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(In)visibilité de la radioactivité dans l’art et la photographie du Japon après « Fukushima » : médiations et expositions

Davre, Amandine 08 1900 (has links)
Au lendemain du séisme et du tsunami qui ont frappé le Japon le 11 mars 2011, la situation catastrophique qui s’est déroulée à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi a amené son lot de confusions, de peurs et d’angoisses. Face à une gestion gouvernementale du désastre hésitante et à une couverture médiatique peu appropriée à l’échelle de l’évènement nucléaire – une catastrophe dont les effets sont invisibles et s’étendent dans le temps – la création artistique japonaise s’est mobilisée. Hantés par ces évènements traumatiques et par une radiophobie ambiante, les artistes se sont autant questionnés sur le devoir de l’art en temps d’indicible désastre que sur sa possibilité et sa figurabilité. Consacrée à la mise en visibilité de la radioactivité, cette thèse met en lumière l’émergence d’une nouvelle impulsion artistique souhaitant composer avec la catastrophe nucléaire et compléter son iconographie, que nous nommons l’ « art post-Fukushima ». Nous nous intéressons au travail photographique de trois artistes japonais, Arai Takashi, Kagaya Masamichi et Takeda Shimpei, qui utilisent des techniques photographiques analogiques – daguerréotype, autoradiographie et radiogramme – visant à documenter et à exposer la trace de l’irradiation. Le sujet est ainsi approché sous l’angle des (in)visibilités de l’évènement nucléaire, de ses médiations et de ses expositions : exposition du support photosensible à la lumière (qu’elle soit naturelle ou radioactive) et à l’évènement nucléaire, exposition au sens plus large de promotion et de diffusion au Japon et en Occident, puis exposition du spectateur à ce type de photographie. À la veille du dixième anniversaire de la triple catastrophe, cette thèse de doctorat se destine à rendre visibles les enjeux de l’art post-Fukushima et à participer, à son tour, à replacer « Fukushima » et la contamination radioactive au centre de l’attention collective et à réactualiser sa mémoire. / On the 11th March 2011 an earthquake and tsunami struck Japan triggering a catastrophic chain of events at the Fukushima Daiichi nuclear power plant that seeded fear and confusion in the population. In the face of the government’s hesitant handling of the crisis and of inadequate media coverage regarding the scale of the disaster, Japanese artists mobilized to create their own responses relating to the ongoing and invisible effects of the calamity. In the shadow of the catastrophe, haunted by traumatic events and by an encompassing radiophobia, these artists have come to question the limits of figurability and also to ask what art is capable of and what its role can be. This thesis examines the emergence of “post-Fukushima art,” a term coined to describe a new, more politicized impulse in Japanese art, one that strives to provide an iconography adequate to the nuclear disaster and to render radiation visible. The thesis explores the photographic works of three artists in particular, Arai Takashi, Kagaya Masamichi and Takeda Shimpei. The trio employ analogue photographic techniques – daguerreotype, autoradiography and radiography – as a means to document and expose traces of irradiation. Their art is viewed through the prism of varied (in)visibilities linked to the nuclear catastrophe and addresses issues such as mediation and exposure. Exposure is understood in multiple senses, including exposure of a photosensitive support to light (such as radioluminescence), exposure to radioactive material generated by the disaster and, drawing on the French term exposé, exposure in the sense of exhibition. Exhibitions involve exposing viewers to photographs that relate to the catastrophe. On the eve of the tenth anniversary of the triple disaster, the thesis outlines the continuing stakes involved in post-Fukushima art as an effort to remember the event. It contributes to broader efforts aimed at refocussing attention on the aftermath of the disaster, including the radioactive contamination it caused.
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Photographie d'art et culture visuelle contemporaines : vers des pratiques photographiques technologiques.

Fiset, Daniel 08 1900 (has links)
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Le personnage vu de dos au cinéma et dans les autres arts : esthétique, migrations et imaginaires d’une histoire à revers

Croteau, Stéphanie 12 1900 (has links)
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L'art dans tous ses territoires au jardin des Premières-Nations : regards sur l’immatériel dans les œuvres du Concours d’œuvre murale éphémère

