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L’identité chez les Iroquoiens du Saint-Laurent : analyse du mobilier céramique du site McDonald, Saint-Anicet

Lévesque, Geneviève 04 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur la variabilité stylistique présente dans l’assemblage céramique du site McDonald, dans la région de Saint-Anicet, et a pour principal objectif de déterminer comment s’exprime cette variabilité à travers les différents niveaux identitaires auxquels appartiennent les Iroquoiens du Saint-Laurent, soit la famille linguistique iroquoienne, la sphère d’interaction des Iroquoiens du Saint-Laurent, les provinces culturelles, les villages, les clans et les maisonnées. Cette étude abordera également la distribution spatiale des vases retrouvés sur le site à l’aide d’un travail de remontage effectué à l’échelle du site. Cette méthode permettra également d’aborder le mode d’occupation du site McDonald, notamment par l’étude de la relation existant entre le contenu des habitations et celui présent dans chacun des dépotoirs. Une fois ce travail effectué, l’étude de la variabilité stylistique sera abordée par une étude comparative des unités décoratives observées sur les différents registres de décoration des vases à l’intérieur d’un site, c’est-à-dire entre les différentes maisons-longues qui le composent, mais également avec d’autres sites iroquoiens de la vallée du Saint-Laurent. Une étude simultanée des résultats de ces comparaisons intra et intersites aura pour objectif d’identifier la variabilité présente dans les différents niveaux identitaires auxquels appartiennent les habitants du site McDonald et plus précisément la maisonnée, le clan, le village et la province iroquoienne. / This thesis is focused on the stylistic variability observed within the ceramic assemblage of the McDonald site, locatedSt-Anicet cluster, and how this variability can be observed at different levels of St. Lawrence Iroquoian identity. These levels of identity are the Iroquoian linguistic family, the St. Lawrence Iroquoian interaction sphere, the village cluster, the village, the clan and the household. The study includes a spatial distribution of the ceramic on the site through an observation of the pottery refits. This also helps to understand the settlement pattern by looking at, for example, the connections between the longhouses and the middens. The stylistic variability between longhouses and with other St. Lawrence Iroquoian sites will be studied by a comparative analysis of all the decorative techniques on the ceramic vessels. The objective of a comparison between longhouses is to identify the variability within the site and to determine the cultural identity of each household. Finally, a comparison with other St. Lawrence Iroquoian sites will be used to determine the position of the McDonald site within the St. Lawrence Iroquoian interaction sphere.
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L’industrie osseuse des Iroquoiens du site Mailhot-Curran (BgFn-2) : une étude des déchets de fabrication

Boisvert, Marie-Ève 11 1900 (has links)
Bien que l’os soit une matière première ayant joué un rôle essentiel au sein des activités quotidiennes des Iroquoiens du Saint-Laurent, il existe à ce jour très peu d’analyses systématiques de l’outillage en os et des débris de fabrication retrouvés en Iroquoianie. Afin de pallier ces lacunes, ce mémoire de maitrise porte sur l’analyse des vestiges en os ouvragés récupérés sur le site villageois Mailhot-Curran (BgFn-2), occupé durant le Sylvicole supérieur tardif par une communauté iroquoienne du Saint-Laurent. Plus précisément, l’étude consiste à analyser l’industrie osseuse en portant une attention particulière aux déchets de fabrication. Cet examen attentif a pour principal objectif de documenter les modes de gestion et de sélection de la matière première ainsi que d’améliorer la compréhension des techniques préhistoriques employées pour la fabrication des objets en os. Au moyen d’analyses technologiques, zooarchéologiques et tracéologiques, il sera possible de classifier les déchets de fabrication, de documenter leur origine technologique et, ultimement, de reconstituer un certain nombre de chaines opératoires. Une étude détaillée de la distribution spatiale des artéfacts permettra également de mieux comprendre l’organisation des activités dans l’espace villageois. Ce mémoire a aussi pour objectif de fournir des balises méthodologiques et empiriques relatives à l’étude des déchets de fabrications en os, afin de démontrer la pertinence de considérer ces derniers dans la compréhension des systèmes socioéconomiques et culturels. / The St. Lawrence Iroquoians were very talented producers of bone tools of all kinds but little is known about the ancient technologies involved in the manufacture of these objects. The relevance of this study arises from the fact that there are significant methodological and theoretical gaps in the analysis of the bone objects produced by St. Lawrence Iroquoians. The aim of this thesis is to provide some answers to those specific gaps of information. This research involves various analyses which are characteristic of technological approaches, and zooarchaeological and use-wear