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A escrita sobre a amizade, um exercício do julgamento em MontaigneSilva, Nelson Maria Brechó da 22 November 2017 (has links)
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Previous issue date: 2017-11-21 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / This thesis has a target to show the friendship as exercise of judgment in Montaigne, inspired by his friend La Boetie. From this famous friendship, which was disrupted by the death of La Boetie, follows, on the one hand, a study of the concept of friendship on Montaigne’s Essais and his main partners. On the other hand, the humanistic traits of the essayist in the passage from alterity to identity. The interpretation of the text allows reflections about friendship according to the image of the writing, painting, transfiguration and mirror / A presente tese pretende situar a amizade como um exercício do julgamento em Montaigne, que evoca a figura de seu amigo La Boétie. A partir dessa célebre amizade que foi rompida com a morte de La Boétie, segue-se, por um lado, uma análise do conceito de amizade nos Essais de Montaigne e de seus interlocutores. Por outro, os traços humanísticos do ensaísta na passagem da alteridade à identidade. A interpretação do texto permitirá reflexões sobre o sentido maior da amizade à luz da imagem da escrita, da pintura, da tranfiguração e do espelho
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La Boétie et Montaigne : la lecture comme exercice de libération de la penséeMathieu, Geneviève 01 1900 (has links) (PDF)
La seconde moitié du XVIe siècle en France se caractérise par un conflit général des autorités. L'essor de la notion de liberté individuelle, les progrès de l'imprimerie et l'activité des humanistes ont multiplié le nombre de livres disponibles chez les particuliers afin de favoriser l'affirmation de la confiance en l'homme par les seules forces de sa raison. Paradoxalement, en même temps que le lecteur se retrouve davantage en compagnie de livres, il risque de se limiter à la répétition bornée et à la compilation de citations qui nuisent à l'élaboration d'une pensée à soi. Dans sa réflexion sur la lecture, Montaigne affirme que l'autorité de l'écrivain ne doit pas assujettir la liberté du lecteur. Au contraire, il revendique pour son lecteur et lui-même une position de non-assimilation. Cette affirmation devient toutefois problématique dans la mesure où l'on sait que la couche la plus ancienne des Essais est issue de citations trouvées dans ses lectures des auctoritates de l'Antiquité. L'objectif central de cette recherche est de mieux comprendre les liens entre la lecture et le libre exercice de la pensée dans les Essais de Montaigne. Comment est-il possible de transformer et d'assembler les emprunts à la tradition littéraire pour en faire un ouvrage personnel? Aussi, comment les lectures peuvent-elles asservir le lecteur ou à l'inverse, le libérer? L'hypothèse de ce mémoire est que la lecture que Montaigne a faite du Discours de son ami La Boétie, avec sa critique décapante des autorités politiques et des auctoritates de la littérature, fut déterminante dans l'exercice autonome de sa pensée.
Partant de ce constat, le premier chapitre de ce mémoire portera sur la critique boétienne des autorités politiques sur les thèmes de la liberté, l'amitié et la servitude. Quels en sont les effets sur la manière dont s'inscrivent les auctoritates de la littérature dans le Discours et que peuvent-elles nous apprendre sur la façon dont La Boétie les lit et veut que son lecteur le lise? À cette fin, la nature des liens qui l'unit aux auctoritates et à sa façon de les critiquer sera examinée. Puisque Montaigne a écrit dans les Essais que le Discours de La Boétie fut en quelque sorte l'amorce de leur amitié, le deuxième chapitre examinera la lecture qu'en a faite Montaigne et le dialogue qui va s'instaurer entre les deux œuvres, notamment pour ce qui est de la question des auctoritates et des rapports que Montaigne établit entre liberté, amitié et servitude. Enfin, il faudra examiner minutieusement, dans le troisième chapitre, la réception que les protestants ont réservée au Discours ainsi que la défense aux aspects souvent contradictoires qu'en fit Montaigne dans l'essai De l'amitié. De plus, il sera pertinent d'étudier comment la réception protestante du Discours se répercute jusque dans les rapports complexes et variés que ce texte entretient, à son tour, avec le lecteur des Essais. En vue de mieux circonscrire cette pratique originale de la lecture montaignienne, qui ne doit pas tout au Discours de La Boétie et qui est intimement liée avec notre étude du statut et de la critique de l'auctoritas, ce mémoire privilégiera une approche à la fois intertextuelle et dialogique du texte qui permettra de faire un bilan critique sur les différentes formes de la présence de La Boétie dans les Essais, question que l'on trouvait jusqu'ici éparse dans les études montaigniennes. En procédant de la sorte, notre recherche se donne comme objectif non seulement de mieux comprendre des notions de lecture, de liberté, d'amitié et de servitude dans les Essais de Montaigne, mais aussi d'innover en caractérisant mieux le type de rapport non-autoritaire existant entre le lecteur idéal représenté dans les Essais et Montaigne, lui-même lecteur des auctoritates.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Littérature de la Renaissance, Discours de La Boétie, Essais de Montaigne, lecture critique des auctoritates, tradition littéraire et critique, intertextualité, dialogisme.
