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Forever England : femininity, literature, and conservatism between the wars /

Light, Alison, January 1991 (has links)
Revision of thesis (Ph. D.)--University of Sussex. / Includes bibliographical references (p. [263]-273) and index.
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Les plus utiles propagateurs de la culture française ? : Les élèves musiciens étrangers à Paris pendant l'entre-deux-guerres / The most useful propagators of French culture ? : foreign music students in Paris during the interwar years

Duchêne-Thégarid, Marie 15 December 2015 (has links)
Pendant l’entre-deux-guerres, pédagogues et pouvoirs publics attendent des élèves musiciens étrangers formés à Paris qu’ils deviennent, selon une expression d’Henri Rabaud, directeur du Conservatoire, « les plus utiles propagateurs de la culture française » : par leurs déplacements, ces musiciens voyageurs assureraient la diffusion internationale de techniques musicales et de partis pris esthétiques français. Nous confrontons ce transfert culturel désiré à sa réalisation. La correspondance des institutions avec les pouvoirs publics souligne d’abord les enjeux que recouvre la venue de ces élèves en France. Les archives des écoles de musique, partiellement inédites, alimentent ensuite une base de données prosopographique identifiant les apprentis étrangers. La presse musicale et les récits de vie témoignent enfin de l’insertion de ces jeunes artistes dans la vie musicale parisienne et internationale, et permettent d’évaluer l’efficacité des mesures prises en faveur des élèves étrangers. / During the interwar years, foreign music students trained in Paris are expected from teachers and public authorities to become « the most useful propagators of French culture », according to director of Conservatoire, Henri Rabaud’s words : through moving abroad, those traveler musicians shall spread musical techniques and French aesthetical bias all over the world. We are confronting this cultural transfer to its fulfilment. First, the correspondence between institutions and public authorities emphasizes issues caused by these students coming to France. Then, the partly unpublished archives of music schools form a prosopographic data base identifying foreign young musicians. Musical press and life stories finally attest that these young artists are integrated in parisian as well as international musical life, and allow also to estimate the effect of measures in favour of foreign students.
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Un antisémitisme latent ?La criminalisation du juif de Cureghem par la Sûreté Publique et ses institutions partenaires (1880 – 1930)

