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When CSR meets the stock market : the role of investor attention / Responsabilité sociale de l'entreprise et performance financière : quel rôle pour l'attention des investisseurs

El aouadi, Amal 23 November 2016 (has links)
Cette thèse se compose de trois essais empiriques qui étudient le rôle de l’attention des investisseurs comme étant un déterminant de la relation entre la performance sociale de l’entreprise (PSE) et sa performance financière (PFE). Notre objectif étant de repenser la littérature controversée sur les répercussions financières des activités de l’entreprise en matière de RSE, nous émettons un nouveau postulat – l’attention des investisseurs joue un rôle important dans la relation PSE-PFE. En effet, en complément à l’attrait de l’attention des investisseurs sur les marchés financiers tel que suggéré par un bon nombre d’articles académiques, une littérature émergente mais conséquente a récemment souligné le rôle de la visibilité de l’entreprise ainsi que celui de l’attention des différentes parties prenantes comme étant des facteurs pertinents de la relation entre la PSE et la PFE. Par conséquent, nous avons jugé utile de revisiter les retours sur investissements de la PSE, tout en intégrant l’effet de l’attention des investisseurs.Un important courant de la littérature empirique sur la PSE témoigne d’une forte cohésion entre l’entreprise socialement responsable et ses différentes parties prenantes telles que les consommateurs, les employés, les fournisseurs, les investisseurs les analystes financiers ainsi que les militants et activistes, cette cohésion étant encore plus forte, pour les entreprises bénéficiant d’une attention plus accrue de la part des différentes parties prenantes. Dans ce travail de recherche, nous poursuivons dans une telle logique et plus particulièrement, nous mettons en œuvre une analyse plus fine de ce constat, à savoir, nous évaluons le rôle de l’attention des investisseurs, en tant que ressource cognitive rare et limitée, dans la relation PSE-PFE. Cette thèse comporte quatre chapitres. Un chapitre préliminaire passe en revue la littérature existante sur la valeur marché de la PSE. En particulier, nous identifions trois courants de recherche principaux portant sur cette question et discutons du rôle des mécanismes internes et externes qui affectent la réaction des marchés financiers à la performance sociale. Plus important encore, nous accordons une attention particulière à la littérature sur le rôle de la visibilité de l’entreprise pour traduire la PSE en PFE. Ce dernier constat ouvre le débat sur la pertinence probable de l’attention de l’investisseur comme un déterminant clé de la relation PSE-PFE. Ainsi, dans une deuxième partie, nous portons un intérêt particulier à la littérature antérieure sur l’attention, le traitement de l’information et la prise de décision sur les marchés financiers. Puis, après avoir correctement défini l’attention et présenté son rôle sur les marchés financiers, nous essayons dans la dernière section de ce chapitre, d’établir le lien entre la littérature sur l’attention des investisseurs et celle sur l’impact financier de la PSE afin de déceler les perspectives de recherche futures. En dernier lieu, nous concluons et donnons le ton à la question de recherche complexe et stimulante que nous essayons d’élucider tout au long des trois essais de cette thèse à savoir, comment l’attention des investisseurs transforme la PSE en PFE. [...] / This thesis consists of three empirical essays investigating the role of investor attention as a determinant of the relationship between corporate social performance (CSP) and financial performance. Our aim is to rethink the controversial literature on the financial implications of CSR activities by exploring a new premise – investor attention may shape the financial returns on corporate social impact. Since a growing stream of literature has highlighted the role of firm visibility as well as stakeholder attention to connect CSP to financial performance in addition to the complementary literature of investor attention and stock prices, we expect that controlling for firm-specific investor attention would provide novel insights to the literature on the potential financial effects of CSP.A consistent strand of literature has provided