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Démocratisation des Etats et garantie internationale des droits démocratiques : essai sur une contribution des organisations internationales / Democratization of States and International Guarantee of Democratic Rights : Essay on a Contribution by International Organizations

Ouedraogo, Daouda 21 September 2019 (has links)
Si la démocratie désigne le régime politique où l’appareil institutionnel d’Etat traduit la volonté du peuple, la démocratisation caractériserait ainsi tout processus conduisant un système politique autoritaire à plus d’ouverture et de participation. Mais cette démocratisation n’est pas que le résultat de dynamiques internes, elle est également, et de plus en plus le fait d’acteurs externes, en particulier des organisations internationales. Dès la fin de la guerre froide en effet, convaincues que la démocratie constitue le régime politique qui offre les meilleures garanties de respect des droits de l’homme, des organisations internationales, universelles comme régionales, l’Organisation des Nations Unies en tête, se sont résolument investies aussi bien d’un point de vue normatif qu’opérationnel dans sa promotion, au point parfois de remettre en cause le principe pourtant bien établi de souveraineté des Etats. La promotion de la démocratie par les organisations internationales obéit à un régime juridique dont l’ambivalence initiale a progressivement laissé place à une certaine cohérence. Ce régime met à la charge des Etats des droits individuels et collectifs dont le respect est contrôlé, voire parfois sanctionné par des mécanismes politiques et juridictionnels, mais dont l’efficacité apparait toutefois incertaine, rappelant ainsi la complexité et la sensibilité de la question démocratique en droit international. / If democracy refers to the political regime in which the state institutional apparatus reflects the will of the people, democratization would thus characterize any process leading to a more open and participatory authoritarian political system. But this democratization is not only the result of internal dynamics, it is also, and increasingly, the result of external actors, in particular international organizations.Since the end of the Cold War, convinced that democracy is the political system that offers the best guarantees of respect for human rights, international organizations, both universal and regional, with the United Nations in the lead, have resolutely invested themselves both from a normative and operational point of view in democracy promotion, sometimes to the point of questioning the well-established principle of State sovereignty. The promotion of democracy by international organizations is governed by a legal regime whose initial ambivalence has gradually given way to a certain coherence. This regime places individual and collective rights on States, the respect for which is monitored or even sanctioned by political and jurisdictional mechanisms, but whose effectiveness appears uncertain, thus recalling the complexity and sensitivity of the democratic question in international law.
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Le déploiement de la MAPROBU : les raisons d’un abandon

Faye, Djidiack Jean-François 01 1900 (has links)
Créée en 2002 en remplacement de l’OUA, l’Union africaine affiche l’ambition de trouver des solutions africaines aux problèmes africains en ajoutant l’article 4 dans son Acte constitutif. Cet article lui donne le droit de déployer une force militaire au sein d’un État membre pour protéger les civils lors de violations de droits de l’homme, de génocide ou de crimes contre l’humanité. Tandis que les conflits intraétatiques continuent de faire rage sur le continent africain, l’UA et ses États membres n’ont jamais autorisé — sans y renoncer — une intervention humanitaire contre l’un de ses membres. Ce mémoire vise à connaitre les raisons pour lesquelles les dirigeants africains ont renoncé à déployer une force militaire pour protéger les civils burundais en 2015, et ce, malgré le fait que l’UA l’a initialement recommandé quelques semaines plus tôt. En s’inspirant de la théorie réaliste des relations internationales, cette étude du conflit burundais de 2015 démontre que la non-intervention de l’UA est avant tout liée à un manque de volonté de la part des dirigeants africains qui ont privilégié leurs intérêts personnels ainsi que les intérêts économiques de leur pays au détriment de l’urgence humanitaire au Burundi. De plus, plusieurs dirigeants africains, qui ont un contentieux avec Paul Kagamé et qui voient le Burundi comme un contrepoids à l’influence rwandaise, se sont positionnés contre la MAPROBU pour léser le Rwanda. Ensuite, l’abandon de la MAPROBU s’explique aussi par le fait que le Conseil de Paix et de Sécurité est totalement dépendant de la volonté des États membres et ne dispose pas de l’autonomie institutionnelle nécessaire pour autoriser le déploiement des troupes de l’UA au Burundi. / Created in 2002 to replace the OAU, the African Union’s desire to find African solutions to African problems was demonstrated by the addition of Article 4 to its Constitutive Act, which gives the Union the authority to deploy a military force within a member state to protect civilians from human rights violations, genocide or crimes against humanity. While intrastate conflicts are still devastating the African continent, the AU has never authorized a humanitarian intervention against one of its members. This master’s thesis seeks to explain why the African leaders did not authorize the deployment of a military force to protect Burundian civilians in 2015, despite the fact that the AU had initially recommended it a few weeks earlier. Based on the realist approach in International Relations, this case study demonstrates that the decision not to intervene in Burundi is primarily due to a lack of commitment from African leaders who have prioritized their own interests as well as economic interests over the humanitarian urgency in Burundi. In addition, many African leaders, who see Paul Kagame as a rival, perceive Burundi as a counterweight to Rwanda’s influence. Therefore, their position against MAPROBU is also intended to undermine Rwanda. Secondly, the decision not to deploy MAPROBU could be explained by the fact that the Peace and Security Council (PSC) is totally dependent on the will of member states and does not have the necessary institutional autonomy to authorize the deployment of AU troops in Burundi.
