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Leituras do kantismo: Cohen e Heidegger, perspectivas antagônicas sobre a estética e a analítica / Lectures du kantisme: Cohen et Heidegger, perspectives antagonistes de l’esthétique et de l’analitique

Clément, Céline Marie Agnès 05 September 2016 (has links)
Submitted by Marlene Santos (marlene.bc.ufg@gmail.com) on 2016-10-11T19:37:53Z No. of bitstreams: 2 Dissertação - Céline Marie Agnès Clément - 2016.pdf: 963458 bytes, checksum: 521922a3d06c6db633c6649f337630f8 (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) / Approved for entry into archive by Jaqueline Silva (jtas29@gmail.com) on 2016-10-14T19:50:47Z (GMT) No. of bitstreams: 2 Dissertação - Céline Marie Agnès Clément - 2016.pdf: 963458 bytes, checksum: 521922a3d06c6db633c6649f337630f8 (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) / Made available in DSpace on 2016-10-14T19:50:47Z (GMT). No. of bitstreams: 2 Dissertação - Céline Marie Agnès Clément - 2016.pdf: 963458 bytes, checksum: 521922a3d06c6db633c6649f337630f8 (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) Previous issue date: 2016-09-05 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / Ce travail se propose d‟analyser deux lectures considérées comme radicalement opposées de la Critique de la Raison Pure de Kant, et ce notamment à partir de deux livres principaux : la Théorie kantienne de l’expérience de Hermann Cohen, et Kant et le probléme de la Métaphysique de Martin Heidegger. Notre objectif est de montrer comment la lecture de Heidegger s‟est construite contre celle de Cohen, laquelle elle-même est une réponse au psychologisme régnant à la fin du 19ème siècle, tout en tentant d‟éclairer certains points de convergence des deux lectures, comme par exemple la radicalisation du transcendantalisme chez les deux auteurs. Ressort donc un probléme herméneutique lié à l‟utilisation d‟un texte classique par un philosophe en vue de justifier ses propres théses, probléme auquel Cassirer se consacrera en montrant que même si l‟interprétation néokantienne est orientée, celle de Heidegger est « arbitraire » et « manipulatrice » selon les termes propres de l‟adversaire de Heidegger au débat de Davos, débat sur lequel nous nous appuierons pour mieux comprendre la position cassirerienne relativement tant à Cohen qu‟à l‟interprétation heidegerienne de la Critique. / Com o presente trabalho propomos analisar duas leituras consideradas como radicalmente opostas da Crítica da razão pura, de Immanuel Kant. Para tal, privilegiaremos dois livros, a saber: Teoria kantiana da experiência (1871), de Hermann Cohen e Kant e o problema da metafísica (1929), de Martin Heidegger. Nosso objetivo é mostrar de que modo a leitura de Heidegger construiu-se contra a de Cohen que, por sua vez, já é ela mesma um resposta ao psicologismo reinante no século XIX. Além disso, tentaremos esclarecer certos pontos de convergência entre ambos autores, como, por exemplo, a radicalização do transcendentalismo. Sobressai, portanto, um problema hermenêutico ligado à utilização de um texto clássico por um filósofo a fim de justificar suas próprias teses, problema sobre o qual Erns Cassirer se debruça mostrando que, por mais que a interpretação neokantiana seja orientada, a de Heidegger é “arbitrária” e “manipuladora”, segundo os próprios termos deste que foi o adversário de Heidegger durante os debates de Davos, de 1929, debate sobre o qual nos apoiaremos para melhor compreender a posição cassireriana em relação tanto a Cohen quanto à interpretação heideggeriana da Crítica.
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Kant, philosophe français du XIXe siècle : entre science, philosophie et épistémologie / Kant, French philosopher of the 19th century : between science, philosophy and epistemology

