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Impact of Amendments on Soil Properties and Agronomic Productivity in GuyanaMoonilall, Nall Inshan 26 August 2015 (has links)
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Film and Video Festivals in South America:A Contemporary Analysis of Flourishing Cultural PhenomenaNogueira, Julia C. 27 April 2009 (has links)
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Fonctions, pouvoirs et influences d’un acteur de la politique étrangère britannique : le Foreign and Commonwealth Office (1968-1985) / The function, power and influence of an agent of British foreign policy : the Foreign and Commonwealth Office (1968-1985)Revauger, Guilène 28 March 2018 (has links)
Cette recherche s’attache à l’étude d’une institution britannique, à son rôle et son organisation depuis la fusion, en 1968, du Commonwealth Office et du Foreign Office, jusqu’à l’année 1985.Il s’agit ainsi de voir comment le Foreign and Commonwealth Office (FCO) fonctionne et comment il a su évoluer au gré du temps, du changement de la place de la Grande-Bretagne dans le monde, et des conflits internationaux. Ainsi, on peut se demander quelles influences le contexte a eu sur l’institution en elle-même. Dès lors, une place particulière est accordée à l’Europe, la ‘relation spéciale’ avec les États-Unis et la décolonisation.La politique étrangère britannique semble aujourd’hui être principalement dans les mains du pouvoir politique : du ministre des Affaires étrangères (Foreign Secretary), et du Premier ministre. Quelle place le FCO occupe-t-il alors, et quelles relations entretient-il avec le pouvoir politique ?Il s’agit ainsi de considérer la place du FCO au sein des différents acteurs internes et externes de la politique étrangère britannique en analysant trois cas concrets : une réorganisation interne de l’institution (la fusion de 1968), une gestion de crise (l’indépendance retardée de la Guyane britannique, 1953-1966), et une négociation d’accord en temps de paix (l’échec des négociations de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, 1973-1982).Ce travail de recherche tente ainsi d’offrir une interprétation allant au-delà du fonctionnement interne de l’institution. Il s’agit de mettre en relation le Foreign and Commonwealth Office et le pouvoir politique, et ainsi d’étudier les pouvoirs et influences du FCO tout en s’attachant à des périodes clés à l’orée de changements. / This research work is devoted to the study of a key British institution, its function and its organization, from the merger of the Commonwealth Office and the Foreign Office in 1968, until 1985.Of particular interest is the way the changing role of Britain in the world and international conflicts bear upon the functioning and the evolution of the FCO. The point is to assess to what extent the context influences the institution itself.British foreign policy seems to be mostly determined by the Foreign Secretary and the Prime Minister. It is therefore well worth gaging what the function of the FCO is, and its relationship with the holders of political power.The role of the FCO as one of the internal and external agents of British foreign policy is assessed here, through three cases: the internal reorganization of the service in 1968, the management of a crisis – the postponements of independence for Guiana from 1953 to 1966, and the failure of a negotiation in peacetime – the United Nations Convention on the Law of the Sea from 1973 to 1982.Beyond the internal functioning of the institution, this research work strives to offer an interpretation of the changes. The relationship between the FCO and the holders of political power, the real power and influence of the FCO are under consideration, in particular during key moments of particular significance for the institution.
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Les populations forestières face à l'écotourisme : incitations, réticences et expériences en cours en Guyane française / People face a forest ecotourism : incentives, reservations and experience current French GuianaEkomie Obamé, Landri 15 November 2012 (has links)
Concept à la mode depuis quelques décennies, l’écotourisme s’est érigé comme le produit phare des parcs nationaux en régions forestières. Avec la création en 2007 du «Parc Amazonien de Guyane », les Wayana, comme les autres communautés traditionnelles autochtones, n’ont pas échappé au discours lié au développement durable de leur territoire ainsi qu’à la question de l’écotourisme. Mais quelle est la réalité d’un tel concept dans le contexte du tiers sud guyanais, enclavé, dominé par des identités culturelles fortes et marqué par une activité aurifère clandestine et criminelle ? Cette étude s’intéresse particulièrement à la dynamique culturelle et aux tentatives de maintien d’une identité culturelle, dans une société en pleine transition. Afin d’étudier le changement social et culturel, j’ai observé le mode de vie des indiens de l’intérieur de la Guyane tel qu’il se présente aujourd’hui en référence à ce qu’il était hier. Il ressort de notre étude que bien qu’attirés par la modernité, les indiens dépendent toujours des ressources de la nature et se préoccupent de maintenirleur identité. Les moyens de prélever les ressources ont certes évolué, mais ils demeurent au fond non agressifs àl’environnement et à la biodiversité parce que, ces sociétés ont opéré elles-mêmes des choix qui leur permettent de minimiser