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Entre le texte et le corps : travail de deuil, performativité et différences sexuelles chez Hélène Cixous / Between Text and Body : Work of Mourning, Performativity and Sexual Differences in the work ofHélène Cixous

Crevier Goulet, Sarah-Anaïs 04 November 2011 (has links)
Cette thèse propose de mettre en rapport les enjeux soulevés par la thèse de la philosophe Judith Butler concernant la « mélancolie du genre » et l’œuvre autobiographique d’Hélène Cixous, travaillée depuis ses commencements par la question du deuil et de la différence sexuelle/genre. Dans ce travail, nous souhaitons montrer en effet que la démarche philosophique théorique de Judith Butler, qui relit les thèses freudiennes sur le deuil, la mélancolie et la formation du moi en montrant l’importance de la perte au cœur de l’identité sexuelle, trouve des résonances dans le travail d’écriture et de réécriture « autobiographique » d’Hélène Cixous. L’écrivain reconfigure de fait la notion classique d’autobiographie, tout son œuvre vie étant marqué par un mouvement fondamental qui consiste à reconnaître les deuils et les séparations ayant donné naissance à l’écriture, un mouvement qui consiste, autrement dit, à créer une archive de l’autre. La thèse comporte deux parties : la première partie théorique explique les enjeux qui sous-tendent la « mélancolie du genre » pensée par Judith Butler et les effets de cette mélancolie sur le corps et la sexualité ; les notions de travestissement et de performativité sont revisitées à partir des notions psychanalytiques d’identification et d’incorporation. Puisque la mélancolie du genre est le résultat de la non-reconnaissance des premiers attachements homosexuels, la nécessité de repenser le rapport au maternel, du point de vue féminin plus particulièrement, est posée ; les notions de sémiotique (Julia Kristeva) et de chôra (Jacques Derrida/ Julia Kristeva) ouvrent ici la voie et nous invitent à penser la mère du côté du mouvement et de l’altération, de la plasticité (Catherine Malabou). La seconde partie propose une traversée de l’œuvre d’Hélène Cixous, depuis Dedans (1968) jusqu’aux toutes récentes fictions analysées à partir de la question du deuil et de la notion freudienne de la substituabilité des objets. Sont examinées les formes de substitutions des pertes inaugurales que sont pour l’écrivaine le deuil du père et le deuil de l’Algérie, substitutions qui passent d’abord et avant tout par le travail signifiant. La question de l’humain est abordée par la figure de l’enfant mongolien, dont la naissance quarante ans avant son entrée dans l’œuvre est venue faire vaciller toutes les divisions caractérisant habituellement le sujet (féminin/masculin, humain/animal, vivant/mort), y compris celle, capitale, entre né et non-né. La notion d’incorporation mélancolique est également mobilisée pour explorer les métamorphoses et nombreuses transfigures animales de l’écrivaine, qui mettent en avant la plasticité du vivant mais non moins sa fragilité. Incontournable, la question de la mère et du maternel chez Cixous est analysée dans son rapport à l’écriture et à la langue : lieu de mouvement, support de transformation et de transsubstantiation mais aussi contenance, la langue chez Cixous fait mère. / This thesis proposes to make a link between the issues raised by Judith Butler regarding « gender melancholy » and Hélène Cixous’ autobiographical work, which has dealt from the start with the question of grief and sexual difference/gender. Our wish is to show how Judith Butler, in revisiting Freud’s theories on grief, melancholy and the formation of the ego, points out the importance of loss at the heart of sexual identity and finds resonance in Hélène Cixous’s « autobiographical » writings and rewritings. The writer, in fact, reconfigures the classical notion of what an autobiography is; her/his life-work is under the influence of a fundamental impulse seeking to identify the losses and separations which gave birth to the writing;an impulse which consists, in other words, in creating an archive of the other. The thesis is made up of two parts: the first part explains the issues underlying Judith Butler’s « gender melancholy »and the effects of this melancholy on body and sexuality; the concepts of transvestism and performative utterance are revisited based on notions of psychoanalytical identification and incorporation. The necessity to rethink the maternal relationship, especially from a feminine perspective, is posited. Notions of semiotics (Julia Kristeva) and of chôra (JacquesDerrida/Julia Kristeva) open the way and invite us to consider the mother from the angle of movement and modulation, of plasticity (Catherine Malabou). The second part offers a cross-section of Hélène Cixous’ work, starting from Dedans (1968) right up until her latest fiction, analyzed from the point of view of grief and the Freudian notion of the substitutability ofobjects. The initial losses, which for the writer mean mourning for a father and for Algeria, take on the form of substitutions which are found above all in the work of the signifiers. The human question is broached by the figure of the Down syndrome child whose birth forty years prior to appearing in the literary work, has come and put off balance the divisions which normally characterize the subject (feminine/masculine, human/animal, living/dead), including the crucial division between born and unborn. The notion of melancholic incorporation is also used to explore the metamorphoses and many animal transfigures of the writer, which highlight the plasticity of the living as well as its fragility. The unavoidable question of the mother and the maternal in Cixous is analyzed in its relation to writing and language: a place of movement, material for transformation and for transubstantiation, not to mention countenance. Language for Cixous enacts the mother.