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Entre guerre et paix : les Administrations Internationales Post-Belligérantes / Bbetween war and peace : International Post-Belligerent Administrations

Vianès, Emmanuel 19 November 2012 (has links)
La notion d’administration internationale post-belligérante est spécifique au sein des administrations de territoire en relations internationales, au côté des opérations de paix. Lors de situations exceptionnelles, une Autorité internationale est instaurée lors de périodes transitoires, qui oscillent entre la guerre et la paix, pour remédier à des différends territoriaux et/ou à des problèmes de gouvernance. Cette institution politique repose sur le fait qu’un acteur international est responsable de l’administration d’un territoire de manière temporaire dans une situation de post-belligérance, qu’il exerce sa fonction dans l’intérêt de la population et de la société internationale, qu’il superpose les ordres juridiques international et interne, qu’il établit des structures de gouvernance mixtes et qu’il peut intervenir dans les relations internationales au nom du territoire administré. Pour élaborer une réflexion sur ce concept, il faut faire le lien entre le droit international public et les relations internationales afin de disséquer « l’idée » et d’établir ainsi une grille de lecture. Dans la pratique, l’expérimentation en matière d’administration internationale post-belligérante se divise entre la phase plénière, le partenariat et l’appropriation locale du processus afin d’entrevoir la finalité de ce mécanisme : la construction d’une passerelle entre la prégnance de l’étatisme au sein du système international et la diffusion des normes de la société internationale. Ceci est révélé à la lumière des expériences de la Bosnie-Herzégovine, du Kosovo et du Timor oriental. / Beside peace operations, the concept of international post-belligerent (post-conflict) administration is a particular form of territorial administration in international relations. In exceptional situations, an international Authority is set up during transitional periods that fluctuate between war and peace to settle territorial disputes and/or problems of governance. The basis of this type of political institution is that an international actor has responsibility for the temporary administration of a territory in a post-belligerent situation, that it discharges that function in the interest of the population and of international society, that it juxtaposes the international and internal legal orders, that it establishes joint governance structures and that it can act in international relations on behalf of the territory it administers. Studying this concept entails establishing the connection between public international law and international relations so that one can dissect the “idea” and determine an approach. In practice, experimentation in the realm of international post-belligerent (post-conflict) administration comprises a plenary phase, partnership and local ownership of the process and has as its end-purpose the building of a bridge between the impact of statism in the international system and the propagation of the norms of international society. This is demonstrated in the light of the developments in Bosnia and Herzegovina, Kosovo and East Timor.