Braverman, Charles 30 November 2017 (has links)
Les études kantiennes peuvent se pencher sur l’œuvre de Kant, mais aussi sur sa réception et la manière dont le kantisme a contribué à faire surgir des réflexions philosophiques originales. Cette thèse explore cette deuxième voie, à travers le prisme particulier des circulations entre science, philosophie et épistémologie. Il s’agit de rendre compte de la manière dont des savants ont compris et utilisé Kant, au XIXe siècle en France. Ampère, Brunschvicg, Comte, Couturat, Gergonne, Lacroix, Léchalas, Littré, Milhaud, Poincaré, Renouvier, Rey, Ribot, Paul Tannery, Wronski et Wyrouboff sont quelques exemples de penseurs plus ou moins connus ayant une formation scientifique et faisant usage de Kant. Toutefois, plutôt que de proposer une suite rhapsodique d’études consacrées à ces savants, cette thèse suit les principaux réseaux de circulations des images et usages du kantisme tout au long du XIXe siècle en France. De l’Académie de Berlin aux revues francophones de la fin du siècle, une institutionnalisation des références à Kant se met progressivement en place et elle implique de nombreuses interfaces entre science, philosophie et épistémologie. Kant est utilisé notamment pour souligner l’activité du sujet dans la constitution de la connaissance et pour poser le problème épistémologique de la correspondance des représentations avec la réalité. Ainsi, le réalisme est mis en tension. Plusieurs savants s’emparent du kantisme pour construire des options philosophiques originales repensant les liens et les oppositions entre empirisme, idéalisme et scepticisme. Par exemple, un réalisme structural associé à une réflexion sur la croyance et sur les probabilités émerge dès le début du XIXe siècle. On le retrouve, sous des formes variées, chez Ampère, Cournot ou encore Tannery. Par ailleurs, le kantisme sert de creuset philosophique pour penser le fondement des sciences. La géométrie et l’arithmétique sont au centre des débats. C’est particulièrement vrai à la fin du siècle, avec la renaissance des géométries non-euclidiennes et le développement des liens entre mathématiques et logique. Ces problématiques ont des racines plus anciennes et les matrices des usages de Kant émergent dès le début du siècle. Enfin, il n’est pas rare d’observer que les savants utilisent Kant dans des analyses portant sur la mécanique rationnelle ou encore sur la cosmologie. De manière générale, la présente étude rend compte de la manière dont les références à Kant fonctionnent pour penser ces sciences. En définitive, il s’agit de manifester que Kant est un acteur français décisif de l’épistémologie et de la philosophie des sciences de tout le XIXe siècle / Kantian studies can look at Kant’s body of work, as well as the way it was received and how it has contributed to the emergence of original philosophical reflections. This thesis examines the latter path, through the peculiar prism of circulation between science, philosophy and epistemology. The goal is therefore to show how scholars understood and used Kant. Ampère, Brunschvicg, Comte, Couturat, Gergonne, Lacroix, Léchalas, Littré, Milhaud, Poincaré, Renouvier, Rey, Ribot, Paul Tannery, Wronski and Wyrouboff are but a few examples of more or less renowned thinkers with a scientific education who used Kant. However, rather than offering a litany of studies dedicated to these scholars, this thesis follows the main circulation networks of pictures and uses of Kantianism all through the XIX century in France. From the Prussian Academy of Sciences to the Francophone reviews at the end of the century, references to Kant were being more and more institutionalized, which implied many interactions between science, philosophy and epistemology. However, Kant was notably used to acknowledge the importance of the subject’s activity in constituting knowledge and to raise the epistemological issue of correspondence between representations and reality. The concept of realism was then given a bit of a stretch. Several scholars seized Kantianism to build up original philosophical options, which rethought the connections and oppositions between empiricism, idealism and skepticism. For instance, a form of structural realism associated with a reflection on belief and probabilities appeared as soon as the beginning of the XIX century. It can be found, for example, under various forms in Ampère, Cournot or even Tannery. Moreover, Kantianism was used as a philosophical melting pot to think out the founding principles of sciences. Geometry and arithmetic were at the heart of the debates. It was especially the case at the end of the century, thanks to the rebirth of Non-Euclidian geometries and the development of links between mathematics and logic. However, these problematics had roots that were older and the matrices of Kant’s uses emerged as soon as the beginning of the century. Finally, it is not uncommon to observe that scholars used Kant to think out rational mechanics or even cosmology. As such, this study reports how references to Kant worked to think out these sciences. According to these perspectives, Kant is indeed an influential actor in epistemology and philosophy of science in the XIX century in France
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Die Allgemeingültigkeitsbegründung des christlichen Glaubens : Wilhelm Herrmanns Kant-Rezeption in Auseinandersetzung mit den Marburger Neukantianern /

Mogk, Rainer. January 2000 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Evangelisch-Theologische Fakultät--München--Universität, 1999. / Bibliogr. p. 448-472. Index.
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Andreij Belyjs Rezeption der Philosophie Kants, Nietzsches und der Neukantianer /

Zink, Andrea. January 1998 (has links)
Diss.--Philosophisch-historische Fakultät--Universität Basel. / Bibliogr. p. 378-387.
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Edmund Husserl e Ernst Cassirer : un confronto tra le Logische Untersuchungen et Substanzbegriff und Funktionsbegriff / Edmund Husserl et Ernst Cassirer : une comparaison entre les Logische Untersuchungen et Substanzbegriff und Funktionsbegriff / Edmund Husserl and Ernst Cassirer : a comparison between the Logische Untersuchungen and Substanzbegriff und Funktionsbegriff

