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Croissance spirituelle et processus du devenir soi : proposition d'un modèle d'accompagnement spirituel à partir d'une interprétation psycho-symbolique du récit de JésusSergi, Christina January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La littérature du refus en pays dominés : entre continuité, invention et utopieHanet, Frédérique Elsie January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Augusto César Sandino : hero myth of the Nicaraguan nationKoutsoyannis, Sophia January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La symbolique de la possession à l'époque des Lumières / The symbolics of possession at the time of the enlightenmentFaber Boitel, Josepha 04 December 2008 (has links)
Pour être confortable la classification littéraire ne parvient pas toujours à rendre compte de la complexité des productions humaines et de leur réception. C’est d’autant plus vrai à une époque de grands changements, politiques, économiques, sociaux et culturels, comme le XVIIIe siècle européen. Tributaire d’une terminologie limitatrice, l’histoire littéraire a contribué à enclore les Lumières dans une cadre resserré, qui soulignait de manière dyadique les différences entre auteurs chrétiens et philosophes, raison et sensibilité. C’est dans le dépassement de ce débat que s’inscrit notre réflexion sur la symbolique de la possession à l’époque des Lumières. Cette étude est consacrée à l’analyse d’un corpus de textes qui, estimés à la lumière d’une problématique anthropologique, prennent une teinte autre que moralisatrice, fantastique, picaresque ou dramatique. Ces genres sont diffusés par les œuvres de Guevara, Lesage, Cazotte, Beckford, Goethe, Lewis, Chamisso et Potocki au fil de détours narratifs et temporels porteurs d’une modernité littéraire. L’interdépendance des enjeux esthétiques, narratifs et psychologiques marque résolument l’ancrage sociologique de la fabula dans la cité. Ces nouvelles, romans et drame assurent la naissance d’un genre d’investigation sociologique et psychologique, encore non conceptualisé à l’époque de leur parution, d’une contemporanéité manifeste avec la société en pleine mutation qui constitue son substrat et son horizon d’attente. Distincte du mythe de Satan et du Romantisme à venir, la symbolique de la possession est un regard sur l’avènement de la reconnaissance, encore confuse à l’époque des Lumières, de l’individualité irréductible / Convenient though it may be, literary classification sometimes fails to account for the complexity of human productions and of their reception. This is all the more so at an age of sweeping political, economic, social and cultural changes such as the European eighteenth century. Literary history, dependent as it is on restrictive terminology, has contributed to enclose the Age of the Enlightenment within a narrow framework which dyadically underscored the difference between Christian authors and philosophers, between sense and sensibility. The present reflexion on the symbolics of possession at the turn of the Enlightenment aims to transcend such a debate. The study is dedicated to the analysis of a corpus of texts which, seen from an anthropological perspective, take on a dimension other than moralistic, fantastic, picaresque or dramatic. Those genres were circulated by the works of Guevara, Lesage, Cazotte, Beckford, Goethe, Lewis, Chamisso and Potocki, by narrative and temporal means laden with literary modernity. The interdependence of aesthetic, narrative and psychological stakes resolutely shows how anchored within the body politic the fabula is. Those short stories, novels and dramas paved the way for a genre of sociological and psychological investigation – a genre not yet conceptualized when those works came out – in obvious keeping with the thoroughly changing society which is both its background and its horizon of expectations. The symbolics of possession, to be distinguished from the myth of Satan and the oncoming Romanticism, is an outlook on the advent of the acknowledgement – still confused at the turn of the Enlightenment – of irreducible individuality
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Présences, traces, échos de la culture grecque et latine dans l’œuvre de Czesław Miłosz. Questions d’intertextualité. Répétition. Création / Signs, traces, echoes of Greek and Latin cultures in Czesław Miłosz’s works. Intertextuality. Repetition. CreativityBouvard, Marie 17 November 2012 (has links)