Lauzon Chiasson, Gabrielle 08 1900 (has links)
De 2003 à 2017, le jardin des Premières-Nations du Jardin botanique de Montréal a été le lieu d’exposition de 12 œuvres d’artistes autochtones dans le cadre du Concours d’œuvre murale éphémère lancé par Sylvie Paré. Ce mémoire rassemble l’ensemble de cette exposition afin d’en relever le discours général et les liens que les œuvres entretiennent entre elles, avec le Jardin et avec les territoires physiques et imaginaires. À travers une analyse formelle et symbolique des œuvres qui intègre les ontologies, épistémologies et méthodologies des Premières Nations, je souhaite réfléchir aux liens qui unissent les notions que sont le regard, le territoire, l’interconnexion et la mémoire. Le premier chapitre s’articule autour du mouvement de distanciation opéré par le regard perçu comme un intermédiaire « objectif » de l’expérience humaine et de la séparation (ou schisme) qu’il engendre entre nature et culture. Je m’intéresse ensuite à la remise en question de cette rupture par le Jardin des Premières-Nations. Le deuxième chapitre de ce mémoire s’intéresse plus spécifiquement aux perspectives obliques adoptées par les œuvres du concours en ce qu’ils se portent sur les mémoires et les marques culturelles laissées par les nations autochtones sur les territoires depuis plus de 10 000 ans. Par ailleurs, si les murales traduisent généralement une inquiétude environnementale, elles le font à travers le regard de différentes « entités » qui y circulent de manière fluide et circulaire dans l’espace, le temps et l’intersubjectivité. Elles explorent les traces physiques et imaginaires des relations entretenues avec le territoire et mettent en lumière l’existence d’une relation de réciprocité avec l’univers dont le territoire tient un rôle dynamique. / From 2003 to 2017, the First Nations Garden of the Montréal Botanical Garden has exhibited each year the mural artwork of an Indigenous artist as part of the Ephemeral mural contest launched by Sylvie Paré. This memoir brings together all of this exhibition in order to highlight the general discourse and the relations that the artworks have with each other, with the Garden and with the physical and imaginary territories. Through a formal and symbolic analysis of this exposition, that integrates the ontologies, epistemology and methodologies of the First Nations, I wish to reflect on the links that unite the notions of gaze, territory, interconnection and memory. The first chapter focuses on the distance generated by the sight seen as an intermediary “objective” of human experience, and the separation (or schism) that it created between the conceptions of nature and culture. I will then look at how the First Nations Garden questions this rupture. The second chapter of this dissertation focuses more specifically on the oblique perspectives adopted by the mural artworks in that they focus on memories and cultural marks left by the indigenous nations on the territories for more than 10,000 years. Moreover, if the murals generally express an environmental concern, they do so through the eyes of different “entities” circulating fluidly and circularly in space, time and intersubjectivity. They explore the physical and imaginary traces of relationships with the territory and highlight the existence of a relationship of reciprocity with the universe in which the territory plays a dynamic role.
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D’où l’hospitalité. Étude du privilège dans l’accueil en dialogue avec l’art participatif

