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A viagem pitoresca e historica de Debret : por uma nova leituraLima, Valeria Alves Esteves 25 February 2003 (has links)
Orientador : Robert Wayne A. Slenes / Tese (doutorado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Filosofia e Ciencias Humanas / Made available in DSpace on 2018-08-03T04:16:30Z (GMT). No. of bitstreams: 1
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Previous issue date: 2003 / Resumo: Este trabalho é uma tentativa de reconstruir a história da Viagem Pitoresca e Histórica ao Brasil, obra em três volumes, publicada pelo artista francês Jean-Baptiste Debret (1768-1848), entre 1834 e 1839. A leitura proposto não privilegia o aspecto documental de seu conteúdo, mas o sentido histórico e cultural da obra. Investiga, portanto, as condições em que foram elaborados os volumes, a biografia e as intenções de seu autor, bem como seu diálogo com a literatura de viagem e com diferentes iniciativas contemporâneas de elaborar o conhecimento histórico. Elabora-se, por fim, uma leitura de suas imagens o partir da intenção declarada por Debret de fazer uma obra historica sobre o Brasil / Abstract: This Thesis is an attempt to reconstruct the history of the Viagem Pitoresca e Histórica ao Brasil, work in three volumes, published by the French artist Jean-Baptist Debret, between 1834 and 1839. The approach of this research privileges the historical and cultural aspects over the documentary aspect of the work. It investigates, therefore, the conditions in which the volumes, the biography and the intentions of its author have been developed, as well as its dialogue with the travel writing and different contemporay initiatives to elaborate the historical knowledge. This Thesis, additionaly, analyses Debret's artistic work, assuming the artist's intention to make a historical work on Brazil / Doutorado / Historia Social / Doutor em História
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Le bon roi : étude sur la représentation du souverain idéalisé par un auteur d'histoire locale du XVIIe siècleRivard, Chantal 11 April 2018 (has links)
C'est à partir d'une historiographie de la ville de Chartres datant du XVIIe siècle et écrite par le chanoine Jean-Baptiste Souchet que nous avons élaboré la représentation du souverain idéalisée par son auteur. Et c'est en tentant de mettre en lumière cette dualité entre le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel du roi, entre son statut de représentant de Dieu sur terre et son côté humain de suzerain, que nous avons trouvé une certaine forme de morale qui nous rappelait celle des humanistes Et cette morale, à noire étonnement, semble parfois avoir transcendé la religion pour refréner le pouvoir royal, prouvant que, pour certains penseurs de cette période, la légitimité divine ne pouvait à elle seule prévenir des abus de pouvoir. Le bon roi du chanoine Souchet, s'il devait être catholique, devait également posséder une morale qui F éloignerait de la faiblesse de sa condition humaine. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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La pensée mariale de Mgr de Saint-Vallier : introduction historiqueBibeau, Hector 09 May 2019 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2019
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L'idéal chrétien dans le discours de Saint-Vallier : Estat present de l'Eglise et de la colonie dans la Nouvelle France (1685-1686)Trouboul, Julie 25 April 2018 (has links)
Mgr de Saint-Vallier, grand vicaire et futur évêque de Québec, aborde pour la première fois son futur diocèse en juillet 1685, il le parcourt pendant près 16 mois. Il publie le récit de sa visite pastorale en 1688, ce compte rendu a pour objectif premier de susciter des dons en faveur de la Nouvelle-France, cependant, l'analyse de son discours nous révèle bien davantage. Ce compte rendu illustre la perception du Nouveau Monde de Saint-Vallier. Il témoigne de la représentation qu'il se fait de son futur diocèse comme d'un lieu propice à l'établissement du Royaume divin, où la présence de Dieu est particulièrement prégnante. Les vertus des habitants de la colonie apparaissent, elles aussi, idéales ; leur attitude répond exactement à la norme promue par la Réforme catholique. Ainsi, cette présentation souligne la référence tridentine du prélat. Le récit de Saint-Vallier suggère, en outre, son ambition de parfaire et de généraliser ces dispositions vertueuses au moyen d'un encadrement étroit du fidèle au sein d'une Église canadienne établie, et ce, dans le dessein d'établir le règne de Dieu en Nouvelle-France. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les églises de la paroisse Saint-Jean-Baptiste : étude historique et analyse architecturaleFaussurier, Annik 20 April 2024 (has links)
