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Boîte-en-valise ou de l'histoire de l'art latino-américain en reproduction / Boîte-en-valise or the history of Latin-American art in reproduction

Garcia Maidana, Maria Soledad 30 June 2015 (has links)
Semblable à un véritable musée portable, cette ‘boîte en valise’ découpe des figurines, morcelle les lectures, arrache des pages entières d’une histoire de l’art racontée dans les livres. Si l’objet de l’histoire de l’art est établi une fois pour toutes, nous cherchons à arrêter ce mouvement perpétuel qui auratise l’œuvre d’art puis son discours. Nous lisons des livres d’histoire de l’art en guise de parcours dans de vastes galeries anachroniques, arrachés de tout emplacement physique et repliés dans des pages de livres. Nous sommes des historiens d’art qui travaillent avec des images de reproduction technique, des clichés photographiques qui ont perdu leurs couleurs, qui ont délaissé sur la légende le poids de la taille et le lieu d’emplacement. À plusieurs égards, l’œuvre d’art reste en suspens : inlassablement auratisée par le récit, elle demeure éloignée. C’est dans le double éloignement de l’œuvre d’art que nous déployons notre objectif de travail : il s’agit d’une part d’ouvrir et de déceler les stratégies du récit historiographique lors du tissage discursif où l’art latino-américain est inscrit. D’autre part, il est question d’exposer l’échafaudage du récit où les images de reproduction technique, très loin d’illustrer ou de démontrer l’explication, désamorcent la continuité du récit. Alors, si le papier supporte l’étude historique, c’est sur la même surface où les images de reproduction des œuvres d’art démontent l’explication pour montrer, pour exposer, la cassure dans le discours historique. L’effet de charriage qui emporte l’explication en tant que guide de toute démonstration se défait avec l’utilisation des images de reproduction. Autrement dit, les images de reproduction ouvrent les pages de livres vers d’autres directions ; elles montrent, démontrent et démontent toute explication du récit historiographique. / As a real “portable museum” this “box in a valise” cuts images, bites readings and rips the pages of Art history books. If the subject of Art history is finally established, we want to stop this perpetual movement that auratizes the work of art and its discourse. We read Art history books as if we were in a race throughout large anachronic galleries ripped from any physical location and placed in book pages. It is we, art historians who work with images reproduced by means of technology, photographic clichés that have lost their colour and have left to the legend the weight of size and place. In many ways the work of art rests in suspense, tireslessly auratized by the narrative it remains absent. It is in this double absence that we display the object of our work, on the one hand we attempt to open and identify the strategies of the historiographical narrative and then the discursive tissue where Latin American art is inscribed. On the other hand we will attempt to expose the historical framework where the images technically reproduced are far from illustrate or explain and instead break the continuity of the narrative. So, if the paper supports the historical study it is on this same ground where the images reproducing works of art dismantle the explanation to show and to expose the fracture of the historical discourse. The effect of thrust that carries an explanation as a guide for any demonstration is defeated with the use of images of reproduction. In other words, the images of reproduction open the pages of books towards other directions; they show, demonstrate and dismantle any explanation of the historiographical narrative.
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La voix du territoire : représentations territoriales plurielles dans l’œuvre d’Eruoma Awashish.

Ruestchmann, Clara 06 1900 (has links)
No description available.
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Le discours muséal à travers l'exposition des collections de quatre musées d'art : Montréal, Québec, Joliette et Sherbrooke

