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Tables de concertation et préservation du patrimoine, solution porteuse ou chimère ? : deux cas d’étude, le Vieux-Montréal et le mont Royal

Krim, Nacéra 05 1900 (has links)
La concertation est un phénomène récent, de plus en plus répandu. Elle s’applique à de nombreux domaines notamment en urbanisme et plus récemment à la protection du patrimoine. Elle semble être un outil approprié pour les autorités municipales afin de faire face aux conflits autour des projets d’aménagement particulièrement ceux liés à la protection du patrimoine. Notre questionnement porte sur l’apport de la concertation dans le domaine de la préservation du patrimoine et sur la pertinence des moyens mis en place pour atteindre un tel objectif. Les tables de concertation, en tant que processus de concertation, sont-elles appropriées pour la gestion des sites patrimoniaux ? À la lumière d’une discussion théorique sur le concept de la concertation en aménagement, nous faisons l’analyse comparative de deux Tables de concertation, celle du Vieux-Montréal et celle du Mont-Royal. Notre analyse porte sur l’évaluation du processus de concertation et sur la construction d’une vision globale pour le devenir des secteurs patrimoniaux concernés. L’objectif est de caractériser le processus de concertation utilisé à Montréal et d’en apprécier l’apport dans le domaine de la protection du patrimoine. L’analyse de nos deux cas d’étude révèle l’existence d’un processus de concertation propre à Montréal, avec ses caractéristiques spécifiques, mais qui reste à parfaire pour son optimisation. Notre recherche se conclut sur la nécessité d’améliorer le processus de concertation, tel qu’étudié, à travers un certain nombre de pistes à explorer. / Consensus building is a recent and increasingly widespread phenomenon. It is used in many areas, including urban planning, and more recently heritage protection. Consensus building appears to be an appropriate tool for municipal authorities to handle conflicts in development projects, especially those projects that are related to heritage protection. Our research focuses on the contribution of consensus building in the area of heritage preservation, and on the means put in place to achieve such a goal. Are round tables, as part of the consensus building process, appropriate in managing heritage sites? Based on a theoretical discussion on consensus building in development issues, we compare two case studies, namely the Old Montréal and the Mount Royal round tables on consensus building. This analysis focuses on assessing the consensus building process and on developing a global vision for the future of the two heritage sectors under study. Our goal is to characterize the consensus building process used in Montréal and to evaluate its contribution to the field of heritage protection. The analysis of our two case studies reveals the existence of a distinctive consensus building process specific to Montréal, a process which however needs to be optimized. We conclude our research with the need to improve the assessed consensus building process through a number of avenues to explore.
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Cartographie de l'utilisation du sol dans l'Est algérien : essai de zonage agricole

Bord, Jean-Paul 15 April 1981 (has links) (PDF)
Ce travail de recherche a débuté à l'automne 1977 dans le cadre des relations entre les Universités de Constantine et de Montpellier III. Cette thèse s'inscrit donc dans un ensemble de recherches plus vastes, visant à éliminer les zones d'ombre dans la connaissance des campagnes algériennes (structures foncières, pédologie, hydraulique...). Il s'agit d'une contribution à l'étude de l'utilisation du sol, à la cartographie car "la cartographie apparaît comme le plus sûr et le plus commode des moyens de mémoriser, de traiter et de présenter la distri- bution générale et la régionalisation d'un phéno- mène ou d'un groupe de phénomènes", enfin, une délimitation des régions agricoles dans l'Est Algérien conduisant à un zonage de cette région. Ce travail se présente donc comme un essai de géographie appliquée.
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La vie rurale en Syrie centrale à la période protobyzantine (IVe-VIIe siècle). / Rural life in Central Syria in the early Byzantine period (4th-7th century).