« Cette étude des églises successives du faubourg Saint-Jean s'ouvre sur la présentation d'un architecte: Charles-Philippe-Ferdinand Baillairgé, et sur celle de l'évolution d'un faubourg: le faubourg Saint- Jean, afin de situer l'homrne et son oeuvre dans leurs milieux respectifs. L'église du faubourg Saint-Jean revet une importance capitale car, première réalisation religieuse du jeune architecte Baillairgé, alors âgé de vingt et un ans (21) elle est aussi la première église succursale du faubourg. [...] Le deuxième chapitre sera consacré à l'analyse de la première église du faubourg, construite par Charles Baillairgé selon les préceptes du style néo-classique. L'étude des premiers plans soumis à la fabrique Notre-Dame de Québec par le jeune architecte visera à en dégager l'essentiel avant de les comparer â l'édifice réalisé. Les campagnes de construction s'échelonnent sur douze années. Durant cette période s'affirment de façon indéniable les dispositions de Charles Baillairgé â être chef de file d'une nouvelle génération d'architectes. Nous accorderons une attention particulière à l'intention du concepteur; à ce goût qu'il a de la recherche, de la nouveauté, de l'originalité, de la synthèse. [...] Le troisième chapitre permettra d'appréhender l'influence de Charles Baillairgé sur son successeur et disciple Joseph-Ferdinand Peachy. L'église Saint-Jean-Baptiste, première oeuvre de Charles Baillairgé, subit l'incendie du faubourg de 1881. Tout de suite remise en chantier, l'église renaît de ses cendres, malgré de nombreuses difficultés, des mains de Peachy, plus vaste qu'avant. Mais cette nouvelle construction, s'inscrit dans la continuité de l'intention de son premier architecte, Charles Baillairgé. L'étude historique des deux églises nous permet de connaître des tranches de la vie d'un faubourgs et l'évolution de l'architecture québécoise sous le règne de Victoria, reine d'Angleterre (1837-1901). Elle nous aide â comprendre la mutation que cette architecture subit vers 1850-1860 et à donner un sens légitime aux bâtiments d'une architecture dite "Victorienne", dont l'allure "éclectique" constitue en fait un "style" original qui refuse d'être à la remorque de styles venus d'ailleurs et de n'avoir un sens que si l'on peut affirmer que telle composante, tel élément a été copié dans un livre de modèles ou sur un autre bâtiment. [...] Notre méthode aura comme assise une démarche historique. A partir de documents originels, archives, marchés de construction, plans, photographies anciennes, nous établirons des faits. Une fois l'histoire reconstituée, nous procéderons â l'analyse, soit simple, soit comparative pour dégager le sens de l'oeuvre ou du plan et cerner l'évolution et les intentions des architectes. A partir de là, suivant notre intuition, nous donnerons une place privilégiée à l'intention des architectes, plutôt qu'à la recherche des emprunts d'éléments formels du passé escomptant grâce à cette approche trouver le fil conducteur d'une église à l'autre, d'une époque à l'autre, d'un concepteur à l'autre. Selon notre intuition, la conception qu'a Charles Baillairgé de l'architecture, son goût pour la synthèse, serait la pierre de touche, la constante qui conduit à la nouvelle génération d'architectes, à l'utilisation qu'ils font des éléments architecturaux puisés à diverses sources, à l'émergence d'un véritable "style": le style éclectique. »--Pages 1-3
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Jean-Baptiste Isabey (1767-1855) : l'artiste et son tempsLecosse, Cyril 25 May 2012 (has links)
Jean-Baptiste Isabey (1767-1855) connaît une carrière exceptionnellement longue qui s’étend de la Révolution au Second Empire. Après avoir exposé ses premières œuvres au Salon de 1791, cet élève de Jacques-Louis David s’impose sur la scène artistique du Directoire comme le premier dessinateur et miniaturiste de son temps. En s'inscrivant dans un contexte favorable à la diffusion de portraits de moindre coût et de moindre format, sa réussite peu commune rend compte de l'évolution des critères de la reconnaissance artistique à la fin du XVIIIe. Elle témoigne également de la promotion du statut social de l'artiste autour de 1800. Lié aux proches du clan Bonaparte sous la Consulat, Isabey est un des portraitistes de la période les mieux introduits auprès des élites. Son habileté à exploiter des sujets qui répondent aux goûts de ses contemporains permets de mesurer l'importance des relations mondaines dans la naissance et la diffusion des réputations artistiques au tournant du XIXe siècle. Entre 1800 et 1805, Isabey est l'auteur de plusieurs grands dessins de propagande qui scandent les