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Além da escola: percursos entre Nietzsche e Deleuze

Nodari, Karen Elisabete Rosa January 2007 (has links)
Des percours. Ils ont été beaucoup. Extensifs et intensifs. Des personnages em déplacement. Dans un espace écolier ou pas écolier. Des lieux connus ou pas connus. Des movements répétés. De Nietzsche, des élèves, des professeurs, des fonctionnaires, des parents. De la station de Porta Nuova jusqu'à la Piazza Carlo Alberto. De l'arrêt d'autobus à l'école. De la cour au foyer. Du couloir aux réunions. Dans la salla de classe. Toujours pareils mais jamais les mêmes. Tracé de lignes qui extrapolent des points. Le premier, le deuxième, le troisième, le quatrième, le cinquième temps du matin. Des mars à decembre. Cinc jours par semaine. Répéter, répetér, répéter. Des monts, des gestes, des positions. Pourtant, même si l'école repete en envisageant la reproduction exacte, elle n'arrive jamais. Aucun chemin parreil à l'autre. Tours et retours par les couloir, le foyer, les salle de classe, les salles de réunions. Ont fait des parcours imprévisibles dans les parcours prévisibles. Même si on rest das la même place. Ça fait partie de la répétition. Dans un instant on aperçoit des lignes qui échappent au connu, au dèjá vu. Enfin, ces parcours appartienent à un personnage ou à plusiers? Il s'agit d'un seul ou des plusieurs parcurs? Quoi? Personne sait le dire. Ça n'importe pas. Du suspense produit par celui qui feit à la representation. Le mouvement d'établir l'identité entre ce qui on ensigne et qu'on apprend, entre la prodution et le produit de l'école provoque quelque chose indifférenciée de difficile distinction. Un affrontement aux certitudes établies sur modèles d'élèves, de professeurs, de la classe, d'apprendreet de penser. Pour pouvoir créer. / Percursos. Foram muitos. Extensivos e intensivos. Personagens em deslocamento. Num espaço que tanto pode ser escolar como não. Lugares tanto conhecidos como desconhecidos. Movimentos repetidos. De Nietzsche, alunos, professores, funcionários, pais. Da estação de Porta Nuova até a Piazza Carlo Alberto. Do ponto do ônibus até a escola. Do pátio ao saguão. Do corredor às reuniões. Dentro da sala de aula. Sempre iguais, mas nunca os mesmos. Traçado de linhas que extrapolam pontos. O primeiro, o segundo, o terceiro, o quarto, o quinto, período da manhã. De março a dezembro. Cinco dias por semana. Repetir. Repetir. Repetir. Falas, gestos, posições. Contudo, por mais que na escola se repita visando à reprodução exata, ela nunca acontece. Nenhum caminho é igual ao outro.Voltas e revoltas pelos corredores, pelo saguão, pelas salas de aula, pelas salas de reuniões. Trilham-se percursos imprevisíveis dentro dos previsíveis. Mesmo que não se saia do lugar. Pois, há uma potência própria da repetição. Num instante, surgem linhas que escapam ao conhecido, ao esperado, fogem ao pensamento representacional. Afinal, aqueles trajetos são de um só personagem e de vários? Trata-se de um único percurso e também de muitos? O quê? Ninguém sabe dizer. Isso não importa. Suspense produzido por aquele que foge à representação. O próprio movimento de estabelecer a identidade entre o que se ensina e o que se aprende, entre a produção e o produto da escola, faz surgir algo indiferenciado de difícil distinção. Um afrontamento às certezas, àsverdades estabelecidas sobre modelos de aluno, professor, aula, aprender, pensar. Para poder criar.