Carroccio, Andrea 23 March 2016 (has links)
La thèse que nous présentons concerne une comparaison entre les figures de Edmund Husserl et Ernst Cassirer. L’intérêt qui meut cette thèse est ce de voir comme les deux courants de pensée, le phénoménologique et le néo-critique, se sont rapprochée beaucoup (surtout par rapport à Natorp et Husserl), pour prendre après deux chemins différents. D’abord la thèse veut se concentrer sur le rapport entre Husserl et Cassirer, en analysant la correspondance entre les deux, qui sont repérables dans l’édition des manuscrits de Cassirer par Meiner et dans les Dokumente de la Husserliana, ainsi que les manuscrit husserliens. Toutefois, il faut accéder au domaine des notions fondamentales pour montrer les problèmes cruciaux de comparaison entre les deux philosophes. La théorie de l’abstraction est au centre de la thématique de la formation des concepts, parce que le passage de l’expérience individuelle au concept universel représente un problème bien difficile à résoudre. Husserl et Cassirer, l’un comme l’autre, reprennent le thème de la querelle des universaux pour critiquer les théories empiristes de l’abstraction, bien que les résultats soient différents. Afin d’éclairer les structures fondamentales de la conscience, la thèse renvoie à deux points : le rapport entre le général et le particulier et le problème de l’individualité. / The doctoral thesis focuses on a confrontation between two philosophers: Edmund Husserl and Ernst Cassirer. The aim of this thesis is to analyse how the phenomenological and the neo-Kantian movements were well close together at a first time (most of all in the persons of Natorp and Husserl), and how they took different directions afterwards. At the beginning, the thesis stresses the relations between Husserl and Cassirer by analysing the correspondence that we can find in the edition of Cassirer’s Opera omina by Meiner, or in the Husserliana – Dokumente and the manuscripts of Husserl. Nevertheless, we concentrate on the main notions of the two philosophers to show which problems we have to face in order to compare the philosophical thought of the two philosophers. The theory of abstraction is a central point of the formation of the concepts, because the passage from the experience of individuals to the universal concept is a very difficult problem to solve. Husserl and Cassirer converge on the problem of universals in order to critique the empiricist theory of abstraction, even if their results are different. So as to clarify the fundamental structures of consciousness, the thesis refers to two points: the relation between general and particular, and the problem of individuality.
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Kant instituteur de la République (1795-1904). Genèse et formes du kantisme français dans la construction de la synthèse républicaine.

Bonnet, Jean 15 January 2007 (has links) (PDF)
Chronologie -en trois périodes- du kantisme français dans ses implications politiques et idéologiques du traité de Bâle (1795) au congrés de 1904 pour le centième anniversaire de la mort de Kant. Etude sur les lectures juridiques, morales et religieuses de la philosophie kantienne par les libéraux, les positivistes, les sociologues d'obédience républicaine.
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L'habitant du monde selon Kant et Husserl / The Inhabitant of the World according to Kant and Husserl.