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Les règles techniques dérivées de l'Organisation de l'aviation civile internationale et de l'Organisation maritime internationale / The secondary technical rules from the international civil aviation organization and the international maritime organization

Trigeaud, Béatrice 03 December 2013 (has links)
Pour réglementer les activités de navigation civile internationale, aérienne et maritime, les États ont choisi d’agir au moyen de deux institutions spécialisées du système des Nations Unies. L’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) et l’Organisation maritime internationale (OMI) ont été investies du pouvoir de superviser l’élaboration de règles techniques applicables à ces matières. De façon générale, les règles adoptées par ces Organisations doivent, pour prendre effet, être acceptées par les États, sous diverses formes (tacites ou expresses, collectives, voire individuelles). Leur application est tributaire d’actes unilatéraux des États, qui agissent parfois collectivement, étant souvent amiablement contrôlés par l’OACI ou l’OMI. Derrière une apparente clarté, se dissimulent des zones d’ombre. Outre, la situation des tiers et des personnes privées, et les rapports entre l’ordre international et les ordres juridiques étatiques, la nature de ces institutions normatives interroge. Y voir des autorités normatives agissant sur le fondement de pouvoirs constitués serait, en effet, ignorer le jeu incessant de la volonté des États, qui, partout là où il étire les pouvoirs de l’institution, montre l’irréductible liberté contractuelle et constituante de ces mêmes États. Le degré de centralisation de ces systèmes s’effacerait sous le constat que leur effectivité repose sur la volonté même de leurs sujets, plus ou moins tenue par des nécessités techniques, ce qui n’est pas sans conséquences pratiques. / In order to regulate the international civil navigation (air and maritime), the States have chosen to act through two specialized United Nations agencies. Hence they confered the International Civil Aviaton Organization (ICAO) and the International Maritime Organization (IMO) the power to oversee the elaboration of technical rules relevant to this field. In general, the rules adopted by these organizations require various forms of States acceptance to be effective (i.e. express or implied, collective or individual forms). Their implementation depends on unilateral acts of States, that can sometimes act sometimes collectively. And the States are often amicably controlled by the ICAO or the IMO. Behind the apparent clarity, lay some gray areas. Beyond the situation of third and private individuals, and the relationship between international order and national legal systems, one can wonder about the nature of these normative institutions. These could be perceived as normative authorities acting on the basis of an established power. However, this interpretation would ignore the incessant game of States’ will. Whenever the will of the States stretches the power of the institution, the irreducible constituent and contractual freedom of the States appears. The degree of centralization of these systems would be blurred by the observation that their effectiveness depends on the willingness itself of their subjects, which is more or less held by technical necessities, and that would not be without practical consequences.
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La política exterior de México durante el gobierno de Vicente Fox (2000-2006). Entre tradición y cambio. / La politique étrangere du mexique vis-à-vis de l'Amérique latine pendant le gouvernement de Vicente Fox (2000-2006). Regards et perspectives. / Mexican Foreign Policy during Vicente Fox’s Government (2000-2006). Between Tradition and Change.

López de Lara Espinosa, Dainzú 02 December 2011 (has links)
Le développement démocratique engendre-t-il un changement dans la politique étrangère du Mexique ?La politique étrangère « traditionnelle » mexicaine est réputée pour être passive, légaliste et nationaliste, telle la définie le Parti Révolutionnaire Institutionnel au début du XXème siècle, jusqu’à la fin des années 1990. Depuis cette date, la politique étrangère mexicaine est en pleine transition sous l’effet d’un nouvel ordre mondial et du processus de démocratisation interne.En 2000, l’élection du président Fox jouit d’une légitimité internationale qui lui permet de renouveler la politique extérieure en se focalisant sur la défense des droits de l’Homme et de la démocratie. Ce changement diplomatique