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Instrumentalisation de la réforme agraire et enlisement de la démocratisation au ZimbabweCaro Martinez, Amalia January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La corruption institutionnalisée : un nouveau concept issu de l'analyse du monde émergent / Institutionalised corruption : new concept from emerging worldZagainova, Anastassiya 27 November 2012 (has links)
La thèse s'est donnée pour objectif d'élaborer une approche innovante de la corruption, permettant de saisir les réalités complexes du phénomène et d'expliquer sa persistance dans le monde émergent. Suite à une analyse critique de l'orthodoxie économique de la corruption - la compréhension actuelle la plus répandue comprenant un mix d'approches théoriques et culminant avec le modèle de bonne gouvernance -, nous soulignons la faiblesse d'attention accordée aux facteurs structurels. Dans notre recherche nous avons effectué une enquête de terrain (méthode Delphi) et une analyse statistique exploratoire multidimensionnelle qui ont permit des nouvelles interprétations du phénomène observé. En nous appuyant sur les enseignements des écoles hétérodoxes contemporaines (unifiées au sein de l'économie politique institutionnaliste décrit par A. Caillé), construisant une approche positive et compréhensive basée sur une démarche holindividualiste, nous proposons une analyse structuro-institutionnaliste de la corruption. Avec un renouveau paradigmatique sur la rationalité et la coordination des agents économiques, nous avons reconstruit le cadre interprétatif de la corruption. Dans ce but, nous avons élaboré le concept de la corruption institutionnalisée, qui décrit les situations où la corruption n'est plus une déviance, mais, au contraire, est devenue une règle de comportement. Nous avons étudié les mécanismes de la corruption institutionnalisée à travers la mise en évidence du rôle des attitudes culturelles, des principes inhérents aux réseaux sociaux et des caractéristiques néo-patrimoniales des États contemporains. Ainsi, nous avons expliqué les origines de la corruption, qui renvoient à son historicité et à l'encastrement (culturel, social, étatique), les mécanismes de fonctionnement reposant sur des coordinations hybrides, ainsi que les impacts et liens ambigus de la corruption institutionnalisée avec la croissance. Notre analyse dynamique de la corruption se penche sur les questions de transformations des systèmes néo-patrimoniaux à travers la compréhension d'évolutions institutionnelles, où la path dependency et les actions des clans politico-économiques expliquent la résistance et la reproduction des systèmes corrompus. Nous proposons des scénarii de sortie du clientélisme des États néo-patrimoniaux et mettons en avant les enjeux et les leviers d'une évolution graduelle endogène. Nous avons attiré l'attention sur le rôle du clientélisme dans la construction démocratique (un vecteur paradoxal), où les réseaux de réciprocité rendent la démocratisation possible. Nous avons mis en lumière deux moments clés dans une évolution vertueuse : la déconcentration (ou dispersion) des pouvoirs à travers l'autonomisation de certains réseaux par rapport aux grands clans politico-économiques, et la diversification des ressources de nouvelles unités, rendue possible notamment à travers le processus d'insertion dans l'économie mondiale. La thèse aboutit à une série de propositions concrètes pour l'amélioration de la pertinence des programmes anti-corruption. Nous reconsidérons le rôle de l'extérieur et mettons en évidence la supériorité des programmes bottom-up dans le combat contre la corruption, celui-ci devant reposer sur les évolutions graduelles des structures sociétales. La portée de notre approche dépasse le monde émergent et est applicable à différents systèmes économiques. En effet, la corruption institutionnalisée n'est pas spécifique aux pays émergents et ne peut être donc réduite à une dynamique de développement. / This thesis develops an innovative approach of corruption in order to capture the complex reality of the phenomenon and explain its persistence in the emerging world. After a critical analysis of the economic orthodoxy of corruption, i.e. the most common understanding of corruption based on a patchwork of theoretical approaches culminating with the model of good governance, we emphasise the weakness of attention on structural factors. In our research we conducted expert's opinion survey (Delphi method) and multidimensional exploratory statistical analysis (factoral analysis) which led to new interpretations of the observed phenomenon. Relying on lessons of contemporary heterodox schools (unified within the institutionalist political economy described by A.Caillé), building a positive and comprehensive approach based on holindividualism, we propose a structuro-institutionalist analysis of corruption. With a renewed paradigm on rationality and coordination of economic agents we rebuilt the interpretative framework of corruption. In this regard, we have developed the concept of institutionalised corruption that describes situations where corruption is no longer a deviance but a rule of behaviour. We studied the mechanisms of institutionalised corruption by highlighting the role of cultural attitudes, of inherent principles in social networks and neo-patrimonial characteristics of contemporary states. In this way, we explain the