Afeissa, Hicham-Stéphane 10 July 2012 (has links)
Le projet de cette thèse est d’examiner ce que nous avons appelé le problème du monde, en entendant par là le problème du mode d’apparition d’une totalité intotalisable qui ne se réduit pas à la somme de ce qui apparaît, et le problème du mode d’être de celui qui appartient au monde et qui est également celui pour lequel le monde comme totalité apparaît. Le problème a été examiné dans le cadre de deux philosophies privilégiées : la philosophie kantienne et la phénoménologie husserlienne. La thématique de l’homme comme habitant du monde apparaît au croisement de trois grandes entreprises kantiennes : l’élaboration d’une épistémologie de la géographie physique en tant qu’elle comporte nécessairement un examen des modalités de l’existence de l’homme sur Terre ; le projet d’une réfutation de l’idéalisme, qui conduit à définir l’homme par son appartenance au monde ; la constitution d’une anthropologie pragmatique qui, tout en unifiant les thématiques précédentes les élargit en les intégrant dans la perspective de la destination pratique de l’homme auquel incombe la tâche de réaliser les conditions de son existence mondaine d’agent moral. Chez Husserl, le mode d’apparition du monde comme totalité est expressément élucidé dans le cadre de la phénoménologie de la perception au moyen de la doctrine de l’intentionnalité horizontale, au terme d’un assez long parcours que nous nous efforçons de reconstituer. En revanche, le mode d’être de celui pour lequel le monde apparaît en tant que tel ne fait l’objet de sa part que d’analyses programmatiques, auxquelles nous proposons de donner un prolongement dans la perspective d’une philosophie de l’environnement. / The objective of this study is to inquire into what has been called the problem of the world, i.e. the problem of the mode of apparition of an intotalisable totality which cannot be reduced to the addition of what appears, and the problem of the mode of being of the subject who belongs to the world and to whom the world as totality appears. This problem has been examined with reference to two privileged philosophies : Kant’s philosophy and Husserl’s phenomenology. The theme of the inhabitant of the world appears at the meeting-point of three major Kantian undertakings, which are (1) the elaboration of an epistemology of geographical physics that necessarily contains an examination of the modalities of existence of man on Earth ; (2) the project of refuting idealism, which leads to defining man in his belonging to the world ; (3) the constitution of a pragmatic anthropology which, while unifying the foregoing topics, broadens them by integrating them into the perspective of the practical destination of man, upon whom falls the task of realising the conditions of his worldly existence as moral agent. In Husserl’s phenomenology, the concept of horizontal intentionality, developed in the phenomenology of perception, helps to explain the mode of apparition of the world as totality, at the end of a long run of thought which we try to reconstitute from the beginning. By contrast, the mode of being of the subject to whom the world as such appears is only programmatically examined in Husserl’s phenomenology. Our study seeks to give a prolongation to Husserl’s insights on this topic, in the direction of an environmental philosophy.
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Friedrich-Albert Lange (1828-1875) : les apories de la naturalisation de l'épistémologie kantienne et ses implications pratiques.

Descarreaux, Samuel January 2016 (has links)
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, la philosophie est confrontée à une crise identitaire. On se détourne de l'idéalisme spéculatif pour privilégier un mode de pensée articulé autour de la rationalité scientifique. C'est dans cet horizon en transformation que naît l'impératif d'un retour à la philosophie d'Emmanuel Kant. Au sein du courant de pensée néo-kantien on trouve la thèse aujourd'hui méconnue de Friedrich-Albert Lange exposée dans « l'Histoire du matérialisme et critique de son importance à notre époque ». Lange poursuit dans cette œuvre deux objectifs : (a) il limite la portée explicative des sciences de la nature pour dégager une sphère propre à la philosophie pratique et (b) il se réapproprie l'épistémologie de Kant à l'aune des thèses évolutionnistes de Charles Darwin. Nous avons donc cherché dans ce mémoire à évaluer la portée de la naturalisation de l'épistémologie kantienne et ses implications pratiques.
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La pensée et le réel : l'idée de monisme neutre / Thought and reality : the idea of neutral monism

Couture-Mingheras, Alexandre 07 December 2017 (has links)
Le présent travail porte sur le monisme neutre et montre qu'il s'agit d'une Idée qui sert de levier pour penser un réel antérieur au partage entre idéalisme et réalisme, avant la scission du monde entre intériorité et extériorité. Nous proposons une relecture des auteurs désignés par Russell lorsqu'il en invente la « catégorie ». Si chez Avenarius il s'agit de sauter par-dessus l'histoire car la logique à son principe est jugée viciée, et que chez Mach toute hypostase se trouve amenée à la fine pointe de sa dissolution identitaire, chez James le temps est le lieu même de déprise du dualisme et de neutralisation catégoriale : nous réinterprétons l'expérience pure comme la transposition sur le plan de l'être, pré-dual, du courant de conscience. Ce premier axe s'achève avec Russell, dont nous montrons qu'il est en réalité moniste neutre lorsqu'il en invente et critique la catégorie, selon un idéal de définitisation qui se trouve aussi bien en terrain gnoséologique (le Je pur se démultipliant à l'infini dans la construction logique du monde physique) qu'en terrain éthique (l'universalisation du désir). Le second axe conduit à la philosophie de l'immanence de Schuppe et Schubert-Soldem, ultime figure de réalisation de l'idée où le réalisme se trouve identifié à l'idéalisme, et l'unité restaurée entre la conscience et le monde. A ce titre, la Immanenzphilosophie constitue une version alternative à l'idéalisme transcendantal husserlien et dont la phénoménologie post-husserlienne retrouve certaines intuitions séminales. / Our thesis examines neutral monism and defends that is an Idea in order to think reality prior to its division between realism and idealism, before the world-split between interiority and exteriority. In the first part we shed a new light on the authors referred to by Russell when he invents the neutral monism category. Avenarius's aim is to abandon history since its logic is considered to be invalidated. Mach, since he wants to deconstruct all kind of hypostasis, is led to the self-destruction of identity. As for James, we propose to construe his notion of pure experience: time serves the purpose to neutralize all categories and to reject dualism, and thus results from the ontological­transposition of the psychological thought current. This first part ends with the study of Russell, where we demonstrate that he is more akin to neutral monism when he invented et rejected the term, in accordance with his rationalist ideal of universalization, in the theoretical field (the pure I which can multiply itself in order to logically construct the physical world) as well as in the ethical one (to universalize one's des ire). The second part leads to the philosophy of immanence of Schuppe and Schubert-Soldem: the idea is here realized, by the identification of realism and idealism, the reconciliation between consciousness and world. The Immanenzphilosophie can be regarded as an alternative to Husserl's transcendental idealism where the post-Husserlian phenomenology finds once again some of its seminal intuitions.
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Justice pénale internationale : la lutte contre l’impunité en tant qu’impératif moral

