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Les facteurs d’adoption du balanced scorecard par les entreprises françaises dans le contexte du renouvellement du contrôle de gestion / The factors of adoption of balanced scorecard by French companies in the context of the renewal of management controlBafcop, Sylvain 05 July 2013 (has links)
Apparu dans un contexte de relative stabilité, le contrôle de gestion n’est plus adapté dans les environnements actuels caractérisés par une complexification croissante. Face à ces évolutions, un outil, le balanced scorecard (BSC) de Kaplan et Norton, présenté comme modèle à visée stratégique et non plus seulement financière, a réalisé une percée spectaculaire à travers le monde. Le but de cette recherche est de procéder à un examen des facteurs pouvant expliquer l’adoption du BSC par les entreprises françaises dans le cadre des tentatives contemporaines de renouvellement du contrôle de gestion. Suite au bilan de littérature sur le BSC, à l’identification des principales remises en cause du contrôle de gestion et à l’examen de certaines réponses proposées à celles-ci, une consultation a été menée auprès de 1623 entreprises, afin de mieux comprendre les raisons de l’adoption de cet outil de gestion. L’étude identifie ainsi les principales caractéristiques des utilisateurs du BSC en fonction de critères mobilisant la théorie de la contingence. Cette recherche offre la particularité de s’inspirer de la matrice de Løwendahl et Revang différenciant contexte externe/interne en s’intéressant aux adaptations de l’outil en fonction de la complexité. Des liens ont été observés en fonction du niveau d’utilisation du BSC, son contenu et les niveaux de complexité. L’étude permet de mieux comprendre pourquoi les entreprises adoptent, abandonnent ou ne mettent pas en œuvre le BSC dans notre contexte. Enfin, elle fournit également quelques informations sur les rôles des contrôleurs de gestion dans cet outil par rapport au tableau de bord français ou en fonction de la complexité. / Emerged in a context of relative stability, the management control is no longer appropriate in today's environment characterized by increasing complexity. Light of these developments, a tool, the balanced scorecard (BSC) of Kaplan and Norton presented as a model for strategic focus and not just financial, achieved a major breakthrough in the world. The purpose of this research is to conduct a review of the factors that may explain the adoption of the BSC by French companies in the context of contemporary attempts to renew the management control. After the review of literature on the BSC, the identification of the main challenges to the management control and examination of some proposed answers to these, a consultation was conducted among 1623 companies to better understand the reasons for the adoption of this management tool. The study identifies the main characteristics of BSC users based on criteria mobilizing contingency theory. This research offers the characteristic to be inspired of the matrix of Løwendahl and Revang which distinguishing external/internal environments and by focusing on the adaptations of the tool depending on the complexity. Linkages were observed depending on the level of use of BSC, its contents and levels of complexity. The study provides a better understanding of why companies adopt, abandon or not implement the BSC in our context. Finally, it also provides some information on the roles of management controllers in this tool relative to the French dashboard or depending on the complexity.
