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« Vannerie et vanniers »<br />Approche ethnologique d'une activité artisanale en Guyane française

Davy, Damien 26 November 2007 (has links) (PDF)
La vannerie en tant qu'artisanat traditionnel est une activité très importante en Guyane française. Elle est chez les Amérindiens l'artisanat masculin par excellence même si chez les Créoles cette activité est moins liée au genre. À travers le recensement de toutes les formes tressées, de leurs usages, des mythes et des rites liés à la vannerie, je montre dans ce travail comment cette culture matérielle est profondément ancrée chez les différentes communautés amérindiennes (Arawak-Lokono, Kali'na, Palikur, Teko, Wayana et Wayãpi), et secondairement créoles ou aluku. Et, si les vanneries de Guyane appartiennent au complexe culturel du Plateau des Guyanes, il n'empêche que chacune d'elles participent au démarquage identitaire des différentes communautés de cette Région. <br />De plus, pour tresser ces formes, les vanniers utilisent toutes les parties d'une incroyable diversité de plantes (plus de 117 espèces botaniques), les aroumans (Ischnosiphon spp.) en constituant le genre emblématique. Je montre ainsi que les vanniers sont détenteurs d'un savoir botanique, écologique et technique d'une grande finesse. D'autre part, cette activité a longtemps été uniquement destinée à la fabrication d'outils de production, essentiellement pour transformer en aliment le manioc amer ; or, aujourd'hui le monde moderne et l'argent pénètrent toutes les communautés de cette Région. Ainsi, la vannerie se transforme, certains de ses outils sont remplacés par des produits manufacturés, des techniques et une partie des motifs sont oubliés alors que la commercialisation connaît une ampleur sans précédent. En montrant comment la transition se passe chez les différentes communautés guyanaises tant d'un point de vue des savoirs technique, culturel que botanique mais également quelle évolution cette activité connaît en devenant de plus en plus commerciale, j'explore les facteurs de transmission de ces savoirs. <br />Au final, cette thèse propose une véritable analyse ethnobotanique, socio-économique et ethnologique retraçant l'évolution de la vannerie, sa place dans les communautés guyanaises ainsi que sa confrontation au monde contemporain.
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The Ages of man medieval interpretations of the life cycle /

Sears, Elizabeth January 1900 (has links)
Texte remanié : Thèse de doctorat : Philosophie : Université de Yale : 1982. / Bibliogr. p. 207-220. Index.
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Les condensations iconographiques de l'entrée d'Henri II à Paris

Lhotelin, Francis January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de cette thèse ou ce mémoire a été dépouillée, le cas échéant, de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale de la thèse ou du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Du poil et de la bête : iconographie du corps sauvage à la fin du Moyen Age (XIIIe - XVe siècle).