Rivoal, Marion 15 March 2011 (has links)
La Syrie centrale connaît au début de la période byzantine, et en particulier au Ve et au VIe siècle, un fort mouvement d’expansion des sédentaires vers l’est, qui coïncide avec une importante mise en valeur de ces nouveaux territoires. Comme pour d’autres régions de Syrie et du Proche-Orient à la même époque, un optimum climatique – pourtant déclinant – semble avoir permis la conquête et l’exploitation agricole de nouveaux terroirs dans une zone marginale qui n’avait jusqu’alors connu qu’une occupation sédentaire ponctuelle. La Syrie centrale est caractérisée par des milieux aux potentiels agronomiques très différents, souvent imbriqués. Le peuplement et la mise en valeur y sont soumis à la double contrainte de l’aridité climatique et édaphique, qui s’exerce avec une prégnance croissante vers le sud et l’est. Ces conditions, qui s’améliorent localement à la faveur de niches écologiques, ont permis à des politiques de mise en valeur et à des économies distinctes, souvent complémentaires, de voir le jour.Dans une région où les cités paraissent en grande partie absentes, l’économie repose d’abord sur les villages et sur quelques bourgs qui possédaient manifestement une orientation commerciale spécifique. Aux côtés des agglomérations, et souvent d’autant plus nombreux que les conditions d’implantation sont délicates, des fermes et des monastères s’affirment comme des acteurs économiques apparemment indépendants et souvent prospères. Des entités géographiques relativement homogènes ont donné lieu à une répartition des différentes formes de peuplement et à des économies microrégionales spécifiques. Si l’agriculture vivrière reste la règle, il semble bien cependant qu’on observe une spécialisation locale des productions : culture du blé et accessoirement plantations à l’ouest, oléiculture et peut-être viticulture dans les plateaux basaltiques du nord-ouest et vraisemblablement un élevage spéculatif, qu’on doit probablement attribuer à des populations sédentaires, dans les secteurs sud et est. / In Late Antiquity, especially between the 5th and 6th centuries, Central Syria witnessed a strong expansion of sedentary settlements eastward, which coincided with a significant agricultural development of these new territories. As for other areas in Syria and Near-East at the same period, a waning climatic optimum seems to have allowed byzantine population to settle down in marginal areas which barely experienced hitherto sedentary occupation and farm nearly unbroken lands.Central Syria is made up of various landscapes, sometimes deeply nested, with contrasted agricultural potential. Settlements and agricultural exploitation are affected by an increasingly significant climatic and edaphic aridity eastward and southward. These conditions, which may locally improve thanks to ecological niches, enabled specific and often complementary substance strategies to develop.In a country whence cities are virtually absent, villages and a few market towns seem to be at the very root of the regional economy. Along with agglomerations, scattered habitats – namely farmsteads and monasteries –, more numerous under heavy bioclimatic constraints, would appear as independent and apparently prosperous economic players.Homogeneous geographic areas led to specific settlement patterns and different economic orientations. Food-producing agriculture remains the rule, but a local productive specialization may be noticed: mainly wheat production and incidentally plantations westward, olive-growing and maybe wine-growing as well in the north-west basaltic plateaus and presumably speculative livestock exploitation eastward and southward, probably mostly due to sedentary populations.
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LE TRAITEMENT JURIDIQUE D'UNE SINGULARITÉ TERRITORIALE : LA ZONE CÔTIÈRE. ÉTUDE EN DROIT INTERNATIONAL ET DROIT COMPARÉ FRANCO ITALIEN.

Rochette, Julien 10 July 2007 (has links) (PDF)
Longtemps le littoral - symbole de mort, domaine des monstres redoutables - n'est resté qu'un « territoire du vide », déserté des populations et des voyageurs. La crainte que suscite alors ce milieu, hostile et répulsif jusqu'au XVIIIe siècle, n'exige aucunement l'adoption d'un corps de règles étoffées : la justification du droit, sa finalité sociale plus particulièrement, disparaît en effet dès lors que l'espace reste exempt de toute pression anthropique. Depuis le début du XXe siècle toutefois, le phénomène de littoralisation conduit à une multiplication des conflits d'usage auxquels la règle juridique doit faire face. Ainsi la gestion rationnelle des zones côtières impose-t-elle aujourd'hui une reconnaissance juridique de la spécificité de ce territoire singulier. À échelle internationale, la nature même du littoral et ses exigences de gestion intégrée semblent pourtant difficilement saisissables par le droit. Dès lors, comme pour d'autres matières relevant de la protection de l'environnement marin, le recours à l'approche régionale s'impose comme une démarche des plus pertinentes : en témoignent les initiatives menées par le système régional méditerranéen, dont les évolutions récentes laissent présager l'adoption du premier instrument juridique supra-étatique de protection du littoral. Dans cette attente, la préservation des zones côtières relève avant tout des droits internes. Ainsi, confrontés à des pressions souvent identiques, les zones côtières restent diversement appréhendées par le droit et font donc l'objet de stratégies de gestion distincte : c'est ce que révèle l'étude des systèmes juridiques français et italien.
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Le principe de solidarité écologique / The principle of ecological solidarity

