-dependent consolidation processes.<p>On the one hand, I report that despite a lack of detectable behavioral differences, posttraining<p>sleep plays a role in reshaping the cerebral networks subtending implicit motor<p>sequence learning in adults [3]. I also showed using a motor adaptation task [4] that sleep<p>contributes to the consolidation of procedural memory in children [5]. On the other hand, I<p>have evidenced neuromagnetic correlates of learning novel semantic representations in<p>children [6-7], and is currently finalizing the analysis of the effect of a post-training nap on the<p>consolidation of these representations. Finally, I showed in epileptic children that interictal<p>epileptic discharges (IED) during sleep impairs declarative memory consolidation processes<p>[8-9], and that this phenomenon is reversible upon pharmacological treatment suppressing<p>IED. Altogether, these findings advocate the need to explore further memory consolidation<p>and its neurophysiological basis in children, both healthy and suffering from various brain<p>pathologies [10].<p>[1] Urbain C. Peigneux, P. & Schmitz R. Sleep and the Brain. (to appear). In The Oxford Handbook of<p>Sleep and Sleep Disorders. C. M. Morin and C. A. Espie (Eds.). Oxford University Press, Oxford, NY.<p>[2] Peigneux P. Schmitz R. & Urbain C. Sleep and Forgetting. In Forgetting. S. Della Sala (Ed.).<p>Psychology Press, Hove, UK. 2010. (pp. 165-184).<p>[3] Urbain C. Schmitz R. Schmidt C. Cleeremans A. Van Bogaert P. Maquet P. and Peigneux P.<p>(submitted). Neuroanatomical Sleep-Dependent Processing in the Probabilistic Serial Reaction Time<p>Task.<p>[4] Huber, R. Ghilardi, M.F. Massimini, M. And Tononi, G. Local sleep and learning. Nature, 2004,<p>430, 78-84.<p>[5] Urbain C. Houyoux E. Albouy G. Peigneux P. (in preparation). Sleep-dependent consolidation of<p>procedural learning in children.<p>[6] Urbain C. Schmitz R. Op De Beeck M. Bourguignon M. Galer S. X. De Tiège, Van Bogaert P.<p>and Peigneux P. (in preparation). How learning new meanings about novel objects modulates cerebral<p>activity in children: A MEG Study.<p>[7] Urbain C. Schmitz R. Bourguignon M. Op De Beeck M. Galer S, De Tiège X. Van Bogaert P.<p>Peigneux P. (2011). Learning and Fast-Mapping Meanings to Novel Object in Children: A MEG Study.<p>17th Annual Meeting of the Organization for Human Brain Mapping [HBM], 26-30 June 2011, Québec<p>City, Canada<p>[8] Urbain C. et al. Is sleep-related consolidation impaired in focal idiopathic epilepsies of childhood?<p>A pilot study, Epilepsy and Behavior, 2011, 22(2), 380-384.<p>[9] Van Bogaert P. Urbain C. Galer S. Ligot N. Peigneux P. and De Tiège X. Impact of focal<p>interictal epileptiform discharges on behaviour and cognition in children. Neurophysiologie<p>Clinique/Clinical Neurophysiology, 2012, 42(1–2), 53-58. / Doctorat en Sciences Psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Developmental language disorder and universal grammar

Beritognolo, Gustavo 12 1900 (has links)
L'étude de la Faculté des langues (FL), telle que définie par la grammaire générative, a été principalement entreprise à travers l'examen des langues adultes, l'acquisition de la langue première, l'acquisition des langues secondes et l'acquisition bilingue. Peu de travaux ont abordé la FL à partir d'une situation d'acquisition atypique, communément appelée Trouble développemental du langage (TDL). Cette thèse est consacrée à l'étude de la façon dont FL est affectée par cette condition malheureuse. Le TDL est manifesté par certains jeunes enfants et adultes et peut être la cause de limitations importantes dans le développement du langage. La production et la compréhension langagières de ce groupe d'enfants sont atypiques par rapport au comportement linguistique d'autres enfants du même âge. Leur atypicité consiste en une grammaire non-cible en ce qui concerne ce qui est autorisé et ce qui est interdit dans la/les langue(s) à laquelle/auxquelles ils sont exposés. Les symptômes les plus communs, d'un point de vue morpho-syntaxique, sont (a) l'omission de morphèmes et de mots, (b) les commissions, c'est-à-dire la présence inadéquate de certains mots ou le remplacement inapproprié de morphèmes et (c) les redoublements, c'est-à-dire, l'apparition de mots ou de morphèmes dans plus de positions que celles autorisées dans la langue cible. Ces symptômes ont été pris comme l’indication que la FL est déficiente. Le résultat de cette défaillance est une grammaire développée par les enfants ayant le TDL qui est qualitativement différente de celle développée par leurs pairs typiques. Cette thèse examinera si la compétence linguistique sous-jacente des enfants DLD est déterminée par les mêmes traits, opérations et principes qui régissent le langage naturel en général. Extraites de la littérature expérimentale sur le TDL, les données pour l’analyse incluent la compréhension et la production par les enfants du TDL et concernent les domaines nominal, temporel/verbal et propositionnel. Les propositionsiii avancées pour rendre compte de ce disorder seront évaluées. Toutes proposent explicitement ou implicitement que la grammaire universelle (GU), c'est-à-dire l'ensemble des traits et opérations