leur impact négatif sur l’environnement. Il y a donc dans ces sociétés une préoccupation de gestion durable des ressources. On le perçoit aisément dans l’agriculture itinérante, dans la pêche à la nivrée où, après exploitation et prélèvement de la ressource, la zone exploitée est laissée à l’abandon pour sa régénération. La recherche d’un compromis endogène entre un mode de vie traditionnel et un mode de vie moderne est significative à l’observation et à l’analyse de l’évolution de la structure de l’habitat amérindien. Optant aujourd’hui de plus en plus pour un habitat avec parois, cloisonné et recouvert non plus d’une simple toiture végétale mais de tôles ondulées, les Wayana ne renoncent pas pour autant au carbet-hamac, ni à la prohibition des déjections en terre ferme, c’est-à-dire le lieu où vivent les hommes. Les Indiens, dans leur tradition, utilisent les cours d’eau comme des lieux d’aisance. Notre étude montre que cette coutume est répandue chez tous les indiens de l’intérieur de la Guyane parce qu’elle va au-delà d’une simple préoccupation hygiénique et physiologique. Dans ce système culturel, cette coutume n’est pas déterminée systématiquement par l’environnement naturel. Elle obéit avant tout à une logique écologique propre à ces microsociétés, puis à une nécessite de distinguer nettement deux univers : l’univers des animaux et l’univers des hommes. Ainsi, dans lalogique interne des Wayana, ce sont des animaux sauvages qui font leurs déjections à même le sol, tandis que l’homme pour se distinguer a choisi de faire des cours d’eau ses lieux d’aisance privilégiés. Mais, face au changement imposé par le monde extérieur (sédentarisation, croissance démographique, prestations sociales..), la cohérence interne du modèle social et culturel des Wayana est plus que menacé. Dès lors, la mise en oeuvre de l’écotourisme s’apparente à une confrontation de logiques ; un ensemble de logiques exogènes, véhiculé par ses développeurs et ses promoteurs, et unensemble de logiques endogènes véhiculé par les populations autochtones traditionnelles en cohérence avec leur vision holistique du monde, aboutissant soit à des formes de compromis, soit à des formes d’antagonismes objectant toute forme de négociation. / A fashionable concept for some decades, « ecotourism » has been selected as the leading product for National Parks and large forests areas. With the opening, in 2007, of the “Amazonian park of Guyana “, the “Wayana”, like other local traditional communities, have not escaped from theories related to sustainable development as well as the “ecotourism”. But what reality stands behind such a concept in the southern part of Guyana, geographically isolated, and under the influence of strong cultural identities and a clandestine and criminal gold extraction activity. The current study tries to understand the cultural movement and their ambition to maintain a cultural identity, in a society in complete transition. In order to study the social and cultural changes, the author has observed the Indians way of life in the heart of Guyana today, as opposed as to how it was yesterday. Our study points out that, although very interested by the modern world, Indians still depend on natural resources and are concerned with the preservation of their identity. Their ways of using resources have certainly evolved, but they remain basically respectful of the environment and biodiversity because these societies function in order to minimize any negative impacts on their environment. These societies are therefore concerned with the management of their resources in a durable way. It’s easily perceivable in the itinerant agriculture, also in the fishing “à la nivrée”, where the area is left unexploited for regeneration after resources have been used. The search for an endogen compromise between a traditional way of life and a modern one is quite significant when one observes and analyzes the evolution of the Amerindian habitat. Opting more and more for buildings with partitions and separations, not just covered with basic vegetable roofs but with metallic material, the “Wayana” have not abandoned the use of “carbet-hamoc”, nor of open air toilets where the population live. Indians, traditionally, use streams as toilets. Our study shows that this custom is the same for all Indians living in the interior territories of Guyana, because it goes beyond a simple hygienic and physiological concern. In their cultural system, this rule is not systematically imposed by the natural environment. It’s governed above all by an ecological logic, pertinent to these micro societies, followed by the necessity to clearly identify two different worlds: the animal world and the human world. According to internal “Wayana” logic, it is only wild animals that use the ground for their excretions, whilst human beings, in order to distinguish themselves, use streams. But, facing changes brought about by the external world (sedentary life, demographic expansion, social care…), the internal coherence of the social and cultural model of the “Wayana” is in jeopardy. Installing a culture of “ecotourism” therefore seems to confront logics: one set of exogenous logics brought on by its promoters and another set of endogenous logics maintained by the autochthon traditional populations fitting with their holistic vision of the universe, leading either to some form of compromise or to antagonist attitudes opposed to any type of negotiation.