Houle, Nathalie 08 1900 (has links)
Les musées d’art sont des lieux privilégiés pour contempler les productions artistiques du passé et d’aujourd’hui. En vertu de leur mandat, ceux-ci ont la tâche difficile de concilier leurs fonctions de délectation et d’éducation du public. Certains favorisent une approche plutôt que l’autre, mais tous portent un regard subjectif sur ce qu’ils exposent. Même si les oeuvres semblent être disposées naturellement dans les salles, tout ce qui relève de la conception et de la réalisation des expositions est savamment construit et résulte d’un parti-pris de la part du musée. En fonction de ses choix, c’est-à-dire de ce qu’elle présente ou non et comment elle le fait, l’institution muséale participe à la définition de ce qu’est l’art et influence la signification des oeuvres. En conséquence, chaque musée est producteur d’un discours qui véhicule notamment sa vision de l’histoire de l’art et ses valeurs institutionnelles. Ce discours est produit tant par les écrits qui sont installés auprès des oeuvres que par l’ensemble du dispositif muséographique qui les entoure. Ce mémoire explore, à travers l’analyse comparative de quatre musées des beaux-arts québécois, les éléments constitutifs d’un tel discours ainsi que les relations qui s’instaurent entre les différentes composantes du discours muséal et ce qui est montré dans leurs salles d’exposition. / Art museums are the perfect settings to gaze at past and actual works of art. According to their mandate, the museums have to conciliate two functions that can be difficult to manage, that is to say their functions of enjoyment and education. Some favor one approach instead of the other, but each museum is subjective in the way it exhibits works of art. Even if the art seems to be displayed naturally in the galleries, everything that is related to the conception and the realisation of the exhibition is the object of a construction and results from a decision of the museum. In accordance with their choices, that is to say which objects are presented or not, and the way they are exhibited, the museums contribute to define what art is, and influence the meanings of the works of art. Consequently, each museum transmits its own vision of art history and its institutional values. This particular discourse can be foregrounded as much by the writings installed near the works of art as by the museography around them. With a comparative analysis of four fine arts museums from the province of Quebec (Canada), this thesis explores a typology of museums discourses, as well as the intertwined relations between the different components of those discourses and the works of art that are shown in their galleries.
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Le façonnement identitaire des Européens d'Algérie avant la Guerre (1890-1914) : le rôle des cartes postales de scènes de rue

Merlo, Marina 09 1900 (has links)
Ce mémoire analyse deux cartes postales de la ville d’Alger qui représentent des espaces publics. Ces espaces publics montrent des gens de communautés mixtes. Les cartes ont été produites à Alger entre 1890 et 1914 environ, une période qui fait coïncider l’essor de ce médium avec celui de la colonisation européenne en Algérie. Le corpus a été choisi parce qu’il diffère de la production générale de cartes postales algériennes ainsi que de l’ensemble des images représentant l’Algérie, en peinture, en lithographie et en photographie. Cette spécificité de notre corpus nous permet de soutenir l’existence d’une consommation locale de cartes postales à Alger, de la part de la communauté européenne. Pour appuyer notre argument, nous faisons une étude comparative avec Cagayous, un feuilleton très populaire parmi les Européens à Alger. Les chercheurs considèrent ce feuilleton représentatif de cette population et du contexte local. Nous montrons que, même si ces cartes postales semblent plus réalistes que les images orientalistes typiques, elles ne sont pas dépourvues de stratégies visuelles et idéologiques rattachées au système colonial. Ces stratégies sont détaillées et analysées au cours de cette étude. / This thesis analyzes two postcards of the city of Algiers, which represent public space. The public spaces show people from mixed communities. These cards were produced in Algiers between about 1890 and 1914, a period which brings together the heyday of the postcard medium and the summit of European colonisation in Algeria. The corpus was chosen because it differs from the general production of Algerian postcards and from the body of images representing Algeria in painting, lithography, and in photography. This specificity of our corpus allows us to argue for the existence of a local consumption of these postcards of Algiers, by the European community. To support this claim, we conduct a comparative study with Cagayous, an extremely popular serial for the Europeans of Algiers. Scholars consider the serial to be representative of this population and the local context. We show that, even if these postcards seem more realistic than typical Orientalist images, they are not devoid of visual strategies and ideologies related to the colonial system. These strategies are detailed and analyzed in this thesis.
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L'autoportrait de Paul-Émile Borduas : mutation des statuts professionnels et intime de l'artiste

