Spelling suggestions: "subject:"idéologie"" "subject:"idéologies""
201 |
Croyances populaires dans le théâtre québécois : entre le procédé ludique et le catéchisme dissimulé (1870-1900)Sansregret, Rachel January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
|
202 |
Comprendre l'incompréhensible : l'interprétation de la société, de Weber à AdornoCornut St-Pierre, Pascale January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
|
203 |
Regional Variations in Political Ideology in CanadaHéroux-Legault, Maxime 04 1900 (has links)
Il est reconnu que les résultats électoraux au Canada varient grandement selon la région. Afin de
trouver des explications à ce phénomène, il convient d’étudier comment les grandes régions du
Canada se distinguent les unes des autres sur le plan politique. La présente recherche amorce
cette étude sous l’angle de l’idéologie. Elle tente de déterminer en quoi l’idéologie politique
diffère d’une région à l’autre du pays.
Elle s’appuie sur les données des études électorales canadiennes de 2008. On a recours à des
questions évaluant les préférences des répondants par rapport à plusieurs enjeux politiques
pour répondre à la question de recherche. On conduit en premier lieu une analyse factorielle,
qui identifie six facteurs qui ont structuré l’opinion publique lors de l’élection de 2008. Ensuite,
des tests T sont conduits pour vérifier si les moyennes de ces facteurs idéologiques sont
statistiquement différentes d’une région à l’autre.
Les résultats montrent que les différences régionales sont souvent significatives et suivent les
hypothèses. Toutefois, les résultats touchant à la privatisation de la santé ainsi qu’au Manitoba
et à la Saskatchewan vont à l’encontre des attentes. / It is widely known that electoral results in Canada vary greatly from one region to the next. To
explain this phenomenon, it is only appropriate to study how Canadian regions differ from each
other politically. The current research is especially interested in regional variations in political
ideology.
The research relies on data from the 2008 Canadian Electoral Studies. It uses opinion statements
to assess respondents’ political preferences to answer the research question. A factor analysis is
conducted from these variables to highlight six ideological dimensions. Furthermore, t-tests are
used to verify if regional differences on these ideological dimensions are statistically significant.
Results show that differences across regions are very often significant and follow hypotheses.
However, results regarding the privatization of healthcare and the Midwest run counter to
expectations.
|
204 |
Le discours du manque, création et révolution au QuébecSteele, Leighton G. January 1998 (has links) (PDF)
No description available.
|
205 |
La perception de la philosophie occidentale moderne dans les écrits des penseurs iraniens de l’époque qâjâr / The perception of modern Western philosophy in the writings of Iranian thinkers of the Qâjâr periodRanjbar, Reza 12 December 2017 (has links)
En Iran, la philosophie a deux histoires distinctes : l’une, dans laquelle les Iraniens jouèrent un rôle considérable, est liée à la connaissance de la pensée et plus généralement des sciences grecques, au début de la période islamique ; l’autre est liée à la rencontre des Iraniens avec l’Occident moderne et à ses conséquences culturelles, sociales et politiques. À ce moment-là, certains d’entre eux, fascinés par la puissance militaire, la discipline sociale et les innovations technologiques européennes, commencent à réfléchir sur la situation de l’Europe et à la comparer à la société iranienne. La traduction des ouvrages occidentaux suscite une réflexion sur cette comparaison. Dans cette histoire, alors que les philosophes traditionnels iraniens continuent à transmettre ce qu’ils ont reçu, certains auteurs et traducteurs se sont intéressés aux idées philosophiques modernes et parfois par la philosophie elle-même. Mais les uns et les autres n’en ont pas la même perception. À côté de rares penseurs qui évoquent la philosophie en tant que telle, on peut distinguer les deux autres groupes : l’un, enrichi intellectuellement dans un milieu traditionnel, perçoit et, plus important, développe la philosophie comme une donnée immuable conforme à la fois au régime despotique et au milieu religieux. L’autre la perçoit, sous l’influence de la pensée des Lumières, comme un engagement politique et social. Les auteurs des ouvrages critiques, qui forment ce groupe, présupposent que la philosophie est en réalité le fondement de la « civilisation » et du « progrès » en Europe. Ils attendent donc que la philosophie joue le même rôle culturel, social et politique en Iran, une attitude tout-à-fait nouvelle. L’idée de progrès de l’époque de Lumières devient en effet le « Progrès », et on la considère comme le but, non seulement de la connaissance philosophique, mais de toute connaissance et de toute production intellectuelle. / Historically, the Iranians have