origins of corruption referring to its historicity and embededness (cultural, social, institutionnal), the operating mechanisms based on hybrid coordination, as well as the effects and ambiguous ties between institutionalised corruption and economic growth. Our dynamic analysis of corruption focuses on transformation patterns in neo-patrimonial systems through the understanding of institutional evolutions, where the path dependency and actions of politico-economic clans explain resistance and reproduction of corrupt systems. We suggest scenarios to get out of clientelism in neo-patrimonial states, where we put forward issues and levers of gradual and endogenous evolutions. In our analysis we emphasise the role of clientelism in democratic construction (a paradoxal vector), where reciprocity networks make democratisation possible. We highlighted two key moments in a virtuous evolution: the decentralisation (or dispersion) of powers among clientelist networks and the diversification of autonomous networks resources, which are notably possible throught integration in global economy. The thesis leads to a set of concrete proposals for improving the relevance of anti-corruption programmes. We reconsider the role of international integration and highlight the superiority of the bottom-up programmes in the fight against corruption, which must be based on the gradual evolution of societal structures. The significance of our analysis exceeds the emerging world and is applicable to different economic systems. Indeed, institutionalised corruption is not specific to emerging or developing countries and therefore can not be reduced to the dynamic of development.
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La corruption institutionnalisée : un nouveau concept issu de l'analyse du monde émergentZagainova, Anastassiya 27 November 2012 (has links) (PDF)
La thèse s'est donnée pour objectif d'élaborer une approche innovante de la corruption, permettant de saisir les réalités complexes du phénomène et d'expliquer sa persistance dans le monde émergent. Suite à une analyse critique de l'orthodoxie économique de la corruption - la compréhension actuelle la plus répandue comprenant un mix d'approches théoriques et culminant avec le modèle de bonne gouvernance -, nous soulignons la faiblesse d'attention accordée aux facteurs structurels. Dans notre recherche nous avons effectué une enquête de terrain (méthode Delphi) et une analyse statistique exploratoire multidimensionnelle qui ont permit des nouvelles interprétations du phénomène observé. En nous appuyant sur les enseignements des écoles hétérodoxes contemporaines (unifiées au sein de l'économie politique institutionnaliste décrit par A. Caillé), construisant une approche positive et compréhensive basée sur une démarche holindividualiste, nous proposons une analyse structuro-institutionnaliste de la corruption. Avec un renouveau paradigmatique sur la rationalité et la coordination des agents économiques, nous avons reconstruit le cadre interprétatif de la corruption. Dans ce but, nous avons élaboré le concept de la corruption institutionnalisée, qui décrit les situations où la corruption n'est plus une déviance, mais, au contraire, est devenue une règle de comportement. Nous avons étudié les mécanismes de la corruption institutionnalisée à travers la mise en évidence du rôle des attitudes culturelles, des principes inhérents aux réseaux sociaux et des caractéristiques néo-patrimoniales des États contemporains. Ainsi, nous avons expliqué les origines de la corruption, qui renvoient à son historicité et à l'encastrement (culturel, social, étatique), les mécanismes de fonctionnement reposant sur des coordinations hybrides, ainsi que les impacts et liens ambigus de la corruption institutionnalisée avec la croissance. Notre analyse dynamique de la corruption se penche sur les questions de transformations des systèmes néo-patrimoniaux à travers la compréhension d'évolutions institutionnelles, où la path dependency et les actions des clans politico-économiques expliquent la résistance et la reproduction des systèmes corrompus. Nous proposons des scénarii de sortie du clientélisme des États néo-patrimoniaux et mettons en avant les enjeux et les leviers d'une évolution graduelle endogène. Nous avons attiré l'attention sur le rôle du clientélisme dans la construction démocratique (un vecteur paradoxal), où les réseaux de réciprocité rendent la démocratisation possible. Nous avons mis en lumière deux moments clés dans une évolution vertueuse : la déconcentration (ou dispersion) des pouvoirs à travers l'autonomisation de certains réseaux par rapport aux grands clans politico-économiques, et la diversification des ressources de nouvelles unités, rendue possible notamment à travers le processus d'insertion dans l'économie mondiale. La thèse aboutit à une série de propositions concrètes pour l'amélioration de la pertinence des programmes anti-corruption. Nous reconsidérons le rôle de l'extérieur et mettons en évidence la supériorité des programmes bottom-up dans le combat contre la corruption, celui-ci devant reposer sur les évolutions graduelles des structures sociétales. La portée de notre approche dépasse le monde émergent et est applicable à différents systèmes économiques. En effet, la corruption institutionnalisée n'est pas spécifique aux pays émergents et ne peut être donc réduite à une dynamique de développement.