Pilet, Elsa 08 1900 (has links)
L’autoportrait de Paul-Émile Borduas, unique expérience de ce genre artistique dans sa carrière, s’avère représenter une étape charnière dans sa construction personnelle et artistique. Notre étude s’amorce par la description formelle du tableau, l’identification du processus de création, l’analyse du problème de datation et la réflexion sur les influences et assimilations stylistiques. Les nombreux indices détectés sont exploités pour mettre en évidence la mutation des statuts intime et professionnel. À partir d’une introspection et d’un itinéraire spirituel, Borduas tente d’extérioriser sur la toile la complexité de sa personnalité et sa quête d’identité. Le tableau est révélateur de l’établissement d’un Moi accompagné d’un code d’expression personnel du peintre. Par ailleurs, il s’inscrit au démarrage d’une œuvre qui va participer à l’émergence progressive de la modernité artistique et sociale du Québec à partir des années 1930. L’artiste semble affirmer son statut professionnel en développant des stratégies qui allient, d’une part, tradition et modernité, et, d’autre part, incertitudes et volonté d’émancipation. En choisissant de se représenter lui-même dans son propre langage pictural et son code d’expression personnel, Borduas pose les jalons de son identité et s’impose comme artiste-peintre dans une société québécoise en voie de modernisation. / The self-portrait of Paul-Émile Borduas, unique experience in this artistic genre in his carrier, represents a milestone in his personal and artistic career. This work begins by the formal description and the study about stylistic influences and assimilations. Many key points are detected and exploited to bring out the mutations of intimate and professional status. From introspection and spiritual itinerary, Borduas tries to externalize on canvas the complexity of his personality and his quest for identity. The canvas is indicative of the establishment of an “ego” accompanied by a personal code of expression as a painter. Moreover, he built a canvas that will participate in the gradual emergence of the artistic and social modernity of Quebec from 1930. The artist seems to assert its professional status by developing strategies that combine on the one hand, tradition and modernity, and, on the other hand, uncertainty and desire for emancipation. By choosing to represent himself in his own pictorial language and his personal code of expression , Borduas lays the foundation of his identity and stands out as a painter in Quebec society in the progress of modernization.
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Face aux portraits photographiques de Sally Mann. La série "What Remains" (2000-2004).

Masse, Isabelle 08 1900 (has links)
Le portrait captive lorsqu’il est envisagé comme présence humaine et qu’il tend à se soustraire à l’interprétation analytique. Prenant appui sur ce constat, le mémoire se penche sur la réponse spectatorielle induite par des portraits photographiques dont l’opacité pose un défi à l’attribution de significations précises. Ces portraits, qui abordent le thème de la mort, appartiennent au corpus "What Remains" (2000-2004) de l’artiste américaine Sally Mann. Ils réactualisent le procédé obsolète du collodion, revisitent le vocabulaire formel du pictorialisme et évoquent l’imagerie mortuaire du 19e siècle. Par ces citations historiques, les œuvres gênent la lecture du référent et introduisent des renversements de sens: elles troublent toute certitude dans la perception et toute littéralité dans l’interprétation. Le mémoire étudie les diverses stratégies citationnelles à la source de cette opacification et examine comment celles-ci tendent à établir les conditions de l’expérience esthétique. Après avoir réévalué certains présupposés théoriques sur la photographie, les paramètres techniques, formels et iconographiques des œuvres sont passés en revue afin d’évaluer leur impact respectif. En s’appuyant sur un cadre issu de la théorie des médias et de la psychanalyse, le travail du médium émerge comme le principal déterminant de l’expérience de ces portraits contemporains. / Portraits captivate when they are considered as human presence and they tend to evade analytical interpretation. Building on this observation, the dissertation addresses the viewer’s response to photographic portraits whose ambiguity challenges attribution of precise meanings. These portraits, which deal with the theme of death, belong to the "What Remains" corpus (2000-2004) of American artist Sally Mann. They re-actualize the old wet collodion process, revisit the formal vocabulary of Pictorialism and evoke 19th century mortuary imagery. Through these historical quotations, the artworks hinder the readability of the referent and produce reversals of meaning: they blur any certainty in perception and any literal interpretation. The dissertation first discusses the various quotation strategies leading to this ambiguity and then examines how they tend to establish the conditions of the aesthetic experience. After re-evaluating some theoretical assumptions about photography, the technical, formal and iconographic parameters are reviewed to assess their respective impact. Based on a framework derived from media theory and psychoanalysis, the work of the medium emerges as the key determinant of the experience of these contemporary portraits.
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La thématique hivernale dans les oeuvres de Maurice Cullen, de 1896 à 1914

