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Arthur Buies, un écrivain québécois en mission au XIXe siècleEstérez, Emmanuel January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La pensée d'Edmond Turcotte, éditorialiste au journal Le Canada (1931-1937)Tanguay, Marie-Eve January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Les arguments religieux dans la discussion politique : une théorie de la justification publique / Religious arguments in political discussion : a theory of public justificationBardon, Aurélia 28 March 2014 (has links)
Cette thèse porte sur le rôle du raisonnement fondé sur des croyances religieuses dans la discussion politique, et plus précisément sur la compatibilité des arguments religieux publics avec les postulats libéraux et démocratiques concernant la justification de décisions politiques, c’est-à-dire prises au nom de l’État. La justification publique est gage de légitimité en démocratie libérale : mais dans quelles conditions une décision est-elle publiquement justifiée ? Tous les arguments sont-ils valables ? Les arguments religieux sont souvent considérés avec méfiance : ils sont particuliers, ne sont convaincants que pour certains citoyens et sont rejetés par d’autres. Il semblerait donc injuste, pour ceux qui ne partagent pas ces croyances religieuses, de les utiliser pour justifier des décisions politiques. La même chose, cependant, vaut pour de nombreux autres arguments, non religieux, comme les arguments utilitaristes et les arguments libéraux eux-mêmes. L’objectif de la thèse est d’examiner différentes stratégies visant à justifier l’exclusion de certains arguments, puis de proposer un nouveau modèle de discussion politique. La thèse défendue est que les arguments absolutistes, c’est-à-dire les arguments fondés sur la reconnaissance de l’existence d’une source extra-sociale de validité normative, ne respectent pas les exigences de la justification publique et doivent donc être exclus de la discussion politique. Mais la distinction entre arguments absolutistes et non absolutistes ne recoupe pas celle entre arguments religieux et séculiers : on ne peut donc pas dire que tous les arguments religieux doivent être exclus, ni qu’ils peuvent toujours être inclus. / This dissertation focuses on the role of faith-based reasoning in political discussion, and more specifically on the compatibility of public religious arguments with liberal and democratic premises regarding the justification of political decisions, i.e. decisions made in the name of the state. Public justification is a requirement of legitimacy in liberal democracy: but under which conditions is a decision publicly justified? Are all arguments valid? Religious arguments are often considered with suspicion: they are particular, therefore convincing for only some citizens and rejected by others. It seems unfair, for those who do not share religious beliefs, to use these arguments to justify political decisions. The same objection, however, is also true for many other non-religious arguments, like utilitarian arguments or liberal arguments themselves.The purpose of the dissertation is to examine different strategies aiming to justify the exclusion of certain arguments, and then to offer a new model of political discussion. The claim defended is that absolutist arguments, meaning arguments that are based on the recognition of the existence of an extra-social source of normative validity, do not respect the requirements of public justification and consequently should be excluded from political discussion. The distinction between absolutist and non-absolutist arguments does not overlap with the distinction between religious and secular arguments: it thus cannot be argued that all religious arguments should always be excluded, or that they could always be included.
