• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 8
  • 2
  • 2
  • Tagged with
  • 26
  • 26
  • 9
  • 8
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Étude des liens entre le soutien social, l'ajustement universitaire et la persévérance en première année de baccalauréat

Pariat, Lucile January 2008 (has links) (PDF)
L'objectif de la recherche était d'examiner les liens entre la persévérance en première année de baccalauréat, le soutien social (ses sources -amis et pairs, famille, université -et ses fonctions) et l'ajustement des étudiants aux différentes facettes de l'expérience universitaire. Plus spécifiquement, il s'agissait d'identifier la force et la direction des relations entre ces différentes variables, de repérer d'éventuelles différences entre les étudiants persévérants et non persévérants en ce qui concerne le soutien social et la persévérance, d'évaluer la contribution unique et conjointe du soutien social et de l'ajustement universitaire à l'égard de la persévérance et enfin de vérifier le rôle médiateur de l'ajustement universitaire dans la relation entre le soutien social et la persévérance. La recherche visait de surcroît à vérifier si les résultats différaient selon le sexe des étudiants. Des questionnaires traduits, adaptés et validés aux fins de la recherche ont été administrés à 465 étudiants inscrits en première session à l'Université du Québec à Trois-Rivières. Les instruments portaient sur l'évaluation du soutien social tel que perçu par les étudiants et comprenaient des mesures de l'ajustement universitaire, sur les plans scolaire, social, personnel/émotif et de l'attachement à l'institution. L'inscription à l'université durant toute la première année, comme à la session suivante, a été utilisée comme indicateur de la persévérance. Des analyses de corrélations de Pearson, des tests de différences de moyennes (tests t de Student), et des analyses de régression logistique de type hiérarchique ont été réalisés à l'aide du progiciel SPSS, version 12.0. De façon générale, les résultats de l'étude démontrent que la persévérance en première année corrèle significativement avec le soutien social, d'une part, et avec l'ajustement universitaire, d'autre part. Des liens ont également été constatés entre le soutien social et l'ajustement universitaire. Comparés aux étudiants non persévérants, les étudiants persévérants déclarent bénéficier d'un niveau plus élevé de soutien social, le plus souvent provenant des amis et des pairs, suivi du soutien de l'université et de la famille. Parmi les fonctions du soutien social examinées par la recherche, seul le soutien visant à faciliter l'intégration sociale des étudiants permet de différencier les deux groupes. Les résultats démontrent également que les étudiants persévérants s'étaient mieux adaptés à l'université sur tous les plans que leurs pairs non persévérants. Les données de cette recherche mettent en évidence l'apport significatif du soutien social et de l'ajustement universitaire à la prédiction de la persévérance en première année. Selon leur ordre de contribution relative, le soutien des amis et des pairs, suivi du soutien de l'université ressortent comme les sources de soutien social qui prédisent le mieux la persévérance. De surcroît, sur le plan de l'ajustement universitaire, seul l'ajustement scolaire contribue de façon significative à la prédiction de la persévérance en première année. Enfin, les données de la recherche indiquent que l'ajustement universitaire ne joue pas un rôle médiateur entre le soutien social et la persévérance. Les analyses réalisées séparément selon le sexe dénotent certaines différences. Par exemple, alors que chez les étudiantes l'ajustement universitaire et toutes ses dimensions permettent de différencier les étudiantes persévérantes des étudiantes non persévérantes, aucun résultat similaire ne ressort chez les étudiants. Il en va de même des fonctions de soutien social; chez les femmes, une seule fonction -le soutien à l'intégration sociale -distingue les étudiantes persévérantes des non persévérantes, tandis qu'aucune fonction ne se démarque entre les étudiants. On notera également que le soutien provenant des amis est la seule source de soutien permettant de différencier les étudiants persévérants des non persévérants; chez les filles, toutes les sources sont significatives. La présente recherche met en lumière l'importance de soutenir adéquatement les nouveaux étudiants dans leurs efforts d'ajustement à leur première session à l'université, particulièrement au regard des exigences scolaires. De plus, entre autres pistes d'intervention, elle propose que les établissements valorisent davantage la mise en place d'initiatives et de services résolument axés sur le besoin de soutien social des étudiants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Persévérance, Réussite, Étudiants, Baccalauréat, 1ère année, Soutien social, Ajustement universitaire.
12