Liétard, Clotilde 03 1900 (has links)
Ce mémoire propose une étude de la thématique hivernale dans les tableaux réalisés par Maurice Cullen (1864-1936) entre 1896 et 1914. Elle s’appuie sur une analyse des contextes politiques et culturels. Pour représenter les paysages enneigés canadiens, Cullen adapte quelques techniques modernes issues de l’impressionnisme, acquises lors de son premier séjour en Europe. Malgré cette influence artistique étrangère présente par l’emploi d’une palette de couleurs vives et de la touche divisée, le respect de la perspective et de la tridimensionnalité témoignent du maintien de certains principes académiques. L’usage de procédés impressionnistes permet à cet artiste de mettre en évidence les caractéristiques atmosphériques et lumineuses de son pays. Par l’application de ces procédés sur la représentation de la neige, Cullen participe ainsi à un travail de redécouverte et de valorisation du territoire. En effet, il privilégie plutôt l’expérience sensitive du territoire que le choix de la thématique des œuvres. L’ensemble des données visuelles et sensitives contenues dans ses œuvres a pour objectif de faire prendre conscience au spectateur de sa difficulté à se repérer au sein de son propre territoire et à accepter les rudes conditions climatiques inhérentes au Canada. Ce travail demeure impartial face au conflit identitaire opposant les francophones et les anglophones, bien qu’il intervienne dans les prémices de la mise en place d’une esthétique canadienne. Ce mémoire défend l’idée que Cullen renouvelle l’imagerie hivernale et s’inscrit dans les débuts du processus de création d’une iconographie nationale. Avec ses pairs, il s’engage à valoriser l’art local, et il ouvre une réflexion sur la représentation du territoire canadien, qui sera poursuivie par la génération suivante avec le Groupe des Sept. / This thesis proposes a study of the winter theme in paintings by Maurice Cullen (1864-1936) between 1896 and 1914. It is based on an analysis of political and cultural contexts. To represent the snowy Canadian landscape, Cullen adapts some techniques from modern impressionism, acquired during his first stay in Europe. Despite this foreign artistic influence thanks to his use of a bright color palette and divisional brush strokes, the perspective and the three dimensions reflect his academic principles. The use of impressionist processes allows Cullen to highlight the features and atmospheric light of his country. By applying these processes on the snow, Cullen creates a work of rediscovery and praises the territory. Indeed, this artist’s main focus is the experience one has in the distinct and sensitive environment that is unique to his territory rather than the choice of thematic canvases. All sensory and visual data contained in his works aim to make the viewer aware of the difficulty to locate within its own territory and to accept the harsh conditions inherent in Canada. His work remains impartial to the conflict of identity between Francophones and Anglophones, although it occurs within the premises of the establishment of a Canadian aesthetic. This thesis argues that Cullen renews winter imagery and the early part of the process of creating a national iconography. With his peers, he is committed to enhancing the local and he opens a debate on the representation of Canadian territory, which will be continued by the next generation with the “ Groupe des Sept”.
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Les cycles d'azulejos de l'église du couvent de Louriçal (Portugal) attribués à Valentim de Almeida (1692-1779)

Videira Eusébio, Joaquim Vitorino 06 1900 (has links)
L’église du couvent de Louriçal présente un ensemble de trente-quatre panneaux d’azulejos constituant quatre cycles (la Passion du Christ, la vie de saint François d’Assise, la Vierge Marie et la vie de sainte Claire) attribués à l’atelier de Valentim de Almeida (1692-1779). Ces œuvres n’ont jamais fait objet d’une étude détaillée. Notre mémoire porte sur les quatre cycles mentionnés et vise à démontrer, dans un premier moment, comment ces cycles s’articulent entre eux. En second lieu, il définira le lien qui existe entre ces panneaux et les traditions iconographiques et historiographiques franciscaines au Portugal. Le point essentiel de notre problématique est de déterminer comment ce revêtement de céramique surpasse les fonctions décoratives et pédagogiques pour s’articuler avec d’autres éléments artistiques (peinture, sculpture et architecture). Le résultat permettra d’interpréter la narration inscrite dans ce monument et de constater sa cohérence avec la sensibilité de l’époque du roi Jean V et son articulation avec l’affirmation de l’ordre franciscain dans la première moitié du 18e siècle. Cependant, d’autres questions se posent. Généralement le peintre d’azulejos n’est pas un créateur. Alors quelles sources d’inspiration a-t-il utilisées? L’artiste de Louriçal a-t-il utilisé des gravures? Dans ce cas, les gravures ont-elles été source d’inspiration ou seulement des objets de copie? La glorification de l’Eucharistie est omniprésente. Comment peut-on l’expliquer dans ce monument du 18e siècle, dans un contexte qui semble vivre encore intensément l’esprit de Trente et de la Contre-Réforme? En complément et de manière non exhaustive, nous présenterons quelques notes sur la vie de la fondatrice de la congrégation, sœur Maria do Lado, et sur l’histoire du couvent de Louriçal. / The convent of Louriçal’s church owns thirty-four panels of ceramic tile works (azulejos) representing four iconographic cycles (the passion of Christ, the Virgin Mary, the lives of Saint Francis of Assisi and Saint Clare). The creation of these panels is attributed to Valentim de Almeida (1692-1779). These art works have never before been studied. This thesis aims to demonstrate how these four cycles are articulated among themselves. It also defines the link with the iconography and the historiography of Franciscan tradition in Portugal. Our main purpose is to determine how these azulejos go beyond the decorative and pedagogical functions to link themselves with other artistic elements (painting, sculpture and architecture). This study will allow us to interpret the sequence of events described in the narratives and to ascertain its coherence to the sensibility of King John V period and as well to the spirit of the Franciscan order during the first half of the 18th Century. It is known that a ceramic painter is not usually a creator hence, what was his inspiration? Was the artist of Louriçal inspired by engravings? If so, were these engravings source of inspiration or mere models for copying? How can we explain the ubiquitous glorification of the Eucharist in this 18th Century monument in a context that intensely breathes the Council of Trent spirit and the Catholic Reformation? A non-exhaustive counterpart presents notes on the life of Sister Maria do Lado the founder of the congregation and on the history of the Louriçal convent. / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal
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Architecture at the service of ideology : William Morris, the Anglican Church and the destruction, restoration and protection of medieval architecture in victorian England