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Sociologie du corps militaire en Afrique noire : le cas du Cameroun / Sociology of military corps in black Africa : the case of CameroonOndoua, Antoine 11 January 2013 (has links)
L'évocation de l'armée en Afrique en général et noire en particulier rime, dans la conscience collective, avec coups d'Etat, mutineries, rebellions, violences. Et pourtant, des particularités sont à tirer notamment en ce qui concerne la stabilité des Etats et l'ascension à la magistrature suprême. C'est ainsi qu'en Afrique francophone, le Cameroun et le Sénégal sont à citer car, restés depuis leur « indépendance » à l'abri de prise de pouvoir par la force des armes. Et, ce, malgré des situations sociopolitiques et économiques assez similaires aux autres pays. Pour le Cameroun, au-delà d'une certaine intériorisation du sens professionnel (soumission du militaire au politique), nous pensons que la régularité de l'armée tient du fait qu'elle s'est fondue dans un système néopatrimonial au point de devenir, elle-même, une institution néopatrimonialisée. Mais, bien que défendant des intérêts partisans (du « Prince », de la classe dirigeante et les siens), cette armée se révèle aussi un symbole du processus de rationalisation et de démocratisation de l'Etat (principes bureaucratiques, maintien de l'ordre et de la paix, brassage socioculturel…). Se pose alors la question de savoir qui du système ou du symbole détermine la posture du corps militaire camerounais ? En clair, l'armée camerounaise est-elle loyale parce que néopatrimonialisée ou bien l'ancrage néopatrimoniale s'appuie-t-elle sur cette loyauté ? / It is a common perception that the army in Africa and more particularly in black Africa, is associated with putsch, riots, rebellions and violence. Yet, specificities can be pointed out, especially in the two following points: political stability and promotion to the highest office. In that way, in francophone africa, Cameroon and Senegal since their independence, have managed to preserve themselves from any violent upheaval. In Cameroon, beyond a certain internization of the rofessional sense ( army submitted to political power), we can state that the political stability is due to the fact that it has blended into a neo-patrimonial system up to the point of becoming itself a neo-patrimonialised institution. Nonetheless, in spite of defending partisan interests (the "Prince", the ruling class and his family) the army turns out to be a symbol of the process of rationalization and democratization of the state (bureaucratic principles, law enforcement, peacekeeping, socio-cultural mixing etc.). The question is now to figure out if the position of the cameroonian army is determined either by the symbol or by the system. In other words, is the Cameroonian army loyal because of its being neo-patrimonialised or because the neo-patrimonial system relies on such loyalty?