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The symbiosis of people and plants : ecological engagements among the Makushi Amerindians of Amazonian GuyanaDaly, Lewis January 2015 (has links)
This ethnoecological study of the Makushi Amerindians of Amazonian Guyana explores the place of plants in the indigenous culture and cosmology. The North Rupununi, the homeland of the Makushi people, is a bioculturally diverse mosaic of neotropical savannahs, forests, and wetlands. As subsistence hunters, fishers, and horticulturalists, the Makushi live in a constant and dynamic interaction with their ecologically rich surroundings. Against the human-faunal bias latent in much Amazonian anthropology, I place plants firmly at the centre of analysis, a positioning that mirrors their centrality in the ethnographic context. Human-plant encounters explored herein include swidden agriculture, the cultivation of bitter cassava, the fermentation of cassava drinks using a domesticated fungus, the use of a category of charm plants, and the consumption of plant substances in shamanic ritual. With the Makushi, I emphasise the status of plants as living selves and agents of semiosis, occupying perspectives on the world in and outside of their interactions with human beings. In order to investigate ethno-theories of life, I attempt to understand the constitution of the person - and associated notions of body and soul - in the indigenous cosmology. Makushi ontology can be characterised as animic - though as I argue, it also incorporates naturalistic and analogic elements. Thus, it is poly-ontological. This study pursues a dual goal: first, to pay heed to the trans-specific domain of living entities revealed in the Makushi ethnoecology, and second, to rethink conventional symbolic frameworks characteristic of anthropological approaches to culture. I explore the application of a more robust approach to sign-flows in nature - Peircian ecosemiotics - that allows for the analysis of plant communication, birdcalls, insect stings, and leaf patterns, as well as human language. In tracing these interspecific webs of signification, conclusions are drawn about the varied ways in which Makushi people engage with and think about their living environment. At the same time, many Makushi multispecies engagements are based on the physical transfer of substances between bodies of different kinds. In order to better account for this pervasive 'substance logic', greater attention must be paid to indigenous notions of corporeality and personhood. In doing so, I propose a dual analytical model that takes both the flows of signs and the flows of substances as its combined objective. This approach enables new conclusions to be drawn about multispecies relationality in indigenous Amazonian cosmologies.
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Consumption of Bias and Reptition as a Revisionary Strategies in Palace of the Peacock and in the Thought of Wilson HarrisBannouri, Salma 04 1900 (has links)
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Racialized Immigrant Women Responding to Intimate Partner AbuseLucknauth, Christeena 25 February 2014 (has links)
This exploratory study investigates how racialized immigrant women experience and respond to intimate partner abuse (IPA). The American and European models of intersectionality theory are used to highlight structural constraints and agentic responses as experienced and enacted by racialized immigrant women.
Eight women described their experiences through semi-structured interviews, revealing an array of both defensive and pro-active types of strategies aimed at short- and long-term outcomes. Responses included aversion, negative reinforcement or coping strategies like prayer or self-coaching, and accordingly varied by the constraints under which the women lived as newcomers to Canada. Policy recommendations promote acknowledgement of women’s decision-making abilities and provide a model in which women can choose from a selection of options in how to respond, rather than strictly interventionist models. Study results can help to challenge stereotypes of abused women as passive victims, and empower the image of immigrant women as active knowers of their circumstances.
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Racialized Immigrant Women Responding to Intimate Partner AbuseLucknauth, Christeena January 2014 (has links)
This exploratory study investigates how racialized immigrant women experience and respond to intimate partner abuse (IPA). The American and European models of intersectionality theory are used to highlight structural constraints and agentic responses as experienced and enacted by racialized immigrant women.
Eight women described their experiences through semi-structured interviews, revealing an array of both defensive and pro-active types of strategies aimed at short- and long-term outcomes. Responses included aversion, negative reinforcement or coping strategies like prayer or self-coaching, and accordingly varied by the constraints under which the women lived as newcomers to Canada. Policy recommendations promote acknowledgement of women’s decision-making abilities and provide a model in which women can choose from a selection of options in how to respond, rather than strictly interventionist models. Study results can help to challenge stereotypes of abused women as passive victims, and empower the image of immigrant women as active knowers of their circumstances.