Mari, Philippe J. 03 1900 (has links)
Résumé Cet ouvrage examine les fondements du mouvement de conservation architecturale moderne. Dans ce contexte, la création de la « Society for the Protection of Ancient Buildings » par William Morris est considéré comme le point culminant d’un processus historique qui mena à l’apparition du mouvement. Sa genèse est présentée comme ayant été le résultat d’une confrontation entre deux visions utopiques du moyen-âge; celle de l’Église Anglicane et celle de William Morris. Un survol détaillé des origines, des résultats et des effets de la « Renaissance Gothique » ouvre tout grand sur les sources littéraires, idéologiques et religieuses qui y donnèrent sa force. Les grands programmes de restaurations qui ont vu le jour en Angleterre à l’ère victorienne sont examinés en relation avec l’Église Anglicane et caractérisés par les motivations idéologiques de celle-ci. Bien que ce memoire ne réussit pas à démontré de manière sans équivoque que la création du mouvement de conservation architectural moderne par Morris fut essentiellement en reaction au programme idéologique de l’Église Anglicane au dix-neuvième siècle, nous y retrouvons néanmoins une réévaluation des causes et de l’impact de la « Renaissance Gothique » qui, de manière significative, allaient à l’encontre des croyances et des principes les plus chers à Morris. Il existe une quantité admirable d’ouvrages examinant les travaux et l’impact de William Morris en littérature et en arts, ainsi que son activisme socialiste. Cependant, il serait juste de constater qu’en comparaison, la grande contribution qu’il apporta à la protection de l’architecture patrimoniale a certainement été négligée dans les publications à son sujet. Ce projet de recherche examine les éléments et les conditions qui ont motivé Morris à créer un mouvement qui encore aujourd’hui continue de croitre en importance et en influence. / Abstract This research seeks to examine and contextualize the origins of the modern architectural conservation movement. In this context, William Morris’ founding of the Society for the Protection of Ancient Buildings is considered to be the culmination of a complex history and process that lead to the movement’s creation. Its genesis is presented as having resulted from the confrontation between diverging views and idealizations of the middle ages, the Anglican Church, and William Morris. An extensive survey of the origins, results, and effects of Gothic Revival points to the literary, ideological, and religious components which gave it its main impetus. The widespread restoration programs carried out in Victorian England in the nineteenth century are largely examined in relation to the Anglican Church and presented as having been motivated by its ideological concerns. Although this research does not manage to demonstrate unequivocally that William Morris’ founding of the modern architectural conservation movement sprang from a direct reaction to the Anglican Church’s religious program in the nineteenth century, it does reevaluate the causes and impact of the Gothic Revival and demonstrates how these were at odds with some of Morris’ most fundamental beliefs and principles. While there is a sizeable body of scholarly work examining William Morris’ work as a poet, artist and socialist, his great contribution to the conservation of ancient buildings has clearly been minimized in comparison. This research project examines the factors and conditions that led Morris towards the creation of an organization which to this day remains highly pertinent and influential.
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La mise en exposition des œuvres d'art spoliées par les nazis : étude de cas de l'exposition de la collection de Jacques Goudstikker