interesting evidence of a strong relationship between the firm CSP and its stakeholders such as consumers, employees, suppliers, investors, analysts, activists and communities, and regulators, with the benefits being stronger, the greater the attention to and salience of social activities among stakeholders. We complement and extend this literature by implementing a more granular analysis and particularly we focus on the relevance of investors’ attention, a scarce and limited cognitive resource.This research is divided in four chapters. The first chapter is a survey of prior theoretical and empirical literature on the controversial debate of the relation between CSR and financial outcomes. We have particularly reviewed potential mechanisms that allow CSP to translate into CFP. Most importantly, we rely on studies claiming that firm visibility is a crucial factor to connect social impact to financial performance. Another argument of great appeal is the stakeholder attention theory as proposed by Madsen and Rodgers (2015) from which our research question draws its full legitimacy. Then, we have connected the literatures on attention, information, decision making and CSR to remake the CSP-CFP puzzle and highlight potential research hypotheses. A more readable view is provided by Figure 1 (later in this document) which integrates and synthesizes key predictors, outcomes, mediators, and moderators of the CSP-CFP relation by focusing on studies related to CSR and firm visibility thereby introducing the role of investor attention. Figure 1 is not an exhaustive conceptualization of all the intervening variables in this relationship but rather meant as a multilevel lens and guiding framework to which other variables can be added in the future. However, despite all the advancements in assessing the returns on CSR investments, this debate remains unsettled and has yielded conflicting results. Thus, we conducted three empirical essays on the relation between CSP and financial performance and particularly provide new and unique evidence on the role of investor attention to shape this controversial empirical issue. Therefore, in the first essay, we conduct a multi-country event study and investigate the impact of environmental, social and governance (ESG) news headlines on the shareholder wealth. We find that investors do not value positive ESG news headlines but negatively react to negative ESG news headlines. This result is consistent with the idea that social responsibility and irresponsibility are not the two sides of the same coin. Furthermore, evidence reveals that shareholders only react to negative corporate governance related headlines. This suggests that investors may be especially prone to attend to corporate social responsibility (CSR) initiatives that directly impact their own interests as previously suggested by T. M. Jones et al. (2007). Most importantly, investor attention was found to shape the punishment and reward of CSP, after controlling for the additional role of firm’s internal moderators such as firm size and advertising expenditure. [...]
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La gouvernance d'entreprise managériale : positionnement et rôle des gérants de fonds socialement responsables

Morvan, Jérémy 29 November 2005 (has links) (PDF)
Cette thèse développe une modélisation de la gouvernance de la firme fondée sur la légitimité du pouvoir. <br /><br />Dans la première partie, nous développons une approche théorique de la gouvernance. Dans le premier chapitre, nous présentons la théorie de l'agence et la théorie des parties prenantes pour identifier les acteurs du processus productif. Dans un deuxième chapitre, nous cherchons à faire évoluer le paradigme en présentant un modèle de légitimité du pouvoir dans la firme.<br /><br />Dans la seconde partie, nous produisons une approche empirique de la gouvernance. L'objectif est de comprendre l'imbrication des légitimités pragmatique, cognitive et morale de la firme dans sa recherche d'une adhésion des partenaires. Dans le troisième chapitre, une analyse de données textuelles permet d'identifer les attentes financières, partenariales et citoyennes de ces fonds socialement responsables (SR) en direction de l'entreprise. Dans le quatrième chapitre, nous comparons les performances de fonds et indices SR et traditionnels.