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Palhaçar : máscaras em uma patética-poética por rir / Clowner: les masques d´une poétique-pathétique pour rire

Olendzki, Luciane de Campos January 2009 (has links)
Le présent mémoire est composé de scènes d´écriture traversées par des séries hétérogènes de masques qui composent une typologie et une topologie de l´art du clown. Ces masques dramatisent la connaissance et l´historiographie de l´art du clown. Elles opèrent comme des puissances intempestives, traçant un plan de composition et de pensée qui procède par fabulation, entre le théâtre et la philosophie, avec des auteurs comme Nietszche, Deleuze et Artaud. Masqueclown en jeu, par instinct de jeu et variation poétique, avec le pouvoir d´affecter et d´être affecté, élevé à la énième puissance du faux. Masque-clown dans une poétique (ob)scène, jouée et joueuse dans l´exécution de l´oeuvre et de la rencontre théâtrale pour l´événement : clowner. Clown de l´événement. Dilacération créative et de multiplicité dans l´expérience de création d´un masqueclown affirmatif et affirmé, qui opère par gaieté tragique dans une potentialisation artistique et de vie. Poétique scénique du masque comico-pathétique pour l´événement dans la rencontre théâtrale. Par jeu, par vouloir-artiste et par rire. / Esta dissertação é composta por cenas de escritura, onde atravessam séries heterogêneas de máscaras que compõem uma tipologia e uma topologia da arte do palhaço. Tais máscaras dramatizam o conhecimento e a própria historiografia da arte do palhaço e atuam como potências intempestivas, traçando um plano de composição e de pensamento que procede por fabulação, entre o teatro e a filosofia, com autores como Nietzsche, Deleuze e Artaud. Máscara-palhaço em jogo, por instinto de jogo e variação poética, no poder de afetar e ser afetada, elevada à enésima potência do falso. Máscara-palhaço em poética (obs)cênica, jogada e jogadora na efetuação da obra e do encontro teatral para o acontecimento: palhaçar. Palhaço do acontecimento. Dilaceração criativa e de multiplicidade na experiência de criação de uma máscara-palhaço afirmadora e afirmativa, que opera por alegria trágica em potencialização artística e de vida. Poética cênica da máscara cômico-patética para o acontecimento no encontro teatral. Por jogo, por querer-artista e por rir.
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Biografemática do homo quotidianus : o senhor educador

Oliveira, Marcos da Rocha January 2010 (has links)
« Monsieur l'Éducateur », c'est un texte de la série « Biographématique du homo quotidianus ». Cette collection pratique l'Écriture de Vie en la mettant dans une non-relation avec la déjà triste méthodologie de la recherche Histoires de Vie – maltraitée par le stéréotype de l'écrite en Éducation, par la pesanteur du sens. Le quotidien lu avec Maurice Blanchot, James Joyce, Haroldo de Campos, rencontre les conditions opérationnelles pour l'implication de la notion du biographème, de Roland Barthes. Ce scénario, tempespace de l'écrilecture, est mis en échec dans la composition fragmentaire d'un personnage qui donne mouvement aux qualités fantasmatiques du homo quotidianus : « Monsieur l'Éducateur » montre, de détails exacerbés et de traits recueillis d'un ample inventaire socio-culturel – une littérature nécessaire, une Éducation aimée – l'insignifiance, la vie fugitive, l'ouverture, la vidage faite par son écriture dans les Études du Quotidien et dans les narratives d'importance biographique et autobiographique. « Monsieur l'Éducateur » fait, dans un seul temps, une vaste critique de l'éducacion et une intense fantaisition du « viervuo ». / “O Senhor Educador”, um texto da série “Biografemática do homo quotidianus”. Tal coleção pratica a Escrita de Vida implicando-a numa não-relação com a já triste metodologia de pesquisa Histórias de Vida – maltratada pela estereotipia da escrita em Educação, pelo pesadume do sentido. O cotidiano lido com Maurice Blanchot, James Joyce, Haroldo de Campos, encontra as condições operatórias para a implicação da noção de biografema, de Roland Barthes. Este cenário, tempespaço de escrileitura, é posto à prova na composição fragmentária de um personagem que dá movimento às qualidades fantasmáticas do homo quotidianus: “O Senhor Educador” mostra, em pormenores exacerbados e traços recolhidos de um amplo inventário sócio-cultural – uma literatura necessária, uma Educação amada – a insignificância, a vida fugidia, a abertura, o desfazimento operado por sua escritura nos Estudos do Cotidiano e nas narrativas de ênfase biográfica e autobiográfica. “O Senhor Educador” faz, a um só tempo, uma extensa crítica educacional e uma intensa fantasiação de “vidarbo”.
