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Les facteurs influençant l'adoption du dossier de santé électronique personnel (DSE-P) pour le suivi et la gestion des maladies chroniques en première ligne de soins au Québec

Ghandour, El Kebir 24 April 2018 (has links)
Au Québec, l’implantation du dossier de santé électronique personnel (DSE-P) fait l’objet d’une expérimentation dans le cadre du projet Ma Première Ligne Numérique en Santé (MPLNS). Cependant, peu de données sont actuellement disponibles sur les conditions d’implantation, de fonctionnement, d’adoption et d’utilisation du DSE-P dans les organisations de soins au Québec ainsi que sur ses impacts potentiels. Principalement, l’adoption du DSE-P constitue une importante préoccupation de mise en œuvre. En effet, malgré leurs avantages potentiels avancés, la littérature note que le taux d'adoption de ces systèmes demeure encore très faible. Également, les études explorant l’adoption du DSE-P se sont principalement focalisées sur la perspective des patients et peu de recherche s’est intéressée à celles des professionnels et des organisations. De ce fait, l’objectif principal de cette étude est de décrire, analyser et comprendre les facteurs influençant l’adoption par les utilisateurs potentiels, les patients et les professionnels, d’un DSE-P pour le suivi et la gestion des maladies chroniques dans le contexte de la première ligne de soins au Québec selon les perspectives des patients, des professionnels et celle des gestionnaires. Une recherche par étude de cas avec méthodologie mixte, à prédominance qualitative, a été réalisée dans une organisation de première ligne qui a implanté le DSE-P dans le cadre du projet MPLNS, financé par le gouvernement du Québec en partenariat avec des partenaires privés. Les stratégies de collecte de données privilégiées dans cette recherche étaient : 1) une enquête quantitative réalisée en phase de préimplantation du projet auprès de la clientèle d’un groupe de médecine de famille, 2) des entrevues individuelles semi-structurées auprès des patients, des professionnels et des gestionnaires et 3) le recours à des sources documentaires afin de mieux décrire le contexte et l’évolution du projet. Nous avons principalement mené une analyse statistique descriptive des données quantitative et une analyse de contenu des données collectées lors des entrevues et celles issues des documents consultés. Cinquante-sept participants ont rempli le questionnaire dans le cadre de l’enquête en préimplantation et nous avons réalisé des entrevues individuelles auprès de quarante-trois personnes des trois groupes d’acteurs impliqués dans l’implantation du DSE-P : vingt-neuf patients soient dix-huit utilisateurs et onze non-utilisateurs, onze professionnels et trois gestionnaires. Notre étude a permis d’identifier un ensemble de thèmes principaux regroupant des facilitateurs ou des barrières à l’adoption du DSE-P par les patients et les professionnels, et à son intégration dans la pratique clinique. Il s’agit des caractéristiques individuelles des patients et des professionnels; de la qualité de la relation patients-professionnels et du contexte de la pratique clinique en première ligne; des caractéristiques de la technologie offerte et des conditions et du soutien organisationnels offerts aux utilisateurs : patients et professionnels. La nouveauté et l’apport de notre recherche se situent à deux niveaux. En premier, nous avons pu identifier et discuter les conditions les plus saillantes pouvant influencer l’adoption du DSE-P auprès des patients et des professionnels et vérifier leur pertinence pour la gestion des maladies chroniques dans le contexte particulier de la première ligne au Québec. Également, nous avons pu appliquer, pour la première fois, un nouveau cadre conceptuel à l’analyse des conditions organisationnelles influençant l’adoption du DSE-P par les professionnels selon une nouvelle approche pragmatique qui lie l’adoption sur le plan organisationnel à des précurseurs de l’efficacité de l’implantation. En conclusion, le DSE-P peut représenter un outil prometteur pour soutenir un rôle plus actif des patients atteints de maladies chroniques dans la gestion de leur état de santé et de leurs soins en collaboration avec l’équipe clinique de première ligne. Ainsi, le DSE-P semble avoir une place importante en première ligne de soins au Québec. Cependant, l’implantation et l’adoption d’un tel outil sont à envisager dans le cadre de nouveau modèle organisationnel impliquant la participation du patient et sa collaboration avec son équipe clinique, dont il constitue la principale prémisse. Néanmoins, une telle approche doit s’appuyer sur un changement de culture et requiert de repenser plusieurs processus cliniques et organisationnels et une redéfinition des rôles et des responsabilités des différents