encountered Western philosophy in two distinct streams. One happened at the beginning of the Islamic period when the Iranians got to know the Greek thought and, more generally, the Greek sciences. This made them play a considerable role in the philosophical movement of the Islamic realm. The second stream happened after the Iranians encountered the modern West and its cultural, social and political consequences. At that point, some of them were fascinated by European military power, social discipline and technological innovations. Comparing their own society with all its problems to the new Western world and its developments, they tried to know what was making such a huge difference. At this time, while traditional Iranian philosophers were busy transmitting what they had been taught, some translators and authors got into new philosophical ideas, or even the entire modern philosophy. But their perceptions of philosophy were not identical. Besides those who addressed philosophy as it really is, two other groups can be distinguished: Those who had been raised in a traditional environment, understood and more importantly reflected philosophy as a sustainable and motionless truth, in correlation with despotic power and religious norms. The other group, influenced by the ideas of the Enlightenment, understood it as a political and social commitment. Authors of the critical works who were forming the second group, considered philosophy as the foundation of the modern civilization and development in Europe. Thus, they expected philosophy to have a similar effect on the Iranian society: a completely new attitude! For them, the idea of progress, which came through the influence of the Enlightenment and was followed by 19th century positivism, not only became “Progress” and the ultimate goal of philosophy, but also the goal of any intellectual activity.
|
206 |
L’offrande et le tribut : la représentation de la fiscalité en Judée hellénistique et romaine (200 av. J.-C. – 135 apr. J.-C.) / Offering and tribute : the representation of taxation in Hellenistic and Roman Judaea (200 B.C.E. – C.E. 135Girardin, Michaël 07 December 2017 (has links)
L’impôt joue un rôle important dans les relations de pouvoir en Judée aux époques hellénistiques et romaines, non seulement par son poids économique, mais aussi et surtout par ses aspects idéologiques. Car imposer une population revient à s’en prétendre maître. Or, en Judée, une première lecture des sources laisse croire que beaucoup voyaient d’un mauvais œil le tribut étranger, alors que le temple de Jérusalem prélevait déjà des impôts censés revenir à Dieu, seul véritable maître d’Israël. Un examen plus attentif montre l’aspect polémique de cette déclaration : cette opposition dialectique entre les prélèvements du temple et ceux revenant aux étrangers est une construction idéologique, dont le but est de fournir une légitimation de l’opposition politique. Apparue à l’époque des Maccabées et participant à l’argumentation théologique de leur soulèvement, cette rhétorique se repère, avec quelques variations, dans chaque mouvement contestataire jusqu’à Bar Kokhba. Mais les sources dissimulent quelques indications qui montrent que tous ne partagent pas cette vue, et que dans les faits, l’offrande n’est pas plus joyeusement payée que le tribut. L’objet de cette thèse est de mettre en avant cette construction représentationnelle en la confrontant aux données brutes, et d’en souligner les implications sociales, économiques, financières et politiques, depuis la conquête de la Judée par Antiochos III jusqu’à la disparition de la province de Judée en 135 apr. J. C. / Taxes are important matters for understanding relations of power in Hellenistic and Roman Judaea, not only because of its economic burden, but above all because of its ideological sides: to tax a population means to pretend being its master. In Judaea, a first look to the sources let believe that many saw with a bad eye the foreign tribute, while the temple of Jerusalem exacted some revenues supposed to return to God, the sole proper master of Israel. However, a close examination proves the polemical sides of such a declaration: this dialectical opposition between the revenues of the shrine and the ones returning to foreigners is an ideological construction, whose purpose is to furnish a legitimation to the political opposition. Appeared at the time of the Maccabean uprising and used for theologically founding the war, this rhetorical instrument is visible, with some variations, in each protest movement until Bar Kokhba. But the sources hide some indications that let see that not everyone shared this view, and that, in the facts, the “offering” is not more cheerfully paid that the “tribute”. The purpose of the present dissertation is to underline the social, economical, financial and political implications of this representational construction, since the conquest of Judaea by Antiochos III, until the disappearance of the Judaea in 135 C.E.