marque une rupture politique avec le régime précédent.Par le biais de la révision du ALENA, il cherche d’une part, à approfondir l’intégration avec les États-Unis avec la négociation d’un accord migratoire, et d’autre part, à développer une activité multilatérale, en particulier au sein des forums de l’ONU. Cette politique vise à réduire la dépendance du Mexique vis-à-vis des États-Unis en intensifiant sa présence multilatérale. Cet objectif sera néanmoins fortement perturbé par des éléments internes, comme l’inertie bureaucratique, et externes, avec les attentats terroristes du 11 septembre.Cette recherche s’appuie sur la littérature politiste spécialisée sur la politique étrangère mexicaine.Elle critique les analyses qui s’attachent exclusivement à démontrer le manque d’habilité et les erreurs diplomatiques de l’administration Fox. La thèse soutient au contraire, que ces changement sont permis de mettre sur l’agenda politique des dossiers fondamentaux comme la politique migratoire, les droits de l’Homme et la coopération pour le développement. / Has Mexican foreign policy changed with the advent of the new democratic rule in Mexico?Traditional Mexican Foreign Policy, known as passive, reactive, legalistic, and nationalistic, was installed by the Institutional Revolutionary Party (PRI) from the start of the 20th century to the late90s. Since that date, Mexican foreign policy faces a double transformation dynamic: the external,with the establishment of a new world order; and the internal, with the Mexican democratization process.2000 elections, depicted as a transparent process, gave president Vicente Fox sufficient international legitimacy to modify foreign policy agenda, introducing the protection of human rights and democratic values. These changes produce a political rupture with the previous regimeand triggered a change in the foreign policy behaviour.The new foreign policy program includes a complementary strategy: first, widen the regional integration within the United States, by the revision of the NAFTA, with a negotiation of amigration agreement; second, deploying a strong multilateral activity (mainly United Nationsforums). This stratagem seeks to reduce Mexico’s U.S. dependence, by intensifying its multilateral presence. But, internal and external causalities, inertial bureaucratic practices and the effects of September 11 reversed this policy.This research is based on political literature specialized in Mexican foreign policy. It critically analyzes the classic approach that focus exclusively on the lack of diplomatic skill and blunders of Fox’s administration. This thesis argues instead that these changes have helped set the politicalagenda of fundamental issues as migration policy, human rights and development cooperation. / ¿Hubo cambio en la política exterior de México con la llegada de la democracia?La política exterior “tradicional” de México, conocida como pasiva, legalista y nacionalista,instalada a inicios del siglo XX por el Partido Revolucionario Institucional (PRI) se enfrenta, en los años noventa, a un doble contexto de transición: el externo, ante la influencia de un nuevo orden mundial; y el interno, con el proceso de democratización. La elección del 2000, considerada un proceso electoral transparente y equitativo, le otorga algobierno de Fox una legitimidad internacional que le permite proponer una agenda de política exterior “nueva”, centrada en la protección de los derechos humanos y la democracia. Esto representa una ruptura política con respecto al régimen anterior y un signo de cambio en el comportamiento hacia el exterior.El nuevo programa de política exterior incluye una estrategia complementaria: primero, profundizar la integración con Estados Unidos, mediante la revisión del TLCAN, con la negociación de un acuerdo migratorio; y segundo, una actividad multilateral, particularmente en los foros de la ONU. Esta política busca reducir la dependencia de Estados Unidos, intensificando su presencia multilateral. Este objetivo es revertido a causa de factores tanto de causalidad interna como externa,como las inercias burocráticas y los efectos de los atentados del 11 de septiembre.Esta investigación se basa en la literatura especializada sobre la política exterior mexicana, y criticalos análisis enfocados exclusivamente en la falta de habilidad y los errores diplomáticos de la administración Fox. Esta tesis sostiene lo contrario, que estos cambios permitieron meter en la agenda política temas fundamentales como la política migratoria, los derechos humanos y la cooperación para el desarrollo.