Dans notre travail, nous étudions les références intertextuelles grecques et latines dans l’œuvre de Czesław Miłosz sous l’angle, en premier lieu, de la pratique de la citation, dans une moindre mesure comme phénomène de dérivation ou de transformation. Citer, c’est répéter, mais par le jeu des recontextualisations, de confrontations de textes différents, on crée des effets de surprise, et l’on crée du nouveau. Miłosz déploie une architecture complexe de reprises, de répétitions, d’échos, — c’est une définition possible de l’art poétique comme « reflet » du « monde », et des textes. La langue tente de « spéculer » le réel, et de le re-présenter. Nous avons regroupé les thèmes et motifs récurrents dans trois parties, respectivement consacrées au mythe, ensuite à l’histoire et à la tragédie, et enfin à l’art poétique. Plus en profondeur, ces présences sont le signe d’une préoccupation de la mémoire, du long temps de la culture, des rapports à la tradition, des problèmes de sa transmission, de sa place, de sa valeur. Elles articulent des enjeux esthétiques et éthiques de premier plan. / In this work we study intertextual references to Greek and Latin cultures in Czesław Miłosz’s works, analysing at first the practice of quotation, and further the phenomena of derivation and transformation. Quoting is repeating, but thanks to the games of recontextualisations and of reciprocal tension between different texts, new and often surprising effects are created. Miłosz builds a complex architecture of recurrences, repetitions and echoes, interactions which could lead to a definition of poetic art as a reflection of world and words. Language tries to mirror reality and to re-present it. We have reassembled themes and motives into three parts — respectively myth, history and tragedy, and art of poetry. In a deeper way, the references to Greek and Latin cultures reveal a concern for memory, for cultural evolution, as well as for tradition and problems of its transmission, its place and value. They articulate key aesthetic and ethic issues and challenges.
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Mythe et fabulation dans la fiction populaire de Neil Gaiman / Myth and storytelling in Neil Gaiman’s popular fictionCamus, Cyril 29 June 2012 (has links)
Les œuvres de Neil Gaiman sont souvent qualifiées de postmodernes dans la mesure où elles lient expérimentation et autoréflexivité à une démarche de fiction populaire qui leur paraît antagoniste. A l’inverse d'une œuvre postmoderniste typique, qui met en avant sa mise à nu des mécanismes fabulateurs, les métafictions et les parodies gaimaniennes restent des fictions fantastiques et merveilleuses où les enjeux fabulateurs (psychologie et parcours des personnages, intrigue, émotion et suspens) gardent leur place primordiale. Elles ne sont donc pas des œuvres expérimentales mêlées d'éléments de fiction populaire, mais des œuvres de fiction populaire autoréflexive. Cette posture singulière fait de ces œuvres un terrain d'exploration fertile pour la réflexion sur les spécificités de la fiction populaire, et sur la place privilégiée qu'y occupe la fabulation ("storytelling"), notion qu’Henri Bergson ou Frank McConnell considéraient comme le fil rouge entre l’écriture de fiction d’aujourd'hui et la mythopoèse religieuse d’autrefois. Cette dialectique instaurée entre fabulation, mythe et fiction populaire constitue le cœur thématique des œuvres de Gaiman, qui abondent en réécritures de mythes anciens, modernes, religieux, populaires, et en représentations de personnages d’écrivains et de conteurs traditionnels, ou de personae gaimaniennes, qui, au plus fort de l’intrigue comme aux confins du paratexte, au détour d’une préface ou d’une vignette de bande dessinée, forgent une représentation de la fiction comme mythe, de l’écrivain comme figure mythique du conteur, et de la fabulation comme activité humaine quintessentielle. / Neil Gaiman’s fantasy works are often deemed postmodernist since they experiment with self-reflexivity and mix it with a supposedly antagonistic impulse towards popular fiction. Typical postmodernist works mostly emphasize their attacks against the fictional illusions of referentiality, character or plot. On the contrary, Gaiman’s works unapologetically remain within the bounds of fantasy, a genre in which imagination and storytelling are paramount–along with their related issues: characterization, plot, emotion and suspense. Thus, Gaiman’s fiction is not experimental fiction enhanced with elements of popular fiction, but actual popular fiction made self-reflexive. Thanks to that peculiar mood, studying Gaiman’s work is a very fruitful means of investigating the distinctive features of popular fiction, and its inherent emphasis on storytelling–or, as Henri Bergson called it, “fabulation.” Both Bergson and Frank McConnell focused on this notion which they saw as the essential link between ancient mythmaking and today’s fiction writing. Gaiman’s fiction mostly relies on such a dialectics between myth, popular fiction and storytelling or fabulation. His fantasy stories constantly rewrite ancient, religious myths, modern myths or the “myths” of popular fiction, and feature many fictional and historical writers, traditional storytellers, or Gaiman’s own personae, so that in paratext as well as in the heart of a narrative, in the quiet and supposedly reliable words of an introduction as surely as on the most striking comics panels, fiction is portrayed as myth, writers as mythical avatars of some archetypal storyteller, and storytelling as the one, quintessential human act.