Danna, Charlotte 07 September 2018 (has links)
Adopté par l’article 2 de la loi n°2016-1087 de reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages du 8 aout 2016, le principe de solidarité écologique appelle « à prendre en compte, dans toute prise de décision publique ayant une incidence notable sur l’environnement des territoires concernés, les interactions des écosystèmes, des êtres vivants et des milieux naturels ou aménagés ». Ce principe général du droit de l’environnement inscrit à l’article L110-1 du code de l’environnement est destiné à conserver les interactions écosystémiques et les processus écologiques ainsi qu’à améliorer la gestion environnementale des territoires. La dualité de son objet en fait un principe d’une grande richesse, qui devrait concerner de nombreuses décisions. Divers fondements supranationaux, au sein de la jurisprudence et dans les textes internationaux et européens peuvent ainsi lui être attribués. Dans un contexte d’interdépendance écologique, l’évolution de la dimension internationale et européenne du principe reste essentielle pour juger de ses effets au regard de la conservation de la biodiversité. Au niveau du droit interne, son ancrage au cœur de l’équilibre de l’environnement lui apporte un rayonnement particulier. Il conforte le droit à un environnement équilibré et prolonge les principes constitutionnels de prévention et de développement durable. Face à la crise d’extinction mondiale de la biodiversité menaçant notre survie, le principe de solidarité écologique se présente comme cette ultime chance de la conserver. Deux grands ensembles de dispositifs permettent de mesurer la dynamique du principe de solidarité écologique : la trame verte et bleue et la gestion intégrée de la mer et du littoral. Ils constituent une base pour concevoir la solidarité écologique et représentent ainsi le commencement d’un droit nouveau. Le principe de solidarité écologique appelle à les renforcer et, de manière plus générale, à faire évoluer l’ensemble des décisions concernées par le principe. / Adopted by article 2 from act nr 2016-1087 concerning the reconquest of biodiversity, nature and landscape of August 8th 2016, the principle of ecological solidarity calls “for taking into consideration the interactions of ecosystems, living creatures and natural or developed environments in all public decisions having a notable impact on the environment of the territories concerned”.This general principle of environmental law inscribed in article L110 1 of the environmental code is designed to preserve the interactions of ecosystems and ecological processes as well as to improve the environmental management of the territories. The duality of its objective renders it a highly valuable principle which should be applied to numerous decisions. Various supranational foundations, within jurisprudence and in international and European laws, can thus be assigned to it. In the context of ecological interdependence the evolution of the international and European dimension of the principle remains essential in order to see the benefits concerning the safeguarding of biodiversity. It is greatly enhanced, as regards internal law, by the fact that it is at the very center of the environment's equilibrium. It justifies the right to a balanced environment and extends the constitutional principles of prevention and sustainable development. Confronted with the crisis of world-wide biodiversity extinction that threatens our survival, the principle of ecological solidarity emerges as the last chance to preserve it. Two major groups of systems allow us to measure the dynamics of the principle of ecological solidarity: the green and the blue line belt network and the Ocean and coastline Governance Framework. They constitute a basis on which to develop ecological solidarity and represent the beginnings of new legislation. The principle of ecological solidarity requires them to be reinforced and more generally to advance all decisions concerned by the principle.

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