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A Universal and Free Human Nature: Montaigne, Thoreau, and the Essay GenreTapley, Lance January 2002 (has links) (PDF)
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A amizade em MontaigneSilva, Nelson Maria Brechó da [UNESP] 01 October 2010 (has links) (PDF)
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silva_nmb_me_mar.pdf: 707547 bytes, checksum: 078177719f55660111e5a7fc64744f72 (MD5) / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES) / O presente trabalho pretende situar a amizade e sua descrição em Montaigne, que evoca a figura de seu amigo La Boétie. A partir dessa célebre amizade que foi rompida com a morte de La Boétie, segue-se uma análise do conceito de amizade nos Essais de Montaigne e de suas principais fontes. Resta ao autor apenas escrever incessantemente para garantir a presença de si mesmo e do amigo. A interpretação do texto permitirá reflexões sobre o sentido maior da amizade à luz da imagem da escrita, da pintura, do amor e da fraternidade / This research has a target to show the friendship and her description in Montaigne, inspired by his friend La Boetie. From this famous friendship, which was disrupted by the death of La Boetie, follows a study of the concept of friendship on Montaigne’s Essais and his main sources. Remain for actor only to write incessantly for to guarantee the present myself and of friend. The interpretation of the text allows reflections about friendship according to the image of the writing, painting, love and fraternity
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Estudo sobre o descobrimento do cogito em DescartesFernandes, Fábio Júlio 23 April 2015 (has links)
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / Este trabalho, intitulado ESTUDO SOBRE O DESCOBRIMENTO DO COGITO EM DESCARTES, tem como objetivo mostrar que há outras possibilidades de interpretação do cogito, além daquelas mais correntes, e buscou mostrar que existe um percurso no descobrimento do cogito que passa, necessariamente, pelos (de)graus da sabedoria. A base para as discussões contidas nesse trabalho são os textos de Descartes, bem como textos de filósofos contemporâneos a ele (Montaigne). Procuramos aliar esses textos tradicionais a textos de literatura secundária da modernidade, mostrando, assim, a relevância do assunto no interior da área de Filosofia nas universidades brasileiras. Para comprovarmos nossas constatações, apoiamo-nos na análise linguística de termos específicos ao discurso cartesiano, utilizando, para isso, dicionários de latim (língua em que o texto de Descartes foi escrito), de francês renascentista e de português. A conclusão apresentada neste trabalho – de que o descobrimento do cogito passa pelos quatro (de)graus da sabedoria, realizando uma experiência de modo excelente em seu quinto grau, que requer encontrar a instância originária do pensamento – reforça nossa constatação, mas não encerra as discussões, tornando-se, na miríade de reflexões acerca do assunto, mais uma modesta colaboração. / Ce travail est le résultat d’une recherche dédiée à étudier le processus philosophique de la découverte du cogitochez Descartes. Ses buts ont été : a) de préciser qu’il existe d’autres possibilités d’interprétation du cogito au-delà de celles les plus courantes et b) de montrer que, dans cette découverte, il y a un trajet qui passe nécessairement par les degrés de la sagesse. La mise en oeuvre du travail d’enquête a exigé la manipulation des sources bibliographiques primaires, constituées des principaux écrits de Descartes, avec une plus grande attention à laLettre-préface des Principes de la philosophie, aux Méditations sur la philosophie première, aux Principes de la philosophie et aux Réponses aux secondes objections. Nous avons cherché à lier ces textes traditionnels aux textes de la littérature secondaire de la modernité, prouvant ainsi la pertinence du sujet au sein du domaine de la Philosophie dans les universités brésiliennes. Pour attester nos constatations, nous nous sommes appuyés sur l’analyse linguistique de termes spécifiques au discours cartésien, en utilisant des dictionnaires de latin (langue dans laquelle a été écrite une grande partie du texte de Descartes), du français de la Renaissance et de portugais. L’argumentation s’est arrêtée dans la mise en contexte du cadre des degrés de la sagesse. Pour cela, il a été nécessaire d’expliquer les notions fondamentales de la philosophie cartésienne explicitées dans la Lettre-préface. Par exemple, le concept de philosopher qui, chez