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Dynamique des acteurs, conflits et modes de résolution pour une gestion durable des ressources naturelles dans la réserve de biosphère du delta du Saloum (Sénégal)Fall, Marie January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La production d'indicateurs de gestion : trois études de cas en management public / Indicators production in management : three study cases in public managementChoffel, Denis 18 October 2007 (has links)
Depuis la décentralisation de 1982, suivie de la Loi Organique, relative aux Lois de Finance (L.O.L.F.), les administrations d'Etat et les organisations publiques ont beaucoup évolué. Ce nouveau contexte a un impact sur le contrôle de gestion des organisations publiques, qui se traduit par la mise en œuvre de nouveaux instruments. Notre recherche porte, grâce aux enseignements tirés de nos 3 études de terrain en Management Public, sur la production d'indicateurs (conception d'une démarche pertinente, architecture, construction et articulation des indicateurs, et enfin sur leurs exploitations et leurs actualisations). Le premier apport de cette thèse est donc d'ordre pratique, car grâce à ces préconisations portant sur les moments clefs de la démarche de construction et de mise en place des indicateurs cela va permettre d'apporter un "savoir actionnable" aux professionnels. Le second apport est d'ordre méthodologique, car la combinaison des différentes approches (2 recherches-actions, 1 observation participante, une analyse quantitative), a renforcé la validité de notre recherche. De plus, notre démarche a eu une dimension exploratoire, car elle a permis de faire un état de lieux en matière de contrôle de gestion tant au niveau d'organisations spécifiques, qu'au niveau des pratiques et jeux d'acteurs. Enfin, sur un plan conceptuel, nous montrons comment l'on peut articuler, au sein d'un même processus de modélisation des activités, des mesures relevant d'une vision partagée et des mesures plus objectives, car c'est l'articulation de ces deux types de mesure qui va renforcer la pertinence du système mis en place et gagner l'adhésion des acteurs du terrain / The State administrations and the public organisations in France have deeply evolved since the decentralisation of 1982 followed by the "Loi Organique" relative to the “Lois de Finance LOLF”. One impact of this emergent context on the management control takes the form of new management tools applied in the public organisations. This dissertation draws lessons on the production of indicators (the conception and architecture of a pertinent approach, the construction of different indicators and the articulation among them, and finally the exploitation and the updating of these indicators) based on three field studies conducted in public managements. The first contribution of this study is practical. The results and recommendations concerning the crucial periods of the construction and the application of indicators provide actionable knowledge to the concerned professionals. Secondly, a methodological contribution may be highlighted as multi-methods have been used (two action-researches, one participant observation, and one quantitative analysis). The combination of these different approaches reinforces the validity of the results. Moreover, this study draws up a literature review on the management control related to specific form of organisations and on the level of practices and different actors. Finally, the study shows how to articulate, for the same process of activities modelling, between measurements related to shared vision and more objective measurements. It is the articulation of these two types of measurements which strengthens the applied system and assures the adhesion of the field actors
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Analyse des causes d'échec des projets d'affaires à partir d'études de cas en entreprises, et proposition d'un modèle de domaine en langage UMLWong, Siaw Ming 24 September 2010 (has links) (PDF)
En dépit des efforts destinés à accroitre la maturité de la profession dans le domaine de la gestion de projet, le taux d'échec des projets d'affaires (par opposition aux projets techniques) reste élevé. On s'est aperçu que les standards actuels en matière de gestion de projet ne prenaient pas en compte les contraintes liées au contexte d'exécution des projets, et que de ce fait, la gestion de projets d'affaires n'avait pas été étudiée en profondeur. L'objectif de ce travail de recherche transdisciplinaire est donc d'abord d'obtenir une meilleure compréhension du sujet en essayant de comprendre pourquoi l'échec d'un projet d'affaires est considéré comme un échec du point de vue de l'organisation, puis de formaliser la connaissance acquise dans un format qui permette par la suite de l'enrichir et de l'appliquer. En nous appuyant sur le modèle des systèmes ouverts, trois études de cas ont été conduites, avec pour objectif d'étudier l'effet modérateur des différents types de structures des organisations et des systèmes d'information pour la gestion de projet sur la relation causale entre la compétence en gestion de projet et le succès des projets d'affaires. Il résulte de ce travail que le succès