methods. These particular methods will allow me to examine and understand more accurately the past technologies associated with St. Lawrence Iroquoians bone tool industries. Through the analysis and classification of the by-products, debris, blanks, rough-outs and finished objects, I hope to provide a method for understanding the sequence underlying the production of bone tools (procurement, selection, treatment, debitage, shaping, finishing, etc.) and to evaluate the investment made in the procurement and selection of the raw materials. A spatial distribution analysis is carried out to better understand the context for the planning and manufacture of bone tools within the village space. The main purposes of this study are to present methodological guidelines regarding the classification of bone refuse and by-products; to reveal morphological and technological characteristics of these archeological remains through macrosopic and microscopic obsevations, and to provide an empirical model adapted to the analysis of the chaines opératoires leading to distinct categories of bone refuse.
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Le village iroquoien de Mailhot-Curran, Saint-Anicet

Woods, Audrey 04 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur l’étude d’un petit groupe d’Iroquoiens du Saint-Laurent qui habitait la région de Saint-Anicet au cours du Sylvicole supérieur tardif. Nous traitons de l’occupation villageoise de Mailhot-Curran (BgFn-2) et, plus particulièrement, d’une analyse morpho-stylistique de la poterie. En considérant la variabilité culturelle qui caractérise les Iroquoiens du Saint-Laurent, nous replaçons cette communauté à l’intérieur du grand réseau d’interactions auquel participe ce groupe culturel. Notre objectif général est de déterminer l’apparentement stylistique des potières de Mailhot-Curran selon quatre grandes échelles d’interactions sociales, soit locale, régionale, interrégionale et internationale, et de situer le site à l’étude dans le temps. Cette étude permet de proposer que Mailhot-Curran date du XVIe siècle, mais contrairement à l’effervescence ressentie au site Mandeville au cours du même siècle, les potières seraient demeurées assez conservatrices dans la réalisation de leur poterie. De plus, les potières de Mailhot-Curran semblent posséder une identité villageoise relativement forte. Nous avons aussi observé qu’un style régional caractérise les sites de Saint-Anicet. En considérant l’aspect diachronique des sites Mailhot-Curran, Droulers et McDonald, nos résultats supportent l’idée qu’ils forment un ensemble culturel cohérent qui pourrait indiquer une occupation continue de la région par un même groupe. En outre, notre étude démontre que le site Mailhot-Curran appartient à la province occidentale qui inclut les régions de Prescott et de Summerstown en Ontario, les régions de Montréal et de Saint-Anicet au Québec, ainsi que le nord du lac Champlain au sud-est. Par contre, Mailhot-Curran semble se situer plus en périphérie du réseau d’interactions auquel participent les regroupements de Prescott et de Summerstown au nord du lac Saint-François et il parait s’ouvrir sur d’autres régions comme Montréal et le nord du lac Champlain. Par ailleurs, les potières sont ouvertes à certaines influences provenant de la province centrale, leur région voisine à l’est. / This thesis focuses on a small group of St. Lawrence Iroquoians that lived in the Saint-Anicet region in the last centuries of the Late Woodland period. The results concern the village occupation at the Mailhot-Curran site (BgFn-2) and, specifically, a morpho-stylistic analysis of the pottery. Taking St. Lawrence Iroquoian cultural variability into account, we discuss the cultural position of this community within the broad interaction network which involved this cultural group. Our main goal is to determine the potters’ stylistic relationship according to the local, regional, interregional and international interaction scales, and to date the site. This study allows us to date the Mailhot-Curran site to the 16th century but, unlike the effervesce felt at the Mandeville site during the same period, the potters seem to have remained rather conservative in making their pottery. Furthermore, the Mailhot-Curran potters seem to have a relatively strong village identity. We also observe that a regional style characterizes the Saint-Anicet sites. Considering the diachronic character of Mailhot-Curran, Droulers and McDonald, our results support the idea that they form a coherent cultural ensemble which might suggest a continuous regional occupation by that group. Moreover, our study demonstrates that the Mailhot-Curran site belongs to the western province that includes the Prescott and Summerstown regions in Ontario, Montreal and Saint-Anicet in Quebec, and the northern Lake Champlain region to the southeast. On the other hand, Mailhot-Curran seems to lie on the periphery of the interaction network involving the Prescott and Summerstown regions located to the north of Lake St. Francis and seems to open up to other regions like Montreal and northern Lake Champlain. Otherwise, Mailhot-Curran’s potters are open to influences from the neighboring central province to the East.