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Além da escola: percursos entre Nietzsche e Deleuze

Nodari, Karen Elisabete Rosa January 2007 (has links)
Des percours. Ils ont été beaucoup. Extensifs et intensifs. Des personnages em déplacement. Dans un espace écolier ou pas écolier. Des lieux connus ou pas connus. Des movements répétés. De Nietzsche, des élèves, des professeurs, des fonctionnaires, des parents. De la station de Porta Nuova jusqu'à la Piazza Carlo Alberto. De l'arrêt d'autobus à l'école. De la cour au foyer. Du couloir aux réunions. Dans la salla de classe. Toujours pareils mais jamais les mêmes. Tracé de lignes qui extrapolent des points. Le premier, le deuxième, le troisième, le quatrième, le cinquième temps du matin. Des mars à decembre. Cinc jours par semaine. Répéter, répetér, répéter. Des monts, des gestes, des positions. Pourtant, même si l'école repete en envisageant la reproduction exacte, elle n'arrive jamais. Aucun chemin parreil à l'autre. Tours et retours par les couloir, le foyer, les salle de classe, les salles de réunions. Ont fait des parcours imprévisibles dans les parcours prévisibles. Même si on rest das la même place. Ça fait partie de la répétition. Dans un instant on aperçoit des lignes qui échappent au connu, au dèjá vu. Enfin, ces parcours appartienent à un personnage ou à plusiers? Il s'agit d'un seul ou des plusieurs parcurs? Quoi? Personne sait le dire. Ça n'importe pas. Du suspense produit par celui qui feit à la representation. Le mouvement d'établir l'identité entre ce qui on ensigne et qu'on apprend, entre la prodution et le produit de l'école provoque quelque chose indifférenciée de difficile distinction. Un affrontement aux certitudes établies sur modèles d'élèves, de professeurs, de la classe, d'apprendreet de penser. Pour pouvoir créer. / Percursos. Foram muitos. Extensivos e intensivos. Personagens em deslocamento. Num espaço que tanto pode ser escolar como não. Lugares tanto conhecidos como desconhecidos. Movimentos repetidos. De Nietzsche, alunos, professores, funcionários, pais. Da estação de Porta Nuova até a Piazza Carlo Alberto. Do ponto do ônibus até a escola. Do pátio ao saguão. Do corredor às reuniões. Dentro da sala de aula. Sempre iguais, mas nunca os mesmos. Traçado de linhas que extrapolam pontos. O primeiro, o segundo, o terceiro, o quarto, o quinto, período da manhã. De março a dezembro. Cinco dias por semana. Repetir. Repetir. Repetir. Falas, gestos, posições. Contudo, por mais que na escola se repita visando à reprodução exata, ela nunca acontece. Nenhum caminho é igual ao outro.Voltas e revoltas pelos corredores, pelo saguão, pelas salas de aula, pelas salas de reuniões. Trilham-se percursos imprevisíveis dentro dos previsíveis. Mesmo que não se saia do lugar. Pois, há uma potência própria da repetição. Num instante, surgem linhas que escapam ao conhecido, ao esperado, fogem ao pensamento representacional. Afinal, aqueles trajetos são de um só personagem e de vários? Trata-se de um único percurso e também de muitos? O quê? Ninguém sabe dizer. Isso não importa. Suspense produzido por aquele que foge à representação. O próprio movimento de estabelecer a identidade entre o que se ensina e o que se aprende, entre a produção e o produto da escola, faz surgir algo indiferenciado de difícil distinção. Um afrontamento às certezas, àsverdades estabelecidas sobre modelos de aluno, professor, aula, aprender, pensar. Para poder criar.