des projets d'affaires devrait être mesuré en termes de réalisation des objectifs du projet mais aussi de l'organisation. Ce travail a également permis d'identifier les composants essentiels de la gestion de projets d'affaires : (1) "Compétences de base pour la gestion de projet "; (2) "Gestion intégrée de programme" et (3) "Système d'information intégré pour la gestion de projet". Dans les trois études de cas, il apparait également de manière déterminante que les facteurs d'ordre organisationnel ont un impact significatif sur la réussite du projet. Une théorie est proposée, qui postule qu'un projet d'affaires a de grandes chances d'échouer s'il n'est pas géré comme une partie intégrante de l'entreprise, en le traitant comme une opération courante au sein de l'entreprise. Cela signifie que la manière dont les projets d'affaires sont gérés aujourd'hui devrait être revue. Le rôle de l'informatique dans l'assistance à la gestion de ces projets devrait également être revu. Et il faudrait sans doute aussi faire une plus grande différence entre les projets d'affaires et les projets " traditionnels " plus techniques. D'autre part, la formalisation de la connaissance acquise au cours de ces études de cas a été effectuée en développant un modèle de domaine à l'aide du langage de modélisation UML. Et l'approche de modélisation du domaine a été élaborée en modifiant l'étape de conceptualisation dans le processus traditionnel d'ingénierie d'ontologie. En prenant comme point de départ le cadre théorique qui prend en compte l'essentiel des composants de la gestion de projets d'affaires, le modèle a été construit en quatre étapes : (1) définition de la portée du travail en développant chaque composant à partir des normes en vigueur ; (2) intégration de ces développements en réutilisant les travaux réalisés et proposés par d'autres chercheurs ; (3) développement et (4) évaluation des spécifications UML décrivant aussi bien les aspects structurels que dynamiques du sujet traité. Le fait d'avoir réussi à développer un modèle du domaine et à montrer de quelle manière il pouvait être mis en œuvre directement pour développer un système d'information pour la gestion de projet ainsi que des ontologies portant sur les connaissances liées à la gestion de projet a montré que l'approche consistant à construire une base sémantique commune permettant de travailler à la modélisation de systèmes applicatifs et d'ontologies est à la fois réalisable et valide. De plus, le modèle de domaine proposé peut servir de socle permettant d'accumuler progressivement la connaissance du domaine, dans la mesure où l'approche de modélisation a pris en compte la possibilité d'intégrer des travaux et propositions antérieurs. Ce résultat ouvre de nouvelles perspectives de développement de logiciels s'appuyant sur un modèle de domaine qui est directement issu de travaux de recherch
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L'IMPACT DES MARQUES SUR LES MODES DE PILOTAGE DE L'ENTREPRISEFarjaudon, Anne-Laure 03 December 2007 (has links) (PDF)
L'importance croissante des investissements immatériels et en particulier des marques constitue le point de départ de cette recherche. L'objectif de cette thèse est de répondre à la question suivante : dans quelle mesure la montée en puissance des marques-a-t-elle des répercussions sur le pilotage de l'entreprise ? A l'issue d'une revue de la littérature approfondie, un cadre d'analyse est proposé. Ce cadre place la marque au cœur d'un processus d'échange entre l'entreprise et trois parties prenantes principales : les consommateurs, les distributeurs et les actionnaires. Une étude exploratoire réalisée auprès d'experts en évaluation de marques a été complétée par une étude de cas composée de sept sous-cas correspondant à différentes marques de l'entreprise étudiée. A la lumière des différents cas, une typologie des modes de pilotage d'une marque est dressée : un contrôle orienté logistique, un contrôle orienté marketing et un contrôle orienté finance. Au final, les résultats font apparaître une nouvelle vision de l'entreprise dont la performance devient pilotée par l'intermédiaire de ses marques.
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Gérer l'ingérable : la surveillance comme nouveau paradigme du discours de la société américaine du risqueRobichaud, Lyne 14 February 2013 (has links)
Cette thèse défend l’idée que, dans la lignée des événements qui ont suivi les attentats terroristes du 11 septembre 2001, le paradigme de la gestion du risque est devenu central dans les études de sécurité et dans les analyses de relations internationales. Dans le climat de risque engendré par les actes de terreur, le discours politique a mis en œuvre une biopolitique de la peur dans le but de normaliser les populations. Conséquemment, la surveillance est devenue une méthode de gouvernance de la société du risque, elle-même née d’une culture de la peur et du risque. Cette société du risque est construite politiquement et véhiculée par des récits précis qui ont pour but de gouverner un monde qui se gère de plus en plus difficilement, comme le montre l’ambiguïté des interprétations données aux attentats du 11 septembre 2001 et des différents langages pour les expliquer.