Cousin, Aurélie 07 1900 (has links)
Ce mémoire, consacré à la mise en exposition des œuvres d’art spoliées par les nazis, est particulièrement dédié à la vague d’expositions actuelles opérant de 2005 à 2010. À travers cet événement muséal unique de l’ordre d’une exposition temporaire par an en moyenne, prédomine un regain d’intérêt envers les événements liés à Seconde Guerre mondiale. Partant de ce constat singulier, nous avons retracé les grands enjeux actuels de ces expositions. Ce mémoire présente une rétrospective de ces dernières de 1946 à 2010. L’exposition d’œuvres spoliées en France fit l’objet d’une recherche inédite de la part de l’influente historienne de l’art Reesa Greenberg en une périodisation muséographique d’où sont issus trois cycles s’étendant de 1933 à la publication de son article en 2004. L’association d’une seconde périodisation à celle de Reesa Greenberg, de l’ordre de l’événementiel, fut ajoutée à l’analyse, celle-ci concernant deux cycles de politique publique de restitution en France de l’historienne Claire Andrieu. La combinaison de ces deux sources témoigne de deux phases importantes de restitution et de mise en exposition, soit une première après 1945 et une seconde à la fin des années 1990, mettant en lumière de nombreuses associations entre la spoliation des œuvres et l’Holocauste, les diverses persécutions faites aux Juifs et l’évolution de notre regard sur ces événements. La poursuite de cette réflexion fut rendue possible grâce à l’étude de cas consacrée à la mise en exposition d’une partie des œuvres restituées en 2006 par le gouvernement de Hollande à la belle-fille du collectionneur juif Jacques Goudstikker, dont la galerie fut spoliée en 1940 à Amsterdam par Hermann Göring. De ce fait, une visite de l’exposition au Jewish Museum de New York en 2009 fut incluse à l’analyse globale des expositions européennes actuelles. Au sein de cette nouvelle phase de mise en exposition, alors que la restitution des œuvres est régulièrement contestée, la relation entre la mémoire des disparus devenus les fantômes de l’Holocauste et leurs biens est omniprésente. Ainsi les expositions, en ce début du XXIe siècle, nous permettent plus que jamais d’affirmer que les événements liés au pillage artistique font encore partie d’un récit toujours inachevé. / This thesis, dedicated to the display of looted art by Nazis after World War II, is particularly dedicated to the wave of current exhibitions operating from 2005 till 2010. Throughout this unique museum event, which consists of one temporary exhibition per year on average, a renewed interest for the events pertaining to World War II prevails. Considering this singular statement, we examined the major current stakes in these exhibitions. This thesis presents a retrospective of these exhibitions from 1946 till 2010. Looted art exhibitions in France have been the object of important research by the influential art historian Reesa Greenberg and were presented in a museographic periodisation from which arise three phases contained between 1933 and 2004, the year of her article’s publication. The addition of two cycles based on French public restitution policy by the historian Claire Andrieu, besides the one proposed by Reesa Greenberg, was included in our analysis. In embodying these two sources, we have testified to two important phases of restitution dealing with exhibition, beginning after 1945 for the first one and at the end of the 1990s for the second one, bringing to light numerous associations between the artistic plunder and the Holocaust, the manifold persecutions against Jews and the evolution of our perception on these events. The pursuit of this reflection was made possible thanks to the case study dedicated to the exhibition of the art collection that was partly returned in 2006 by the Netherlands’government to the daughter-in-law of the Jewish collector Jacques Goudstikker, whose gallery was looted in 1940 in Amsterdam by Hermann Göring. Therefore, a visit of the exhibition at the Jewish Museum in New York in 2009 was included in the global analysis in order to facilitate our understanding of the current exhibitions. Within this new phase of exhibition, where the reclaiming of the looted paintings is regularly disputed, the relation between memory, the dead and the missing persons who have become the ghosts of the Holocaust and their stolen properties is omnipresent. Thus the exhibitions, at this beginning of the XXI century, allow us more than ever to assert that the events bound to the artistic plunder are still a part of a yet unfinished chapter. / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels et audiovisuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.

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