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Le partenariat militaire Belgique-RDC après Sun City :entre « logique néomanagériale » et « logique néopatrimoniale ». Analyse de l'appui de la Belgique au "chantier FARDC".Nsala Botshimo, Joris 04 March 2016 (has links)
Cette étude tente de répondre à deux questions majeures. La première question consiste à expliquer pourquoi la Belgique avait décidé, au cours de la législature 1999-2003, de relancer le partenariat militaire avec son ancienne colonie après plus d’une décennie de rupture de la coopération technique militaire datant de l’ère Mobutu. Ensuite, il s'agit de comprendre pourquoi et comment la reprise de cette collaboration militaire entre les deux pays n’a pas permis d’engranger des résultats significatifs dans le cadre de la réforme des FARDC. Par rapport à cette double préoccupation, la présente étude montre clairement que les considérations humanitaires et éthiques ne sauraient, à elles seules, expliquer l’initiative belge en faveur de la réforme des FARDC et suggère d'insister aussi sur d’autres facteurs, notamment la défense des intérêts économiques et géostratégiques, y compris l’espérance de futures opportunités économiques de la Belgique en RDC. Ainsi à cause de ses intérêts et de son « obsession électorale », la Belgique n’aurait pas pris en considération certains facteurs dans son évaluation des besoins de la population congolaise en matière de sécurité d’une part, et aurait, d’autre part, surtout sous-estimé le poids de la vision et des pratiques « néopatrimoniales » des autorités congolaises héritées de précédents régimes. En agissant de la sorte, elle aurait contribué à ce bilan plus ou moins négatif de son PPM avec la RDC. Cette étude montre par ailleurs que l’expérience dans le cadre du présent PPM avec la Belgique confirme effectivement la nécessité qu’il y a, pour la classe politique congolaise, d’opérer une révolution des mentalités afin de relever le défi de la reconstruction du pays. Enfin, elle insiste aussi sur l’utilisation du terme « partenariat » qui, au-delà de l’accent qu’elle met théoriquement sur l’originalité et la nouveauté de la relation entre les deux pays, doit surtout avertir les « ex-warlords » congolais que l’aide extérieure, aussi utile qu’elle soit, ne pourra porter ses fruits que si elle s’intègre dans des structures motivationnelles endogènes et dynamiques. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Lutte anti-corruption et politique au Nigeria sous la quatrième République (1999-2006)Enweremadu, David 18 December 2006 (has links) (PDF)
Depuis son accession au pouvoir en 1999, le régime du Président Olusegun Obasanjo s'était engagé incontestablement dans une lutte déterminée contre la corruption qui retardait le développement du "géant de l'Afrique" depuis des années. Ce combat est axé autour d'une politique globale contre la corruption, qui inclut, la mise en œuvre des institutions de régulation comme la commission indépendante contre la corruption (ICPC) et la Commission pour les crimes économiques (EFCC) ; la réforme globale du secteur public (les institutions de la justice et les services publics) et une campagne internationale en vue de la restitution des fonds transférés illégalement à l'étranger. Bien que ces réformes bénéficiassent d'une reconnaissance et d'un soutien répandu, leur efficacité actuelle n'a pas été démontrée de façon convaincante. La corruption dans ses diverses formes n'a pas encore été annihilée de façon décisive malgré toutes les bonnes intentions affichées. Au contraire, la politique anticorruption d'Obasanjo se heurte aux nombreux défis inhérents à la politique du Nigeria. Les plus pertinents défis sont : la faible capacité des institutions chargées de lutter contre la corruption (L'ICPC, l'EFCC, l'institution de la justice) ; fondée sur des difficultés de financement, le manque de ressources humaines compétentes, les lacunes de la loi ; un système de justice criminelle inefficace ; l'immunité constitutionnelle des chefs politiques, une insuffisante volonté politique et son corollaire : le non engagement de la classe politique qui a opté pour une instrumentalisation politique de la lutte contre la corruption. A ceci s'ajoute la faible implication des Etats fédérés, des collectivités locales et de la société civile. Tout ceci concourt à l'inexistence d'une "grande coalition" contre la corruption à l'intérieur du pays.
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La Russie de Vladimir Poutine : sociologie politique d'un Etat néopatrimonial / Putin's Russia : Political Sociology of a Neopatrimonial StateVolkov, Roman 05 December 2017 (has links)
Quel est le modèle politique de la Russie de Vladimir Poutine ? Ce travail de thèse propose une analyse compréhensive du cas russe grâce au concept de néopatrimonialisme. En s’inspirant de la sociologie politique des élites, de la sociologie historique de l’Etat et de l’économie politique nous proposons de reconstruire les logiques d’actions des acteurs dans le cadre d’un système d’interaction dont l’Etat néopatrimonial est un idéaltype. Celui-ci tient à deux dimensions essentielles qui légitiment sa domination : l’autocratie institutionnalisée renvoie aux rouages politiques, tandis que le capitalisme de connivence illustre le rôle de l’entreprise néopatrimoniale et des réseaux politico-économiques dans la redistribution des ressources. Malgré sa stabilité, ce modèle produit des effets émergeants dont la « dépolitisation institutionnelle » qui rend impossible l’institutionnalisation du pluralisme politique tandis que la confusion des sphères politique et économique participe à l’émergence d’une classe dirigeante qui verrouille les espaces de renouvellement élitaire. / What is the nature of the political model in Vladimir Putin’s Russia ? This work aims at making sense of the Russian case through a comprehensive approach and the concept of neopatrimonialism. Inspired by the sociology of elites, the historical sociology and the political economy our work presents the logic of actors acting in an interdependence system which tends to the idealtype of a Neoparimonial State. It is structured through two dimensions that legitimate its domination: institutionalized autocracy reflects the political side of it while crony capitalism illustrate the role of the State-enterprise and the business-politics networks in the redistribution of resources process. Despite its stability, this model creates emerging effects such as “institutional depoliticization” that prevents political pluralism to institutionalize while the political-economic nexus creates a new ruling class which dominant position locks elite renewal.