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La caractérisation chimique de cherts du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie : vers le développement d’une méthode d’analyse non destructrice

Leclerc, Mathieu 12 1900 (has links)
Ce projet a comme objectif général de participer au développement et de tester le potentiel de la méthode d’analyse par fluorescence aux rayons X du laboratoire de caractérisation non destructrice de l’Université de Montréal, en procédant à la caractérisation chimique de cherts provenant de deux carrières distinctes, exploitées à diverses périodes au cours de la préhistoire, soit celle de La Martre (DhDm-8, Gaspésie) et celle du site CkEe-28 (Témiscouata). En fonction des comportements de chacun des éléments, six d’entre eux furent sélectionnés pour effectuer la caractérisation, parmi lesquels on compte trois éléments majeurs (Si, Al, Fe) et trois éléments traces (Ba, La, Ce). D’un point de vue méthodologique, les résultats confirment que l’appareillage du laboratoire est apte à procéder à ce genre d’analyse non destructrice, tandis que sur le plan archéométrique, il s’est avéré possible de discriminer les cherts sur la base de graphiques et d’une analyse statistique discriminante. Afin de vérifier si cette caractérisation est utile et pertinente dans un cadre archéologique, l’analyse d’artéfacts en chert provenant des sites de l’anse à la Vache (DaEi-6, île Verte), Turcotte-Lévesque (DaEi-8, île Verte) et de Rimouski (DcEd-1) fut aussi effectuée dans le but de localiser l’un ou l’autre des cherts au sein des assemblages. Les résultats démontrent que la caractérisation est fonctionnelle dans un cadre archéologique, puisque les cherts des carrières de La Martre et Touladi furent repérés sur chacun des sites, à l’exception du site de Rimouski, où seul le chert Touladi semble présent. / The main objective of this project is to test, and to participate in the development of the non-destructive energy dispersive x-ray fluorescence chemical characterization method developed at the “Laboratoire de caractérisation non destructive de l’Université de Montréal”. To do so, I analyzed chert originating from two different prehistoric quarries, the La Martre quarry DhDm-8, Gaspé Peninsula, and that of quarry CkEe-28, Témiscouata, Québec. Both quarries were exploited intermittently from the Late PaleoIndian through the Archaic and into the Woodland periods. The six elements involved in the characterization, three major elements (Si, Al, Fe) and three trace elements (Ba, La, Ce), were selected because of their specific features. On one hand, results confirm that the Université de Montréal EDXRF analyzer is able to analyze with precision solid rock chips. On the other hand, by using bivariate and ternary plots, as well as discriminant analysis, I was able to distinguish one chert from the other. In order to ensure the validity of the chemical analysis, archaeological samples from sites on the St. Lawrence Estuary including Rimouski (DcEd-1), l’Anse à la Vache and Turcotte-Lévesque (DaEi-6 and DaEi-8) were tested and compared to the results for the quarry samples. Results show that the characterizatoin can be applied on archaeological artefacts since both cherts were located on every sites, except for Rimouski, where only Touladi chert was present. / En raison de la grande résolution des photographies des échantillons, celles-ci se trouvent dans un fichier complémentaire, puisque les conditions de forme imposées ne permettaient pas l'affichage intégral de ces images au sein du mémoire.