phonologiques, sémantiques et syntaxiques qui sous-tendent FL, est défectueuse: certains traits peuvent être absents, ou des opérations peuvent être inactives ou fonctionner par intermittence. Contrairement à ces propositions, l'hypothèse défendue ici est que la GU n'est pas affectée chez les enfants TDL. C'est-à-dire que malgré les nombreuses différences entre le TDL et l'acquisition typique du langage, la GU se révèle être similaire à un certain niveau dans les deux situations d'acquisition. Si la GU était altérée chez les enfants TDL, on s'attendrait à ce que les enfants affectés par cette condition produisent des phrases remarquablement différentes de celles produites par des enfants typiques. Plusieurs études ont révélé que les enfants DLD et leurs pairs typiques peuvent montrer des performances linguistiques similaires en termes de quantité et de type d'erreurs. De plus, les données révèlent que les énoncés TDL ne sont pas toujours erronés; lorsque tous les éléments et les mécanismes linguistiques sont présents, ils sont correctement utilisés. Ceci est considéré comme un signe que les traits syntaxiques, bien qu'ils ne soient pas toujours réalisés morpho-phonologiquement, sont présents dans les dérivations syntaxiques des enfants TDL, et que les opérations syntaxiques Fusion et Accord sont actives, tout comme dans les grammaires typiques. Enfin, l'analyse des énoncés non-cibles par les enfants TDL met en évidence une grammaire syntaxiquement normale et même une ressemblance avec des langues auxquelles ces enfants n'ont pas été exposés. La conclusion est que, malgré la non-convergence entre le TDL et la langue cible, la GU dans cette situation d'acquisition est intacte. / The study of the Faculty of Language (FL), as defined by generative grammar, has been mainly undertaken through the examination of adult language, first language acquisition, second language acquisition and bilingual acquisition. Few works have approached the FL from an atypical acquisitional situation, standardly called Developmental Language Disorder (DLD). This dissertation is devoted to the study of how FL is affected by this unfortunate condition. DLD is displayed by some young children and adults and can be the cause of significant limitations in language development. The linguistic production and comprehension by this group of children is atypical compared to the linguistic behaviour of other children of the same age. Their atypicality consists in a non-target-like grammar with regard to both what is allowed and what is disallowed in the language(s) to which they are exposed. The most common symptoms, from a morpho-syntactic point of view, are (a) omission of morphemes and words, (b) commissions, i.e., the inadequate presence of certain words or the inappropriate replacement of morphemes and (c) doublings, i.e., the appearance of words or morphemes in more positions than are allowed in the target language. These symptoms have been taken to indicate that the FL is deficient. The result of this deficiency is a grammar developed by children with DLD that is qualitatively different from that developed by their typical peers. This dissertation will consider whether or not the underlying linguistic competence of children with DLD is determined by the same features, operations and principles that regulate natural language in general. Drawn from the experimental literature on DLD, the data for analysis include comprehension and production by children with DLD and concern the nominal, the temporal/verbal and the propositional domains. The proposals that have been put forth to account for this impairment will be evaluated. All of them explicitly or implicitly propose that Universal Grammar (UG), i.e., the set of phonological, semantic and syntactic features and operations that underlie FL, is faulty: Some features can be absent, or operations can be inactive or function intermittently. Contrary to these proposals, the hypothesis defended here is that UG is not affected in DLD children. That is to say, despite the many differences between DLD and typical language acquisition, UG is revealed to be similar at a certain level in both acquisitional situations. If UG were impaired in DLD, children affected by this condition would be expected to produce sentences remarkably different from those produced by typical children. Several studies have shown that children with DLD and their typical peers can display similar linguistic performance in terms of both quantity and type of errors. Moreover, the data reveal that DLD utterances are not always erroneous; when all linguistic elements and mechanisms are present, they are correctly used. This is taken as a sign that syntactic features, while not always realized morpho-phonologically, are present in DLD syntactic derivations, and that the syntactic operations Merge and Agree are active, just as in typical grammars. Finally, the analysis of non-target utterances by children with DLD evinces a syntactically normal grammar and even a resemblance with languages to which these children have not been exposed. The conclusion is that, despite the non-convergence of DLD and the target language, UG in this acquisitional situation is intact.