Pouvreau, Florent 21 November 2011 (has links) (PDF)
La fin du Moyen Âge est le théâtre de l'apparition et de la diffusion d'images singulières : celles d'hommes et de femmes intégralement couverts de poils. Attribut de l'homme sauvage, mais également de personnages ensauvagés et notamment d'ermites et de saints, le corps velu fait figure de véritable motif iconographique aux deux derniers siècles du Moyen Âge. Cette thèse, s'appuyant sur la méthode de l'analyse sérielle et s'inscrivant dans les problématiques de l'anthropologie historique, propose l'étude du motif à travers un corpus de 940 images. Il s'agit de comprendre à travers une collection représentative de sources (tendant à l'exhaustivité), comment le corps velu, à priori laid et bestial, est associé à la fin de la période à un ensemble de personnages tout à fait positifs, voire admirables. Une première partie, organisée autour du rapport entre texte et image, cherche à définir clairement les rapports entre l'iconographie du motif et les représentations littéraires et carnavalesques de l'homme sauvage. La question des emprunts mutuels entre la culture courtoise et la culture dite " folklorique " sous-tend ce premier temps de l'analyse. Y sont également abordées les pratiques médiévales de la pilosité et la place occupée par le poil et la nudité dans l'art de cette période. Dans une seconde partie sont étudiés les éléments constitutifs de " l'être sauvage ". La relation entre le corps velu, le bestial et le démoniaque est abordée à travers l'iconographie d'Ésaü, de Merlin et d'Ursus, le roi mythique des Belges. La réflexion sur le rapport entre l'homme, la bête et l'espace sauvage est ensuite déplacée dans le champ des représentations de l'Orient, et dans celui de l'érotique courtoise faisant du sauvage une antithèse du chevalier. En dernier lieu, la troisième partie s'intéresse à la conception dynamique de la sauvagerie à travers le concept " d'ensauvagement ". L'analyse de la villosité comme conséquence du recours à la forêt permet de comparer l'iconographie de l'homme sauvage et celle des ermites et des pénitentes velus. L'excès de poil, davantage qu'un attribut bestial et dégradant, y apparaît alors très largement comme une manifestation du merveilleux ou du miraculeux. Parce qu'il n'altère pas le corps humain, il fait tour à tour figure de défaut d'humanité (laideur, animalité) ou de surplus héroïque (force, détachement du corps ou résistance à la souffrance). En conclusion, ce travail met en valeur le rôle de l'aristocratie dans la promotion de la figure de l'homme sauvage, qui constitue un moyen pour cette dernière d'affirmer son contrôle symbolique sur l'espace forestier. Le succès du personnage, également porté par le renouveau de l'érémitisme, entretien un rapport étroit avec celui d'autres figures comme les ermites velus, emblématiques du recours à la forêt et du renoncement au monde. Ces derniers trouvent une traduction iconographique particulière à travers les images de Marie-Madeleine, dont la diffusion dans l'espace germanique s'explique en partie par l'influence de la mystique rhénane.
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Les représentations de cavaliers en Egypte ptolémaïque et impériale et l'influence des imageries étrangères

Zaegel, Julie 27 September 2012 (has links) (PDF)
Aux époques ptolémaïque et impériale, les représentations de cavaliers se multiplient et de nouveaux motifs apparaissent en Égypte. Des divinités du panthéonpharaonique peuvent être dotées d'un cheval et d'attributs militaires. Des dieux étrangers font leur apparition ainsi que des personnages cuirassés et armés dont lanature divine n'est pas avérée. Le présent travail constitue une première monographie sur l'ensemble de ces représentations. Le catalogue comporte cent quarante‐huit objets et présente une hétérogénéité importante, tant du point de vue des supports que des sites d'où proviennent les sources. Axée sur l'interdisciplinarité, la thèse repose sur deux approches, technique et iconographique. L'étude du mode de fabrication des figurines en terre cuite et les réflexions sur la question de la mise en série des objets constituent le premier champ de recherches. L'axe iconographique repose sur la comparaison systématique des motifs iconographiques avec les emblèmes visibles dans le reste du pourtour du bassin méditerranéen et traite de la signification des représentations. La confrontation des données a permis d'établir des hypothèses sur l'origine et la fonction des terres cuites et sur les raisons qui ont mené à la production des objets du corpus.Des critères de datation nouveaux ont été définis pour tenter de pallier les lacunes dues à l'absence de contexte de la majorité des sources du catalogue. Les travaux effectués dans les musées ont permis de publier des reproductions de qualité pour des objets qui pour certains n'avaient plus été observés depuis 1915. Ils ont également donné lieu à la découverte d'inédits.
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Printing the faith in Southeast Asia : the Buddhist production of seals and stūpas (7th–13th century CE) / Imprimer la foi en Asie du Sud-Est : la production bouddhique de sceaux et de stūpas (VIIème – XIIIème siècle EC)