Chartré-Lefebvre, Félix 08 1900 (has links)
La crise des États-nations face aux migrant·e·s, comme la réactivité publique par rapport aux enjeux de justice sociale concernant les groupes minoritaires, participe à faire de l’hospitalité un sujet criant. Pourtant, la notion ne génère en elle-même aucune polémique et ne fait que rarement l’objet de remises en cause. Ce mémoire apporte un regard critique sur ce qu’est l’hospitalité et sur les manières dont elle est pratiquée. À cet effet, l’étude du phénomène est menée à partir du point de vue des privilèges des hôtes plutôt que de celui de la vulnérabilité des personnes accueillies. D’abord, il s’agit de mettre en perspective les acceptions vertueuse et principielle de l’hospitalité. Comprise en tant que pratique de l’accueil, l’hospitalité est ensuite redéfinie selon trois modalités (spatiale, sociale et procédurale) en réponse aux façons dont l’hospitalité est la plus fréquemment problématisée dans les discours savants (autour du chez-soi, de la figure de l’étranger et de l’invitation par exemple). Puis, il est question des manières d’accueillir spécifiques relatives à la frontière, au seuil, au camp et au refuge. Avec l’œuvre Las reglas del juego / The Rules of the Game (2000 ‒ 2001) de Gustavo Artigas, il apparaît que penser l’hospitalité par ses limites renvoie à l’idée d’accessibilité. L’accueil y représente une admission conditionnelle et une régulation des admis·es (frontière) ou un enjeu d’adaptation à autrui (seuil). Le projet État d’Urgence (1998 ‒ 2010) de l’ATSA permet quant à lui d’interroger l’accueil sous l’angle de l’inclusion sociale. Tantôt, l’hospitalité devient synonyme de mise à l’écart d’un régime d’oppression (camp), tantôt du refus de collaborer au dit régime en son sein même (refuge). En somme, le dialogue entre les écrits savants et les œuvres d’art participatif dévoile les relations de pouvoir dans l’accueil qui sont à même de définir l’hospitalité, sa visée opportuniste et ses effets incertains. / The crisis of nation-states regarding migration and public responsiveness to issues concerning minority groups contribute to make hospitality a topic of the hour. However, the concept in of itself does not rise any polemic and appear to be rarely challenged. This paper therefore seeks to provide a critical look at what hospitality actually is and at how it is practiced. The phenomenon was studied from the perspective of the hosts and their privileges rather than the vulnerability of the people welcomed. In the first chapter, the meaning of hospitality as a virtue, as a principle and as a practice, which are common modes of defining the subject in the scholarly publications, was put into perspective. A new definition of hospitality was then proposed drawing on the three modalities of its practice (spatial, social and procedural). This definition respond to the ways in which hospitality is most frequently problematized in the literature (around the home, the figure of the stranger and the multiple actions supposed to provide hospitality such as invitation, accommodation, care, etc.). In the second chapter, each specific way of welcoming that implies the border, the threshold, the camp and the refuge is discussed. Thereon, Gustavo Artigas' Las reglas del juego / The Rules of the Game (2000 ‒ 2001) reveals that the limits of hospitality represent a matter of conditional admission and control (border) or of adaptation to others (threshold). Also, ATSA's État d'Urgence (1998 ‒ 2010) allows to examine hospitality under the paradigm of social inclusion. From this angle, welcoming becomes synonymous either with taking a population aside from an oppressive regime (camp), or with a refusal to collaborate with the regime from the inside (refuge). In short, the dialogue between scholarly literature and participatory art uncovers the power relations that define hospitality, its opportunistic goals and its ambiguous effects.
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Actions thérapeutiques de résistances en territoire anicinabe : œuvres autochtones contemporaines environnementales en zones urbaines abitibiennes

Turmel-Chénard, Ariane 08 1900 (has links)
En regard aux conclusions de différentes commissions d’enquête (Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées en 2014, Commission de vérité et réconciliation en 2015, Commission Viens en 2019), les blessures perpétrées par le régime colonial canadien aux Autochtones apparaissent impossibles à nier. En territoire anicinabe d’Abitibi, une réelle affirmation culturelle autochtone témoigne alors d’une prise de parole dans l’espace urbain. En lien avec l’histoire de la colonisation du territoire qui les a vus naître, ce mémoire analyse quatre réalisations environnementales publiques : Des pierres qui prient (Pésémapéo-Bordeleau 1997, Amos), Poésie en marche pour Sindy (Pésémapéo-Bordeleau 2017, Val-d’Or), Otipi (Papatè 2017, Val-d’Or) et Orignal (Boulanger, Binette, Happyjack et Kakekayash 2019, Val-d’Or). À travers les propos des artistes (Pascale-Josée Binette, Kigos Papatè et Virginia Pésémapéo-Bordeleau), de travailleuses culturelles impliquées dans les projets rencontré.e.s (Geneviève Béland, Carmelle Adam et Marianne Trudel), puis de penseur.e.s majoritairement autochtones, ces différentes œuvres sont réfléchies comme participant au mouvement autochtone de guérison entamé en Abitibi depuis plusieurs années, et s’opposant aux effets du colonialisme encore perceptibles dans les villes. Ces différentes manifestations culturelles proposent une façon d’être en relation à la nature dans l’espace urbain, plus près d’un rapport animiste qu'anthropocentriste. Pensant leur pratique artistique à partir de leurs cultures ancestrales, ces artistes autochtones contemporains lient leurs blessures à celles de la Terre-Mère et s’expriment ainsi sur les conséquences des développements coloniaux de ce territoire. Ces démarches environnementales autochtones anticoloniales en ces terres urbanisées visent ainsi à rétablir un équilibre. / In light of the conclusions of various commissions of inquiry (National Inquiry into Missing and Murdered Indigenous Women and Girls in 2014, Truth and Reconciliation Commission of Canada in 2015, Viens Commission in 2019), the harm perpetrated by the Canadian colonial regime on Indigenous people is impossible to deny. In the Anicinabe territory of Abitibi, a genuine Indigenous cultural affirmation thus testifies to the fact that they are speaking out in the urban space. This dissertation analyzes four public environmental artworks, connecting them to the history of colonization of the territory where they emerged : Des pierres qui prient (Pésémapéo-Bordeleau 1997, Amos), Poésie en marche pour Sindy (Pésémapéo-Bordeleau 2017, Val-d'Or), Otipi (Papatè 2017, Val-d'Or) and Orignal (Boulanger, Binette, Happyjack and Kakekayash 2019, Val-d'Or). Through my encounters with the artists (Pascale-Josée Binette, Kigos Papatè and Virginia Pésémapéo-Bordeleau), as well as the cultural workers involved in the projects (Geneviève Béland, Carmelle Adam and Marianne Trudel), and building on theories of mostly Indigenous thinkers, these different works are reflected as participating in the Indigenous healing movement that is underway in Abitibi for several years, and as opposing the effects of colonialism that are still perceptible in the cities. These different cultural manifestations propose a way of relating to nature in the urban space closer to an animistic than anthropocentric relationship. Anchoring their artistic practice in their ancestrals cultures, these contemporary indigenous artists link their wounds to those of Mother Earth, hence expressing themselves on the consequences of colonial developments in these lands. These anti-colonial indigenous environmental approaches thus aim to restore a balance in urbanized lands.
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La culture matérielle dans les stratégies de préservation culturelle des sociétés inuit contemporaines