Étude longitudinale de l'influence des symptômes dépressifs et de l'expérience scolaire sur le décrochage chez les adolescents

Gagné, Marie-Ève 06 1900 (has links) (PDF)
La présente thèse aborde la problématique de la relation entre la dépression et le décrochage scolaire chez les adolescents. La thèse est composée d'une introduction générale, de deux articles scientifiques et d'une discussion générale. Le premier article s'intéresse aux élèves à risque de décrochage au début du secondaire. Il vise à étudier la relation entre la dépression en sixième année et le risque de décrochage scolaire chez des élèves de première secondaire, ainsi que les facteurs scolaires médiateurs de cette relation, pendant la transition primaire-secondaire. Le premier article a été élaboré à partir des données d'une étude longitudinale de deux ans. Pour ce faire, 499 élèves québécois de sixième année ont rempli des questionnaires à chacun des temps de l'étude. Les résultats indiquent que les élèves qui vivent une intensité élevée de symptômes dépressifs en sixième année sont plus susceptibles de se retrouver à risque de décrochage en première secondaire. De plus, les résultats suggèrent une relation de réciprocité entre l'attitude négative envers l'école et les symptômes dépressifs chez les garçons. Également, les résultats montrent que les variables scolaires agissent comme médiateurs dans la relation entre la dépression en sixième année et le risque de décrochage en première secondaire. En effet, chez les élèves présentant une intensité élevée de symptômes dépressifs en sixième année, l'attitude négative envers l'école et l'enseignant, ainsi que le rendement scolaire influencent le risque de décrochage scolaire en première secondaire. Le deuxième article examine l'évolution des symptômes dépressifs chez les élèves décrocheurs et les persévérants au secondaire, en plus des variables qui permettent de distinguer la trajectoire scolaire des élèves dépressifs décrocheurs et persévérants. Pour répondre aux objectifs de cet article, 537 élèves québécois ont d'abord été rencontrés alors qu'ils étaient en première secondaire. Ils ont également été rencontrés en troisième et en cinquième secondaire. Ils ont rempli des questionnaires à chacun des temps de l'étude et nous avons obtenu leur statut (décrocheur ou persévérant) alors qu'ils avaient 20 ans. Les résultats confirment le lien entre la dépression et le décrochage scolaire. En effet les élèves décrocheurs présentent en moyenne des scores plus élevés à l'échelle de dépression. Par ailleurs, les filles décrocheuses présentent une augmentation de l'intensité de leurs symptômes dépressifs entre la première et la cinquième secondaire, alors que nous observons une diminution chez les autres groupes. Les résultats indiquent que la présence d'une intensité élevée de symptômes dépressifs en cinquième secondaire est directement liée au décrochage scolaire à l'âge de 20 ans. Également le rendement scolaire influence la trajectoire des élèves dépressifs. En effet, on observe une diminution du rendement chez l'ensemble des élèves dépressifs, mais les décrocheurs dépressifs maintiennent une moyenne plus faible que les persévérants tout au long du secondaire. Enfin, les résultats montrent qu'un faible rendement, dès la première secondaire, augmente la probabilité de décrocher chez les élèves dépressifs ou en voie de le devenir. Ces résultats confirment l'existence d'une relation entre la dépression et le risque de décrochage scolaire, ainsi qu'entre la dépression et le décrochage. Ils indiquent que les élèves dépressifs forment un sous-groupe d'élèves à risque de décrochage et que ceux-ci devraient pouvoir bénéficier des programmes visant à prévenir le décrochage scolaire. Enfin, ces résultats appuient l'idée que le décrochage est un processus qui débute tôt dans le cheminement scolaire des élèves et qu'il faut intervenir dès le début du secondaire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : dépression, décrochage scolaire, risque de décrochage, expérience scolaire, rendement, transition primaire-secondaire.
13

La compétence morphographique d'élèves de première secondaire : l'effet du biais d'évaluation de son efficacité personnelle sur la performance