acteurs dans le réseau pour un nouveau partenariat patient-équipe clinique où les TIC doivent aussi être adaptées pour soutenir de nouvelles pratiques et une réorganisation des services. Ceci conduirait alors à privilégier le développement et l’intégration d’outils informationnels et communicationnels novateurs beaucoup plus imprégnés des réalités cliniques et organisationnelles. Le DSE-P peut ainsi être complémentaire au dossier médical électronique, outil de travail des professionnels de la première ligne, avec lequel il constituerait un même ensemble d’outils informationnels. Mots clés : Dossier de santé électronique personnel, Adoption, Implantation, Gestion des maladies chroniques, Première ligne de soins, Étude de cas, Québec. / In Quebec, My Digital Primary Health Care (MDPHC) is the first electronic personal health record (ePHR) implementation project funded by the province. However, little is known about ePHR implementation, adoption and use in healthcare organizations in Quebec as well as there is little information on their potential impacts. Mainly, adoption is a major concern for ePHR implementation. Indeed, despite the numerous potential benefits associated with ePHR use, the literature reports low adoption rates. Therefore, this research aimed to explore the perspective of chronically ill patients, professionals and managers regarding ePHR adoption, and to examine perceived barriers and facilitators to adoption among users enrolled in an ePHR pilot project in a primary care organization in Quebec. We conducted a case study with mixed method research, predominantly qualitative, in a primary care organization that has implemented an ePHR as part of the MDPHC project funded by the Government of Quebec. In this research, the strategies for data collection were: 1) a quantitative survey carried out in the project pre-implementation phase within a family medicine group, 2) individual semi structured interviews and 3) documentary analysis in order to describe the project context and evolution. We mainly conducted a descriptive statistical analysis of the quantitative data, and a content analysis of data collected during individual interviews and from project documents. Fifty-seven participants completed the questionnaire, and 43 people, including 29 patients (18 users and 11 users), 11 professionals and three managers were interviewed. We identified the most salient facilitators and barriers to ePHR adoption by chronically ill patients and professionals, and to ePHR integration into clinical practice. The main factors are patients’ and professionals’ individual characteristics; the quality of the patient-professional relationship and the clinical practice context in primary care organizations; the characteristics of the offered technology and organizational conditions and support to ePHR use. The contribution of our research was at two levels. First, we were able to identify the most salient conditions that can influence ePHR adoption by chronically ill patients and healthcare professionals and we verified their relevance to the context of the primary care in Quebec. Also, we applied for the first time a new conceptual framework for the analysis of the organizational conditions influencing ePHR adoption by professionals based on a new practical approach that links ePHR adoption by professionals to the project effectiveness of the implementation. ePHR represents a promising tool to support a more active role for chronically ill patients in their individual health condition and healthcare management in collaboration with clinical teams. Moreover, by improving chronically ill patients’ experience of care and increasing their interactions with professionals, ePHR seems to have a prominent place in primary care organizations in Quebec. However, the implementation and adoption of such tools have to be considered under new organizational model involving the patient participation and his collaboration with the clinical team, which it is the main premise. However, such an approach must rely on a change in culture, and requires rethinking several clinical and organizational processes and a negotiation and redefinition of roles and responsibilities of actors in the health network for a new patient- clinical team partnership where ICT should also be adapted to support new practices and a reorganization of the services. This would then lead to focus on the development and integration of informational and communicational innovative tools much more steeped in the clinical and organizational realities. ePHR can be complementary to the electronic medical record, the primary health care professionals’ working tool, with which it is the same set. Keywords: Electronic Personal Health Record, Adoption, Implementation, Chronic Disease Management, Primary Health Care, Case Study, Quebec.