|
207 |
L’Utopie Persane : un regard sur Ispahan du dix-septième siècle et sur les pensées utopiques ayant contribué à sa réalisationNiazi, Ghazaleh 11 1900 (has links)
No description available.
|
208 |
La divinité au Proche-Orient et en Égypte aux IIIe et IIe millénaires avant J.-C. Étude comparative / Divinity in the Near East and in Egypt in the IIIrd and IInd Millennia B.C.E. A comparative studyOthman, Berenice 09 November 2013 (has links)
L’étude s’interroge sur la notion de divinité dans l’Égypte et le Proche-Orient anciens, à l’aide des témoignages archéologiques et textuels qui la révèlent. Partant des premières représentations plausibles de puissances divines individualisées, vers la fin du IVe millénaire avant J.-C., l’enquête croise les données de la documentation iconographique et des sources écrites pour tenter d’identifier les spécificités des conceptions du divin dans chaque ensemble culturel, mais aussi leurs traits communs, au long des IIIe et IIe millénaires. Les religions du Proche-Orient et de l’Égypte se sont en effet, durant cette période, rejointes sur nombre de points, aussi bien dans la traduction formelle du divin que dans son expression conceptuelle. Aussi se pose la question de savoir si de telles similitudes sont le fruit de développements intrinsèques ou si des influences mutuelles en sont responsables. Les interactions dans le domaine de la religion, de plus en plus probables au cours du temps, sont avérées au IIe millénaire, au moins sur le plan de l’iconographie. Les contacts entre le Levant et la Vallée du Nil sont alors multiples, favorisant les imprégnations culturelles. Cependant, celles-ci ne se font pas au hasard : des priorités politiques ou enjeux idéologiques, que l’étude s’emploie à mettre en évidence, président aux emprunts réciproques. Certains décalages tiennent au statut même du corpus religieux au sein des sociétés, en particulier à celui de la littérature mythique. En dernière analyse, la démarche comparative touche aux fondements du polythéisme et aux mécanismes de « traduction », de « syncrétisme » et autres interprétations qu’il rend possibles. / This study aims at questioning the notion of divinity as conveyed by the ancient cultures of Egypt and the Near East, on the basis of archaeological and written evidence. Starting from the first plausible representations of divine powers pictured as individual beings, around the end of the 4th millennium B.C.E., the investigation confronts iconographical and textual data in order to identify, for both cultural areas under discussion, the peculiarities of their conceptions of the divine, as well as their common features, during the 3rd and 2nd millennia. At that time, indeed, the religion of the Near East and that of Egypt concurred in many respects, either in the formal depiction of the divine or in its conceptual expression. Hence the question arises whether such similarities were the outcome of intrinsic developments or resulted from mutual influences. Interactions in the realm of religion grow more and more likely in the course of time, and they can be ascertained for the 2nd millennium, at least as far as iconography is concerned. It is a period of intensive contact between the Levant and the Nile Valley, an incentive to cultural intermingling. However, those exchanges did not happen at random: the reciprocal borrowing depended on political priorities or ideological stakes, as the study seeks to highlight. Some discrepancies stem from the very status religious texts held within their own societies, especially mythical literature. Ultimately, the principles of polytheism and the processes of « translation », of « syncretism », and the other interpretations it allows, are the central issue of this comparative approach.