Boyer, Priscilla 11 1900 (has links) (PDF)
Dans la société québécoise, les perceptions à l'égard de la qualité de la langue écrite des élèves et des étudiants sont généralement négatives. Il suffit, pour s'en convaincre de consulter les quotidiens ou les rapports de l'Office québécois de la langue française (Maurais, 2008). Ces perceptions sont partagées collectivement et sont généralement centrées autour d'un volet bien spécifique de la compétence linguistique : la maîtrise de l'orthographe. Il est vrai que l'orthographe française est l'une des plus complexes des langues alphabétiques. La correspondance graphophonétique n'est transparente qu'à près de 70 % (Fayot et Jaffré, 2008) et bon nombre de morphogrammes sont inaudibles à l'oral. Par conséquent, la réussite des accords nécessite une maturité syntaxique qui se développe tout au long de la scolarité obligatoire (Cogis, 2005). Or, l'élève est rapidement placé en situation où il doit savoir tout orthographier, tout de suite. Pour Vargas (1996, 1997) et Sautot (2002, 2002-2003), cela suscite chez certains une insécurité linguistique qui provoque des comportements d'inhibition et d'évitement face à toutes les situations de communication. Ces comportements d'évitement freinent les apprentissages et, en fin de compte, confortent les perceptions négatives. En psychologie, les croyances sur soi et leur effet sur le comportement ont été étudiés sous différents angles théoriques, notamment celui du sentiment d'efficacité personnelle de Bandura (2007), qui est défini comme un jugement que la personne porte sur ses capacités à accomplir avec efficacité son action et à produire les résultats escomptés. Selon Bandura, le sentiment d'efficacité personnelle est le fondement du comportement et peut expliquer, en contexte scolaire, entre 14 % et 32 % de la variance de la performance (Multon, Brown et Lent, 1991). Le sentiment d'efficacité personnelle étant subjectif et interprété (Vaillancourt et Bouffard, 2009), certains élèves peuvent présenter un biais d'évaluation positif ou négatif suffisamment important pour avoir des conséquences sur leur estime de soi, leur comportement scolaire et leurs performances (Bouffard, Vezeau, Roy et Lengelé, 2011). En didactique du français, il n'existe pas, à notre connaissance, de recherches qui nous permettent de dire dans quelle mesure les biais d'évaluation de son efficacité personnelle affectent la performance en orthographe grammaticale d'un élève de première secondaire. C'est à cette question que nous tentons d'apporter une réponse, en distinguant deux objectifs spécifiques. D'abord, il s'agissait d'identifier, à partir d'une analyse des données langagières, des représentations partagées par un ensemble d'élèves qui peuvent être considérées comme des obstacles significatifs sur le parcours cognitif menant à une compétence morphographique experte. Ensuite, nous souhaitions examiner, chez des élèves de première secondaire, la relation entre le biais d'évaluation de leur efficacité personnelle en orthographe grammaticale et leur performance dans ce domaine, en tenant compte des différences entre les garçons et les filles. La méthodologie que nous avons privilégiée consiste en l'administration de trois outils de collecte de données : une dictée, conçue et validée auprès de 140 élèves, un questionnaire sur le sentiment d'efficacité personnelle en orthographe, conçu et validé auprès de 230 élèves et l'Épreuve Mentale Otis-Lennon qui nous permet d'obtenir une mesure standardisée de l'habileté scolaire (IHS). Nous avons administré ces outils à 295 élèves de la grande région de Montréal (139 f. 156 g.). Dans un premier temps, nous avons codé les données langagières de façon à pouvoir analyser qualitativement les graphies des élèves et répondre ainsi à notre premier objectif spécifique de recherche. À la suite de cette analyse, nous avons posé quelques hypothèses à propos de représentations linguistiques qui pourraient faire obstacle au développement de la compétence morphographique. Puis, dans un deuxième temps, nous avons codé de nouveau les graphies des élèves en terme de succès/échec, afin de constituer deux variables de la performance en orthographe grammaticale, testées sur le plan de leur cohérence interne, une première qui inclut tous les accords et une seconde qui ne concerne que la reconnaissance des verbes infinitifs. Nous avons ensuite calculé, pour chaque élève, le biais d'évaluation de son efficacité personnelle en orthographe. Pour ce faire, nous avons régressé leur score obtenu lors de la passation du questionnaire sur le sentiment d'efficacité personnelle en orthographe sur leur indice d'habileté scolaire. Le score résiduel standardisé détermine la valence du biais d'évaluation (Bouffard, Vezeau, Chouinard et Marcotte, 2006). Enfin, nous avons soumis nos données à des tests de corrélations et des tests de régression. Ainsi, nous avons pu observer une différence significative entre les filles et les garçons, la performance de ces derniers étant plus faible. Les tests statistiques que nous avons utilisés dévoilent une relation linéaire positive entre le biais d'évaluation de son efficacité personnelle et la performance des élèves. La prise en compte des biais d'évaluation dans l'examen des relations entre les variables explicatives de la performance a réduit considérablement l'effet du genre sur celle-ci. Ainsi, ce n'est pas tant le fait d'être une fille ou un garçon qui explique une partie des écarts observés sur la performance que la présence d'un biais d'évaluation chez l'élève. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : orthographe, grammaire, apprentissage, sentiment d'efficacité personnelle, illusion d'incompétence.
14