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L'impact du statut socioéconomique et de la multimorbidité sur l'utilisation des soins ambulatoires au Québec / L'impact du statut socioéconomique et de la multimorbidité sur l'utilisation des soins ambulatoires au Québec

Mbuya-Bienge, Cynthia, Mbuya-Bienge, Cynthia January 2019 (has links)
La multimorbidité, la co-occurrence de deux maladies chroniques ou plus chez un même individu, est une condition de plus en plus commune avec le vieillissement de la population. La multimorbidité est associée de façon indépendante au statut socioéconomique (SSE) et à l’utilisation des soins de santé. Toutefois, l’effet combiné de la multimorbidité et du SSE sur l’utilisation des soins ambulatoires reste mal compris. Nous avons réalisé une étude de cohorte populationnelle rétrospective afin de déterminer l’impact du SSE des adultes multimorbides sur l’utilisation fréquente de trois types de soins ambulatoires: les admissions à l’urgence, les consultations d’omnipraticiens et les consultations de médecins spécialistes. À l’aide de modèles de régression logistique multivariés, nous avons calculé les proportions d’utilisation fréquente des soins ambulatoires en fonction du nombre de maladies chroniques stratifiées selon le niveau de défavorisation matérielle, le tout ajusté pour l’âge, le sexe, la défavorisation sociale et l’emplacement géographique. Notre étude populationnelle suggère que le SSE a un effet modifiant dans l’association entre la multimorbidité et les consultations fréquentes de médecins spécialistes. En effet, la différence de proportions ajustées de ces consultations, entre les individus les plus défavorisés et les moins défavorisés, passe de 0,1 % pour ceux sans maladies chroniques à 5,1 % pour ceux avec quatre maladies chroniques ou plus. Cette différence de proportions n’est pas observée pour les admissions fréquentes à l’urgence ou les consultations fréquentes d’omnipraticiens. Même dans un système de santé universel, on constate des disparités dans l’utilisation des soins ambulatoires selon le SSE. Bien que les individus défavorisés utilisent davantage les services d’urgences et d’omnipraticiens, cette utilisation semble proportionnelle au nombre de maladies. Cependant, pour les individus plus favorisés qui consultent davantage / La multimorbidité, la co-occurrence de deux maladies chroniques ou plus chez un même individu, est une condition de plus en plus commune avec le vieillissement de la population. La multimorbidité est associée de façon indépendante au statut socioéconomique (SSE) et à l’utilisation des soins de santé. Toutefois, l’effet combiné de la multimorbidité et du SSE sur l’utilisation des soins ambulatoires reste mal compris. Nous avons réalisé une étude de cohorte populationnelle rétrospective afin de déterminer l’impact du SSE des adultes multimorbides sur l’utilisation fréquente de trois types de soins ambulatoires: les admissions à l’urgence, les consultations d’omnipraticiens et les consultations de médecins spécialistes. À l’aide de modèles de régression logistique multivariés, nous avons calculé les proportions d’utilisation fréquente des soins ambulatoires en fonction du nombre de maladies chroniques stratifiées selon le niveau de défavorisation matérielle, le tout ajusté pour l’âge, le sexe, la défavorisation sociale et l’emplacement géographique. Notre étude populationnelle suggère que le SSE a un effet modifiant dans l’association entre la multimorbidité et les consultations fréquentes de médecins spécialistes. En effet, la différence de proportions ajustées de ces consultations, entre les individus les plus défavorisés et les moins défavorisés, passe de 0,1 % pour ceux sans maladies chroniques à 5,1 % pour ceux avec quatre maladies chroniques ou plus. Cette différence de proportions n’est pas observée pour les admissions fréquentes à l’urgence ou les consultations fréquentes d’omnipraticiens. Même dans un système de santé universel, on constate des disparités dans l’utilisation des soins ambulatoires selon le SSE. Bien que les individus défavorisés utilisent davantage les services d’urgences et d’omnipraticiens, cette utilisation semble proportionnelle au nombre de maladies. Cependant, pour les individus plus favorisés qui consultent davantage / Multimorbidity, the co-occurrence of two or more chronic diseases in the same individual, is an increasingly common condition with the aging of the population. Multimorbidity is independently associated with socioeconomic status (SES) and healthcare utilization. However, the combined effect of SES and multimorbidity on the use of ambulatory care services remains poorly understood. We conducted a retrospective population-based cohort study to determine whether the SES of multimorbid adults had an impact on the frequent use of three types of ambulatory care services: emergency room, general practitioners and specialist physicians. Using multivariate logistic regression models, we calculated the proportions of frequent ambulatory care use based on the number of chronic diseases, stratified by level of material deprivation and adjusted for age, sex, social deprivation and geographical location. Our population study suggests that SES has a modifying effect on the association between multimorbidity and the frequent use of specialist physicians’ services. In fact, for frequent specialist physicians’ visits, the difference in adjusted proportions of frequent use between the most deprived and the least deprived individuals, increased from 0.1% for those without any chronic disease to 5.1% for those with four or more