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Une démarche top-down / bottom-up pour l'évaluation en termes multicritères et multi-acteurs des projets miniers dans l'optique du développement durable. Application sur les mines d'Uranium d'Arlit (Niger)

Chamaret, Aurélie 28 June 2007 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour objectif d'éprouver la pertinence d'une approche hybride top-down / bottom-up pour évaluer les projets miniers dans l'optique du développement durable. Avec l'avènement des concepts de responsabilité sociale d'entreprise et de développement durable, de nouvelles attentes sociétales pèsent en effet sur les entreprises qui vont au-delà d'une simple exigence de rentabilité économique. Des réponses doivent être apportées par les entreprises, au risque de perdre leur légitimité sociale. Traditionnellement associée à des risques et des impacts sociaux, environnementaux, économiques et politiques jugés traditionnellement comme importants, l'activité minière est particulièrement concernée par ces nouveaux enjeux. Alors que les besoins en ressources minérales n'ont jamais été aussi élevés, on attend désormais des entreprises qu'elles limitent leurs effets négatifs et prennent en compte les préoccupations de leurs différents publics afin de définir ensemble les termes d'un accord conférant à l'entreprise sa légitimité. Au vu de la diversité des enjeux, des échelles, des contextes et des acteurs concernés, le défi est de taille et nécessite des outils visant à mieux cerner les enjeux et structurer les dialogues. Basé sur l'étude de cas des mines d'uranium d'Arlit au Niger, ce travail montre qu'associer des démarches participatives à des outils de structuration et des propositions issus de la littérature apparaît comme une formule efficace pour mieux organiser la diversité des enjeux associés au projet et construire une négociation structurée entre les entreprises minières et leurs parties prenantes. La Première Partie, (Cadrages), a pour objectif de présenter les contextes théoriques, institutionnels et sectoriels dans lesquels s'ancre la thèse. La Deuxième Partie, (Application de la démarche sur les mines d'Arlit), expose les travaux et les résultats de l'évaluation réalisée au Niger. Enfin, la Troisième Partie, (Recadrages), dresse le bilan des enseignements et des conclusions que l'on peut tirer de ce travail de recherche et présente une proposition de démarche potentiellement applicable à d'autres sites miniers.
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L'incidence des facteurs socioculturels dans le reporting financier et le reporting sociétal : Un essai de comparaison entre la France et l'Allemagne

Cretté, Olivier 10 July 2012 (has links) (PDF)
Nos travaux, dans le prolongement de recherches envisageant l'harmonisation comptable internationale (IAS/IFRS) et la mise en place des indicateurs de Responsabilité Sociale de l'Entreprise (RSE) sous un angle processuel et " historico évolutif ", tendent à s'en démarquer en recherchant les moyens d'analyser l'information issue du reporting financier (IAS/IFRS) et extra-financier (RSE) dispensée durant la période 2006-2010 par les sociétés cotées composant les indices boursiers français du CAC 40 et du SBF 120, d'une part, et allemands du DAX 30 et du DAX 100, d'autre part, et en substituant à une approche souvent inductive dans ce domaine une démarche hypothético-déductive. Ils mettent en regard, d'une part, les données recueillies et, d'autre part, les intérêts des actionnaires/investisseurs ainsi que de l'ensemble des parties prenantes de part et d'autre du Rhin, sur le fondement théorique de la théorie de l'agence et la théorie des parties prenantes. La méthode employée, à la fois quantitative et qualitative, vise d'abord à utiliser des outils de mesure se fondant sur des moyennes, médianes et analyses de régression combinant plusieurs variables exprimées pour l'essentiel sous la forme de ratios comptables et financiers (IAS/IFRS) ; cette mesure s'étend à un recensement de l'occurrence de mots dans les supports d'information extra-financière (rapports RSE et de développement durable). Puis à interroger les responsables administratifs et financiers en charge de l'application du référentiel IAS/IFRS ainsi que les responsables de la communication RSE et du développement durable des sociétés de notre panel, au moyen de questionnaires se fondant sur les outils de " logique floue ". Nous ne cherchons pas à mesurer l'incidence des normes IAS/IFRS et des indicateurs RSE ni sur la performance financière, ni en taux de retour sur la valeur boursière. Nous observons par nos résultats des nuances de perception des normes IAS/IFRS et des objectifs de RSE dans le reporting financier et extra-financier susceptibles d'être imputées à des facteurs socioculturels, et répondant à une gouvernance plus actionnariale en France qu'en Allemagne.