Desoutter, Delphine 25 November 2017 (has links)
L’impression répétée d’une image – sceau – ou d’un stūpa en trois dimensions sur un morceau d’argile est une pratique bouddhique pour obtenir du mérite, dont en témoigne la quantité importante retrouvée en Asie du Sud-Est. Ces objets comportent des images représentant un ou plusieurs dieux et stūpas, parfois accompagnées d’un texte, ou bien un texte seul. Jusqu’à présent, seules des études régionales se sont intéressées à ce sujet et aucune n’a prêté attention aux moules utilisés pour leur production. La présence de moules en terre-cuite et en bronze est attestée entre le VIIème et le XIIIème siècle, ces derniers présentant une iconographie raffinée et une technique élaborée. Nous postulons que leur utilisation était propre à certaines cultures et nous mettons en avant trois groupes de moules en bronze, correspondant aux régions du centre du Myanmar, à la Thaïlande et au Cambodge, ainsi qu’à l’Indonésie occidentale et à la péninsule malaise.Centrée sur le catalogue des moules en bronze, cette étude explore leurs liens avec les objets imprimés sous les angles de la production, de l’archéologie, de l’iconographie et de la stylistique, fournissant ainsi une vue d’ensemble synthétique des sceaux et stūpas. Premièrement, la constitution d’une typologie, à la fois des produits et des outils de reproduction, permet de comprendre quelles techniques étaient utilisées pour leur fabrication, et conduit à distinguer l’existence de différents ateliers et usages. Deuxièmement, le recensement des contextes archéologiques connus clarifie les intentions de la production au-delà de l’obtention de mérite, et questionne la valeur religieuse des moules. Finalement, l’analyse des images examine leurs caractéristiques locales, régionales ou inter-régionales, ainsi que leur degré de correspondance avec le répertoire connu des impressions. La nature petite et mobile des sceaux, stūpas et de leurs moules a permis leur diffusion, mais est aussi probablement responsable de leur disparition, à cause de leur fragilité ou de la réutilisation du métal. Cette étude ne sera donc jamais complète. Toutefois, l’approche transversale de ces témoignages de l’art bouddhique apporte un éclairage nouveau sur les différents liens culturels, politiques et religieux qui prévalaient en Asie du Sud-Est. / The repeated impression of an image or of a three-dimensional stūpa on a piece of clay is a Buddhist practice to obtain merit, well attested in Southeast Asia by the vast amount of seals and stūpas discovered. The images depict a single or several deities and stūpas, sometimes accompanied by a text, or they bear text alone. Until now, only regional studies have focused on these artefacts and none have looked at the moulds used for their production. During the 7th to the 13th century CE, we find evidence of terracotta and bronze moulds, the latter demonstrating a refined iconography and an elaborate technical expertise. We postulate that their use was specific to some cultures and bring forward three groups of bronze moulds, corresponding to the areas of central Myanmar, Thailand and Cambodia, and western Indonesia and the Malay Peninsula. Centred on the catalogue of the bronze moulds, this study explores their connection to the printed objects through their production, archaeology, iconography and stylistics; thereby, also providing a selective overview of the seals and stūpas. First, the establishment of a typology, both of the products and of the reproduction tools, helps to understand which techniques were resorted to during the manufacture, and lead to distinguish the existence of different workshops and developments. Secondly, the survey of the known archaeological contexts clarifies the intentions of the production beyond merit making, and questions the religious value of the mould. Finally, the analysis of the images examines their local, regional or inter-regional features, and the extent of their match with the repertoire of known imprints. The small and movable nature of the seals, stūpas and their moulds resulted in their diffusion but also most probably in their disappearance because of their fragility or due to the reutilization of the metal. This study will hence never be complete. Nevertheless, the transverse approach to these evidences of Buddhist art sheds new light on the different connections—cultural, political and religious—that prevailed in Southeast Asia.
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La Nativité italienne. Une histoire d’adoration (1250-1450) / The adoratio as devotional gesture and pictorial motif in italian Nativities (frescoes and altarpieces, 1250-1450)