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Le mythe du sacrifice dans le folklore roumain et russe / The myth of sacrifice in Roumanian and Russian folkloreSicorschi, Victoria 21 December 2013 (has links)
Cette recherche est axée sur le mythe du sacrifice dans le folklore roumain et russe. Nous tentons premièrement de résumer les principales définitions du mythe, pour observer ensuite les rapports entre le mythe et la littérature, comme ceux entre la mythologie et le folklore, des notions qui sont parfois confondues. Deuxièmement, nous mettons en évidence les particularités du folklore roumain et russe, dont le mythe du sacrifice, qui est illustré, dans la dernière partie, dans deux textes choisis : la ballade roumaine « Maître Manole » (« Le monastère Argis ») et la byline russe « La Tour de la Palanche » (« la Tour Koromyslova »). L’objectif de notre thèse est de prouver l’existence du mythe du sacrifice dans le folklore des deux peuples, grâce à l’analyse comparée des deux textes. / Our research is focused on the myth of sacrifice in Roumanian and Russian folklore. Firstly, we try to summarize the definition of the myth and the literary myth, which allows a deeper analysis of the myth of sacrifice and the relationship between the mythology and the folklore, concepts that are frequently confused. Then, we study the importance of the folklore in the written literature as well as the particularities of the Romanian and Russian folklore, including the myth of sacrifice, illustrated in the last part of our research, in two selected writings: the Romanian ballad "Master Manole" and in the Russian byline Koromyslova Tower», («The Shoulder-Yoke Tower»). Our main intention is to demonstrate the existence of the myth of sacrifice in both folklores through the comparative analysis of the two texts.
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"polonais, hongrois, deux frères" : la représentation des plus anciennes relations polono-hongroises dans l'historiographie du Moyen-Age à nos jours et la question des origines médiévales du mythe de l'amitié polono-hongroise. / Polak, Węgier, dwa bratanki,… / Magyar, Lengyel, két jó barát,…Quéret-Podesta, Adrien 18 December 2010 (has links)
La présente thèse de doctorat est consacrée au problème de la genèse du mythe de l'amitié polono-hongroise, très populaire dans ces deux pays depuis le XIXème siècle. L'un des éléments notables de ce mythe étant l'affirmation de son ancienneté, l'examen de la représentation du passé commun de la Pologne et de la Hongrie depuis leur naissance jusqu'à la fin du Xème siècle jusqu'au rapprochement entre Piasts et Anjous au quatorzième dans la production historiographique de ces deux pays et - dans une moindre mesure - de leurs voisins depuis l'an mil environ jusqu'à nos jours constitue donc l'un des principaux axes de recherche de la présente étude. Le second axe, qui lui est étroitement lié, concerne l'existence éventuelle de traces de l'idée d'amitié polono-hongroise avant l'époque contemporaine et plus particulièrement durant les premiers siècles de l'histoire de la Pologne et de la Hongrie. L'analyse de ces deux grandes thématiques permet d'établir la présence de références à une amitié polono-hongroise dans l'historiographie de ces deux pays dès les XIIème et XIIIème siècles, mais l'impact de ce phénomène demeure très limité - notamment en Hongrie et dans les pays tiers - jusqu'au XIXème siècle. Il convient par ailleurs de constater que si l'essor du mythe de l'amitié à cette période ne contient pas de référence directe aux précédents médiévaux, la célébration de cette amitié fait appel - en particulier dans le cadre officiel - à de nombreux personnages et évènements issus des premiers siècles de l'histoire de ces deux pays afin d'en prouver l'ancienneté et la solidité. L'existence de ce mécanisme de récupération permet donc d'affirmer qu'en dépit de la discontinuité caractéristique de l'histoire de la notion d'amitié polono-hongroise, la représentation des plus anciens contacts entre ces deux pays et la célébration de leur amitié