chronic diseases. This difference in proportion is not observed for frequent visits to an emergency room or frequent visits to a general practitioner. Even in a public healthcare system, there are still disparities in the use of ambulatory care services according to the SES. Although individuals with a lower SES have a greater use of emergency rooms and general practitioners, this use seems proportional to the number of diseases. However, for individuals with a higher SES who visit specialist physicians more often, the disparities based on SES seem to increase with the number of diseases. Further studies are needed to better understand this phenomenon and to reduce social inequalities in health. / Multimorbidity, the co-occurrence of two or more chronic diseases in the same individual, is an increasingly common condition with the aging of the population. Multimorbidity is independently associated with socioeconomic status (SES) and healthcare utilization. However, the combined effect of SES and multimorbidity on the use of ambulatory care services remains poorly understood. We conducted a retrospective population-based cohort study to determine whether the SES of multimorbid adults had an impact on the frequent use of three types of ambulatory care services: emergency room, general practitioners and specialist physicians. Using multivariate logistic regression models, we calculated the proportions of frequent ambulatory care use based on the number of chronic diseases, stratified by level of material deprivation and adjusted for age, sex, social deprivation and geographical location. Our population study suggests that SES has a modifying effect on the association between multimorbidity and the frequent use of specialist physicians’ services. In fact, for frequent specialist physicians’ visits, the difference in adjusted proportions of frequent use between the most deprived and the least deprived individuals, increased from 0.1% for those without any chronic disease to 5.1% for those with four or more chronic diseases. This difference in proportion is not observed for frequent visits to an emergency room or frequent visits to a general practitioner. Even in a public healthcare system, there are still disparities in the use of ambulatory care services according to the SES. Although individuals with a lower SES have a greater use of emergency rooms and general practitioners, this use seems proportional to the number of diseases. However, for individuals with a higher SES who visit specialist physicians more often, the disparities based on SES seem to increase with the number of diseases. Further studies are needed to better understand this phenomenon and to reduce social inequalities in health.
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L’infirmière en GMF : vers une meilleure connaissance des activités réalisées auprès des personnes atteintes de maladies chroniques / Nursing activities for chronic disease patients in family medicine groups : toward a better understanding of their practice

Poitras, Marie-Ève January 2016 (has links)
Résumé : Contexte : Depuis la création des Groupes de médecine de famille (GMF), les infirmières peuvent assurer le suivi des personnes atteintes de maladies chroniques (MC). Il existe des écarts entre la littérature et la pratique. Un constat provincial permettra une compréhension des enjeux d’optimisation de la pratique infirmière auprès de cette clientèle grandissante. Objectifs : 1) décrire les activités de l’infirmière en GMF auprès des personnes atteintes de MC; 2) décrire les éléments contextuels déterminants de ces activités; 3) dresser un portrait provincial des activités des infirmières de GMF auprès des personnes atteintes de MC. Méthode : Un devis mixte séquentiel exploratoire en trois volets a été effectué. Volet 1 : Une étude de cas multiple a été réalisée auprès de dix infirmières de GMF. Cinq sources de données ont été utilisées : 1) observation des rencontres infirmière-patient (n=10); 2) entrevues individuelles avec chaque infirmière (n=10); 3) entrevues individuelles avec chaque patient (n=10); 4) audit des notes infirmières au dossier des patients participant (n=10) et; 5) documents administratifs décrivant la pratique des infirmières à l’intérieur des GMF. L’analyse qualitative a permis de générer une liste d’activités et de décrire les éléments contextuels qui déterminent les activités. Volet 2 : Un questionnaire électronique a été créé à l’aide de la liste d’activités produite lors du Volet 1 et de la recension des écrits. Il a été validé et prétesté. Volet 3 : Une enquête provinciale a été réalisée auprès de 322 infirmières de GMF. Des analyses descriptives telles que des fréquences, moyennes, étendues et écarts types ont été effectuées. Résultats : Volet 1 : les activités des infirmières de GMF auprès des personnes atteintes de MC sont regroupées en cinq domaines. Des éléments liés à l’organisation, aux infirmières et aux personnes atteintes de MC peuvent influencer les activités. Volet 3 : 266 infirmières ont complété le questionnaire. Les résultats démontrent que leurs activités se situent principalement dans les domaines de la Promotion de la santé et de l’Évaluation globale de la condition de la personne. Les activités en lien avec la Collaboration infirmière-médecin et l’Organisation de l’offre de services sont réalisées de façon occasionnelle. Conclusion : Cette étude a permis une description en profondeur des activités des infirmières de GMF auprès des personnes atteintes de MC. Il s’agissait d’un jalon important en vue d’optimiser les interventions liées à la prise en