Puma, Giulia 24 November 2012 (has links)
Ma recherche porte sur l'iconographie de la Nativité du Christ dans la peinture italienne médiévale, avec un corpus de 300 images incluant les petits retables destinés à la dévotion privée comme les grands cycles de fresques. L'enquête commence autour de 1250 par la production des peintres qui précédèrent Giotto et Duccio, et s'achève autour de 1450, avec les oeuvres de Beato Angelico et Filippo Lippi. L'objectif est d'étudier l'évolution de chacune des figures constitutives de la scène (Marie, Jésus, Joseph, l'âne et le boeuf, les bergers, les sages-femmes, etc.) et surtout de la scène comme ensemble, à partir du motif figuratif du personnage agenouillé en adoration, motif toujours plus fréquent dans la Nativité au cours de la période et symptomatique des usages dévotionnels de l'image dans l'Italie médiévale. / My research scrutinizes the iconography of Christ's Nativity in italian medieval painting, dealing with 300 images, ranging from small altarpieces for private devotion to major fresco cycles. It starts around 1250, with the generation of painters who were teachers to Giotto and Duccio, and it ends around 1450, with the works of Beato Angelico and Filippo Lippi. My aim is to provide a complete study of each figure's evolution (Mary, Jesus, Joseph, the ox and ass, the shepherds, the midwives, etc.) and of the scene as a whole. The increasing proportion of kneeling figures – the adoratio flexis genibus – in the scene testifies the evolution of devotional practices and the use of images for praying.
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Le culte de Sainte Elisabeth en Slovaquie médiévale (XIIIe-XVIe siècles) : Textes, images, lieux / Elizabethan cult in Medieval Slovakia (c. 13th-16th) : Texts, Images, Places