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Alignement stratégique des usages du système ERP : Emergence d'une hypothèse culturaliste

Ben Amar, Nesrine 02 July 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse se donne pour objet d'explorer la place de la dimension culturelle vis-à-vis du phénomène d'alignement stratégique du SI- subtilité insuffisamment analysée- voire de comprendre en profondeur l'impact que peut exercer la culture organisationnelle sur l'alignement stratégique des usages du système ERP, notamment lors de la phase du post-basculement. Pour la stratégie de recherche qui est la nôtre, une exploration théorique, pertinente en regard de notre questionnement scientifique, nous a paru comme préalable indispensable pour constituer à la fois le fondement et la justification de la modélisation proposée. Laquelle a été mise à l'épreuve de la réalité professionnelle auprès d'une sélection d'entreprises opérant en Tunisie et se trouvant dans la phase du post-basculement de leurs systèmes ERP. Ce faisant, il nous a semblé plus constructif d'adopter la complémentarité des deux approches qualitative/quantitative au niveau de notre démarche empirique, et ce dans le cadre d'une triangulation méthodologique. Notre investigation s'est donc déroulée en deux phases. Durant la première, 5 études de cas ont été menées à partir de 16 entretiens semi-directifs auprès des DG, DM et DSI impliqués dans l'alignement stratégique des usages du système ERP. En s'adossant aux résultats de l'analyse de contenu de ces entretiens, un questionnaire d'enquête a été administré dans la seconde phase auprès de 55 DM en fonction dans 22 entreprises. La diversité des résultats obtenus, confirmant à la fois la faisabilité et la validation de la modélisation de recherche, tend à démontrer la singularité de notre travail de recherche dont la contribution principale réside dans l'émergence d'une hypothèse culturaliste novatrice. Laquelle postule la nécessaire prise en considération de la culture organisationnelle comme stimulateur potentiel de l'alignement stratégique des usages du système ERP, répondant de la sorte au besoin managérial relatif à la maîtrise de l'alignement stratégique des usages lors de la phase du post-basculement.
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Le système de management environnemental comme moyen de contrôle de la déclinaison et de l'émergence des stratégies environnementales.

Renaud, Angèle 26 November 2009 (has links) (PDF)
La prise en compte des défis écologiques majeurs de ce nouveau siècle se manifeste actuellement par l'adoption du système de management environnemental (SME) dans les entreprises. L'objectif de cette thèse est d'analyser comment ce système de management est utilisé dans les entreprises françaises pour décliner leurs stratégies environnementales et contribuer à l'émergence de nouvelles stratégies environnementales. Pour répondre à cette problématique, deux cadres théoriques servent de prismes conceptuels dans cette recherche : le néo-institutionnalisme organisationnel (DiMaggio et Powell, 1983, 1991 ; Hasselbladh et Kallinikos, 2000) et les leviers de contrôle de Simons (1995). Puis, la méthodologie de recherche s'articule en trois temps : une étude exploratoire, une étude de cas multi-sites et une étude de cas approfondie. A l'issue de l'étude de cas multi-sites, portant sur 10 entreprises françaises proactives en matière d'environnement, un modèle théorique est proposé. Ce modèle montre l'articulation des systèmes de contrôle du SME dans la déclinaison des stratégies environnementales, depuis l'intégration des idéaux verts de la société jusqu'à la diffusion des performances environnementales auprès des parties prenantes. Ce modèle présente deux mécanismes indispensables à cette articulation : les concepts d'interactivité interne et externe. L'étude de cas intra-site met en évidence une typologie des relations entre les systèmes de contrôle diagnostique et interactif (au sens de Simons, 1995) et les niveaux d'apprentissage organisationnel (au sens de Argyris et Schön, 1978, 2002). Cette typologie montre que, contrairement à la littérature, certains systèmes de contrôle diagnostique peuvent favoriser l'émergence de nouvelles stratégies en produisant des apprentissages organisationnels de type génératif (ou en double boucle). De même, les systèmes de contrôle interactif ne produisent pas systématiquement des apprentissages génératifs mais peuvent se limiter à des apprentissages adaptatifs (ou en simple boucle). En définitive, les résultats de ces études de cas contribuent à enrichir théoriquement le domaine de recherche encore peu exploré des liens entre stratégie, systèmes de contrôle et apprentissage organisationnel.