|
209 |
Influence du genre sur les situations liées au management de projet / The influence of gender on project management related situationsKama, Joseph 13 April 2016 (has links)
Si dans la littérature, quelques rares études ont analysé les aspects de genre dans les projets, il faut noter que la plupart d’entre elles ont mesuré le sexe assimilé au genre comme dans bien des travaux effectués dans l’organisation permanente. Pourtant étudier le projet sous l’angle du genre présente plusieurs intérêts. En effet le projet diffuse aujourd’hui bien loin de son berceau d’origine. Les pratiques liées à son management ont fortement évolué si bien qu’on retrouve de plus en plus de femmes dans l’approche managériale des projets (Neuhauser, 2007). Le projet échappe-t-il davantage à la culture organisationnelle ? Favorise-t-il le développement de nouvelles compétences managériales ? Dans tous les cas, nous reconsidérons, dans cette thèse, la question de genre et souhaitons répondre à la problématique suivante : quelle est l’influence du genre sur les situations de management de projet ? Plus particulièrement, notre objectif est de repérer les situations managériales potentiellement complexes, risquées ou improvisationnelles et d’analyser les effets de genre lorsque les acteurs travaillant en contexte de projet font face à de telles situations. / If in literature, very few researches have analyzed the gender aspects in the projects, it should be noted that most of them have measured gender equated with gender as in many work in the permanent organization. However, the study of the project under gender vision has several interests. In fact, nowadays, the project transmits so far from its starting point. Its management practices have so developed that women are more and more found in projects managerial approach (Neuhauser, 2007). Can we say that organizational culture does not deal more with the project ? Does the project encourage the development of new managerial skills? In any case, in this thesis, we deal with gender issue and we would like to answer to the following question : what is gender influence on project management situations ? In this research, our goal is to find complex, risked or improvisational possible managerial situations and analyze gender effects when actors involved in projects are obliged to cope with such situations.
|
210 |
La réprésentation du Néguev dans le discours public en Israël : de la conquête du désert au développement durable / The representation of the Negev in the public discourse in Israel : from the conquest of the desert to sustainable developmentDerimian, Ilanit 05 July 2014 (has links)
Le désert du Néguev est communément considéré comme une zone « périphérique » de nature sauvage en Israël. Il occupe cependant une position stratégique, essentielle à l’existence du « Centre ». Cette région est dotée d’une forte valeur symbolique, positive et négative à la fois. Perçu comme un espace spirituel dans lequel s’est constitué le peuple, il est aussi assimilé à l’exil en tant que lieu de désolation menaçant sa survie. Depuis les années 1920, la tendance était à sa conquête et à sa fertilisation. En revanche, depuis les années 1980, on insiste davantage sur son développement dans le respect des valeurs écologiques et dans le souci de préserver sa nature sauvage.La recherche est située dans le domaine de l’observation écocritique, qui examine les relations entre l’homme et son environnement à l’ère postcoloniale. C’est dans ce cadre qu’a été étudié l’impact d’une série d’oppositions hiérarchisées telles que culture vs nature, développement vs préservation, centre vs périphérie.Les représentations du désert dans le discours public ont été examinées à la lumière de ces oppositions, depuis les années 1940 à ce jour, par l’analyse de divers supports : les médias (presse, télévision et internet), les programmes de développement fixés par l’Etat et la littérature hébraïque. La recherche ainsi menée vise à montrer comment la dévalorisation du collectivisme dans la société israélienne, sur fond de mondialisation, a renforcé le potentiel d’influence des groupes sociaux sur la construction de l’identité spatiale du Néguev. / The Negev desert occupies most of the territory of the State of Israel, having a strategic importance for the existence of the "center" and at the same time it is considered as a natural wild “periphery”. This region has a symbolic value with different charges, positive and negative. It is considered as a spiritual space where the Hebrew people were constituted, but it is also associated with the exile which threatens the continuation of the nation existence. Since the 1920s, there was a tendency to "conquer" the desert and "flourish" it. Nevertheless, since the 1980s, the tendency is to develop it according to ecological values, while preserving its natural character. The research is situated in the field of ecocriticism, which examines the relationship between man and his environment in the postcolonial era. It is in this framework that the impact of hierarchical oppositions, including culture versus nature, development versus conservation and center versus periphery, are being studied. The representations of the desert in the public discourse are examined in the light of these oppositions, since the 1940s to the present, through texts analysis of: the media (press, television and internet); development programs established by the State; and Hebrew literature. The study shows how as a result of the decline in the status of collectivism in Israeli society, as part of globalization processes, increases the ability of social groups to influence the construction of spatial identity of the Negev desert.
|
Page generated in 0.0514 seconds