sont très fortement liées et constituent respectivement le "réservoir" et le "moteur" d'une "machine à redessiner le passé commun" de la Pologne et de la Hongrie. / The present dissertation is dedicated to the problem of the genesis of the Polish-Hungarian friendship's myth, which is a very popular topic in both countries since the XIXth century. One of this myth's most characteristic features being the affirmation of its ancientness, the analysis of the representation of Poland's and Hungary's common past from their birth in the second half of the Xth century until the Piast-Anjou alliance in the XIVth century into the historiography of these countries and - to a lesser extent - of their neighbors constitutes then logically one of the main axis of research in this study. The second axis, which is strongly linked to the first one, touches the possible existence of traces of the Polish-Hungarian frienship's idea before the XIXth century: we especially focused on the first centuries of Poland and Hungary's history, but we also examined the following periods. The analysis of these two main themes clearly shows the presence of references to a Polish-Hungarian friendship in those two countries' historiography as early as the XIIth and the XIIIth centuries, but the influence of this phenomenon remained very limited - especially in Hungary and in the neighboring countries - until the XIXth century. Besides, it should be added that even if the rise of the friendship's myth at that period does not make any reference to its medieval antecessors, the friendship's celebration frequently evocates - especially in the official sphere - peoples or events dating back from the first centuries of those two countries' history in order to prove its ancientness and its solidity. The existence of this mechanism of recuperation enables then us to affirm that in spite of the discontinuous aspect of the history of the Polish-Hungarian friendship's idea, the representation of the oldest relationships between those two countries and the celebration of their friendship are very strongly linked and constitutes the "tank" and the "engine" of a machine whose function would be to redraw Poland's and Hungary's common past.
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La prégnance de l'imaginaire méditerranéen dans l'œuvre de Camus : au confluent du mythe, de l'utopie et de l'Histoire / The pregnancy of the mediterranean imaginary in the artwork of Albert Camus : a mid-way between the myth, the utopia and the HistorySelmi, Fathi 17 December 2018 (has links)
La Méditerranée est une riche matière mythique dans l’œuvre et l’imaginaire du premier Camus. Elle essaime notamment dans ses écrits de jeunesse de manière à prendre les allures d’un mythe primordial et fondateur où se consacrent les noces de l’homme avec le monde. Signe d’un accord profond mais ambivalent, le mythe méditerranéen tel qu’il se déploie dans l’œuvre du premier Camus se nourrit d’une part d’un imaginaire solaire et radieux ; d’autre part, il repose sur des tensions permanentes avec des notions corollaires comme l’Histoire et l’utopie. A contre-courant du mouvement destructeur et meurtrier de l’Histoire en marche, Camus brosse au cœur des années 1930 un mythe idyllique de la colonie, sorte d’utopie qui se désintéresse des tensions raciales et communautaires du moment. Si l’œuvre naissante chante avec des accents ivres les joies prodiguées par les rivages heureux de la terre originelle, l’Algérie, certains textes de l’auteur laissent entrevoir la menace grandissante qui plane sur l’avenir de cette patrie de l’âme et le frémissement de l’auteur à l’idée de la perdre irrémédiablement. D’où le déchirement et l’oscillation de Camus entre le rêve méditerranéen auquel il se laisse aller, à maints endroits de son œuvre, et l’exigence de lucidité quant à la réalité coloniale du pays natal. / The Mediterranean is a rich mythical subject in the imagination of the first Camus. It spreads in particular in his youthful writings so as to take on the appearance of a primordial and founding