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Processus de détermination d’une entité comme partie prenante. / Process of determining of an entity as a stakeholder

Mbani, Jordan 08 December 2014 (has links)
L’objet de la présente étude est de comprendre comment une entité sociale devient partie prenante d’une entreprise. En effet, les différentes méthodes de détermination des parties prenantes sont critiquées sur leur portée heuristique. Une de ces nombreuses difficultés est leur incapacité à dire "qui" est partie prenante et "qui" ne l’est. Pour le dire autrement, la théorie des parties prenantes manque d’un critère de falsifiabilité. Dès lors, comprendre le processus par lequel une entité devient partie prenante revient implicitement à admettre que cette dernière au préalable ne l’est pas. De ce fait, étudier le processus par lequel un groupe d’individus devient partie prenante d’une entreprise revient à énoncer un critère de falsification puisqu’il devient possible de dire comment être partie prenante comment ne pas l’être. Telle est la problématique générale de ce projet de recherche.Pour comprendre ce processus, la réflexion part donc du postulat qu’une catégorie ne "nait" pas partie prenante mais le devient. La phase empirique de cette recherche repose sur une enquête multi cas. Trois entreprises sont étudiées. Les données traitées selon une analyse de contenu parviennent à faire ressortir une conception de l’entreprise comme nœud de quatre liens. Ces liens sont : un lien partenarial, un lien juridico-politique, un lien commercial et un lien sociétal. Selon le lien par lequel un individu ou un groupe d’individus est lié à l’organisation, il-cet individu- endosse un rôle particulier.Les personnes liées à l’entreprise par un lien partenarial sont des partenaires ou des contractants. Les individus liés à l’entreprise par le lien marchand sont des clients. Le lien juridico-politique met une personne en relation avec l’entreprise via des institutions judiciaires ou politiques. Les individus liés à l’entreprise par le lien sociétal sont des parties prenantes. Tout rôle étant provisoire, alors les individus sont provisoirement des parties prenantes. Le processus par lequel un groupe d’individus peut devenir partie prenante débute par la survenue d’un élément à enjeu (décision, comportement organisationnel). Le processus est aléatoire, imprévisible, contextuel et temporaire puisque tout acte de l’entreprise ne suscite pas de mobilisations. / The purpose of this study is to understand how a social entity becomes a stakeholder. The various methods of determining the stakeholders are criticized on their heuristic value. One of these problems is their inability to say "who" is a stakeholder and "who" is not. In other words, the stakeholder theory lacks a criterion of falsifiability. Therefore, understanding the process by which an entity becomes a stakeholder means that this entity is not a priori a stakeholder. Consequently, studying the process by which a group of individuals becomes a stakeholder of a company returns to state a criterion of falsification. This is the general problem of this research.To understand this process, it is said that any group cannot be considered at beginning as a stakeholder but it can become a stakeholder. The empirical phase is based on a multiple- case study. Three companies are studied. The study reveals three main results. First, the firm is seen as a four-relationship node. Second, all parties cannot be consider as stakeholders. Finally, according to the link through which an individual or group of individuals is related to the organization, it assumes a special role. These links are: the partnership relationship, the legal-political relationship, the commercial relationship and the societal relationship. Persons related to the company by a partnership relationship are partners. Individuals related to the company by the commercial relationship are clients. The legal and political relationship puts a person in connection with the company through legal or political institutions. Individuals related to the company by the societal relationship are stakeholders.The process by which a group of individuals can become stakeholders begins with the occurrence of an element in issue (decision, organizational behavior). The process is random, unpredictable, and temporary because any decision of a company do not cause mobilizations.
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De la légitimation d'une partie prenante intermédiaire à la construction d'une Responsabilité Sociétale d'Entreprise : le partenariat sociétal comme levier d'action stratégique ?