charge des MC en soins de première ligne. / Abstract : Context: Family Medicine Groups (FMG) are the most recently developed primary care organizations in Quebec (Canada). Nurses within FMG play a central role with patients with chronic diseases (CD). The portrait of the activities of FMG nurses with patients with CD has never been described. Objectives : 1) To provide a detailed description of FMG nurses’ activities with patient with CD; 2) To describe facilitators and barriers in regards to the development of these activities ; 3) To provide a provincial description of FMG nursing activities with patients with CD. Design : A mixed -method sequential explanatory design was conducted. Phase 1 : A multiple case study was performed with ten nurses practicing in FMG. Five data sources were used : 1) o bservation of meetings between nurses and patients (n=10); 2) individual semi-structured interviews with nurses (n=10) ; 3) individual semi-structured interviews with patients (n=10) ; 4) chart audits of participating patients (n=10) and 5) FMG document reviews. Qualitative analysis generated a list of activities and contextual elements. Phase 2 : A descriptive web survey was developed using the list of activities and systematic review. The web survey was validated and pre-tested. Phase 3 : A web-based survey was sent to 322 nurses practicing in Family Medicine Groups (FMG) . Descriptive statistics were summarized using frequencies, means, ranges and standard deviations. Results : Phase 1 : Multiple case study findings show that activities are clustered into five domains. Elements related to organization, nurse and patients with CD have an important impact on nurses’ activities. Phase 3 : 266 nurses answered the survey . Activities that fall under the domain “Health promotion” and “Global assessment of the patient” are the most frequently carried out by FMG nurses. Activities under the “Health services organization” domain are the ones performed the least . Conclusions : This study provides an in-depth description of nursing activities with patients with CD in the province of Quebec, Canada. Understanding this issue is crucial to optimize the primary care nursing workforce.
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Analyse des phases récentes de la transition épidémiologique au Canada : 1958-1999

Lussier, Marie-Hélène January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Study of Rgmc regulation by iron levels, anemia, inflammation and hypoxia

Salbany Constante Pereira, Marco January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le patient face à la technologie : étude des déterminants de l'acceptabilité des technologies en santé / The patient faced technology : a study of the determinants of health technologies acceptability

Salas toquero, Caroline 18 December 2018 (has links)
Introduction : En psychologie de la santé, les études réalisées pour comprendre les perceptions des technologies par les patients sont peu nombreuses et nécessitent d’être développées. Ce travail a eu pour objectif d’identifier et d’évaluer les déterminants qui composent l’acceptabilité des nouvelles technologies en santé, en associant les développements issus de la psychologie sociale et de la psychologie de la santé.Méthodologie : Pour évaluer l’acceptabilité des technologies de santé, auprès des patients et des professionnels de santé, nous avons réalisé trois études. Nous avons choisi d’utiliser une approche par méthodes multiples (Ajzen, 1991 ; Fisher & Tarquinio, 2006) dans le but d’identifier les différents déterminants prédisant l’intention d’usage des technologies.Objectifs et études : Le premier objectif de notre travail a consisté à choisir le modèle le plus approprié parmi les théories intentionnelles classiques et à identifier les déterminants pouvant le compléter. Les résultats obtenus, à l’aide de la méthodologie qualitative par focus group, révèlent que les déterminants proposés dans le modèle de l’UTAUT (Venkatesh, 2003), complété de déterminants affectifs et interpersonnels, semblent les plus appropriés pour évaluer le processus d’acceptabilité en santé. Dans une seconde étude, nous avons proposé d’adapter le modèle de l’UTAUT en y associant une dimension affective, composée de l’anxiété et de la confiance envers la technologie, puis nous avons testé le pouvoir prédictif de ce modèle auprès de patients et de professionnels de santé. Ce modèle admet des résultats tout à fait satisfaisants pour prédire l’intention d’usage. Chez les patients, les technologies sont initialement appréhendées au travers des composantes émotionnelles et générales (anxiété perçue et attitude) alors que chez les professionnels de santé, expérimentés et familiers, les technologies sont appréhendées au travers des composantes cognitives et spécifiques (utilité et contrôle perçus). Pour améliorer notre modèle, nous avons ensuite exploré dans une troisième étude, deux nouvelles variables correspondant au niveau de confiance envers le médecin et aux connaissances sur la technologie issues de la relation médecin-patient (dimension interpersonnelle).Discussion : La proposition d’un modèle intégratif d’acceptabilité des technologies en santé basé sur le modèle de l’UTAUT, complété par une dimension affective et une dimension interpersonnelle, apparaît être un modèle prometteur pour comprendre les perceptions des usagers face aux technologies. / Introduction: In health psychology, few studies have been conducted to understand patients' perceptions of health technologies and need to be carried out. This work aims to identify and evaluate the determinants that