Pacindova, Laura 12 October 2013 (has links)
Cette thèse propose une étude sur l'histoire du culte élisabéthain et son évolution en Slovaquie médiévale entre le XIIIe et le XVIe siècle. Elle s'appuie sur un corpus de 61 représentations visuelles, croisé avec les textes hagiographiques, liturgiques et littéraires, et replacé dans son contexte historique et spatial.Le culte de sainte Élisabeth a été un des plus répandus à travers l'Europe du bas Moyen Âge. Porté par la nouvelle sainteté mendiante, l'exemple d'Élisabeth a trouvé un écho puissant dans son pays d'origine, la Hongrie, immédiatement après sa canonisation en 1235. Plusieurs facteurs contribuèrent à la diffusion de la vénération de cette figure féminine : les familles royales, à commencer par celle des Árpád jusqu'au roi Mathias Corvin ; les mendiants ; et, enfin, les colons allemands. Une première partie de la thèse délimite l'espace géographique du thème étudié et présente les sources iconographiques et hagiographiques élisabéthaines qui constituent la base à partir de laquelle se déploie les grandes caractéristiques du culte. Elle recense d'une part les documents d'ordre juridique et biographique sur sainte Élisabeth, puis place sa personne dans la pratique liturgique à partir des manuscrits conservés en Slovaquie. D'autre part, elle présente l'image de la sainte, qui apparait sur des supports variés, grâce à un corpus iconographique inédit.Dans la deuxième partie, Élisabeth est replacée dans les contextes historiques hongrois et slovaque pour définir les premières formes de l'établissement de son culte. L'étude de la topographie témoigne de l'abondance des lieux dédiés à la sainte dans les décennies suivant sa mort.La troisième partie expose les divers motifs et scènes iconographiques de sainte Élisabeth telles qu'elles ont été pratiquées en Slovaquie et les croisent avec les modèles d'autres pays d'Europe. Les images élisabéthaines, auxquelles les fidèles s'identifient aisément, sont soumises à l'analyse pour démontrer leur plasticité au sein de la société médiévale où différents groupes sociopolitiques peuvent se les approprier selon ses propres besoins spirituels. Cette analyse située à la croisée de deux disciplines : l'histoire et l'histoire de l'art, apporte un regard nouveau sur les variations du culte d'une sainte à travers un rassemblement inédit de ses représentations du XIIIe au XVIe siècle. / This thesis deals with the history of the Elizabethan cult and its evolution in Medieval Slovakia between the 13th and the 16th centuries. It is based on a corpus of 61 visual representations crosschecked against hagiographic, liturgical and literary texts and put in its historical and spatial context. The cult of Saint Elizabeth is one of the most widespread throughout Europe in the Late Middle Ages. Backed by the new begging holiness, the example of Elizabeth finds an echo in Hungary, her country of origin, immediately after her canonization in 1235, where many factors contribute to the spread of the reverence for this feminine figure: royal families, starting with that of the Árpáds and ending by King Matthias Corvinus; beggars; and finally German settlers. The first part of the thesis defines the geographical space of the topic under consideration and determines Elizabethan iconographic and hagiographic sources which constitute the base for the problem of cult. On the one hand, this part identifies legal and biographical documents on Saint Elizabeth and analyses liturgical practices in connection with this figure on the basis of the manuscripts conserved in Slovakia. On the other hand, it presents the image of the saint with the help of an original iconographic corpus. The second part focuses on Elizabeth in the Hungarian and Slovak historical contexts in order to define the earliest forms of the establishment of her cult. Informed by historical topography, it shows the abundance of places dedicated to the saint in the decades following her death. The third part sets out different motifs and iconographic scenes of Saint Elizabeth in Slovakia and discusses them in comparison with other models in Europe. The images of Saint Elizabeth, with which the faithful identify themselves easily, are analyzed to demonstrate their plasticity in the medieval society which appropriates them according to its own demands. This analysis, placed at the crossroads of two subjects: history and history of art, provides a new approach to cult variations of the saint through the original grouping of representations from the 13th till the 16th centuries.
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Du Zodiaque et des hommes : temps, espace, éternité dans les édifices de culte entre le IVe et le XIIIe siècle / About Zodiac and Men : time, space, eternity in religious buildings between IVth and XIIIth century