Daudin, Laure 18 January 2012 (has links) (PDF)
Ce travail de thèse de doctorat répond à la problématique : le partenariat sociétal peut-il être un levier d'action stratégique pour la mise en pratique de la Responsabilité Sociétale d'Entreprise ? En approfondissant le phénomène de collaboration entre l'entreprise et l'association, cette recherche permet de légitimer le rôle d'une partie prenante peu connue, la société civile. La recherche action, mobilisée dans ce travail, vise la coopération entre chercheurs et praticiens. Deux études de cas ont été menées, l'une en France, à Grenoble et l'autre aux Etats-Unis, à New York, pour éclairer de façon transversale le partenariat sociétal. La première perspective illustre le processus de partenariat sociétal du point de vue de l'entreprise française et la seconde perspective explique ce processus du point de vue de l'organisation à but non lucratif américaine. Les onze partenariats sociétaux étudiés sont décomposés en quatre phases : 1°) l'initialisation et la définition de la stratégie ; 2°) la sélection du partenaire approprié ; 3°) les dynamiques récurrentes ; 4°) l'interdépendance relationnelle. Nous avons observé les phénomènes suivants. La société civile joue un rôle d'interface entre les citoyens et l'entreprise. L'entreprise convoite chez l'association des expertises sociales et écologiques tandis que l'association espère de l'entreprise des ressources financières. En dépassant leurs objectifs organisationnels respectifs, les parties prenantes de l'alliance s'engagent pour trouver une solution à un problème commun. Toutefois, lors de la réalisation du projet collaboratif, l'entreprise tend à imposer ses volontés à l'association. Les salariés sont souvent les catalyseurs des projets collaboratifs. Cette tendance ascendante de type bottom-up souligne le caractère émergent de la stratégie mise en pratique par les salariés. Ce processus de partenariat sociétal concrétise la responsabilité sociétale de l'entreprise. Pour finir, la maturité du projet s'illustre par l'expression du sentiment collectif des partenaires d'appartenance à une même équipe. La finalité du processus offre des créations de valeurs sociale et/ou environnementale pour les parties prenantes et pour la Société. L'intérêt économique est complémentaire et non prioritaire. La thèse défendue est la suivante : Le partenariat sociétal peut créer des valeurs sociale(s) et/ou environnementale(s) et économique(s) pour les acteurs impliqués. Les parties prenantes locales et associatives peuvent ainsi participer à la co-construction des stratégies de Responsabilité Sociétale de l'Entreprise. En termes de contribution managériale nous considérons que le partenariat sociétal est un levier d'action stratégique et innovant pour la mise en œuvre d'une stratégie de RSE.
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Dynamique stratégique des organisations sportives et modes de régulation / Strategic dynamics of sports organisations

Legrand, Claude 03 November 2010 (has links)
La thèse vise à étudier la stratégie des clubs sportifs à travers leur évolution dans la hiérarchie compétitive. Elle s’appuie dans une première partie sur la discussion des apports de la théorie des parties prenantes, du leadership et de la théorie des conventions pour proposer un modèle d’analyse de la dynamique stratégique d’un club, ainsi qu’une typologie de configurations stratégiques. Dans une deuxième partie, la thèse confronte ce modèle à une étude longitudinale de trois clubs de basket-ball sur une quarantaine d’années. Les trois cas permettent d’analyser quatre types de configurations stratégiques : de croissance, de consolidation, de redéploiement, de sauvegarde.Les résultats de la thèse mettent en évidence quatre types de trajectoire correspondant à la succession de différentes configurations stratégiques. Les points d’inflexion apparaissent lorsque la stratégie n’atteint pas les effets attendus. La trajectoire stratégique, basée sur le résultat sportif, caractérise de la dynamique stratégique d’un club par l’enchaînement dans le temps des configurations. / The thesis aims at studying the strategy of sports clubs through their evolution in the competitive hierarchy. It is based in part on discussion of the contributions of the stakeholder theory, leadership and theory of conventions to propose an analytical model of the strategic dynamics of a club and a typology of strategic configurations. In second part, the thesis confronts this model to a longitudinal study of three basketball clubs on forty years. The three cases allow to analyze four types of strategic configurations : growth, consolidation, redeployment, safeguard.The results of the thesis reveal four types of trajectory corresponding to the succession of different strategic configurations. The inflection points occur when strategy does not achieve the desired effects. The strategic trajectory, sports result oriented, characterizes the strategic dynamics of a club by the sequence of configurations over time.
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De la légitimation d'une partie prenante intermédiaire à la construction d'une Responsabilité Sociétale d'Entreprise : le partenariat sociétal comme levier d'action stratégique ? / From the legitimization of an intermediary stakeholder to the construction of CSR : the cross-sector social partnership as a strategic lever of action ?