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L’occupation amérindienne tardive du site Rioux (DaEi-19), île Verte : iroquoienne ou algonquienne?

Gaudreau, Mariane 04 1900 (has links)
Ce projet de recherche a comme objectif général de déterminer l’identité culturelle des occupants amérindiens qui se sont établis sur le site Rioux (DaEi-19), île Verte, au cours du Sylvicole supérieur tardif. Plusieurs groupes culturels sont reconnus pour avoir transité dans la région de l’estuaire du Saint-Laurent pendant cette période, dont les Iroquoiens du Saint-Laurent, les Malécites, les Mi’kmaq et les Innus (Montagnais). Il est depuis longtemps accepté que les Stadaconiens se rendaient régulièrement dans l’estuaire et le golfe pour y exploiter les ressources marines et y faire la guerre. L’influence de ce groupe sur les Algonquiens de la région, et vice versa, fait encore l’objet de débats. L’identité culturelle des Amérindiens qui ont occupé les sites à caractère iroquoïde dans l’estuaire est toujours une question délicate, puisque les nombreux échanges ont pu, de part et d’autre, transformer la culture matérielle des différents groupes. La méthodologie préconisée pour répondre à la question de l’identité culturelle est une approche holistique dans laquelle nous avons mis à contribution une foule d’informations provenant de diverses sources archéologiques et ethnohistoriques. Ce projet nous a permis de proposer que de petits groupes iroquoiens du Saint-Laurent se soient arrêtés au site Rioux pour y exploiter intensivement les ressources de la mer au cours du Sylvicole supérieur tardif. Bien que la recherche n’ait pas permis d’établir la présence d’un groupe algonquien sur place, l’influence algonquienne se fait toutefois sentir dans les matières premières utilisées sur le site. Ceci laisse croire que les Iroquoiens du site Rioux, et de la Côte-Sud en général, n’étaient pas intrusifs à la région et qu’ils participaient à un important réseau d’échange avec les Algonquiens des provinces maritimes. Notre projet de recherche nous a aussi permis de constater les limites de notre méthodologie et de critiquer l’approche archéologique classique basée essentiellement sur l’identification stylistique, la typologie et l’identification macroscopique. / The main goal of this research project was to determine the cultural identity of the aboriginal people who occupied the Rioux site (DaEi-19), île Verte, during the last centuries of the Late Woodland period. Many cultural groups are known to have travelled in the estuary region of the St. Lawrence River, such as the St. Lawrence Iroquoians, the Maliseet, the Mi’kmaq and the Innus (Montagnais). It is common knowledge that the Stadaconians would, on a regular basis, travel to the Estuary and the Gulf to exploit marine resources and engage in warfare. The influence of this group on the local Algonquians, and vice versa, is still a matter of debate. The cultural identity of the aboriginal groups who occupied the estuarine iroquoian-like sites is still today a sensitive matter, since sustained interactions could have transformed the material culture of the different groups involved. The methodology used to answer the cultural identity issue is a holistic one in which the data from different archaeological and ethnohistoric sources are employed. This project allowed us to confirm the iroquoian nature of the archaeological remains and to suggest that small St. Lawrence Iroquoian groups established themselves on the Rioux site, mainly to intensively exploit the marine resources during the last centuries of the Late Woodland Period. Even though our project did not allow us to demonstrate an actual Algonquian presence on the site, their influence is felt though the lithic raw materials used, which leads us to believe that the Rioux site Iroquoians, and those that exploited the south shore of the river, were not intrusive to the region and that they participated in an important exchange network with the eastern Maritime Algonquians. Our research project also allowed us to shed light on the limitations of our methodology and criticize the traditional archaeological approach based essentially on stylistic identification, typology and macroscopic identification.