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Entry and operation strategies of Indian pharmaceutical firms in Africa under the dynamics of markets and institutions / Stratégies d'entrées et de fonctionnement des firmes pharmaceutiques indiennes en Afrique sous la dynamique des marchés et des institutions

Singh, Sauman 12 July 2018 (has links)
La thèse démontre que l'environnement protectionniste en Inde a contribué à bâtir une industrie pharmaceutique solide. L'arrivée simultanée de l'Accord ADPIC et de la libéralisation économique a créé des « push factors » à la fois compétitifs et favorables, obligeant les firmes pharmaceutiques indiennes (FPI) à chercher de nouvelles voies de croissance à l’étranger. Les politiques des pays africains en faveur des génériques, l’action des organisations internationales et la nouvelle gouvernance des marchés financés par les bailleurs de fonds ont aussi induits des « pull factors » permettant aux FPI de s'engager davantage sur ces marchés. Cette thèse montre à travers le cas du Mali que le marché en Afrique de l’Ouest francophone est divisé en quatre segments – le marché public financé par l'État et par des donateurs et le marché privé formel et informel – avec des réglementations différentes. Les FPI n'utilisent que l'exportation dans ces pays, mais leurs organisations varient selon le segment dans lequel elles souhaitent opérer. Enfin, ce travail utilise l’étude du Synriam, un nouvel antipaludéen pour montrer que Ranbaxy a utilisé le partenariat avec Medicines for Malaria Venture pour développer ses capacités, accéder à de nouveaux marchés et gagner en légitimité. Cette étude met en évidence que les organisations internationales peuvent créer des barrières institutionnelles et influencer les stratégies d'entrée des firmes. En conclusion, cette thèse illustre la richesse et la complexité du marché pharmaceutique africain et démontre également que les stratégies d'entrée sur le marché et d'exploitation des FPI sont influencées par l'environnement institutionnel sous-jacent. / This dissertation first shows that the early protectionist environment in India helped build a robust indigenous pharmaceutical industry. The simultaneous arrival of TRIPS and economic liberalization created both competitive and supportive push factors forcing Indian firms to look for new avenues of growth beyond national boundaries. Generic supporting policies of African countries, the action of international organizations and the new governance of donor-funded markets also acted as pull factors for Indian firms to engage in these markets.Next, taking the case of Mali, the thesis shows that the pharmaceutical market in Francophone West African countries is divided into four specific segments – government and donor-funded public and formal and informal private markets – with different regulatory characteristics. Indian firms are using only export to operate in these countries, but the organization of export varies according to the segment in which a firm intends to operate. Lastly, it takes the case of Synriam, a new antimalarial to show that Ranbaxy used the partnership with Medicines for Malaria Venture for developing capabilities, accessing new markets and gaining legitimacy. The case also reflects that international organizations may create institutional barriers and influence the market entry strategy of firms. To conclude, this thesis illustrates the richness and complexities of the African pharmaceutical market and shows that market entry and operation strategies of Indian firms are influenced by the underlying institutional environment.
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La lutte contre la fraude à la constitution en Afrique Noire francophone / The fight against fraud in Francophone African constitution

Ouedraogo, Séni Mahamadou 16 May 2011 (has links)
L’objectif de la présente étude est de faire l’état de la lutte contre la fraude à la constitution qui entrave le processus de démocratisation en Afrique noire francophone. Il s’agit de montrer que le renforcement de la démocratie et de l’État de droit a favorisé l’émergence de nouveaux usages de la constitution dans la plupart des États africains. Les gouvernants qui ont intériorisé les contraintes du constitutionnalisme le rejettent de plus en plus par le recours à des artifices juridiques qui se révèlent très difficiles à combattre sur le terrain du droit. Il en est ainsi parce que le fraudeur à la constitution prend toujours le soin de se conformer à la lettre de la constitution pour en combattre son fond. Toutefois, on voit émerger au niveau national, régional et international une synergie d’actions de quelques institutions juridictionnelles, politiques et sociales tendant à combattre les actes des pouvoirs publics qui, revêtant l’apparence de la légalité constitutionnelle, la contrarie. Pour ce faire, les acteurs impliqués dans la lutte contre la fraude n’hésitent pas à tirer du dispositif normatif qui se révèle dans sa mise en œuvre inadaptée, les moyens pour identifier et sanctionner. Le bilan des actions menées contre la fraude révèle des rares succès. Les échecs enregistrés induisent que pour la consolidation de la démocratie en Afrique, la lutte contre la fraude à la constitution doit être placée au centre du contrôle du juge constitutionnel. / The objective of this study is to review the state of the fight against fraud in the constitution that hinders the process of democratization in francophone Africa. These show that the strengthening of democracy and the rule of law has encouraged the emergence of new uses of the constitution in most African states. The leaders who have internalized the constraints of constitutionalism reject more and more by the use of legal devices that are very difficult to fight on the field of law. This is so because the fraudster to the formation always takes care to comply with the letter of the constitution to fight his background.However, are emerging at national, regional and international synergy of actions of some judicial institutions, and social policies aimed at combating acts of public authorities, taking on the appearance of constitutional legality, the upsets. To do this, those involved in the fight against fraud do not hesitate to draw the normative system which is revealed in its inadequate implementation, the means to identify and punish. Review the actions conducted against fraud reveals rare success. The failures that lead to the consolidation of democracy in Africa, the fight against fraud in the constitution must be central control of the constitutional court.