principales étapes de la consolidation du nouveau pouvoir. Familier de la noblesse impériale, l'artiste accumule honneurs et commandes officielles au lendemain du Sacre. Sa réputation est associée aux portraits miniatures de l’Empereur destinés à la caisse des présents diplomatiques et à quelques-unes des plus célèbres représentations officielles de Marie-Louise et du roi de Rome. Ses responsabilités sont extrêmement variées et sa production considérable : il est à la fois peintre des relations extérieures, dessinateur du cabinet et des cérémonies et décorateur en chef de l'Opéra. L'étude de ce parcours pluridisciplinaire offre un champ d'étude remarquable, qui nous fournit bien des clefs pour comprendre la carrière et le statut des artistes de cour sous l'Empire. Après Waterloo, Isabey est mis à l’écart du pouvoir en raison de ses engagements bonapartistes. L'artiste exécute alors plusieurs caricatures et portraits qui le montrent prompt à critiquer la monarchie restaurée. L'analyse des effets de la résistance au régime royaliste dans le monde des arts entre 1815 et 1820 aide à saisir le sens de son engagement dans l'opposition. La période qui s’ouvre au lendemain des Cent-Jours est également fondamentale pour comprendre le parcours artistique d'Isabey et pour apprécier la place que lui assignèrent ses contemporains dans l’art de la première partie du XIXe siècle. Son abondante production, qui se décline en miniatures sur vélin, dessins, lithographies, aquarelles et peintures à l’huile le montre soucieux de l'évolution du goût. Elle met aussi en lumière la difficulté qu'il éprouve à conserver sa réputation de portraitiste après 1820. Cette thèse fournit pour la première fois un catalogue de l’œuvre d'Isabey / Jean-Baptiste Isabey (1767-1855) had an exceptionally long career that spanned from the French Revolution until the Second French Empire. After his early works' exhibition at the Salon of 1791, this student of Jacques-Louis David rapidly became, on the art scene of the French Directory, the finest artist and miniaturist of his time. In a context that made the dissemination of low-cost and small-sized portraits easier, his unusual success reflects the change of artistic recognition criteria in the late eighteenth century. It also reflects the improvement of the social status of artists around 1800. Linked to people that were close to Bonaparte under the French Consulate, Isabey is one of the period's best introduced portraitists. His cleverness in using themes that meet his contemporaries' tastes clearly shows how important social relationships can be in the making and spreading of artistic reputations at the turn of the nineteenth century. Between 1800 and 1805, Isabey is the author of several large propaganda drawings that punctuate the main steps of the new power's consolidation. Familiar with the imperial nobility, the artist collects honours and official commissions in the wake of the Coronation. His reputation is associated with miniature portraits of the Emperor made for the fund of diplomatic presents and with some of the most famous official representations of Marie-Louise and of the King of Rome. His responsibilities are manifold and he produces a lot: he is the official painter for external relations, designer of the Cabinet, designer of Ceremonies and chief decorator of the Opera. The study of this multidisciplinary career gives many keys to a better understanding of the career and status of court artists under the Empire. After Waterloo, Isabey is sidelined because of his bonapartist commitments. At this time the artist performs several caricatures and portraits where he clearly criticizes the freshly restored monarchy. Analysing the effects of this resistance to the royalist regime in the world of arts between 1815 and 1820 helps in understanding his commitment to the opposition. The period opening in the aftermath of the Hundred Days is also fundamental to understanding Isabey's artistic career and to appreciate the place he was assigned by his contemporaries in the art of the first part of the nineteenth century. His prolific output, which comes in miniature on vellum, drawings, lithographs, watercolours and oil paintings shows his constant concern about changing tastes. It also highlights the difficulty he has to maintain his reputation as a portraitist after 1820.This thesis provides for the first time a catalogue of Isabey's works
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Charles Le Brun décorateur de fêtes et de cérémonies / Charles Le Brun designer of festivals and ceremoniesLafage, Gaëlle 22 November 2013 (has links)