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The limits of consent : liberalism and the challenge of harm to self / Les limites du consentement : le libéralisme au défi du préjudice consentiMornington, Alicia-Dorothy 08 December 2015 (has links)
Ce travail porte sur le consentement à se nuire. L'état doit-il intervenir lorsque des individus consentent à ce qui parait leur être nocif? Cette question soulève la possibilité du paternalisme et de la neutralité de l'État. Le consentement de nuire est un point aveugle de la théorie libérale, et qui concerne en particulier le monde anglo-saxon. Si tous les pays sont concernés par cette question philosophique sérieuse, les Etats-Unis et le Royaume-Uni, du fait de leur héritage libertarien sont plus enclins à être affectés par cette question, la jurisprudence de ces pays en témoigne. Cette thèse interroge les fondements de la théorie libertarienne et libérale, en montrant les ambiguïtés de la notion de consentement. Elle fonde son analyse sur la jurisprudence contemporaine impliquant le consentement à se nuire, en construisant une approche casuistique au problème du consentement de la victime. Ce travail permet de faire une distinction entre deux types de cas: ceux où le consentement est motivé par les forces du marché - le consentement y est souvent contraint; et ceux où le consentement semble être tout à fait volontaire parce qu'il porte sur la sphère de l’intime. / This thesis focuses on consent to harm, and asks what happens when individuals consent to what appears to be harmful. This raises the possibility of paternalism and state neutrality. Consent to harm is a blind spot for liberal theory, and this issue concerns in particular the English-speaking world. If all countries are affected by this serious philosophical question, the US and the UK, because their libertarian tendencies are more prone to be affected by this question, as is visible in the jurisprudence. This work interrogates the premises of libertarian and liberal theory, by showing the ambiguities of the notion of consent. The analysis is based on contemporary jurisprudence involving consent to harm, and constructed on a casuistic approach to the problem of consent to harm. This methodology permits the author to distinguish between two types of cases: those in which consent is motivated by market forces, where consent is often incomplete and coerced; and those in which consent appears to be entirely voluntary because they take place in the intimate sphere.
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Triptyque analytique du discours sur la sexualité dans l'espace médiatique français, à l'ère du néolibéralisme : cul, sexe et sexualité : la médiatisation de l'intimeEyaan, Cécile Sonia January 2009 (has links) (PDF)
En quarante ans, comment sommes nous passés d'une vision libertaire de la sexualité à une vision libérale? En analysant tout au long de cette production intellectuelle le discours sur la sexualité dans l'espace médiatique français, voilà la question à laquelle nous allons tenter de répondre. L'importance de cette question pour la compréhension de la société contemporaine est à démontrer, compte tenu de la rareté des études qui lui sont destinées. L'abondance de la sexualité médiatisée est en effet fréquemment mise en lumière. Cependant, la sexualisation des médias n'a -à notre connaissance -fait l'objet d'aucune analyse. Or l'étude de ces deux aspects du phénomène semble capitale; car, loin de concerner le seul domaine des plaisirs, ce processus de communication médiatisé donne des indices concernant l'évolution de la communication humaine et ses enjeux en France à l'heure de la mondialisation. La démocratie et son principe de liberté apparaît comme un élément fondamental de l'évolution de la société française. Dans la mise en contexte, nous récapitulerons brièvement les mouvements de contestation de la deuxième moitié du vingtième siècle, dont l'apogée se cristallise en mai 68. Le choix de cette date comme point de départ sera démontré tout au long de la première partie, car selon nous, c'est à partir de cette date que la conception individualiste de la société va prendre le dessus sur la conception collective. Les minorités sexuelles, qui étaient jusque-là considérées comme des groupes anormaux vont s'émanciper; de même, la pornographie va prendre son envol et devenir une activité lucrative. Dès lors, les langues se délient, la sexualité se banalise, voire se marchandise à tel point que ces valeurs font échos aux principes néolibéraux. Évoluant ainsi dans un climat de spéculation généralisée, nous analyserons ce que révèle la médiatisation du sexe sur l'évolution de la communication humaine? La deuxième partie de ce travail est une étude de cas. Nous analysons le discours érotique du magazine culturel Tout le monde en parle. Cette émission remplie de références à forte connotation sexuelle est intéressante, car elle démontre le niveau