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L’exploitation du phoque dans le secteur de l’embouchure du Saguenay (Québec, Canada) par les Iroquoiens au Sylvicole supérieur(1000-1534 de notre ère)

Plourde, Michel 11 1900 (has links)
Au cours du Sylvicole supérieur (1000-1500 AD), le secteur de l’embouchure du Saguenay aurait été exploité par des groupes Iroquoiens du Saint-Laurent en quête de ressources marines, et plus particulièrement du phoque. Ces groupes provenaient vraisemblablement de la région de Québec où se trouvaient leurs camps de base et auraient ainsi développé une forme d’adaptation aux ressources marines de l’estuaire, faisant d’eux les groupes iroquoiens les plus mobiles de toute la vallée du Saint-Laurent. Dans cette étude, nous proposons que l’exploitation des mammifères marins fût pratiquée en deux temps, d’abord au printemps, lors de courtes périodes par des contignents de chasseurs masculins attirés par le phoque du Groenland et puis en été, par des familles entières profitant de la présence de phoques gris et commun. Les pinnipèdes étaient probablement traqués sur la batture ou sur les glaces et abattus à la hache ou à l’arc et à la flèche. Puisque les résidus alimentaires retrouvés dans les vases de cuisson étaient surtout composés de poissons et de mammifères terrestres, il est supposé que des sous-produits de la chasse au phoque aient été rapportés dans la région de Québec et utilisés comme réserve de nourriture, comme matière première ou comme monnaie d’échange. Nous défendons également l’hypothèse que ces excursions dans l’estuaire n’étaient pas nécessairement liées à la précarité de l’agriculture dans la région de Québec puisque cette pratique aurait été adoptée tardivement, soit après 1300 AD et peut être même à partir de 1400 AD. Les données sont issues de six sites ayant fait l’objet de fouilles répartis sur une bande littorale de 40 km de longueur. Il s’agit des sites Ouellet (DaEk-6), Anse-aux-Pilotes IV (DbEj-7), Cap-de-Bon-Désir (109G), Site archéologique des Basques-de-l’Anse-à-la-Cave (DbEi-5), Pointe-à-Crapaud (DbEi-2) et Escoumins I (DcEi-1). / During the Late Woodland period (AD 1000-1500), the area of the mouth of the Saguenay River was exploited by groups of St. Lawrence Iroquoians in search of marine resources, especially seals. These groups probably originated from the Quebec City region where their villages and permanent settlements were and thus developed a form of adaptation to the marine resources of the Estuary, making them the most mobile Iroquoian group in the St. Lawrence Valley. In this study, we propose that the exploitation of marine mammals was practiced in two stages, first in the Spring, during short periods by male hunters attracted by Harp seals and then in summer, by whole families taking advantage of gray and common seals. Pinnipeds were probably hunted on the foreshore or on the ice pack, with an ax or bow and arrow. Since the dishes cooked in the vessels consisted mainly of fish and land mammals, it is assumed that seal by-products were brought back in the Quebec City region and used as supplies, as raw material or as goods to exchange. We also propose the hypothesis that these excursions into the Estuary were not necessarily related to the precariousness of agriculture in the region of Quebec, since this practice was adopted later, after AD 1300 and perhaps even after AD 1400. The data used in this thesis are derived mainly from six sites located on a coastal strip extending over nearly 40 km. These sites are Ouellet (DaEk-6), Anse-aux-Pilotes-IV (DbEj-7), Cap-de-Bon-Désir (109G), site archéologique des Basques-de-l'Anse-à-la-Cave (DbEi-5), Pointe-à-Crapaud (DbEi-2) and Escoumins I (DcEi-1).