make up the acceptability of new technologies in health, by associating developments from social psychology and health psychology.Methodology: To investigate patient and health professional acceptability of health technologies, we conducted three studies. We chose to use a multiple methods approach (Ajzen, 1991, Fisher & Tarquinio, 2006) in order to identify the different determinants predicting the intention to use technologies.Objectives and studies: The first objective of our work was to select the most suitable models of behavioral intention, and then tailor it by adding pertinent variables. The results, using the qualitative focus group methodology, revealed that the determinants proposed in the UTAUT model (Venkatesh, 2003) supplemented with affective and interpersonal determinants, seemed the most appropriate to evaluate the process of acceptability. In a second study, we proposed adapting the UTAUT model, associating an affective dimension composed of anxiety and trust in technology, and then testing the predictive power of this model with patients and health professionals. This model showed quite satisfactory results in predicting acceptability. In patients, the technologies are initially perceived through emotional and general components (perceived anxiety and attitude) whereas among experienced and familiar health professionals, the technologies are understood through cognitive and specific components (perceived utility and control). To optimize our model we added two new variable of the doctor-patient relationship representing the level of patient’s trust in the doctor and the effectiveness of the explanation of the technology (interpersonal dimension).Discussion: The proposal of an integrative model of acceptability of health technologies based on the UTAUT model, supplemented by an affective dimension and an interpersonal dimension, appears to be a promising model to understand users' perceptions of technologies.
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Composantes neuromusculaires dans l'étude de l'intolérance à l'effort chez les patients atteints de maladie chronique /

Doyon, Jean-François. January 2004 (has links)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2004. / Bibliogr.: f. 92-112. Publié aussi en version électronique.
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L'humain à l'épreuve de la télémédecine : pour une éthique du télésoin sensible à la temporalité et à la santé émotionnelle de la personne / The human challenge of telemedecine : towards of time-sensitive and person-centered ethics of home telecare

Bardy, Philippe 08 December 2016 (has links)
Cette thèse interroge principalement le régime temporel et la dimension psycho-émotionnelle des patients atteints de maladies chroniques (diabète, insuffisances rénale et cardiaque) engagés dans des protocoles de télésurveillance et d’auto-gestion de soins à domicile en France : un ensemble de pratiques que l’on nomme le télésoin. L’analyse phénoménologique de « l’expérience patient » de la dialyse à domicile, du suivi cardiaque à distance et de l’insulinothérapie, remet au centre de la réflexion éthique les valeurs de temporalité et de sensibilité affective, constitutives de l’identité du « sujet de soin ». Mis à l’épreuve des objets informatisés du soin et autres objets connectés captifs de la temporalité de la maladie, que l’on appelle « chrono-technologies », l’individu n’est cependant pas l’objet neutre d’un symptôme à décrypter. Le patient est en effet une personne, c’est-à-dire à la fois un être personnel et un cosoignant dont le savoir sur la maladie peut et doit être pris en charge par des pratiques « chronosensibles», soucieuses du régime temporel et de la dimension psycho-affective de la personne.Ces pratiques relèvent d’une éthique axée sur la vulnérabilité, la santé émotionnelle et la dimension relationnelle du soin, reconnaissant sa dette envers l’éthique médicale et l’éthique Ducare, qui vise un triple objectif : encadrer les bonnes pratiques du télésoin, définir les conditions de possibilité d’une nouvelle alliance thérapeutique respectueuse des personnes dans leurs valeurs propres et leurs préférence et réconcilier la technicité et l’humanité du (télé)soin. / This thesis examines primarily the temporalities and the psycho-emotional dimensions of diabetes, chronic renal and heart failures in French patients engaged in home telemonitoring and self-care management practices, also known as telecare. Based on patients experience, the phenomenological approach to home dialysis, heart telemonitoring and insulintherapy proposed in this thesis, brings the values of temporality and affective sensibility, whichare constitutive of the “care subject’s” identity, back to the center of the current ethical debate.Technologically-challenged patients, using computerized devices and other connected objects to collect time-sensitive data about their health, also known as “chrono-technologies”, are not neutral carriers of diagnosable symptoms. Indeed, patients are persons, or personal beings aswell as co-carers, whose know-how must be acknowledged in “time-sensitive” care practices. Such practices, which address patients’ temporalities and psycho-emotional issues, require a relational ethics, inspired by medical ethics and an ethics of care, focusing on vulnerability andemotional health. The aim of this relational ethics is threefold: overseeing telecare good practices, defining the possible conditions for a new therapeutic alliance compliant with patients’own values and preferences and reconciling the technical and human sides of (tele)care.