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Le rôle des facteurs phonologiques dans le développement des connaissances orthographiques chez l’élève dysphasique francophone du primaire

Leonti, Oxana 03 1900 (has links)
Le trouble développemental du langage ou la dysphasie se définit comme étant un trouble qui affecte l’acquisition normale du langage oral. Plusieurs sphères du langage peuvent ainsi être affectées à différents degrés. Des difficultés phonologiques, morphosyntaxiques, lexicales et pragmatiques sont constatées chez cette population d’enfants, et ce, tant dans le volet expressif que réceptif. Ces difficultés se manifestent tôt dans la petite enfance et la plupart d’entre elles persistent malgré une prise en charge rééducative importante. Des difficultés d’acquisition de la langue écrite sont également signalées chez ces apprenants. Cela n’est pas surprenant dans la mesure où l’acquisition du code écrit français requiert des connaissances solides de la langue parlée alors qu’un corpus important de données empiriques soutient que les élèves dysphasiques abordent l’acquisition de la langue écrite avec des connaissances orales appauvries. Bien qu’une grande partie de ces données proviennent des travaux anglophones, certains consensus se dégagent et soutiennent l’idée de la présence des difficultés en lecture, plus particulièrement en identification de mots, mais aussi en compréhension en lecture. Les difficultés en production écrite, bien que moins documentées, sont observées, notamment dans les compétences de planification, de génération des idées, mais aussi de révision et de correction d’une production écrite. Les habiletés de production orthographique seraient également inférieures aux normes attendues. S’il est admis que les difficultés d’identification et de production de mots écrits isolés seraient expliquées par une incapacité à emmagasiner et à récupérer les représentations orthographiques dans le lexique orthographique, peu d’études ont porté sur la construction de ce lexique chez l’élève dysphasique francophone. Les conclusions issues des études anglophones doivent être interprétées avec prudence dans la mesure où les deux codes orthographiques présentent des particularités. Bien que le but premier de cette étude exploratoire soit de décrire les compétences orthographiques chez la population d’élèves dysphasiques, nous aimerions aussi comprendre quels sont les facteurs influant sur ce développement. Il est actuellement admis que les habiletés de conscience phonologique, les habiletés de dénomination rapide, les habiletés de mémoire à court terme verbale seraient très prédictives de l’acquisition de la lecture-écriture. D’autres facteurs sont également reconnus comme étant prédictifs de la réussite en lecture-écriture, notamment les habiletés visuoattentionnelles, les habiletés de mise en correspondance graphophonologique ou encore les capacités d’automatisation. Prenant appui sur un corpus important de données suggérant l’existence des difficultés phonologiques chez l’élève dysphasique, dans cette étude nous aimerions vérifier si ces déficits expliqueraient les faibles connaissances orthographiques chez cet apprenant. L’objectif principal de cette étude consiste à décrire les connaissances orthographiques chez l’élève dysphasique francophone du primaire. Trois objectifs spécifiques découlent du principal objectif : 1) Décrire les connaissances orthographiques de l’élève dysphasique ; 2) Identifier si les scores en production de mots écrits sont reliés à d’autres épreuves ayant recours aux connaissances orthographiques telles que la reconnaissance de mots et de pseudo-mots et la compréhension en lecture et 3) Identifier si des facteurs phonologiques tels que la mémoire à court terme verbale, la conscience phonologique, la mise en correspondance phonologique ainsi que la dénomination rapide sont liées aux représentations orthographiques chez l’enfant dysphasique. Une approche méthodologique à groupes comparatifs a été employée dans l’étude pour analyser les performances de trois groupes de participants de l’échantillon à l’étude : 1) un groupe expérimental incluant les élèves présentant un trouble développemental du langage sévère (DYS, N = 25, âge moyen = 9,72), 2) un groupe contrôle apparié selon le niveau de lecture (CL, N = 26) et 3) et un groupe contrôle apparié selon l’âge chronologique (CA, N = 42). Les résultats de cette étude exploratoire suggèrent que les performances en production orthographique des élèves dysphasiques s’apparentent à celles des élèves plus jeunes du groupe CL. De plus, les élèves dysphasiques semblent présenter des performances inférieures aux épreuves évaluant les habiletés phonologiques, notamment la mémoire à court terme verbale, la conscience phonologique, la dénomination rapide et automatisée et la mise en correspondance graphophonologique, en montrant, une fois de plus, des