Daudin, Laure 18 January 2012 (has links)
Ce travail de thèse de doctorat répond à la problématique : le partenariat sociétal peut-il être un levier d'action stratégique pour la mise en pratique de la Responsabilité Sociétale d'Entreprise ? En approfondissant le phénomène de collaboration entre l'entreprise et l'association, cette recherche permet de légitimer le rôle d'une partie prenante peu connue, la société civile. La recherche action, mobilisée dans ce travail, vise la coopération entre chercheurs et praticiens. Deux études de cas ont été menées, l'une en France, à Grenoble et l'autre aux Etats-Unis, à New York, pour éclairer de façon transversale le partenariat sociétal. La première perspective illustre le processus de partenariat sociétal du point de vue de l'entreprise française et la seconde perspective explique ce processus du point de vue de l'organisation à but non lucratif américaine. Les onze partenariats sociétaux étudiés sont décomposés en quatre phases : 1°) l'initialisation et la définition de la stratégie ; 2°) la sélection du partenaire approprié ; 3°) les dynamiques récurrentes ; 4°) l'interdépendance relationnelle. Nous avons observé les phénomènes suivants. La société civile joue un rôle d'interface entre les citoyens et l'entreprise. L'entreprise convoite chez l'association des expertises sociales et écologiques tandis que l'association espère de l'entreprise des ressources financières. En dépassant leurs objectifs organisationnels respectifs, les parties prenantes de l'alliance s'engagent pour trouver une solution à un problème commun. Toutefois, lors de la réalisation du projet collaboratif, l'entreprise tend à imposer ses volontés à l'association. Les salariés sont souvent les catalyseurs des projets collaboratifs. Cette tendance ascendante de type bottom-up souligne le caractère émergent de la stratégie mise en pratique par les salariés. Ce processus de partenariat sociétal concrétise la responsabilité sociétale de l'entreprise. Pour finir, la maturité du projet s'illustre par l'expression du sentiment collectif des partenaires d'appartenance à une même équipe. La finalité du processus offre des créations de valeurs sociale et/ou environnementale pour les parties prenantes et pour la Société. L'intérêt économique est complémentaire et non prioritaire. La thèse défendue est la suivante : Le partenariat sociétal peut créer des valeurs sociale(s) et/ou environnementale(s) et économique(s) pour les acteurs impliqués. Les parties prenantes locales et associatives peuvent ainsi participer à la co-construction des stratégies de Responsabilité Sociétale de l'Entreprise. En termes de contribution managériale nous considérons que le partenariat sociétal est un levier d'action stratégique et innovant pour la mise en œuvre d'une stratégie de RSE. / This PhD thesis work addresses the following problem: can Cross-Sector Social Partnerships (CSSP) be a strategic lever for the implementation of Corporate Social Responsibility? Going beyond the phenomenon of collaboration between the company and the nonprofit organization, this research helps legitimize the role of a little known stakeholder, civil society. This work relied upon action research methodology. In cooperation with researchers, action research aims to create knowledge for and with practitioners. The CCSPs are presented from two different perspectives as one action research was developed in Grenoble, France, and the other was made in New York City, United States. The first analysis explains the phenomenon from the perspective of the company and the second shows the view of the non-profit organization. To understand the CSSP process, the eleven societal partnerships studied are broken down into four phases: 1) initialization and definition of strategy; 2) selecting the right partner; 3) recurrent dynamics; and 4) relational interdependence. The purpose of this phenomenon is the social and/or environmental value creation; economic interest is complementary and not a priority. Exceeding their respective organizational goals, the collaborative project's stakeholders work together to find a solution to a common problem. This process of CSSP embodies corporate social responsibility. The phase of trial and error between deliberate strategy and emergent strategy tends to increase as part of a CSR strategy. Civil society acts as an interface between citizens and the business. As a member of a local area network, civil society provides access to new resources and skills. The company benefits from its association with social and environmental nonprofits organizations, while the nonprofit organization hope the company provides financial resources. However, the organizational culture of a company and an association differ. To work together, stakeholders of the project have to go beyond their own interests to exceed their respective organizational goals. However, during the collaborative process, the company tends to impose its will on the partnership. Finally, the maturity of the project is perceived by a collective sense of belonging to the same team. The purpose of the process is to provide value creation for stakeholders, but for society as a whole it may be varied.

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