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Palhaçar : máscaras em uma patética-poética por rir / Clowner: les masques d´une poétique-pathétique pour rire

Olendzki, Luciane de Campos January 2009 (has links)
Le présent mémoire est composé de scènes d´écriture traversées par des séries hétérogènes de masques qui composent une typologie et une topologie de l´art du clown. Ces masques dramatisent la connaissance et l´historiographie de l´art du clown. Elles opèrent comme des puissances intempestives, traçant un plan de composition et de pensée qui procède par fabulation, entre le théâtre et la philosophie, avec des auteurs comme Nietszche, Deleuze et Artaud. Masqueclown en jeu, par instinct de jeu et variation poétique, avec le pouvoir d´affecter et d´être affecté, élevé à la énième puissance du faux. Masque-clown dans une poétique (ob)scène, jouée et joueuse dans l´exécution de l´oeuvre et de la rencontre théâtrale pour l´événement : clowner. Clown de l´événement. Dilacération créative et de multiplicité dans l´expérience de création d´un masqueclown affirmatif et affirmé, qui opère par gaieté tragique dans une potentialisation artistique et de vie. Poétique scénique du masque comico-pathétique pour l´événement dans la rencontre théâtrale. Par jeu, par vouloir-artiste et par rire. / Esta dissertação é composta por cenas de escritura, onde atravessam séries heterogêneas de máscaras que compõem uma tipologia e uma topologia da arte do palhaço. Tais máscaras dramatizam o conhecimento e a própria historiografia da arte do palhaço e atuam como potências intempestivas, traçando um plano de composição e de pensamento que procede por fabulação, entre o teatro e a filosofia, com autores como Nietzsche, Deleuze e Artaud. Máscara-palhaço em jogo, por instinto de jogo e variação poética, no poder de afetar e ser afetada, elevada à enésima potência do falso. Máscara-palhaço em poética (obs)cênica, jogada e jogadora na efetuação da obra e do encontro teatral para o acontecimento: palhaçar. Palhaço do acontecimento. Dilaceração criativa e de multiplicidade na experiência de criação de uma máscara-palhaço afirmadora e afirmativa, que opera por alegria trágica em potencialização artística e de vida. Poética cênica da máscara cômico-patética para o acontecimento no encontro teatral. Por jogo, por querer-artista e por rir.
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Biografemática do homo quotidianus : o senhor educador

Oliveira, Marcos da Rocha January 2010 (has links)
« Monsieur l'Éducateur », c'est un texte de la série « Biographématique du homo quotidianus ». Cette collection pratique l'Écriture de Vie en la mettant dans une non-relation avec la déjà triste méthodologie de la recherche Histoires de Vie – maltraitée par le stéréotype de l'écrite en Éducation, par la pesanteur du sens. Le quotidien lu avec Maurice Blanchot, James Joyce, Haroldo de Campos, rencontre les conditions opérationnelles pour l'implication de la notion du biographème, de Roland Barthes. Ce scénario, tempespace de l'écrilecture, est mis en échec dans la composition fragmentaire d'un personnage qui donne mouvement aux qualités fantasmatiques du homo quotidianus : « Monsieur l'Éducateur » montre, de détails exacerbés et de traits recueillis d'un ample inventaire socio-culturel – une littérature nécessaire, une Éducation aimée – l'insignifiance, la vie fugitive, l'ouverture, la vidage faite par son écriture dans les Études du Quotidien et dans les narratives d'importance biographique et autobiographique. « Monsieur l'Éducateur » fait, dans un seul temps, une vaste critique de l'éducacion et une intense fantaisition du « viervuo ». / “O Senhor Educador”, um texto da série “Biografemática do homo quotidianus”. Tal coleção pratica a Escrita de Vida implicando-a numa não-relação com a já triste metodologia de pesquisa Histórias de Vida – maltratada pela estereotipia da escrita em Educação, pelo pesadume do sentido. O cotidiano lido com Maurice Blanchot, James Joyce, Haroldo de Campos, encontra as condições operatórias para a implicação da noção de biografema, de Roland Barthes. Este cenário, tempespaço de escrileitura, é posto à prova na composição fragmentária de um personagem que dá movimento às qualidades fantasmáticas do homo quotidianus: “O Senhor Educador” mostra, em pormenores exacerbados e traços recolhidos de um amplo inventário sócio-cultural – uma literatura necessária, uma Educação amada – a insignificância, a vida fugidia, a abertura, o desfazimento operado por sua escritura nos Estudos do Cotidiano e nas narrativas de ênfase biográfica e autobiográfica. “O Senhor Educador” faz, a um só tempo, uma extensa crítica educacional e uma intensa fantasiação de “vidarbo”.