Descartes, est fortement associé à la pulsion sceptique, source commune d’inspiration pour le philosophe et pour le sceptique, étant, en outre, point de convergence entre Descartes et un autre penseur avec lequel il réalise une espèce de conversation : Montaigne. Pendant le moment du quatrième degré de la sagesse, Descartes identifie, dans la pensée de Montaigne, les traces permettant de transcender le quatrième vers le cinquième degré de la sagesse, celui-ci signifiant surtout la découverte des premières causes, des premières notions, des principes qui engendrent toute la Philosophie. La portée des premières notions ou causes, des principes est l’objectif principal du philosopher cartésien. Descartes distingue, même si de façon non explicitée, entre des notions communes et des notions primitives. Dans les deux cas, il s’agit de notions premières, néanmoins, chacun a une fonction différente au sein de la philosophie cartésienne. Les notions communes sont les règles de la raison ou les principes logiques qui confirment la découverte d’un savoir. Les notions primitives sont les principes qui engendrent le savoir. La conclusion présentée dans ce travail – la découverte du cogito passe par les quatre degrés de la sagesse, en réalisant avec excellence, dans son cinquième degré, une expérience dans laquelle il faut trouver l’instance originelle de la pensée – renforce notre constatation, ne mettant pourtant pas fin aux discussions. Puisque, dans la myriade de réflexions sur le sujet, ce n’est qu’une modeste collaboration. / Dissertação (Mestrado)
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Violence de la loi à la Renaissance: l'originalité du politique chez Machiavel et MontaigneBerns, Thomas January 1997 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Customary practice : the colonial transformation of European concepts of collective identity, 1580-1724.Hilliker, Robert. January 2008 (has links)
Thesis (Ph.D.)--Brown University, 2008. / Vita. Advisor : James Egan. Includes bibliographical references (leaves 237-268).
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Montaigne e a política / Montaigne and the policyConceição, Gilmar Henrique da 25 November 2010 (has links)
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Previous issue date: 2010-11-25 / Commonly, human nature is considered unknown for Montaigne once we are all impregnated and bypassed customs, but poses different problems Montaigne inquiring about the possibility of political actions that enable a company to remain in balance and be improved, in spite of evil present in human nature perceived inconsistency of reason, and parties in conflict. Note that considers possible to improve the state of imperfection of man, but better does not mean eliminate the imperfection. Montaigne considers herself fully and visibly facing out, born to society and friendship (III, 3, p. 55) and broods primarily about state affairs and the world: "[...] haul me to the matters State and the universe best pleased when I'm alone "(III, 3, 56). He rejects the idealization of society, the best policy is one that exists. But, we highlight two jobs that makes the word politics: the first as "obligation to the public good", the second as "the practice of governments." Anyway, consider that living out of politics is to live outside of humanity and did not neglect public duties. Indeed, in Montaigne does not find the word with an unambiguous policy. In view of Montaigne is not possible absolute judgments in politics only because we share and we can not be located entirely outside of any particular perceptive condition to examine whether, on the one hand, the things themselves, and the other the way they present themselves in each one of those circumstances. The argument considers the act of "taking sides" involves, in itself, a presumption of knowledge, then he invites us to observe that this same assumption is present despite our view oscillates between the conflicting views that the ever, we hold as if they had, in general, a strength greater than they can reveal if considered over time. From this we can see that he discusses the political certainties given the insecure nature of the intellectual faculty, who frequently receives false things, hence the need for "moderation" and "dialogue" between the parties. So there is a questionable character in all parties. Unlike the certainty of "I just know that I know nothing" and "I think therefore I am ', Montaigne takes on the motto of Pyrrhus (" Que sais-je? ") which expresses most clearly mark the position of our