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Les femmes entrepreneures dans la société politique camerounaise / The Women Entrepreneurs in the Cameroonian political societyNkolo Asse Sosso, Ginette Patience 08 April 2015 (has links)
Avec le retour du multipartisme au Cameroun dans les années mil neufcent quatre-vingt-dix, l’État camerounais voit émerger des nouveaux acteursparmi lesquelles les femmes entrepreneures. L’objectif de cette thèse est dedéterminer quels enseignements structurels, les dynamiques sociopolitiquesdes femmes entrepreneures dans la sphère sociopolitique nous livrent sur lefonctionnement du système politique camerounais à l’aune du genre. A traversce questionnement, l’objectif est de voir dans quelle mesure l’entrée desfemmes en général et l’intégration des femmes entrepreneures en particulierdans le système politique entraînent un changement d’ethos de la vie politiquecamerounaise fortement imprégnée de l’ethos de la notabilité-séniorité et de lamasculinité et fortement caractérisée par la gouvernance de la manducation etla politique de l’autoreproduction. / With the return to multi party system in Cameroon in the 1990s,Cameroon’s state witnessed the rise of new players, including womenentrepreneurs. This thesis aims at determining the structural lessons learnedfrom the sociopolitical dynamics of women entrepreneurs in social and politicalsphere about the functioning of Cameroon’s political system with regard togender. Through this inquiry, our goal is to see how the entry of women ingeneral and mainstreaming of women entrepreneurs in particular in the politicalsystem results in a change of ethos on cameroon’s political life which is stronglymarked by the ethos of notability-seniority and manhood and mainlycharacterized by the governance of manducation and policy of self-replication.
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Le Burkina Faso de 1991 à nos jours : entre stabilité politique et illusionnisme démocratiqueNatielse, Kouléga Julien 01 July 2013 (has links) (PDF)
Le " Burkina Faso depuis 1991 : entre stabilité politique et illusionnisme démocratique " ambitionne de se projeter au coeur du régime de la IVème République. Les fondements de la domination de l'élite politique post-transition sont examinés à travers la stratégie de conquête du pouvoir politique et la légitimation électorale à travers l'organisation des premières élections pluralistes. Le président Blaise Compaoré progressivement met en place un système de domination verrouillé où les possibilités de changements démocratiques s'amenuisent pour ses adversaires politiques. Cette mainmise du régime de M. Blaise Compaoré nécessite des ressources qui se déclinent en ressources internes et en un répertoire de légitimation internationale qui fait aujourd'hui du président Blaise Compaoré un acteur majeur du jeu politique sous-régional.
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Le Burkina Faso depuis 1991 : entre stabilite politique et illusionnisme démocratiqueNatielse, Kouléga Julien 01 July 2013 (has links) (PDF)
Le " Burkina Faso depuis 1991 : entre stabilité politique et illusionnisme démocratique " ambitionne de se projeter au cœur du régime de la IVème République. Les fondements de la domination de l'élite politique post-transition sont examinés à travers la stratégie de conquête du pouvoir politique et la légitimation électorale à travers l'organisation des premières élections pluralistes. Le président Blaise Compaoré progressivement met en place un système de domination verrouillé où les possibilités de changements démocratiques s'amenuisent pour ses adversaires politiques. Cette mainmise du régime de M. Blaise Compaoré nécessite des ressources qui se déclinent en ressources internes et en un répertoire de légitimation internationale qui fait aujourd'hui du président Blaise Compaoré un acteur majeur du jeu politique sous-régional.
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