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Géosystèmes environnementaux: symbole de la loi naturelle face au pluralisme juridique dans la gestion de l'environnement.Etongué Mayer, Raoul January 1999 (has links)
En cette fin du XXe siècle où les faillites de l'environnement nous interpellent; alors que la diminution de la couche d'ozone, la pollution urbaine et la perturbation des conditions climatiques hypothèquent l'existence biologique de l'humanité, on parle de plus en plus de lois applicables à la gestion de l`environnement. Leur contexte appartient à des cadres spatiaux et juridiques qui se calquent sur les limites politiques, administratives des états et regroupements régionaux. Là où existent les lois sur la gestion de l'environnement, leur application intégrale n'est point garantie. De puissants groupes de pression et des influences politiques complaisants imposent volontiers un silence destructeur. On constate par ailleurs que l'approche qui inspire le pluralisme politique ainsi reconnu se voulant répressive, soulève des interrogations. Qu'est-ce que 'environnement
et comment fonctionne-t-il? N'est-il pas important de reconsidérer le cadre
théorique des rapports entre l'homme et l'environnement? Pourquoi parler de
la gestion de l'environnement dans un contexte juridique?
La loi Naturelle structure les géosystèmes environnementaux. Lorsqu'ils connaissent la moindre rupture d'équilibre, un processus de
recherche de l'équilibre perdu se déclenche. Ainsi se comprend le principe de l'interpellation de la Terre, planète vivante, à l'endroit de l'humanité.
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Gestion environnementale et capacité de changement organisationnel à mine RaglanBeauchemin, Julie January 2007 (has links) (PDF)
Le présent mémoire s'appuie sur une étude de cas menée à la mine Raglan. Il vise à évaluer sa capacité de changement organisationnel en se basant sur les témoignages des acteurs du changement, c'est-à-dire les personnes qui l'implantent (les agents) et celles qui doivent l'appliquer (les récepteurs). Ces témoignages ont permis de cerner les modalités de changement organisationnel propres à cette entreprise minière, les facteurs de réussite et d'échec de ces mêmes changements ainsi que les forces et les faiblesses qui en affectent la réalisation. On souhaitait également déterminer les défis spécifiques auxquels l'entreprise étudiée est confrontée dans ses processus de changement en raison de ses caractéristiques propres, notamment son isolement géographique dans un milieu extrême. Enfin, nous voulions utiliser ces constats pour formuler des recommandations afin que Mine Raglan soit en mesure de mener à bien des projets de changement actuels et futurs tels que l'implantation de son nouveau plan de gestion des matières résiduelles (PGMR). Grâce à des entrevues menées auprès de récepteurs du changement, à des exemples de changements vécus par sept agents de différents niveaux hiérarchiques à Mine Raglan et à l'observation participante et documentaire, trois questions de recherches ont été abordées. D'une part, nous voulions savoir si les processus de changement vécus par la mine Raglan suivaient les phases et les étapes décrites dans un modèle théorique tiré de la littérature et appliqué à notre étude. Nous souhaitions également décrire les facteurs de réussite et d'échec du changement ressentis par les acteurs de Mine Raglan et déterminer si ces derniers sont comparables à ceux que la littérature avait relevés. Enfin, l'étude visait à déceler les forces et les faiblesses de l'organisation en matière de changement et à proposer des recommandations pour soit en tirer profit, soit les surmonter. Nous avons conclu que même si les changements vécus à Mine Raglan ne sont pas calqués sur le modèle théorique, l'organisation a su développer une assez bonne capacité de changement. Nous sommes aussi d'avis que cette capacité peut être accrue si, d'une part, cette société minière applique le modèle de changement qui a été construit pour elle et si, d'autre part, elle donne suite aux recommandations formulées. Nous affirmons enfin que cette amélioration pourrait lui permettre d'augmenter sa performance environnementale par une gestion plus efficace du changement, notamment dans le domaine de la gestion des matières résiduelles ainsi que dans le cadre de l'implantation de son nouveau PGMR. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Changement, organisation, gestion, environnement, mine.