La motivation à écrire et le rendement en écriture des filles et des garçons de la 1re secondaire

Rodrigue, Isabelle 02 1900 (has links) (PDF)
L'objectif général de la présente recherche consiste à étudier les différences de genre dans la motivation à écrire et dans le rendement en écriture d'élèves de 1re secondaire. Plus particulièrement, ce mémoire examine la présence d'une différence de genre dans le rendement en écriture des élèves. Puis, il étudie les différences de genre dans la motivation à écrire par le biais de deux théories et un modèle de la motivation, utilisé dans des contextes scolaires, soit la théorie de l'autodétermination, le modèle attentes-valeur et la théorie des buts d'apprentissage. Finalement, cette recherche mesure la relation entre le rendement en écriture et la motivation à écrire des élèves, selon les théories et du modèle de la motivation. Ainsi, les résultats obtenus permettront de vérifier quelle théorie ou quel modèle de la motivation à écrire explique le mieux le rendement en écriture des filles et des garçons de 1re secondaire. Pour ce faire, l'étude a été menée auprès de 89 élèves de 1re secondaire, d'une école secondaire de la région montréalaise. Des questionnaires de motivation ont été remplis par les élèves. Leur résultat à la 1re étape dans la compétence Écrire des textes variés a été retenu comme indice de mesure du rendement en écriture. Les résultats révèlent a priori une différence significative de genre dans le rendement en écriture, favorisant les filles. Puis, des différences de genre apparaissent également dans la motivation à écrire, notamment concernant la motivation intrinsèque, la valeur accordée à l'écriture et les buts d'approche de la maitrise, les filles présentant encore une fois des scores plus élevés. Les données montrent également que chez les filles, leur rendement en écriture en 6e année permet de prédire celui en 1re seconda ire, alors que chez les garçons, ce sont plutôt les variables motivationnelles de la théorie de l'autodétermination qui expliquent le plus de pourcentage de variance du rendement en écriture en 1re secondaire. Ces résultats témoignent de l'importance de s'attarder à la motivation des élèves de façon différenciée selon le genre en contexte d'enseignement afin d'orienter les pratiques enseignantes. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : théories de la motivation, écriture, différence de genre
15

Contribution du style pédagogique des enseignants à la manifestation des symptômes anxieux en début de scolarisation

Morrissette, Natalie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
16

Agents sociaux et facteurs scolaires influençant les motivations et comportements scolaires d'élèves de première secondaire

Pelletier, Sonia 11 1900 (has links) (PDF)
Cette étude porte sur la motivation et l'intention de décrocher d'élèves de secondaire 1. Nous avons évalué la contribution de certains facteurs qui affectent les élèves dans leur perspective d'obtenir ou non leur diplôme d'études secondaires. Nous avons examiné plusieurs déterminants de la relation des élèves avec leurs parents et avec leurs enseignants : la qualité de la relation, le soutien à l'autonomie et l'encadrement qui leurs sont procurés. De plus, nous avons étudié le rôle de variables intermédiaires comme les perceptions de compétence, d'autonomie scolaire et aussi la valeur accordée à la matière. Pour ce faire, cette recherche s'est appuyée sur la théorie de l'autodétermination et, plus particulièrement, sur le modèle proposé par Vallerand, Fortier et Guay (1997). L'échantillon est composé de 21 classes de quatre écoles différentes. C'est 301 élèves, âgés entre 12 à 14 ans, qui en une seule visite, ont rempli le questionnaire. Cette recherche nous permet de tirer trois conclusions. Tout d'abord, que les pratiques sociales d'encadrement et de soutien à l'autonomie des parents et des enseignants amènent les élèves à accorder plus de valeur aux matières de base et qu'en retour ceci a une incidence sur leur motivation autodéterminée qui est plus élevée et, en bout de ligne, ils ont moins l'intention de décrocher. Deuxièmement, il semble que le soutien à l'autonomie passant par la valeur accordée aux matières soit un facteur important qui affecte les élèves forts et leur procure une plus grande motivation et aussi une diminution de leur intention de décrocher. Ensuite, c'est l'encadrement qui passant par la valeur accordée aux matières augmente la motivation autodéterminée et diminue l'intention de décrocher chez les élèves faibles. ______________________________________________________________________________
17