Graff, Julie 09 1900 (has links)
cotutelle / Cette recherche s’intéresse à la place de l’objet, les sens qu’on lui donne, les usages qui en sont faits, les récits qui l’entourent, dans le contexte des ruptures de la période coloniale et face aux processus actuels de résurgence qui touchent les sociétés inuit contemporaines, en prenant comme fil directeur celui de la préservation culturelle. Je participe aux réflexions menées depuis quelques années dans le champ de la culture matérielle autour des fonctions sociales et mémorielles des objets. Je m’inscris aussi dans une démarche pluridisciplinaire visant à compléter une vision pluriculturelle des différents discours, formulés de l’extérieur et de l’intérieur, sur le Nord. Cette recherche se penche dans un premier temps sur le bâtiment de l’ancienne mission catholique à Kangiqsujuaq (Nunavik). Le bâtiment fait aujourd’hui partie du paysage patrimonial et mémoriel de Kangiqsujuaq en tant que plus vieux édifice de la communauté encore existant. Les objets qui s’y trouvent fonctionnement comme une collection témoin des relations établies entre différentes personnes et différents groupes, permettant de produire une histoire inuit de la culture matérielle allochtone dans le Nord. Un autre élément de ma recherche porte sur le rôle joué par l’agencement des objets en collections, leur qualification au sein de différentes catégories, leur définition et leur documentation par des acteurs divers. Les différentes institutions culturelles et patrimoniales fondées tout au long du 20ème et du 21ème siècles fonctionnent alors comme un réseau d’outils sociaux d’appropriation de la culture, qui s’éloignent ainsi des initiatives individuelles et communautaires, en implantant un certain nombre de structures et de méthodes. La thèse aborde les enjeux et les ambivalences liés à l’institutionnalisation des processus de préservation et de transmission culturelle. Une partie de la recherche est consacrée à la place de la créativité individuelle dans la reconstruction des modalités de transmission et dans la revitalisation des pratiques. La thèse se termine sur une réflexion portant sur l’établissement d’une souveraineté rhétorique, en prenant pour exemple le musée des Beaux-arts de Montréal. Je reviens tout d’abord sur les différents moments de contestation autour des musées, puis sur la transformation des paradigmes d’interprétation des objets, et plus particulièrement des objets qualifiés en œuvres d’art. Je touche là à un aspect particulier parallèle et interrelié aux questions de préservation culturelle, en explorant les récits autour des objets par le biais de la résurgence d’épistémologies inuit dans les paradigmes d’interprétation, et par la même sur les enjeux de présenter, et de représenter, les récits de continuité et de survivance. Le déroulement de cette thèse suit un cours majoritairement thématique, et se découpe en quatre chapitres soulignant la spécificité d’opérations réalisées dans différents environnements et par une diversité d’individus. J’en conclus que la préservation culturelle, au sein des sociétés inuit, peut être comprise comme un processus réflexif, visant l’autorégulation et l’auto-référentialité, qui inclut non seulement des dynamiques de sauvegarde matérielle et immatérielle, mais aussi des discours d’affirmation et de revendication, des phénomènes de réappropriation, de réactualisation et de revitalisation, de même que des moments de dissensions, de rejets et d’oublis. / This research focuses on the place of objects, their meanings, their uses, their stories, in a context of colonial disruptions and in the light of current resurgence processes affecting contemporary Inuit societies. I look more specifically at the issue of cultural preservation. I take part in the academic discussions carried out for a few years in the field of material culture, around the social and memorial functions of objects. Adopting a multidisciplinary approach, I also wish to take part in completing a multicultural grasp of the different discourses, formulated from the outside and from the inside, on the North. This research is firstly concerned with the building of the former Catholic mission in Kangiqsujuaq (Nunavik). This building is now part of Kangiqsujuaq heritage and memorial landscape, as the community’s oldest structure still standing. The objects left in it collectively function as witnesses to the relationships established between different people and groups. It supports as such the articulation of an Inuit history of non-Inuit material culture in the North. Another element of my research was the role played by the assemblage of objects in collections, their qualification within different categories, their definition and documentation by various actors. The cultural and heritage institutions founded throughout the 20th and 21st centuries function as a network of social tools for appropriating culture, thus moving away from individual and community initiatives, by implementing a number of structures and methods. This thesis then addresses the issues and ambivalence related to the institutionalization of cultural preservation and transmission. Part of the research is then devoted to the place of individual creativity in the reconstruction of transmission modalities and in the revitalization of practices. The thesis finally looks at the establishment of a rhetorical sovereignty, with a focus on the Montreal Museum of Fine Arts, by first exploring the different moments of contestation in museums. It then examines the shifting interpretative paradigms around objects, and more specifically around objects categorized as works of art. As such, I address a particular aspect parallel and interrelated to questions of cultural preservation, by exploring the narratives around objects and the resurgence of Inuit epistemology in interpretive paradigms. I then touch upon the stakes of presenting and representing narratives of continuity and survivance. This thesis follows a mostly thematic outline divided into four chapters highlighting the specificity of operations carried out in different environments and by a diversity of individuals. It brings the conclusion that cultural preservation, within Inuit societies, can be understood as a reflexive process, aiming at self-regulation and self-referentiality, which includes not only dynamics of material and immaterial safeguarding, but also discourses of cultural affirmation, processes of reappropriation, actualization, and revitalization, as well as moments of dissension, contestation and forgetting.
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Artistic values after 1900 : a study based on theories of the econo-politics, market, marketing, political ethics and consumer’s psychology