de sexualisation atteint par les médias. Notre étude s'effectue à partir d'un corpus sélectionné durant la période de manifestation anti CPE ; car, d'une part, plusieurs observateurs français se sont demandés s'il s'agissait des prémices d'un nouveau mai 68 ; d'autre part, il nous a semblé important de voir si, en période de crise, le discours du talk-show était plus axé sur les batifolages que sur les craintes des jeunes. Afin de saisir le contenu érotique de l'émission, nous élaborons notre étude sous la forme d'une pièce théâtrale, en trois actes et en trois analyses détaillées. D'une part la mise en scène permet de rester dans le cadre de l'émission, c'est-à-dire d'éviter le mélange des points de vue des personnalités publiques avec le discours des acteurs, et d'autre part de faciliter l'appréciation de l'analyse pour le lecteur. Dès lors que la sexualité occupe une place importante dans Tout le monde en parle peut-on encore garantir le rôle réflectif de l'émission? Telle est la question à laquelle nous allons tenter de répondre durant cet essai. Le dernier chapitre est une réflexion sur la spectacularisation du sexe dans les médias. À travers les calembours cul, cul-te et cul-ture. nous verrons qu'en ce début de millénaire -et malgré les luttes d'antan -, le discours érotique de la télévision atteste que les médias participent pleinement aux transformations de la représentation de la sexualité; et cela pour différentes raisons que nous allons décrypter. Ainsi, en ces temps de libéralisme économique, à l'heure où l'échange libidinal s'insère dans une logique marchande, quelle est la fonction des médias occidentaux? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Liberté, Démocratie, Libéralisme, Communication sociopolitique, Altérité, Sexualité.
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Rire le ventre vide : la caricature et les illustrations dans les quotidiens québécois pendant la crise des années 1930Lefrançois, Guillaume 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire vise à saisir les messages véhiculés dans La Presse, Le Soleil et L'Illustration nouvelle dans les années 1930. Nous avons utilisé la caricature comme objet d'étude afin de nuancer, par l'image et l'humour, ce qui était déjà connu sur les idéologies au Québec pendant cette décennie. Le contenu des caricatures varie d'une année à l'autre et épouse essentiellement les grandes lignes de l'actualité de l'époque. Les questions économiques, surtout traitées en 1932 - au cœur de la Crise - sont discutées sans remettre en doute les vertus du capitalisme et du libéralisme. 1935 étant une année électorale aux deux principaux paliers gouvernementaux, les caricatures et dessins d'actualité deviennent davantage politiques. Dans chaque journal, les critiques sont le plus souvent formulées en direction d'un seul parti, donnant ainsi un appui implicite à une autre formation, donc à la démocratie parlementaire. Cet appui tacite à la démocratie est plus clairement exprimé en 1938. Les tensions sur la scène internationale engendrent un lot de dessins défendant la paix et les grandes démocraties, aux dépens des dictatures. Ces manifestations de libéralisme sont à mettre en perspective avec le fait qu'il existe des exclus; femmes, immigrants et Africains sont représentés comme inférieurs. Des tabous et interdits font en sorte que des sujets sont évités et que certaines questions ne sont traitées que superficiellement. C'est à partir de ce principe qu'il est, par exemple, possible de rire des politiciens, mais non des institutions politiques. Nous y avons vu un rôle similaire à celui du carnaval, soit de permettre, par le rire, une contestation de surface des questions politiques et sociales. Par leur contenu idéologique, les dessins défendent donc essentiellement l'ordre en place, soit la société libérale telle qu'elle se présente au Canada.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Québec, Canada, années 1930, humour, caricatures, libéralisme, presse
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Le libérallisme politique de John Rawls et la reconnaissance des peuplesRoyer, Jean-Philippe January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La pensée d'Edmond Turcotte, éditorialiste au journal Le Canada (1931-1937)Tanguay, Marie-Eve January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L'ordre libéral nord-américain, l'impact des valeurs, des normes et des institutions démocratiques sur les relations canado-américaines en matière de sécurité de 1867 à 1958Roussel, Stéphane January 1999 (has links) (PDF)
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Communautarisme versus libéralisme: quel modèle d'intégration politique? Les présupposés normatifs d'une union politique européenne à la lumière des débats intellectuels contemporainsLacroix, Justine January 2002 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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