performances similaires à celles des élèves du groupe CL. Enfin, la présence de liens hétérogènes entre les scores aux épreuves phonologiques et à celles évaluant les connaissances orthographiques indiquerait que les connaissances phonologiques ne sont pas entièrement responsables du retard dans le développement de la compétence orthographique chez les apprenants dysphasiques. / Developmental Language Disorder (DLD) is a condition that affects the standard acquisition of oral language. Several spheres of language can be affected to different degrees. Phonological, morphosyntactic, lexical and pragmatic difficulties can be observed in the sample of children affected by DLD, on both expressive and receptive aspects. Such difficulties manifest themselves in early childhood and most of them stay consistent, despite rehabilitative measures being taken. Difficulties in acquiring writing abilities are also identified in those learners’ process. These challenges are not surprising considering that French written code requires a strong knowledge of spoken language and a large body of empirical data suggests that students affected by DLD approach the learning process with poor oral capacities. Although a large part of this data comes from works published in English, some consensuses diverge and suggest the presence of challenges in reading skills, more specifically in word identification, but also in reading comprehension. Writing challenges, although less documented, are also observed, notably in planning skills, expressing ideas, but also in the revision and correction steps of a written piece. Orthographic production abilities could also be inferior to standardized norms. If identification and isolated word production challenges would be explained by an inability to store and reuse orthographic representations in the orthographic lexicon, few studies were oriented on the French dysphasic student’s construction of this lexicon. Studies conducted on English samples must be carefully interpreted, as French and English have very different orthographic codes with each their particularities. The main goal of this exploratory study is to describe the orthographic competences of dysphasic students and comprehend what factors are influencing their language development. It is currently considered that phonological awareness, rapid automatized naming and short-term verbal memory abilities could very well predict the learning process of reading and writing. Other factors are recognized to predict success in reading and writing, notably visuoattentional skills, graphophonological processes or also automatization capacities. Relying on a large body of data suggesting the existence of phonological difficulties experienced by dysphasic students, this study will try to verify if those deficits explain the poor orthographical knowledge of those learners. The main goal of this study is to describe the orthographical knowledge of French elementary school students affected by DLD. Three goals are derivatives of the main one: 1) Describing the orthographical knowledge of the dysphasic student; 2) Identify if the written word production results are related to other tests using orthographical knowledge such as word/pseudo-word recognition and reading comprehension and 3) Identify if phonological factors such as short term verbal memory, phonological awareness, graphophonological processes as well as rapid automatized naming are related to the dysphasic student’s orthographical representation. A group comparative methodological approach was used in this study in order to analyze the results of three groups of participants of the study sample : 1) an experimental group including students with severe DLD (DYS, N = 25), 2) a controlled group matched according to reading skill level (CL, N = 26) and a controlled group matched according to chronological age (CA, N = 42). This exploratory study’s results suggest that the dysphasic students’ performances in orthographical production are similar to those of the younger students of group CL. Furthermore, students affected by DLD seem to score inferior results in tests evaluating phonological abilities, notably short term verbal memory, phonological conscience, rapid automatized naming and graphophonological processes, again demonstrating results similar to those of students of group CL. Conclusively, heterogenic and discordant links between the French dysphasic elementary school learners’ scores in phonological tests and orthographical knowledge tests show that phonological knowledge is not entirely the cause of delays in the development of their orthographical skills.
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Relations entre lecture et vocabulaire chez des élèves ayant un trouble développemental du langage de 8 à 11 ans

Brossard, Stéphanie 04 1900 (has links)
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