Les fêtes et les cérémonies, de Cour, publiques ou privées, firent partie des grandes heures du règne de Louis XIV. Charles Le Brun, le Premier peintre du roi, magnifia quelques-unes de ces brillantes célébrations, associant apparat, musique, danse ou feux d’artifice. Les peintures, sculptures, tapisseries ou grandes structures, telles que des arcs de triomphe, étaient conçues ou disposées afin de s’adapter aux divertissements ou aux cérémonies, métamorphosant pendant quelques heures les édifices ou les jardins. Détruites à la fin des événements qu’elles accompagnaient, ces œuvres ont reçu peu d’attention jusqu’à présent. L’analyse des sources contemporaines et des images des décors permet de restituer ces ouvrages, mais également de les replacer dans leur contexte. La genèse de ces œuvres, leur conception et leur fabrication sont étudiées, redessinant les liens que Le Brun avait tissés avec les hommes d’État (le roi, Séguier, Fouquet et Colbert), avec les hommes de lettres, ainsi qu’avec ses principaux collaborateurs, notamment à la Manufacture des Gobelins. L’une des particularités de Le Brun dans ce domaine fut d’ordonner lui-même des fêtes et des cérémonies, ce qui constitue peut-être un cas unique pour un peintre à cette période. Ces œuvres oubliées complètent donc le portrait d’un des plus grands artistes français du XVIIe siècle. Plus que tout autre ouvrage, les décorations ordonnées par Le Brun donnent l’image la plus juste de ses recherches et de ses goûts. Enfin, l’étude de ces fêtes et de leur réception offre une meilleure compréhension de ces moments éphémères, tout en leur conférant la pérennité qu’ils méritent. / Religious ceremonies and festivals, courtly, public or private, constituted the most glorious moments of the reign of Louis XIV. Charles Le Brun, the King’s First Painter, enhanced some of these brilliant celebrations, involving pageantry, music, dance or fireworks. The paintings, sculptures, tapestries or great structures, such as triumphal arches, were designed or arranged to adapt to entertainment or ceremonies, transforming for a few hours gardens or buildings. Destroyed at the end of the events that required them, these works have received little attention until now. In this study, contemporary descriptions and reproductions of Le Bruns decorations are analyzed and brought to light to set them in the context of their day. The origin of these works, their conception and their making are studied, showing Le Bruns connections with statesmen (the King, Seguier, Fouquet and Colbert), with men of letters, and with other artists and workers, in particular those at the Gobelins Manufactory. One of the particularities of Le Brun in this domain was to commission himself festivals and ceremonies, which was perhaps a unique case for an artist at that time. These forgotten works round out the portrait of one of France’s greatest XVIIth Century artists. More than any other work, the decorations commissioned by Le Brun give the most accurate image of his research and taste. Finally, the study of these festivals and their reception offers a better understanding of these ephemeral moments, while giving them a permanence they deserve.
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La sculpture polychromée néo-gothique en Belgique vue par la Gilde de Saint-Thomas et de Saint-Luc, 1863-1914Steyaert, Delphine 29 September 2014 (has links)
Ce travail doctoral se penche sur un groupe d’artistes et d’artisans actifs dans la seconde moitié du XIXe siècle dans le domaine de la sculpture, et plus précisément sur la façon dont ceux-ci ont à a fois restauré de nombreuses sculptures médiévales et réalisé des sculptures néo-gothiques. Le sujet a été circonscrit à la sculpture religieuse mobilière en bois, et plus spécifiquement aux statues et aux retables conservés dans des églises gothiques. Une approche multidisciplinaire, entre Moyen Âge et XIXe siècle, a été privilégiée. Les artistes et artisans étudiés (Jules Helbig, Adrien Hubert Bressers, les frères Blanchaert, Jean-Baptiste Bethune) posent les bases du style dit « des Écoles Saint-Luc » ou illustrent des travaux de la seconde génération (Léon Bressers). Ils sont membres de la Gilde de Saint-Thomas et de Saint-Luc et revendiquent, sous l’influence de l’architecte anglais A.W.N. Pugin, un lien exclusif avec l’art médiéval dans leurs réalisations. Au sein de la Gilde, l'étude de l'art médiéval et les discussions sur le mobilier religieux à créer se doublent d'une recherche sur les règles liturgiques (au sujet des autels principalement), de manière à retrouver, autant que possible, les formes et usages anciens tout en restant conforme avec les prescriptions en vigueur. Les membres, et en particulier les personnalités étudiées, participent ainsi au renouveau chrétien de la seconde moitié du XIXe siècle.