Zian, Yasmina 03 May 2018 (has links)
En Allemagne, l’expérience de la Première Guerre mondiale a radicalisé les mouvements antisémites. La rancœur engendrée par la défaite a servi à cimenter la haine du juif .Mais qu’en est-il en Belgique ?Dans ce pays, pendant la période étudiée (1880-1930), aucun mouvement ne se déclare antisémite. De plus, le pays sortant victorieux de la Première Guerre mondiale, l’expérience de guerre n’apporte pas de l’eau au moulin des quelques défenseurs de l’antisémitisme comme idéologie. Pourtant des recherches révèlent la présence d’un antisémitisme latent en Belgique avant les années trente, pendant que d’autres indiquent que les attitudes des autorités belges pendant la Deuxième Guerre mondiale sont largement imprégnées d’un habitus xénophobe et de « réflexes parfois inconscients d’exclusion ou de marquage social ».Afin d’interroger ces résultats, cette thèse de doctorat a pour objectif d’approcher les mécanismes de criminalisation des étrangers juifs de Cureghem par la Sûreté publique. Pour ce faire, nous questionnons le concept d’antisémitisme latent à un niveau chronologique (avant, pendant et après la Première Guerre mondiale), social (les représentations présentes au sein de la police à l’égard des juifs étrangers) et politique (les pratiques et l’habitus de la police). Il s’agit donc d’analyser les représentations des agents sur ce groupe d’étrangers, de déceler les conséquences de ces dernières sur les pratiques policières pour finalement appréhender l’évolution de cet antisémitisme tout au long de la période 1880-1930.Cette thèse de doctorat met en évidence quatre constatations majeures :D’abord, la guerre a permis de complexifier et perfectionner l’appareil étatique de surveillance. Ensuite, l’hostilité de la police des étrangers à l’égard des étrangers d’origine juive ne s’exprime pas de façon systématique. En effet, les fonctionnaires de la police des étrangers mobilisent leurs préjugés dans des contextes particuliers. Malgré la présence d’une représentation négative du juif chez les fonctionnaires, ceux-ci peuvent également pratiquer une forme d’« abstention volontaire » dans l’expression de préjugés anti-juifs. Aussi, s’il atteste de la réalité d’une hostilité à l’égard des juifs, ce travail prouve également que les étrangers d’origine juive ne sont pas les seuls à connaître des discriminations. En fonction de l’époque et du lieu, il arrive à la police des étrangers de criminaliser différents groupes. Cette attitude est mise en évidence grâce à l’étude de groupe comme les Italiens colporteurs avant la guerre ou les Italiens antifascistes dans les années vingt.Enfin, ce travail révèle que les étrangers d’origine juive ne sont pas identifiés seulement comme étant juifs, mais aussi comme Polonais, Russes ou Hollandais. Les catégories nationales jouent un rôle prédominant dans la construction des représentations sur le juif. De même, le genre devient une catégorie pertinente quand il s’agit du contrôle, mais également de la punition d’un étranger. Un dernier élément important se dégage de cette recherche :cette thèse démontre que le terme « racisme institutionnel » (V. Sala Pala, 2010 ) peut être utilisé pour qualifier l’attitude de la police des étrangers. Ce qui, grâce à l’analyse de cette institution étatique dont la tâche est d’apprécier l’intérêt de la présence d’un étranger sur le territoire national, sert également à porter un certain éclairage sur l’actualité. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Sous l'oeil des instances officielles : la coopération entre peintres français et soviétiques dans l'entre-deux-guerres / Under the watchful eye of the authorities : French and Soviet painters cooperating in the interwar period

Trankvillitskaïa, Tatiana 13 December 2014 (has links)
Cette thèse analyse les échanges artistiques entre la France et l’URSS durant l’entre-deux-guerres, leurs rouages et les avantages mutuels qu’ils présentent. Cette période connaît quatre phases successives, ce qui permet de découper la recherche en autant de parties. La première étudie la période d’avant la reconnaissance de l’URSS par la France et la mise en place des relations diplomatiques (avant 1924) ; la deuxième se penche sur les premiers liens officiels qui suivent ladite reconnaissance (1925-1928) ; la troisième s’intéresse aux années 1928-1934, période du « Grand Tournant » dans l’économie soviétique, et enfin la quatrième englobe les années qui suivent l’instauration du réalisme socialiste en 1934 et se termine avec la guerre. Notre projet tente d’évaluer la pertinence de l’approche stéréotypée portant sur le lien entre art et idéologie, de voir si la peinture soviétique, telle que présentée lors des expositions en France, était similaire à celle exposée en URSS et constituait un outil de propagande à part entière. Sous quelle forme l’art soviétique est-il présenté en France et quel est le rôle des instances dans la mise en place de ces manifestations ? Il s’agit d’étudier le rôle des acteurs de ces échanges : instances étatiques, associations, galeries, spécialistes d’art, intellectuels, collectionneurs ou enfin les artistes eux-mêmes. Nous nous intéressons également aux expositions d’artistes français et à l’organisation de leurs voyages en URSS. Ce travail montre que les maillons de la chaîne « politique-idéologie-finances » sont intimement liés entre eux et que l’argent a souvent un rôle décisif pour les instances soviétiques. / This dissertation focuses on artistic exchange between France and the USSR in the interwar period, its mechanisms and the benefits it presented. This period can be divided into four successive phases, accounting for the four parts this research falls into. The first part studies the years leading up to the recognition of the USSR by France and the setting up of diplomatic relations (prior to 1924); the second part deals with the first official links following the recognition (1925-1928); the third part focuses on the years 1928-1934, a period of economic change also known as « the Great Turn » in Soviet economy and the fourth and final part spans the years after socialist realism was established from 1934 on up to the outbreak of the war. This research questions the stereotypical approach to the link between art and ideology and asks whether Soviet painting, as shown during exhibitions in France, was similar to that shown in the USSR and whether it was, or not, a sheer tool for propaganda. Under what form was Soviet art presented in France and what role did authorities play in organizing artistic events? The role played by the actors of this exchange is studied: state authorities, associations, art galleries, art specialists, intellectuals, collectors, intellectuals, and last but not least the artists themselves. Also studied are the exhibitions of French artists and how their trips to the USSR were organized. This research shows that politics, ideology and money are tightly linked together and that money played a decisive role for Soviet authorities.
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Reconquérir le Reich ? : le Vatican et l'Allemagne de Weimar, des nonciatures Pacelli au Reichskonkordat (1919-1934)