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La prévention du génocide: un défi possible à relever

Iyakaremye, Jean-Bosco January 2016 (has links)
Le génocide constitue incontestablement le crime le plus monstrueux, du fait que ses victimes sont un groupe de personnes innocentes et inoffensives, visées, non pas à cause de leurs actes ou du risque qu’elles représentent au regard de la sécurité de l’État criminel, mais uniquement pour ce qu’elles sont, comme telles. La Convention sur la prévention et la répression du crime de génocide, mise en place en réaction contre l’Holocauste en tant qu’instrument juridique à même de permettre au "plus jamais ça" de devenir une réalité, n’a pas contribué à la prévention de ce crime, dans la mesure où le génocide des Tutsis est venu rappeler que les plus belles promesses restent vaines, lorsque les instruments juridiques internationaux, régionaux et nationaux de protection des droits humains ne sont pas solides, et surtout lorsque ceux-ci ne sont pas "arrimés" à des outils structurels et opérationnels cohérents en mesure de faciliter la prise de décision rapide et efficace des plus importants décideurs politiques au sein de la "société internationale", en vue de la prévention du génocide et d’autres crimes de masse. La question à laquelle tente, dès lors, de répondre cette étude est celle de trouver les voies et moyens à utiliser pour permettre à la "société internationale" de prévenir le génocide et les autres crimes de masse. Cette étude suggère, entre autres, aux Nations Unies, aux organisations régionales, aux États ainsi qu’aux citoyens, des moyens susceptibles de relever ce défi. Figurent notamment parmi ces moyens, le renforcement des normes et institutions de protection des droits humains tant à l’échelle universelle que sur les plans régionaux. Elle propose également les moyens structurels et opérationnels utilisables dans la même perspective
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La souveraineté et la réalisation de la responsabilité internationale des Etats en droit international public / The sovereignty and the realization of the international responsibility of the states in the international public law

Zhekeyeva, Aiman 27 February 2009 (has links)
Etant membre de la communauté internationale, l'Etat ne peut pas être irresponsable pour ses actions. De même la spécificité principale de la responsabilité internationale est liée aux particularités du droit international et de ses sujets principaux- Etats souverains. La compréhension du mécanisme de la mise en œuvre de la responsabilité internationale des Etats et de son rapport avec la souveraineté montre la validité et l'efficacité du droit international. La réalisation de la responsabilité en tant que processus est examinée en thèse en tenant compte des différents critères : comme la réalisation des éléments de la responsabilité (application de mesures de contrainte), le processus de l’attribution de la responsabilité (le procès de l’attribution à l'Etat des faits des autres sujets du droit international) et la réalisation des phases de la responsabilité (les questions liées à la procédure judiciaire et à l’exécution des décisions internationales).La corrélation de ces deux notions est conçu en thèse sous deux aspects: à savoir, si l'Etat souverain peut en se couvrant sous la souveraineté tenter d'éviter la responsabilité et quels sont les mécanismes pour l’en empêcher et à contrario, comment la réalisation de la responsabilité peut toucher ou même violer la souveraineté des Etats. / Being a member of the international society, the State can not be irresponsible for its actions. At the same time the peculiarity of international responsibility is joined to the peculiarities of the international law and its subjects-sovereign states.The understanding of the mechanism of application of State’s international responsibility and its relation with sovereignty shows the validity and the efficiency of the international law.The realization of the responsibility is regarded in this research as a process taking into account different criterions: as the realization of elements of responsibility (application of coercive measures), as a process of attribution of responsibility (a process of attribution to a State the acts of other subjects of the international law) and as a realization of phases of the responsibility (questions related to the court procedures and to the execution of the international awards).This research considers the correlation of these two legal concepts in two aspects: on the one hand, if the Sovereign state by using the principle of sovereignty can escape the responsibility and what are the mechanisms to prevent it, and, on the other hand, how the realization of responsibility could touch or even violate the sovereignty of the states.