author. / Comumente, a natureza humana é considerada desconhecida para Montaigne uma vez que estamos todos impregnados e contornados pelos costumes, porém Montaigne coloca diferentes problemas indagando sobre a possibilidade de ações políticas que permitam a uma sociedade manter-se em equilíbrio e ser melhorada, apesar da maldade presente na natureza humana percebida, da inconsistência da razão, e dos partidos em conflito. Observe-se que considera possível melhorar o estado de imperfeição do homem, mas melhorar não significa eliminar a imperfeição. Montaigne se considera uma pessoa inteiramente e visivelmente voltada para fora, nascida para a sociedade e a amizade (III, 3, p. 55) e medita principalmente acerca dos negócios do Estado e do mundo: [...] lanço-me aos assuntos de Estado e ao universo de melhor grado quando estou sozinho (III, 3, 56). Ele recusa a idealização da sociedade; a melhor política é a que existe. Mas, podemos destacar dois empregos que faz da palavra política: o primeiro como obrigação ao bem público , o segundo como prática dos governos . De qualquer forma, considera que viver fora da política é viver fora da humanidade e não se omite das funções públicas. Na realidade, em Montaigne não encontramos a palavra política com um sentido unívoco. Na perspectiva de Montaigne não é possível julgamentos absolutos em política porque somente vemos partes e não podemos nos situar absolutamente fora de alguma circunstância perceptiva determinada para examinar independentemente, de um lado, as próprias coisas e, de outro, a maneira como se apresentam em cada uma dessas circunstâncias. O argumento considera como o ato de tomar partido envolve, por si mesmo, uma presunção de conhecimento; em seguida, ele nos convida a observar que essa mesma presunção se faz presente a despeito de nosso juízo oscilar entre opiniões contraditórias a que, a cada vez, nos agarramos como se tivessem, de modo geral, uma solidez maior do que elas podem revelar se consideradas no decorrer do tempo. Disso podemos perceber que ele problematiza as certezas políticas dado o caráter inseguro da faculdade intelectual, que recebe freqüentemente coisas falsas, daí a necessidade da moderação e do diálogo entre os partidos. Portanto, há um caráter duvidoso em todos os partidos. Diferente das certezas do eu só sei que nada sei e do penso, logo existo , Montaigne toma para si a divisa de Pirro ( Que sais-je? ) cuja interrogação expressa com mais clareza o posicionamento de nosso autor.
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The concept of human nature in five vernacular writers of the French RenaissanceLemon, Joanne Vivian January 1999 (has links)
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Approaching death in the classical traditionCameron, Peter January 2008 (has links)
The thesis consists of five chapters: the first functions as an overture; the second, third and fourth deal with Plato, Cicero and Montaigne respectively; and the fifth raises some questions. The overture explores the ways in which Odysseus, Lucretius and Seneca approached death, and in the process introduces some obvious distinctions - between death viewed as the act of dying and death viewed as the state of being dead, between the death which comes to everyone and the death which comes to me, between our own death and the death of others - and anticipates certain recurring themes. The second chapter, on Plato, is concerned chiefly with the Phaedo and the question of what is involved in "the practice of death". This entails an examination of related concepts and terminology in the Gorgias and the Republic, and of the whole subject of Platonic myth. The third chapter discusses Cicero's views on death and immortality - both the considered reflections of the philosopher and the spontaneous reactions of the bereaved father - principally as these emerge from the Tusculan Disputations and the letters to Atticus. The fourth chapter approaches Montaigne - his own experiences of death, the relationship between his earlier and later approaches, the tension between his professed Catholicism and his pagan inclinations, the difficulty and perhaps undesirability of extracting a 'message' from the Essais on this or any other subject. The conclusion asks to what extent these various approaches succeed in what they set out to do, and whether any generalised, objective approach to death can ever successfully address the individual predicament, either in relation to one's own death or in facing bereavement.
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