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Parcs nationaux en transition vers des parcs nationaux naturels anthropisés (PNNa) ? Étude comparative de trois parcs nationaux naturels habités du Continent américain (Colombie, Guyane française, Québec). / National parks in transition towards "nature and anthropic national parks" (PNNa)? Comparative study of three inhabited natural national parks of the American continent : the example of Quebecker, Guyanese and Colombian Cases. / ¿Parques nacionales naturales en transicion hacias parques nationales naturales antropicos (PNNa)? Estudio comparativo de tres parques nacionales naturales habitados del contiente americano : ejemplo de los casos Quebenquense, Guyanes y Colombanio.Sierra Jimenez, Mara Johanna 27 May 2016 (has links)
L’évolution des politiques de gouvernance environnementale internationale et la transition des contextes nationaux et locaux de conservation favorisent de plus en plus l’intégration de la dimension anthropique au sein des parcs nationaux (catégorie II-UICN). Cette dimension s’adresse d’une part aux populations locales qui habitent de manière permanente les diverses zones de protection, et d’autre part, aux acteurs économiques (légaux et illégaux) qui exploitent le territoire protégé (tourisme, orpaillage, bois, etc.) ou qui participent de manière directe et indirecte aux processus de construction territoriale du parc national. L’intégration de la dimension anthropique au sein de ces territoires naturels de protection favorise en conséquence l’émergence de nouvelles dynamiques et stratégies de gestion et de gouvernance participatives.Avec une triple approche scientifique construite autour des regards croisés de la géographie politique, de la géographie socioculturelle et de la political ecology, cette thèse s’intéresse à l’analyse de trois cas d’études particuliers du continent américain afin de comprendre comment l’intégration de cette dimension anthropique (socioculturelle et économique) favorise la transition de certains espaces naturels protégés classiques vers une nouvelle configuration que nous proposons d’identifier ici sous le nom de « parcs nationaux naturels anthropisés - PNNa ». L’analyse systémique de la structure et du fonctionnement des macrostructures de gouvernance et des microstructures de gestion du Parc amazonien de la Guyane en France, du Parc marin du Saguenay-Saint-Laurent au Québec (Canada) et du Parc national naturel Amacayacu en Amazonie colombienne, nous ont permis ainsi de mettre en évidence quelques aspects de cette transition dans la gestion territoriale des espaces naturels protégés de catégorie II, ainsi que les conflits de pouvoir qui en résultent. / The evolution of international environmental policies and national and local conservation contexts gives increasing importance to the anthropic dimension within the national parks (category II UICN). Not only does this dimension takes into account the local population that lives permanently in these various natural areas, but also the economic actors who, legally or illegally, benefit from those protected areas (tourism, gold-washing, wood, etc.) or participate directly or indirectly in the process of the territorial elaboration of a national park. The integration of the anthropic aspect definitely help the emergence of new dynamics and strategies of collaborative management and policies. Building on political geography, socio-cultural geography and political ecology, this thesis aims to shed light how that anthropic dimension (sociocultural as well as economical) entails the transition of some protected areas from a classical type to a new category we identify as the “Nature and Anthropic National Park” (PNNa). We focus on three specific study cases in the American continent: the Amazonian park of the French Guiana, the Sea Park of Saguenay-Saint-Laurent of Québec, Canada, and the Amazonian Amacayacu National Park of Colombia. The systemic analysis of their structure and their functioning, as far as macrostructure of policies and microstructures of management are concerned, has allowed us to bring out that transition in the territorial management of these category II protected natural areas and the deriving conflicts for power. / La evolución de las políticas de gobernanza medioambiental internacional y la transición de los contextos nacionales y locales de conservación, favorecen cada vez más la integración de la dimensión antrópica al interior de los parques nacionales (categoría II-UICN). Esta dimensión corresponde de una parte, a las poblaciones locales que habitan de manera permanente las diversas zonas de protección dentro del parque nacional, y de otra parte, a los actores económicos (legales e ilegales) que explotan el territorio protegido (Turismo, explotación minera, explotación de madera, etc), o que participan de manera directa o indirecta en los procesos de construcción territorial del parque nacional. La integración de la dimensión antrópica dentro de estos territorios naturales de protección favorece en consecuencia la emergencia de nuevas dinámicas y estrategias participativas de gestión y de gobernanza. A través de un triple enfoque científico construido mediante el cruce de diversos puntos de vista de la geografía política, de la geografía sociocultural y de la political ecology, esta tesis se interesa en el análisis de tres casos de estudio particulares del Continente americano. El objetivo de esta contribución es el de intentar mostrar, cómo la integración de la dimensión antrópica (sociocultural y económica) influencia la transición de algunos espacios naturales protegidos hacia una nueva configuración que nosotros proponemos identificar aquí bajo el nombre de “parques nacionales naturales antropizados – PNNa”.El análisis sistémico de la estructura y del funcionamiento de las macroestructuras de gobernanza y de las microestructuras de gestión participativa del Parque amazónico de la Guayana, en Francia, del Parque marino del Saguenay-Saint-Laurent en Quebec, Canadá, y del Parque nacional natural Amacayacu en Amazonia colombiana, nos permitieron poner en evidencia este tipo de transición en la gestión territorial de los espacios naturales protegidos de categoría II, así que los conflictos de poder que resultan de esta transformación.
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