<p>Les sculpteurs-restaurateurs et les peintres-restaurateurs sélectionnés visent avant tout une présentation jugée digne des sculptures médiévales qui passent entre leurs mains. Ils sont, pour ce faire, imperméables à toute notion d’authenticité. Les aspects religieux primant et dans un contexte de forte pilarisation, ils adoptent sur cette question une position monolithique, alors même que la réflexion au sujet de la restauration de la sculpture polychromée se développe, notamment au sein de la Commission royale des Monuments. Dans les traitements de restauration, les Blanchaert, les Bressers et Jules Helbig font preuve d’un vrai souci archéologique mais rarement de réflexion critique sur l’opportunité ou pas de reconstituer des éléments lacunaires, sur le bien fondé de l’adjonction des attributs, ou sur les pratiques de décapage et de repolychromie. Ce travail doctoral démontre par ailleurs que les nouvelles polychromies néo-gothiques, en particulier celles confectionnées par les Bressers, sont souvent le reflet, voire des copies, des anciennes polychromies quand elles étaient bien conservées.<p>Les discussions menées au sein de la Gilde ont eu un impact non négligeable sur la question du démembrement des autels baroques et néo-classiques ainsi que sur la création du nouveau mobilier néo-gothique en Belgique. <p><p>L’étude d’une série de retables néo-gothiques apporte de nouvelles clefs de lecture sur la conception des programmes iconographiques globaux, la répartition des retables dans l'espace ecclésial, la typologie des œuvres, la conception des compositions et le style adopté pour les groupes sculptés. L'influence de Pugin a pu être montrée, notamment dans le caractère très hiérarchisé donné aux œuvres, et cela à tous les niveaux de la représentation.<p>Dans son ensemble, ce travail doctoral offre une contribution significative sur l’historicisme et l’histoire des mentalités. <p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Remarks and Reflections on French Recitative: Ban Inquiry into Performance Practice Based on the Observations of Bénigne de Bacilly, Jean-Léonor de Grimarest, and Jean-Baptiste DubosReid, Michael A. (Michael Alan) 08 1900 (has links)
This study concerns the declaimed performance of recitative in early French opera. Because the dramatic use of the voice was crucial to the opera genre, this investigation begins with a survey of historical definitions of declamation. Once the topic has been described, the thesis proceeds to thoroughly study three treatises dealing with sung recitation: Bacilly's Remarques curieuses, Grimarest's Traité de recitatif, and Dubos' Reflexions critiques. Principles from these sources are then applied to representative scenes from the literature. The paper closes with a commentary on the relationship between spoken and sung delivery and on the development of different declamatory styles.
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L'école de lutherie française au dix-neuvième siècle : Jean-Baptiste Vuillaume : originalité et imitation du modèle de violon crémonaisXu, Liang 06 January 2012 (has links) (PDF)
Lorsque nous évoquons la fabrication du violon, la majorité des gens ne mentionnent que les trois luthiers italiens les plus célèbres dans le monde : Nicolo Amati, Antonio Giacomo Stradivari, dit Stradivarius, Bartolomeo Giuseppe Antonio Guarneri c'est-à-dire Guarneri del Gesù, dit Guarnerius. Ils sont sans aucun doute les maîtres-lutherie en la matière et également tous issus de l'école crémonaise. De plus, leurs violons ont beaucoup inspiré leurs successeurs et les luthiers contemporains.A la fin du XVIIIe siècle, la fabrication du violon était essentiellement centralisée en France, plus particulièrement à Paris où sont apparus plusieurs luthiers talentueux tels que Jacques Bocquay, Jean-François Aldric, Louis Guersan, Léopold Renaudin, etc. Bien qu'ils soient moins connus que Stradivarius et Guarnerius, ils ont pris en compte les méthodes de conception italiennes et ont mis en place, grâce à celle-ci, l'école française de lutherie. Enfin, au XIXe siècle, Jean-Baptiste Vuillaume est apparu en France ; il a été non seulement un luthier excellent et innovateur, mais aussi un copiste de Stradivarius très célèbre. D'ailleurs, il a été également un grand praticien de l'acoustique et un commerçant hors pair, ce qui fait qu'aujourd'hui il est considéré comme le "Stradivarius français ".Ainsi mon travail est composé de trois parties : l'origine de l'art et analyse de la structure du moule de Stradivarius, la conception du violon chez Jean-Baptiste Vuillaume, la recherche de la structure du violon à partir des fondements acoustiques ; ces parties sont suivies d'une conclusion.
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