Le contenu autoévaluatif dans le matériel didactique en enseignement de l'anglais langue seconde en 6e année primaire et 1re année secondaire

Nait Belhaj, Saadia 05 1900 (has links) (PDF)
Avec la réforme de son système scolaire débutée en 2000 et dont les assises reposent sur l'héritage pédagogique du cognitivisme, le Québec a introduit une Politique d'évaluation des apprentissages dans une perspective de réussite pour tous. Cette politique, qui concerne la formation générale des jeunes, souligne l'importance de l'évaluation au service de l'apprentissage afin de garantir une réussite pour le plus grand nombre d'élèves. Dans cette perspective de formation, axée sur l'apprentissage, on attribue à l'élève un rôle actif dans son apprentissage, ce qui nécessite qu'il participe à son évaluation, d'où l'importance qui doit être accordée à la capacité de celui-ci à s'autoévaluer. L'autoévaluation (AÉ) comme forme d'évaluation formative est de plus en plus populaire dans les classes de langues secondes et cela se manifeste dans le matériel didactique édité au Québec pendant la dernière décennie. Comme enseignantes d'anglais langue seconde (ALS), nous nous sommes intéressées aux pratiques autoévaluatives dans le matériel didactique en enseignement de l'ALS. Nous avons voulu savoir à quel point les activités d'AÉ dans les ensembles pédagogiques en 6e année primaire et 1re année secondaire sont adaptées à l'âge et aux intérêts des jeunes élèves du primaire et du secondaire. Nous avons également voulu savoir si les activités d'AÉ dans ce matériel didactique correspondent à la vision ministérielle québécoise en ce qui a trait à l'approche par compétences. La présente étude a deux objectifs majeurs. D'abord, elle vise la création et la validation d'une grille d'évaluation qui va nous permettre d'évaluer la composante autoévaluation dans les ensembles didactiques en enseignement de l'ALS. Ensuite, elle vise l'utilisation de cette grille pour analyser les pratiques autoévaluatives des ensembles didactiques, et ce, en prenant en compte huit critères de la forme et du contenu préalablement établis lors de la création de la grille. Parmi ces critères, il y a la langue, le type de techniques, les compétences autoévaluées et les phases du processus d'AÉ. Au niveau de la forme, il y a une grande utilisation des grilles comme technique d'AÉ, la langue est généralement adaptée à l'âge des élèves et la plupart des activités d'AÉ ne sont pas intégrées aux activités d'apprentissage. Au niveau du contenu, la plupart des activités observées sont de type autoévaluation basée sur une tâche, et non de type global. De plus, les exercices d'AÉ observés sont en conformité avec les assises du programme d'ALS et le Programme de formation de l'école québécoise en ce qui a trait aux compétences disciplinaires et transversales. Enfin, la plupart des pratiques autoévaluatives observées incitent les élèves à faire des jugements sur les différents aspects de l'apprentissage et à planifier pour leurs apprentissages futurs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : évaluation formative, autoévaluation, anglais langue seconde, analyse de contenu, grille d'évaluation, matériel didactique.
18

Contribution du style pédagogique des enseignants à la manifestation des symptômes anxieux en début de scolarisation

Morrissette, Natalie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
19

Les changements de programme et l'intolérance à l'ambiguïté

Bolduc, Berthe 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
20

Réussir dans l'enseignement supérieur. Une question d'attitudes? étude des effets sur la réussite de l'étudiant d'un dispositif d'aide à l'orientation et d'accompagnement pédagogique

Hougardy, Philippe January 2001 (has links)
Doctorat en sciences psychologiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.0283 seconds