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La notion de mineur dans l'oeuvre de Pier Paolo Pasolini / The notion of minor in Pier Paolo Pasolini's works

Passerone, Léa 09 December 2017 (has links)
Cette thèse se propose d’étudier la façon dont l’idée de mineur traverse l’œuvre de Pier Paolo Pasolini, que ce soit dans son sens linguistique et littéraire (rapport aux langues et aux auteurs dits « mineurs »), sociopolitique (présence des subalternes et des minorités), ou encore spirituel (« mineur » au sens franciscain). L’ensemble de la vaste production artistique et critique de l’auteur italien que nous prenons en considération semble en effet guidé par le désir de porter à la lumière et de valoriser ce qui d’ordinaire est dénigré, oublié et situé au bas des hiérarchies, quelles qu’elles soient : paysans frioulans, sous-prolétaires romains, peuples du Tiers Monde, langues et cultures périphériques, etc. Les notions de « minore » (« mineur ») et de « minoranza » (« minorité ») paraissent d’autant plus significatives et pertinentes qu’elles sont utilisées et problématisées par l’écrivain-cinéaste, de ses premiers essais littéraires à ses derniers articles et scénarios, à des moments clés de son parcours. Elles se révèlent en outre étroitement liées aux périodes de profondes transformations socio-culturelles que traverse l’Italie, dont elles se font le reflet antithétique. Alors que le prétendu « miracle économique » bat son plein au cœur des années 1960, la notion de mineur, centrée autour de l’idée d’infériorité et d’humilité, cède la place à la notion plus politique et polémique de minorité. Si cette dernière reprend certains traits de la précédente, elle se définit davantage comme altérité radicale et puissance de contestation des modèles dominants, tout en accentuant l’esthétique et la poétique de la contamination, selon lesquelles humilis et sublimis sont indissociables. / This PhD thesis intends to explore how the idea of minor is present throughout Pier Paolo Pasolini’s works, in its linguistic and literary sense (linked to languages and authors called « minors »), in its socio-political sense (presence of the subalterns and the minorities), or even in its spiritual sense (« minor » according to Franciscans). The extensive artistic and critical production of the Italian author who we consider, seems in fact to be guided by the will of highlighting and promoting what is usually depreciated, forgotten and situated at lower levels in every hierarchy : Friulian peasants, Roman sub-proletarians, people from the Third World, outlying languages and cultures, etc. The notions of minor and minorities are particularly significant and relevant, given that they are used and questionned by the writer and the director from his first literary essays to his last articles and scenarios, in key moments of his career. Furthermore, they appear closely associated to the period of deep socio-cultural changes that Italy is experiencing, hence the contradicting images they convey. While the so-called « economic miracle » is triumphal in the sixties, the notion of « minor », centered on the idea of inferiority and humility, is replaced by the more political and polemical notion of minority. If this last notion has some characteristics of the former one, it should also be defined as a radical alterity and contesting power of the dominant models, at the same time keeping the emphasis on the contamination esthetic and poetics, whereby humilis and sublimis are inseparable.
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Além da escola: percursos entre Nietzsche e Deleuze

Nodari, Karen Elisabete Rosa January 2007 (has links)
Des percours. Ils ont été beaucoup. Extensifs et intensifs. Des personnages em déplacement. Dans un espace écolier ou pas écolier. Des lieux connus ou pas connus. Des movements répétés. De Nietzsche, des élèves, des professeurs, des fonctionnaires, des parents. De la station de Porta Nuova jusqu'à la Piazza Carlo Alberto. De l'arrêt d'autobus à l'école. De la cour au foyer. Du couloir aux réunions. Dans la salla de classe. Toujours pareils mais jamais les mêmes. Tracé de lignes qui extrapolent des points. Le premier, le deuxième, le troisième, le quatrième, le cinquième temps du matin. Des mars à decembre. Cinc jours par semaine. Répéter, répetér, répéter. Des monts, des gestes, des positions. Pourtant, même si l'école repete en envisageant la reproduction exacte, elle n'arrive jamais. Aucun chemin parreil à l'autre. Tours et retours par les couloir, le foyer, les salle de classe, les salles de réunions. Ont fait des parcours imprévisibles dans les parcours prévisibles. Même si on rest das la même