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Mackinder reloaded : the emerging role of international security institutions in the global scramble for Central Asia

Contessi, Nicola 18 April 2018 (has links)
Plusieurs organisations internationales régionales de sécurité ont été créées en Asie centrale depuis la fin de la Guerre froide, typiquement sous l’impulsion d’un État entrepreneur. Malgré la présence de plusieures ménaces à la sécurité provenant de cette région, on peut se si les institutions existent vraiment pour réduire les coûts de transaction qui découlent du besoin de négocier les accords destinés à encadrer les relations interétatiques, n’en serait-il suffisante une seule? Si d’autre part, les institutions internationales sont sans importance tel que le prétendent les néoréalistes, comment expliquer cette multiplication d’acronymes? En prenant comme point de départ l’affirmation que “la coopération rend possible l’exercice du pouvoir” (Moe 2003, 12), cette thèse présume que depuis la fin de la Guerre froide, les grandes puissances ont été enclines à se servir des institutions intergouvernementales multilatérales pour brandir leur influence dans la région. Il est suggéré que les institutions multilatérales représentent une option stratégique inégalée par des outils de politique alternatifs, tel que les relations bilatérales. Leur valeur spécifique réside dans le fait de générer des opportunités permettant de légitimer des positions et des discours, former des coalitions et solidifier des relations, y compris des relations de pouvoir. Ceci s’éloigne sensiblement de la position réaliste selon laquelle les institutions ne sont autre chose que le miroir d’un équilibre de puissance en présence. Au contraire, cela suggère que les institutions contribuent à créer et à façonner les rapports de pouvoir. Cela s’éloigne également de l’approche néolibérale des couts de transaction, qui néglige largement la dimension du pouvoir. À partir de ces observations, cette thèse développe un cadre théorique pour expliquer le comportement respectif de la Chine dans l’Organisation de coopération de Shanghai, de la Russie dans l’Organisation du Traité de sécurité collective, et des États-Unis dans le Partenariat Euro-Atlantique de l’OTAN. Ce cadre met de l’avant deux hypothèses stipulant que les institutions internationales représentent la variable intermédiaire grâce à laquelle un État entrepreneur s’efforce de : 1) promouvoir son propre contrôle sur les États membres qui lui sont associés; 2) refuser ce même contrôle à une institution ou à une puissance rivale. Les donnés empiriques récoltées soutiennent significativement le mécanisme exposé dans le cadre de la première hypothèse, mais sont insuffisantes à confirmer pleinement la seconde, bien que les réalisations de ces institutions soient cohérentes avec les attentes evoqués par l’hypothèse. / Numerous regional security organizations have emerged in Central Asia since the end of the Cold War under the leadership of one entrepreneur nation. Whereas multiple security externalities stem from the region, if institutions are really in place to reduce the transaction costs arising from the need to negotiate agreements that guide interstate cooperation, wouldn’t one be sufficient? If, on the other hand, institutions are irrelevant as neorealists argue, why such proliferation of acronyms? Starting from the insight that “it is cooperation that makes the exercise of power possible” (Moe 2003: 12), this thesis assumes that since the end of the Cold War, major powers have been prone to using multilateral intergovernmental institutions as a means of wielding influence in the region. It is suggested that multilateral institutions represent a strategic option that alternative policy instruments, such as bilateral agreements, do not match. Their specific value is that they generate opportunities to legitimize claims, form coalitions, and crystallize power relations. This is quite different from saying that institutions are merely a reflection of existing power relations, as much realist literature does. Rather it suggests that institutions have a role in creating and shaping power relations. But it also differs from the transaction costs approach which neglects the power dimension. The research develops a framework to explain the respective agency of China in the Shanghai Cooperation Organization, Russia in the Collective Security Treaty Organization, and the United States in NATO’s Euro-Atlantic Partnership. This framework advances two hypotheses which postulate that institutions represent the intervening variable for entrepreneur states to: 1) foster control over the associated member states; and 2) Deny attempts to exercise control to rival institutional projects or major powers. Empirical evidence lends significant support to the mechanism described by the first hypothesis, but is insufficient in the case of the second one, though institutional outputs are consistent with the expectations of the hypothesis.

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