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Outils de gestion du « risque fournisseur » : méthodes et modèles pour la sélection des fournisseursJenn, Olivier January 2008 (has links) (PDF)
L'objectif de ce travail de recherche est de répondre à deux questions que nous avons soigneusement identifiées dans le chapitre deux, à savoir, trouver un moyen de définir le risque fournisseur et découvrir comment les entreprises peuvent-elle composer avec un tel risque au quotidien, et chercher à concevoir et à mettre en place un processus d'évaluation et de sélection des fournisseurs performant afin de contrôler ex ante le risque fournisseur. Pour ce faire, nous avons exploré la littérature scientifique afin de répondre à deux questions préliminaires. Nous avons dans un premier temps cherché à définir le risque, puis nous nous sommes intéressés aux différents risques auxquels les entreprises doivent faire face, ainsi qu'à la manière dont elles y font face. Pour répondre à nos deux principales questions de recherche nous avons eu recours à une méthode de recherche qualitative, à savoir l'étude de cas multiples, dont la composition de l'échantillon est présentée au sein des chapitres deux et cinq. À la base de notre revue de littérature, nous avons créé un cadre d'analyse pour la sélection des fournisseurs comprenant les critères que chaque entreprise devrait prendre en compte afin de sélectionner les fournisseurs avec lesquels elle est amenée à collaborer. Il s'agit donc d'un processus qui a pour objectif de réduire le risque relié aux fournisseurs, à la base.
Par la suite, nous avons testé notre cadre d'analyse à la base du processus de sélection réel utilisé par les entreprises de notre échantillon. Ceci nous a permis de compléter notre cadre d'analyse initial et d'établir les critères qui semblent les plus importants pour la majeure partie des entreprises, ainsi que les critères dont l'importance varie d'une entreprise à l'autre ou d'un secteur à l'autre. Finalement, nous avons rédigé nos conclusions sur les critères de sélection et leur importance tout en identifiant les avantages et les limites du modèle proposé.
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La gestion des risques environnementaux au sein des entreprises immobilièresLagnika, Semirath Brice Mondoukpe January 2009 (has links) (PDF)
De nos jours, la localisation, la sécurité, le prestige et le prix sont les principaux facteurs pris en compte pour choisir un immeuble. Et pour une société soucieuse d'écologie, sa performance environnementale devient un critère de sélection important. L'industrie immobilière est actuellement en pleine mutation. Aujourd'hui les services de gestion de biens immobiliers deviennent de plus en plus spécialisés dans tous les domaines et sont présents sur les marchés, tant publics que privés. La législation touchant à l'environnement devenant plus sévère surtout au niveau de tout ce qui touche aux pollutions, la gestion du secteur immobilier est donc plus complexe du point de vue non seulement environnemental mais aussi social et économique, aspects liés au développement durable. De nombreux gestionnaires immobiliers se sont donc engagés sur la voie du développement durable en préconisant une approche de gestion intégrée. Les entreprises immobilières se montrent de plus en plus sensibles à l'aspect écologique dans l'exploitation d'un immeuble, aspect qui devient très important aux vues des occupants. La gestion des risques environnementaux offre une nouvelle façon de bien gérer l'entreprise tout en protégeant l'être humain, l'environnement et la profitabilité de l'entreprise. Ce procédé entraîne de profonds changements au niveau des enjeux économiques. Sur la base de ce constat, l'objet de l'étude est d'analyser les pratiques de gestion des risques environnementaux et organisationnels développées pour la gestion immobilière au Canada. Comment la gestion des risques environnementaux est-elle intégrée dans les entreprises canadiennes de l'immobilier? Quels sont les processus de gestion utilisés? En s'appuyant sur les normes à la fois pertinentes et pratiques en matière de performance environnementale et une enquête auprès de quelques institutions immobilières éclairées telles que la Société Immobilière Trans-Québec (SITQ), la CBC / Radio Canada, la Société Immobilière du Québec (SIQ), l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et Loto Québec, cette étude propose une synthèse de la gestion des risques environnementaux ainsi que la présentation des impacts d'une telle approche de gestion. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Gestion environnementale, Industrie immobilière, Gestion des risques, Développement durable.
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