place. Ça fait partie de la répétition. Dans un instant on aperçoit des lignes qui échappent au connu, au dèjá vu. Enfin, ces parcours appartienent à un personnage ou à plusiers? Il s'agit d'un seul ou des plusieurs parcurs? Quoi? Personne sait le dire. Ça n'importe pas. Du suspense produit par celui qui feit à la representation. Le mouvement d'établir l'identité entre ce qui on ensigne et qu'on apprend, entre la prodution et le produit de l'école provoque quelque chose indifférenciée de difficile distinction. Un affrontement aux certitudes établies sur modèles d'élèves, de professeurs, de la classe, d'apprendreet de penser. Pour pouvoir créer. / Percursos. Foram muitos. Extensivos e intensivos. Personagens em deslocamento. Num espaço que tanto pode ser escolar como não. Lugares tanto conhecidos como desconhecidos. Movimentos repetidos. De Nietzsche, alunos, professores, funcionários, pais. Da estação de Porta Nuova até a Piazza Carlo Alberto. Do ponto do ônibus até a escola. Do pátio ao saguão. Do corredor às reuniões. Dentro da sala de aula. Sempre iguais, mas nunca os mesmos. Traçado de linhas que extrapolam pontos. O primeiro, o segundo, o terceiro, o quarto, o quinto, período da manhã. De março a dezembro. Cinco dias por semana. Repetir. Repetir. Repetir. Falas, gestos, posições. Contudo, por mais que na escola se repita visando à reprodução exata, ela nunca acontece. Nenhum caminho é igual ao outro.Voltas e revoltas pelos corredores, pelo saguão, pelas salas de aula, pelas salas de reuniões. Trilham-se percursos imprevisíveis dentro dos previsíveis. Mesmo que não se saia do lugar. Pois, há uma potência própria da repetição. Num instante, surgem linhas que escapam ao conhecido, ao esperado, fogem ao pensamento representacional. Afinal, aqueles trajetos são de um só personagem e de vários? Trata-se de um único percurso e também de muitos? O quê? Ninguém sabe dizer. Isso não importa. Suspense produzido por aquele que foge à representação. O próprio movimento de estabelecer a identidade entre o que se ensina e o que se aprende, entre a produção e o produto da escola, faz surgir algo indiferenciado de difícil distinção. Um afrontamento às certezas, àsverdades estabelecidas sobre modelos de aluno, professor, aula, aprender, pensar. Para poder criar.
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Palhaçar : máscaras em uma patética-poética por rir / Clowner: les masques d´une poétique-pathétique pour rire

Olendzki, Luciane de Campos January 2009 (has links)
Le présent mémoire est composé de scènes d´écriture traversées par des séries hétérogènes de masques qui composent une typologie et une topologie de l´art du clown. Ces masques dramatisent la connaissance et l´historiographie de l´art du clown. Elles opèrent comme des puissances intempestives, traçant un plan de composition et de pensée qui procède par fabulation, entre le théâtre et la philosophie, avec des auteurs comme Nietszche, Deleuze et Artaud. Masqueclown en jeu, par instinct de jeu et variation poétique, avec le pouvoir d´affecter et d´être affecté, élevé à la énième puissance du faux. Masque-clown dans une poétique (ob)scène, jouée et joueuse dans l´exécution de l´oeuvre et de la rencontre théâtrale pour l´événement : clowner. Clown de l´événement. Dilacération créative et de multiplicité dans l´expérience de création d´un masqueclown affirmatif et affirmé, qui opère par gaieté tragique dans une potentialisation artistique et de vie. Poétique scénique du masque comico-pathétique pour l´événement dans la rencontre théâtrale. Par jeu, par vouloir-artiste et par rire. / Esta dissertação é composta por cenas de escritura, onde atravessam séries heterogêneas de máscaras que compõem uma tipologia e uma topologia da arte do palhaço. Tais máscaras dramatizam o conhecimento e a própria historiografia da arte do palhaço e atuam como potências intempestivas, traçando um plano de composição e de pensamento que procede por fabulação, entre o teatro e a filosofia, com autores como Nietzsche, Deleuze e Artaud. Máscara-palhaço em jogo, por instinto de jogo e variação poética, no poder de afetar e ser afetada, elevada à enésima potência do falso. Máscara-palhaço em poética (obs)cênica, jogada e jogadora na efetuação da obra e do encontro teatral para o acontecimento: palhaçar. Palhaço do acontecimento. Dilaceração criativa e de multiplicidade na experiência de criação de uma máscara-palhaço afirmadora e afirmativa, que opera por alegria trágica em potencialização artística e de vida. Poética cênica da máscara cômico-patética para o acontecimento no encontro teatral. Por jogo, por querer-artista e por rir.

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