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Étude des macrorestes végétaux du site Droulers

Trottier, Stéphanie 04 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur l’étude des macrorestes végétaux provenant du site villageois Droulers occupé durant la 2e moitié du XVe siècle par une communauté iroquoienne du Saint-Laurent. Il vise à vérifier les pratiques de ces habitants en ce qui a trait à la part végétale de leur alimentation à moins d’un siècle avant la fin de la préhistoire. Des vestiges découlant de la pratique de l’agriculture et de la cueillette sont présents sur différents contextes du site. L’analyse de ces derniers permet d’établir l’importance de ces activités dans la vie quotidienne des habitants du site. Ainsi, il est possible de valider l’importance du maïs dans le mode de subsistance de ce groupe par l’ubiquité de cette espèce sur le site. Le maïs est effectivement l’espèce végétale la plus présente dans les différents contextes étudiés. La présence de cette espèce jumelée à celle du haricot en quantité considérable et à celle de la courge démontre la pratique de l’agriculture des Trois Soeurs au site Droulers, une pratique documentée historiquement par les premiers chroniqueurs. Les macrorestes de fruits et de noix sont relativement bien représentés sur le site ce qui suggère la place importante de la cueillette dans la diète des habitants de Droulers. L’étude comparative synchronique et diachronique de ces macrorestes avec ceux recueillis ailleurs en Iroquoisie aide à mieux situer le degré d’importance des activités mentionnées ci-haut au site Droulers par rapport à celui sur d’autres sites plus anciens, contemporains et plus récents du même grand groupe culturel. La majorité des fruits présents sur ce site étaient également cueillis par les groupes proto-iroquoiens Glen Meyer et Princess Point et par d’autres groupes iroquoiens (préhistoriques et historiques). Le degré d’utilisation des fruits sauvages sur le site Droulers est en continuité avec celui des groupes apparentés plus anciens et plus récents. L’utilisation des cultigènes et des noix par les occupants du site Droulers est comparable à celle d’autres groupes iroquoiens. / This thesis focuses on the study of the macrobotanical remains from the Droulers village site inhabited during the second half of the XVth century by a St. Lawrence Iroquoian community. The main goal is to verify the practices of its inhabitants regarding the botanical contribution to their diet less than a century before the end of prehistory. Remains resulting from the practice of agriculture and gathering from wild are present in different contexts of the site. The analysis of these remains demonstrates the importance of these activites in the daily life of the inhabitants of the site. Thus, it is possible to validate the importance of maize among the subsistence strategies by means of ubiquity analysis of that species on the site. Maize is indeed the most common species throughout the different contexts studied. The presence of that species coupled with that of bean and squash demonstrates the practice of the Three sisters mound system at the Droulers site, a practice documented historically by the first European chroniclers. The remains of fruits and nuts are relatively well represented on the site, which suggests the importance of gathering in the diet of the Droulers inhabitants. The synchronic and diachronic comparative study of those macrobotanical remains with those found elsewhere in Iroquoia helps to better situate the degree of importance of the activities mentioned above at the Droulers site in relation to that of other sites whether older, contemporary or younger. The majority of the fruits present on the site where also gathered by the Glen Meyer and Princess Point proto-iroquoians and by other iroquoian groups (prehistoric and historic). The degree of utilization of the wild fruits at the Droulers site is in continuity with that of older and younger related groups. The utilization of cultigens and nuts at the Droulers site is similar to that of other Iroquoian groups.
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Le style emblématique des potières Iroquoiennes du Saint-Laurent : comparaison interrégionale de deux attributs identitaires

Le Moine, Jean-Baptiste 04 1900 (has links)
No description available.
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Étude des macrorestes végétaux du site Droulers

Trottier, Stéphanie 04 1900 (has links)
No description available.
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Entrevoir la construction de niche des Iroquoiens du Saint-Laurent dans les paysages de la vallée laurentienne aux XVIe et XVIIe siècles : quels enseignements pouvons-nous tirer des feux contrôlés dans la gestion des milieux naturels?