Oveissian, Amir masoud 08 1900 (has links)
Ce mémoire est une étude sur les processus de création, de présentation et de représentation des valeurs artistiques et compare leur début de production stratégique, supposément basé sur les changements infrastructurels et les caractéristiques du marché, avec leur stade de consommation tardif, principalement impliqué dans la formation du marché qui ajuste les connaissances, les habitudes et les attitudes de la population. Le corpus de la recherche est divisé en trois parties: 1) contexte théorique. 2) Les archétypes des arts de haut niveau associés aux changements d’infrastructure. 3) Les archétypes des arts de bas niveau associés à l’attitude, aux connaissances et aux habitudes des consommateurs. La première partie examine l'évolution de certaines des théories des quatre domaines, économie politique, marché, marketing et éthique politique, ainsi que leurs effets sur la société occidentale du milieu du XVIIIe siècle à nos jours. La deuxième partie utilise ces théories pour identifier les jalons de l'art et explique différentes stratégies de production dans le monde de l'art occidental. La troisième partie modélise la formation des connaissances et de l’attitude du consommateur sur la base de certaines théories de la psychologie existantes et observe la tendance et le rythme des changements d’attitude du public sur le marché. Nous comparons la troisième partie avec la deuxième pour montrer que les arts de haut niveau et les arts de bas niveau ont un impact mutuel à long terme: les arts de haut niveau activement inspirent les arts de bas niveau; tandis que les arts de bas niveau passivement modifient les connaissances et l’attitude des consommateurs à propos des arts de haut niveau. / This memoire is a study on three processes, creation, presentation and representation of artistic values, and compares their early stage of strategic production, which is supposedly based on artist’s intention, infrastructural changes and type of market, with their late stage of consumption, which is mostly involved with a market training that adjusts population’s knowledge, habits, and attitudes. The corpus of the research is divided into three parts: 1) theoretical background. 2) Archetypes of highbrow arts associated to infrastructural changes. 3) Archetypes of lowbrow arts associated to consumer’s attitude, knowledge, and habits. The first part reviews the historic evolution of some of the fundamental theories of the four fields, econo-politics, market, marketing and political ethics and their hierarchical effects on the western society from the mid-eighteenth century to present. The second part uses those theories to identify milestones in front art and explains different strategic production patterns in the western art world. The third part models the formation of consumer’s knowledge and attitude based on some existing theories of psychology and observes the trend and pace of public’s attitude change in today’s market. We compare the third part with the second to show that highbrow and lowbrow arts have mutual impact over each other: highbrow arts actively inspire lowbrow arts; while, lowbrow arts passively change consumer’s knowledge and attitude about highbrow arts.
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Étude de la fonction symbolique du paysage dans les tableaux dévotionnels de Giovanni Bellini