Ferrand, Angélique 10 November 2017 (has links)
Cette thèse porte sur la question de la figuration des signes du Zodiaque entre Antiquité et Moyen Âge et en particulier dans les églises entre le XIe et le XIIIe siècle. Le cœur de cette thèse est l’analyse d’un corpus de 260 occurrences des signes du Zodiaque et Occupations des mois, qu’ils soient associés ou non, au sein de la décoration ecclésiale entre le XIe siècle et la fin du XIIIe siècle. Cette période correspond à la « renaissance » et à l’essor de la figuration du Zodiaque dans un tel contexte. L’étude est organisée en trois parties. La première est consacrée à l’historiographie, à la présentation du corpus réuni, puis aux origines, réappropriations et transmissions de la tradition zodiacale entre Antiquité et Moyen Âge. La deuxième partie envisage la répartition du Zodiaque dans l’édifice ecclésial. Sa place dans le décor extérieur et en lien avec le thème de la Porta coeli est discutée avant de passer à sa place dans la structuration du décor intérieur. Du sol à la voûte en passant par les chapiteaux, piliers et arcs, la distribution des signes du Zodiaque dans l’espace ecclésial est analysée au regard des dynamiques liées aux notions de transitus et d’iter et à une certaine polarisation du lieu ecclésial. La troisième partie commence par aborder les enjeux de la figuration des signes zodiacaux dans leurs rapports dynamiques avec les Occupations des mois. Ensuite, la re-sémantisation chrétienne de chacun des signes du Zodiaque est observée grâce à une mise en série des occurrences du corpus. Enfin, l’ensemble se conclut par une approche synthétique mettant en lumière les articulations entre ciel et terre traduites par le biais des signes zodiacaux et leur pendant mensuel/terrestre. Leur insertion dans un contexte iconographique plus large lié à l’histoire chrétienne et selon une perspective eschatologique est considérée afin de montrer que les signes du Zodiaque sont comme des opérateurs entre terre et ciel, à la fois dans le lieu ecclésial tendu vers son modèle céleste et dans un contexte iconographique articulant charnel et spirituel, humain et divin. / This dissertation deals with the iconography of the Zodiac between Antiquity and Middle Age, in particular in churches between the XIth and the XIIIth century. The heart of the dissertation is the analysis of a corpus of 260 items. These items concern the figuration of the signs of the Zodiac and the Labors of the months, whether or not combinated, within ecclesial ornamentation between the XIth and the XIIIth century. This period corresponds to the “renaissance” and to the growth of the figuration of the Zodiac in this context. The study is divided into three parts. The first section deals with historiography and with the presentation of the corpus. Then, the origins, re-appropriations and transmissions of the zodiacal tradition between Antiquity and Middle Ages are discussed. The second section considers the distribution of the Zodiac in church. Its role in exterior ornamentation relating to the theme of the Porta coeli and its role in the structuring of intern ornamentation are observed. From the floor to the vault, through capitals, pillars and arches, distribution of the Zodiac in ecclesial space is analyzed in the light of the notions of transitus and iter and in the light of a certain focusing of the ecclesial place. The third section begins with the stakes of the figuration of the zodiacal signs and their dynamic relationship with the Labors of the months. Then, the “re-sémantisation” of each of the zodiacal signs is observed. Finally, the last chapter is an overall view of the connections between heavens and earth which find expression in signs of the Zodiac and the Labors of the months. Their place is considerated according to their iconographical context linked to Christian history and from an eschatological perspective. Signs of the Zodiac are like operators between heavens and earth, both in the ecclesial space tented towards its celestial model and in an iconographical context which connect caro and spiritus, the Human and the Divine.
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La figure du Roi David dans les arts de la fin du Moyen Age et de la Renaissance en Europe : un miroir du Prince ? / The figure of King David in the arts of the late middle ages and the renaissance in europe : A mirror of the prince ?

Vernois, Alice 20 November 2013 (has links)
Cette thèse porte sur l'étude approfondie des représentations de l’un des plus grands rois de l’Ancien Testament : le Roi David. Ce travail doctoral s’efforcera d’étudier cette figure biblique dans les arts de la fin du Moyen Age et de la Renaissance en Europe. Les Saintes Écritures relatent la vie mouvementée de cet illustre homme et roi qui devint, au fil des siècles, un modèle de référence pour les souverains chrétiens. En effet, celui-ci correspondait parfaitement aux aspirations des princes qui souhaitaient prendre exemple sur ce royal personnage et s’approprier son prestige. Dans cette problématique, la figure de David s’est révélée être d’une incroyable richesse : successivement petit pâtre, oint du Seigneur, valeureux guerrier, musicien d’excellence et psalmiste, souverain d’Israël, amoureux transi, pécheur puis pénitent. Toutes les facettes de ce personnage si complexe ont inspiré, chacune à leur manière, la pensée spirituelle, politique et artistique. / This thesis focuses on the in-depth study of representations of one of the greatest kings of the Old Testament: the King David. This doctoral work will try to explore the biblical figure in the arts of the late Middle Ages and the Renaissance in Europe.The Holy Bible recounts the eventful life of this famous king who became, through centuries, a model for the christian princes. In fact, it fit perfectly with the aspirations of the princes who wanted to follow the example of this royal personage and appropriate his prestige. In this issue, the figure of David appears to be incredibly wide, successively little shepherd, anointed, brave warrior, musician and psalmist, king of Israel, women lover, sinner and penitent. Every facets of this complex character inspired, each in its own way, spiritual, political and artistic thought.

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