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Etude de l'intérêt des outils numériques pour évaluer et promouvoir l'activité physique chez des patients atteints de maladies chroniques / Study of the interest of digital tools to estimate and promote the physical activity in patients with chronic disease

Paris, Ludivine 05 July 2018 (has links)
Les maladies chroniques non transmissibles sont la première cause de mortalité évitable dans le monde. L’origine de ces maladies est multifactorielle. L’inactivité physique (IP) et la sédentarité sont progressivement devenues des facteurs de risque majeurs de ces maladies. L’activité physique (AP) régulière permet d’améliorer la santé et de prévenir les risques de comorbidités et de mortalité. L’arrivée massive des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) offre de nouveaux outils de promotion de l’AP. L’objectif de ces travaux est d’évaluer le potentiel des TIC en tant que support d’accompagnement en AP auprès de patients atteints d’une maladie chronique. Ainsi, le premier travail avait pour objectif de déterminer les connaissances, usages et intérêts des patients vis-à-vis de l’utilisation des TIC dans le parcours de soins et pour l’AP. Dans une deuxième étude, nous avons étudié l’effet d’un réentrainement supervisé de trois mois et d’un podomètre sur les intentions et les motivations vis-à-vis de l’AP, la perception de l’état de santé et le niveau d’AP et de sédentarité de sujets porteurs de pathologies chroniques. Enfin, la troisième étude portait sur l’impact d’un atelier d’information en AP Adaptée (APA) couplé à l’utilisation d’un dispositif numérique d’accompagnement personnalisé pendant un an, comparé à celui d’une brochure d’information et d’exemples d’exercices en APA, sur l’atteinte des recommandations en AP chez des patients. Ces travaux montrent que les patients atteints de maladie chronique utilisent les TIC, mais qu’ils ont des connaissances technologiques partielles. Ils sont moyennement favorables à l’utilisation de ces outils dans le domaine de la santé et de l’AP. Les patients ont besoin d’être rassurés et formés à l’utilisation de ces nouveaux outils. La prise en charge thérapeutique par l’AP est efficace pour instaurer le changement comportemental chez les patients mais ne permet pas de le maintenir sur le long terme. La remise d’un podomètre ne suffit pas à les remotiver pour pratiquer l’AP. Les résultats préliminaires de la troisième étude obtenus sur un sous–échantillon des patients indiquent qu’un atelier en APA suivi d’un accompagnement personnalisé par un dispositif numérique ou que la remise d’une brochure de conseils et d’exemples d’exercices pourrait augmenter la quantité d’AP déclarée à 12 mois. L’analyse en intention de traiter reste à faire pour confirmer ces résultats. La prise en charge thérapeutique par l’AP est efficace pour instaurer le changement comportemental, à condition que le patient soit prêt et motivé. Souvent elle ne suffit pas pour maintenir ce changement sur le long terme, révélant la nécessité d’un accompagnement personnalisé en AP, qui peut prendre plusieurs formes suivant les besoins des patients (sessions d’AP individuelles ou en groupe, dispositif numérique, brochure). / Non communicable chronic diseases are the first cause of avoidable death in the world. The origin of these diseases is multifactorial. Physical inactivity and sedentary behavior are gradually becoming major risk factors. Regular Physical Activity (PA) allows improving health and preventing the risks of comorbidity and mortality. Massive development of Information and Communication Technologies (ICT) offers new tools of PA promotion. The aim of these works is to assess the ICT as a mean to support patients with chronic diseases in their PA practice. Thus, the first study aimed to determine patients’ knowledge, use and interest towards ICT applied to health and PA fields. In a second study, we studied the impact of a 3-months supervised PA program associated with a pedometer on the intentions and motivations towards PA, perceived health and active and sedentary behaviors. Finally, the third study was a one-year intervention comparing the effect of an Adapted Physical Activity (APA) workshop associated with a personalized digital system with that a guideline and examples in APA on the achievements of the PA recommendations. These works showed that patients with chronic diseases used the ICT, but they had partial technological knowledge. They were moderately in favour of the ICT use in health and the PA fields. The patients needed to be reassured and trained in the use of these new tools. Patients care by PA resulted in a significant change in behavior but did not allow maintaining it in the long term. The pedometer was not sufficient to increase PA practice. Preliminary results of the third study indicated that an APA workshop followed by a personalized digital system use or a guidelines and exercises book could increase reported PA level 12 months after the study beginning. The intent-to-treat analysis will be performed later to confirm these results.Patients care by PA is effective to provoke behavioral changes if the patient is ready and motivated by health benefits. Often this initial care is not sufficient to keep 150 min-by week PA in the long term, revealing the need to continue the patients’ accompanying. Several forms could be considered depending on patients’ needs (individual or group sessions, digital device, guideline).