Fortin, Daniel 03 1900 (has links)
Ce mémoire a pour objectif général d’apporter une contribution à la compréhension de la nature et l’étendue des modifications du paysage par les Iroquoiens du Saint-Laurent dans la vallée laurentienne au XVIe siècle. Comme « organismes vivants », ce groupe culturel apparenté qui occupait un grand territoire entre l’embouchure des Grands Lacs et le golfe du Saint-Laurent constituant une vaste zone de captage de ressources, a créé des niches pour assurer sa reproduction. Nous nous intéressons particulièrement à l’empreinte que ces niches réalisées ont laissé sur leur environnement en prenant spécifiquement le paysage comme objet d’étude. Nous avons cherché à évaluer l’importance ou l’étendue de cette « transformation ». Puisqu’il est difficile de « voir » ces paysages du passé, nous avons tenté de les décrire en utilisant des descriptions des premiers explorateurs, missionnaires, aventuriers, administrateurs et colonisateurs européens, d’une part, et à des études paléoécologiques et archéologiques plus récentes, de l’autre. La démarche adoptée est celle de la multidisciplinarité. Les études protohistoriques sur le paysage étant relativement peu fréquentes en écologie végétale et dans les disciplines de l’aménagement, nous nous appuierons principalement sur une revue de littérature dans les domaines de l’ethnologie, de l’ethnohistoire, de l’histoire, de l’ethnologie comparative, de la géographie, de l’écologie, de l’agronomie, de la palynologie, de l’étude des charbons de bois fossiles, de l’archéologie et de l’archéologie du paysage, considérant certains paysages comme une niche réalisée. Au final, plus de 400 textes ont été consultés dont 160 ont été cités dans ce mémoire. Les illustrations de l’explorateur et du cartographe Samuel de Champlain, sur la côte est de la Nouvelle-Angleterre, et celles de la vallée du Saint-Laurent ont été étudiées pour déterminer à la fois leur valeur de « vérité » et leur valeur de « connaissances » et, ainsi nous permettre de mieux comprendre les paysages anthropiques de ces territoires. Un des outils les plus efficaces pour défricher de larges pans des forêts pour ainsi ouvrir le paysage et permettre, en autre, la mise en culture de la terre est l’utilisation du feu. Nous avons recensé un certain nombre d’observations dans ce sens dans le nord-est de l’Amérique, mais pas strictement dans la vallée du Saint-Laurent. La niche réalisée par les Iroquoiens du Saint-Laurent devait constituer un ou des paysages de type mosaïque. C’est-à-dire que de grandes étendues de forêts denses pouvaient alterner avec des forêts de type « parc ». Les sources historiques retenues dans notre mémoire tendent à confirmer ce type de paysages dans certaines parties de la vallée laurentienne et autour des Grands Lacs. / The purpose of this thesis is to contribute to the understanding of the nature and extent of landscape changes by the Iroquoians of the St. Lawrence in the Laurentian Valley in the sixteenth century. As a "living organism" (Homo sapiens), this related cultural group, which occupied a vast territory between the mouth of the Great Lakes and the Gulf of St. Lawrence, was a large resource catchment area and created niches to ensure its reproduction. We are particularly interested in the « footprint » that these niches made to leave on their environment by specifically taking the landscape as a scale of study. We sought to assess the importance or extent of this "transformation". Since it is impossible to "see" these landscapes of the past, we have tried to describe them using descriptions of early explorers, missionaries, adventurers, administrators and European colonizers, on the one hand, and more recent paleoecological and archaeological studies, on the other hand. The approach adopted is that of multidisciplinarity. Protohistorical studies on landscape are relatively infrequent in plant ecology and in the disciplines of planning, we will rely primarily on a literature review in the fields of ethnology, ethnohistory, history, comparative ethnology, geography, ecology, agronomy, palynology, the study of fossil charcoal, archeology and landscape archeology, considering certain landscapes as a realized niche construction. In the end, more of 400 texts were consulted, of which 160 were cited in this master thesis. Illustrations by Samuel de Champlain, explorer and cartographer, on the east coast of New England, and those of the St. Lawrence Valley were studied to determine both their value as "truth" and their value as "knowledge" and thus allow us to "see" the anthropic landscapes of these territories. One of the most effective tools for clearing large part of forests to open up the landscape and allow, among other things, the cultivation of the land is the use of fire. We have identified a number of observations along these lines in northeastern America, but not strictly in the St. Lawrence Valley. The niche created by the Iroquoians of the St. Lawrence was to constitute one or more mosaic-type landscapes. That is, large areas of dense forest could alternate with "park" type forests. The historical sources retained in our memory tend to confirm this type of landscape in certain parts of the Laurentian valley and around the Great Lakes. As part of this master thesis, we are looking to know if the use of fires controlled by Aboriginals for the creation of a niche or for the maintenance of the niche created could be used in the management of natural environments by taking for example the speckled alder (Alnus incana ssp. rugosa) overgrowth in marsh of Lake Saint-François National Wildlife Area.

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