Levant, Marie 12 December 2012 (has links)
La restauration d'une Chrétienté, la conversion des nations à la doctrine chrétienne de l'organisation des hommes en société : telle fut la substance des projets de la papauté de l'entre-deux-guerres. Or, ceux-ci trouvèrent dans l'Allemagne des années Vingt un terrain favorable, dès lors que la jeune République, construite par-dessus l'humiliation de la défaite et le chaos de la Révolution, était plus que fragile. Cette quête eut ses relais : les clercs et les religieux, sur lesquels le Saint-Siège voulut renforcer son contrôle pour romaniser un catholicisme parfois suspect de modernisme ; les œuvres catholiques, dont la relance fut au cœur du pontificat de Pie XI ; le Zentrum, au rôle renforcé par la parlementarisation ; le service diplomatique, dès lors qu'enfin, il fut possible d'installer un nonce à Berlin. Mais l'instrument privilégié de la reconquête devait être le concordat. Après les concordats signés avec quelques Länder, le Concordat du Reich du 20 juillet 1933 devait donc représenter le couronnement de cette politique. Or, la victoire était vide de sens. Loin des ambitions restauratrices qui avaient valu en 1919, le traité n'eut plus qu'une fonction de défense, et encore, d'une efficacité sujette à caution, dès lors que le Führer en transgressa immédiatement les dispositions. La thèse s'arrête finalement à l'été 1934, après la nuit des Longs Couteaux et la mort du président Hindenburg. Ces deux épisodes achevaient la construction du totalitarisme nazi; mais en même temps qu'ils révélaient toute la vanité de l'entreprise restauratrice chrétienne, ils signifiaient aussi pour Rome la fin des illusions quant aux possiblités de canaliser Hitler et le nazisme. / My Ph.D thesis is focused on Papal prospects of a Catholic re-conquest, according to the model of the medieval Christianity; that is to say, the papal attempt to place the Roman Church at the heart of society once again, or, in other words, the efforts to restore mutatis mutandi a Christian system, as it was in Europe before the French Revolution. In fact, following the First World War, the situation in Germany offered great possibilities to this kind of Roman policy. We may think about the German needs to get help from the Holy See on the international scene, or the new political order, i.e the Weimar Constitution favorable to Catholic interests and the power gained by political Catholicism. To develop this policy, the Holy See had different means: the ecclesial means, such as bishop's appointments, ecclesiastical formation, theological studies, which were used to romanizzare the german Catholicism and to reinforce roman control over the German Church; second, the means of the Catholic activism, such as religious instruction and education, Catholic lay organizations and Christian political parties. However, the best instrument was certainly the Concordat; and from that point of view, the diplomatic activity was certainly increased by the Nuncio appointed for the first time in Berlin. My thesis ends with the summer of 1934, after the Night of the Long Knives and president Hindenburg's death. Indeed, these two episodes finished the formation of the Nazi Totalitarianism, but they revealed also how vain the Papal policy was. It can be viewed as the beginning of the disillusions in Rome about Hitler and the possibilities of moderating him.

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