Staniscia, Mélanie 03 1900 (has links)
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La représentation du vieillissement et de la vieillesse dans la photographie artistique contemporaine : Cindy Sherman et Donigan Cumming

Brideau, Rachel 08 1900 (has links)
Depuis les dernières années, les études démographiques montrent un vieillissement manifeste de la population nord-américaine, alors que les personnes âgées font les frais de nombreux stéréotypes et préjugés qui participent à leur marginalisation de la société. Nous postulons qu’une « culture gérontophobique » se développe et que les comportements âgistes sont intériorisés par les individus. Au sein de cette culture gérontophobique valorisant la jeunesse, la rapidité, l’efficacité, le refus et le rejet de la vieillesse et des « vieux », plusieurs options s’offrent aux personnes âgées; se conformer aux idéaux de jeunesse et de paraitre de la société actuelle ou les contester en assumant pleinement leur âge et leur corps. Ce mémoire est une étude des séries Society Portraits de Cindy Sherman et Pretty Ribbons de Donigan Cumming qui explorent différemment la représentation de l’âge et l’enjeu de la gérontophobie dans leur série photographique respective. Les études gérontologiques culturelles de Julia Twigg et Wendy Martin, les études féministes de Kathleen Woodward, Michelle Meagher et Judith Butler, ainsi que les théories photographiques d’Anca Cristofovici et Olivier Lugon, vont nous servir à l’analyse de ces deux attitudes opposées face à la vieillesse féminine, victime d’un double standard. Ce double standard dénoncé par Susan Sontag et les études gérontologiques féministes positionne les femmes âgées dans une impasse puisqu’elles sont aux prises avec les préjugés sexistes en plus d’être constamment sous la pression des apparences et de l’âgisme. Dans l’histoire de l’art et le régime des images artistiques, nous constatons un récent mouvement de revalorisation de la vieillesse et de l’expérience des personnes âgées et vieillissantes. De nombreux artistes cherchent à changer les perceptions négatives à l’égard de la vieillesse et remettent en question les préjugés gérontophobes qu’on leur porte. Ce mémoire vise à analyser en détail les images de Sherman et Cumming avant de se clore par une étude comparative de leur série et démontrer comment ce mouvement de revalorisation et de déconstruction des stéréotypes prend forme dans les images photographiques contemporaines. / In recent years, demographic studies have shown a clear aging of the North American population, while seniors face many stereotypes and prejudices that contribute to their marginalization from society. We postulate that a "gerontophobic culture" is developing and that ageist behaviors are internalized by individuals. Within this gerontophobic culture, which values youth, rapidity, efficiency, and the refusal and rejection of old age and "old people", several options are available to older people: conform to the ideals of youth and appearance of today's society or challenge them by fully assuming their age and their body. This dissertation is a study of Cindy Sherman's Society Portraits and Donigan Cumming's Pretty Ribbons series that differently explore the representation of age and the issue of gerontophobia in their respective photographic series. The cultural gerontological studies of Julia Twigg and Wendy Martin, the feminist studies of Kathleen Woodward, Michelle Meagher and Judith Butler, as well as the photographic theories of Anca Cristofovici and Olivier Lugon, will be used to analyze these two opposing attitudes towards old age for women who are victims of a double standard. This double standard, denounced by Susan Sontag and feminist gerontological studies, places older women in an impasse, as they are confronted with sexist prejudices, in addition to being constantly under the pressure of appearances and the cult of youth. In the history of art and the regime of artistic images, we see a recent movement to revalue old age and the experience of older and aging people. Many artists are seeking to change negative perceptions of old age and challenge gerontophobic assumptions about it. This thesis aims to analyze Sherman’s and Cumming's images in detail, ending with a comparative study of their series seeking to demonstrate how this movement to revalue and deconstruct stereotypes is taking shape in contemporary photographic images.

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