Makasso, Davy Ludewic 09 1900 (has links)
La lutte contre l’impunité telle qu’elle est menée par la Cour pénale internationale est critiquée et suscite la controverse. Les actions de l’institution pénale internationale sont perçues par ses critiques comme reconduisant des formes de racisme, d’ethnocentrisme, d’impérialisme, de néocolonialisme, d’autoritarisme qui corrompent fondamentalement l’aspiration à la justice. Paradoxalement, le besoin d’une justice pénale internationale s’entend comme un impératif de paix et de justice. Ce mémoire questionne et examine les justifications d’un tel impératif moral. Il part de l’hypothèse que celui-ci est catégorique et relève d’une approche éthique déontologique. Les justifications d’une telle hypothèse découlent d’une analyse des différents contextes historiques ayant vus l’affirmation ou les ré-affirmations d’un rejet catégorique des crimes d’inhumanité (article 5 du Statut de Rome de la Cour pénale internationale : le crime de génocide, les crimes contre l’humanité, les crimes de guerre, les crimes d’agression). Ces condamnations ont posé les bases d’une éthique de portée universelle et ont reconnu en l’humanité une communauté morale universelle. Ainsi, indifféremment des particularismes moraux et éthiques, les fondements philosophiques de la lutte contre l’impunité reposent sur un universalisme moral et l’idée régulatrice d’un contrat éthique liant la communauté des États et des peuples. Il est question d’être et de faire humanité. Dès lors, en dépit; des théories réalistes en relations internationales suggérant à la fois l’amoralité des relations inter-étatiques, des motivations prudentielles et de la rationalité instrumentale (moralité de l’intérêt), en dépit des perspectives culturalistes qui témoignent d’un pluralisme moral et éthique, nous voulons démontrer que la lutte contre l’impunité est avant tout un devoir moral universalisable (fondé sur le principe de dignité) de nature déontologique (même si cette lutte implique aussi des considérations conséquentialistes). Face à la complexité de cette problématique, notre recherche sera transdisciplinaire; et notre approche combine et le déductivisme. / The fight against impunity as conducted by the International Criminal Court is criticized and controversial. The actions of the international criminal institution are perceived by its critics as renewing forms of racism, ethnocentrism, imperialism, neocolonialism, authoritarianism that fundamentally corrupt the aspiration to justice. Paradoxically, the need for international criminal justice is understood as an imperative of peace and justice. This research examines the justifications for such a moral imperative. It starts from the assumption that it is categorical and comes from an ethical approach to ethics. The justifications for such an assumption rest analysis of the different historical contexts that have seen the affirmation or re-affirmation of a categorical rejection of crimes of inhumanity (Article 5 of the Rome Statute of the International Criminal Court: the crime of genocide, crimes against humanity, war crimes, crimes of aggression). These condemnations laid the foundations for an ethic of universal significance and recognized humanity as a universal moral community. Thus, despite moral and ethical particularisms, the philosophical foundations of the fight against impunity is based on a moral universalism and the regulating idea of an ethical contract linking the community of states and peoples. It is about being and making humanity. Therefore, in spite of; realistic theories of international relations suggesting both the amorality of inter-state relations, prudential motivations and instrumental rationality (morality of interest), despite the culturalist perspectives that testify to moral and ethical pluralism, we want to show that the fight against impunity is above all an universalizable moral duty (based on the principle of dignity) of a deontological nature (even if this struggle also implies consequentialist considerations). Given the complexity of this issue, our research will be transdisciplinary; and our approach combines inductivism and deductivism.

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