myth. Sign of a deep but ambivalent agreement, the Mediterranean myth as it unfolds in the works of the first Camus feeds on the one hand from a solar and radiant imagination; on the other hand, it is based on permanent tensions with corollary notions such as history and utopia. A counter-current of the destructive movement of history, Camus brushes in 1930 years an idyllic myth of the colony, a kind of utopia that is losing interest in racial and community tensions of the moment. If his works sing the joys lavished by the happy shores of the original land, Algeria, some texts of the author suggest the growing threat to the future of this homeland and the thrill of the author at the thought of losing it irremediably
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La poésie comme sublimation du vécu. Pour une étude de l'œuvre de Sandro Penna / Poetry as sublimation of Life. Study of Penna’s workBalderas-Laignelet, Christelle 30 November 2010 (has links)
L’étude proposée dans cette thèse concerne l’œuvre du poète italien Sandro Penna (1906-1977) et a pour but d’élaborer une lecture critique et chronologique. Penna, dont on peut dire qu’il est une figure isolée des courants poétiques de son époque, présente en effet dans ses poésies et ses récits en prose, pour la majorité extrêmement courts, une vision atemporelle de l’existence et essentiellement centrée sur l’amour des jeunes garçons – thème récurrent et obsessionnel dès ses premières compositions. Il est ainsi difficile de certifier que son œuvre est un « roman autobiographique écrit en vers ». Aussi les recueils Poesie, Confuso sogno, Peccato di gola. (Poesie al fermo posta) et Un po’ di febbre seront-ils analysés afin de retracer l’itinéraire singulier de Penna et de confirmer que l’amour pour les jeunes garçons est l’expression d’un amour plus universel pour la vie ; cette vie « sans dates » dans laquelle nous entendons en écho la voix de certains de ses contemporains, comme Saba, Montale, Ungaretti et Pasolini ou bien encore celle de certains de ses prédécesseurs, tels que Leopardi et Pascoli. Il apparaît que la quête poétique et existentielle de Penna vise finalement à retrouver un dialogue harmonieux avec l’Origine – ce mythe de l’enfance primordiale dont les souvenirs sont immédiatement absorbés par le mal de vivre propre à la Modernité – et à envisager l’existence humaine comme un cycle infini. Dans cette perspective, les œuvres de Platon et de Nietzsche, bien connues de Penna, nous permettent d’approfondir ce questionnement, grâce auquel le poète parvient finalement à sublimer le vécu. / This thesis deals with the work of the Italian poet Sandro Penna and intends to be a critical and chronological reading and analysis. Penna stands apart from the poetical movements of his time; therefore most of his poems and prose narration works are very short and present a timeless view of Life mainly focused on love for young men (from 13 to 16 y.o). From his very first writings this topic is recurrent and obsessional. This is the reason why it is difficult to establish his work as “an autobiographical novel in verse”. Consequently the collections Poesie, Confuso sogno, Peccato di gola. (Poesie al fermo posta) and Un po’ di febbre are analysed in order to relate the uncommon Penna’s personal path and to confirm that love for young men expresses a more universal love for Life. In this “out of time” life an echo of voices of his coevals, such as Saba, Montale, Ungaretti and Pasolini and of his predecessors like Leopardi and Pascoli can be heard. Two aims appear in the poetical and existential quest by Penna: - restoring a harmonious dialog with the Beginning (which is considered as the myth of the original childhood from which memories are immediately absorbed by the spleen of Modernity); - seeing human life as an infinite cycle. From this viewpoint, Platon and Nietzsche’s works, which were well known by Penna, allow us to go further into this questioning through which the poet succeeds in sublimating Real Life.
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