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Access to care for the poor living with chronic disease in India : an analysis of selected national health policies

Grimard, Dominique 01 1900 (has links)
Cette recherche sur les barrières à l’accès pour les pauvres atteints de maladies chroniques en Inde a trois objectifs : 1) évaluer si les buts, les objectifs, les instruments et la population visée, tels qu'ils sont formulés dans les politiques nationales actuelles de santé en Inde, permettent de répondre aux principales barrières à l’accès pour les pauvres atteints de maladies chroniques; 2) évaluer les types de leviers et les instruments identifiés par les politiques nationales de santé en Inde pour éliminer ces barrières à l’accès; 3) et évaluer si ces politiques se sont améliorées avec le temps à l’égard de l’offre de soins à la population pour les maladies chroniques et plus spécifiquement chez les pauvres. En utilisant le Framework Approach de Ritchie et Spencer (1993), une analyse qualitative de contenu a été complétée avec des politiques nationales de santé indiennes. Pour commencer, un cadre conceptuel sur les barrières à l’accès aux soins pour les pauvres atteints de maladies chroniques en Inde a été créé à partir d’une revue de la littérature scientifique. Par la suite, les politiques ont été échantillonnées en Inde en 2009. Un cadre thématique et un index ont été générés afin de construire les outils d’analyse et codifier le contenu. Finalement, les analyses ont été effectuées en utilisant cet index, en plus de chartes, de maps, d'une grille de questions et d'études de cas. L’analyse a tété effectuée en comparant les barrières à l’accès qui avaient été originalement identifiées dans le cadre thématique avec celles identifiées par l’analyse de contenu de chaque politique. Cette recherche met en évidence que les politiques nationales de santé indiennes s’attaquent à un certain nombre de barrières à l’accès pour les pauvres, notamment en ce qui a trait à l’amélioration des services de santé dans le secteur public, l’amélioration des connaissances de la population et l’augmentation de certaines interventions sur les maladies chroniques. D’un autre côté, les barrières à l’accès reliées aux coûts du traitement des maladies chroniques, le fait que les soins de santé primaires ne soient pas abordables pour beaucoup d’individus et la capacité des gens de payer sont, parmi les barrières à l'accès identifiées dans le cadre thématique, celles qui ont reçu le moins d’attention. De plus, lorsque l’on observe le temps de formulation de chaque politique, il semble que les efforts pour augmenter les interventions et l’offre de soins pour les maladies chroniques physiques soient plus récents. De plus, les pauvres ne sont pas ciblés par les actions reliées aux maladies chroniques. Le risque de les marginaliser davantage est important avec la transition économique, démographique et épidémiologique qui transforme actuellement le pays et la demande des services de santé. / This research on the barriers to access chronic disease care for the poor in India has three objectives: 1) to assess whether the goals, objectives, instruments and targeted populations, as formulated in current national health policies in India, address the main barriers to access chronic disease care for the poor; 2) to assess the types of policy levers and instruments identified in current national health policies to address these barriers to access; 3) And to assess whether national health policies in India have improved over time with respect to ensuring chronic disease care to the population and more specifically to the poor. Using Ritchie and Spencer’s framework approach (1993), a qualitative content analysis was completed on selected Indian national health policies. To begin with, a conceptual framework on the barriers to access chronic disease care for the poor in India was generated from a review of the scientific literature. Policy documents were then sampled in India in 2009. A thematic framework and index scheme were generated to build the analysis tools and codify the content. Finally, the analysis was conducted using indexing, charts, maps, questions grids and case studies. It was achieved by comparing the barriers to access identified in the original conceptualization to those identified by the content analysis of each policy. This research highlights that a number of barriers to access for the poor in India are addressed by national health policies as they relate to upgrading services in the public sector, improving the knowledge of the population and scaling up some interventions for chronic disease care. On the other hand, barriers related to the costs of chronic disease care, the affordability of outpatient services and people’s ability to pay for them were the least addressed from the framework that was previously established. Moreover, when looking at the timeline of our sample of policies, it appears that efforts to scale up interventions for physical chronic diseases are more recent. In addition, the poor are not targeted specifically for actions related to chronic disease care. The risk of marginalizing them further is important as economic, demographic and epidemiologic transitions are transforming the country and the demand for health services.

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