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Headless : a work of fiction/theory on desire and fear in narrative

Frost, Corey January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Tout l'hiver, récit suivi de Surgissements : la tension entre corps et récits dans Infrarouge de Nancy Huston et Les cheveux mouillés de Patrick Nicol

Blanchette Lamarche, Sarah January 2016 (has links)
Le présent mémoire est formé de trois parties. La première consiste en un récit intitulé Tout l'hiver. Il raconte l'histoire d'une jeune femme qui se retrouve, malgré elle, responsable de sa mère mourante et d'un amoureux dépressif, alors qu'elle-même vit chaque jour avec une douleur intense et constante. Elle appréhende cette tâche dont elle ne se sent pas capable, mais en viendra plutôt à veiller deux absences, dans l'attente d'un dénouement. La deuxième partie se consacre à l'analyse des romans Infrarouge de Nancy Huston (2010) et Les cheveux mouillés de Patrick Nicol (2011) et, en s'aidant notamment des théories de la psychologie narrative, de l'intersubjectivité et de l'empathie narrative, tâche de démontrer trois choses : d’abord, que l’identité et le rapport au monde des personnages des deux romans procèdent largement du récit; ensuite, qu’une tension entre sens et expérience s’y manifeste, notamment par l’entremise des corps; finalement, que ladite tension participe du surgissement au cœur même du texte d’une certaine matérialité. La troisième partie, écrite sous forme d'essai réflexif sur le processus de création, discute, en regard des conclusions de l'analyse des romans de Huston et Nicol, des enjeux relatifs à l'écriture de la douleur.
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La souffrance des parents dont l'enfant est atteint d'une condition médicale incurable : présentation d'une typologie sur l'identité spirituelle explicative de leur sérénité

Lafrenaye, Sylvie January 2012 (has links)
Les parents qui apprennent que leur enfant est atteint d'une condition médicale incurable vivent de profonds bouleversements personnels, émotifs, sociaux et spirituels. Le but de cette étude doctorale est de trouver une piste explicative à l'évolution de leur attitude envers la vie. Le cadre théorique se base sur les concepts de récit et d'identité de Ricoeur. La spiritualité fut retenue pour expliquer l'évolution (ou non) des parents vers une sérénité. A l'aide d'entrevues, une typologie en trois modèles d'identité spirituelle fut établie. Les parents du modèle « Toute-puissance » délèguent à l'A-autre la résolution de leur problème et ainsi ne participent pas activement à la construction de leur récit, ne permettant pas d'accéder à un sens réparateur. Les parents du modèle « Moi » ne croient qu'en eux-mêmes; ils ne délèguent aucune décision. Ces parents vivent un stress constant. Le troisième modèle « Guide » est constitué des parents les plus sereins. Ils présentent une spiritualité mature, ils se sentent guidés et protégés et envisagent avec joie leur évolution spirituelle. Cette typologie tripartite est retrouvée dans la littérature scientifique à plusieurs reprises. Les perspectives pour les soignants s'occupant de ces enfants sont discutées.
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Les savoirs d'expérience des aides-soignantes dans l'accompagnement de fin de vie en établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes

Croyère, Nicole January 2013 (has links)
Le travail de recherche que nous présentons a pour but de mettre en évidence les savoirs d'expérience des aides-soignants et des aides-soignantes. Cette catégorie professionnelle dispense dans le cadre d'établissements d'hébergement, une aide à la vie quotidienne des personnes âgées dépendantes et participe à la mission d'accompagnement de fin de vie. Ces professionnels disposent de savoirs informels qui ne sont pas formalisés. Des entretiens narratifs ont permis la verbalisation de l'expérience. Des récits phénoménologiques sont co-construits avec les participants et la chercheure qui mettent en avant des savoirs d'expérience. En référence à la théorie de la formation expérientielle, nous explorons l'expérience, tant dans le fait de vivre une nouveauté (mener une expérience) que le noyau central de l'apprentissage (apprendre de l'expérience) et que la mobilisation de vécus (avoir de l'expérience). L'étude a pu dégager l'importance du choix des mots, les traits de narration et les énoncés performatifs qui sont l'expression de valeurs et d'émotions qui explicitent le monde dans lequel évoluent les aides-soignants et les aides-soignantes. Les résultats ont pris la forme de récits phénoménologiques selon le langage des participants et des participantes. Une typologie de savoirs d'expérience propre à cette catégorie professionnelle et au contexte de l'accompagnement de fin de vie en établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes est identifiée sous la forme de savoirs d'expérience pragmatiques, de savoirs d'expérience paradoxaux, de savoirs d'expérience prédictifs et de savoirs d'expérience existentiels.
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La chaîne rompue : lecture et relecture de Né à Québec d'Alain Grandbois de 1933 à nos jours

Benjamin, Simon January 2016 (has links)
Ce mémoire s'intéresse à la réception critique de Né à Québec, première œuvre d'Alain Grandbois et aux relectures de ce récit à travers le temps. Cette étude a pour point de départ le paradoxe entre le futur prometteur de l'œuvre que laissait augurer la réception initiale et le rôle bien secondaire que joue désormais Né à Québec dans l'histoire de la littérature québécoise. Le mémoire est divisé en trois chapitres structurés chronologiquement et couvre la réception de l'œuvre de sa publication en 1933 jusqu'à nos jours. Le premier chapitre se penche sur le contexte de réception initial ainsi que sur l'élaboration d'un discours critique dominant sur Né à Québec. Cette partie de l'étude a aussi pour but de rappeler les conclusions de Marcel Fortin sur la réception immédiate de l'œuvre en question telles que décrites dans son ouvrage Histoire d'une célébration, publié il y a maintenant plus de vingt ans. Ce rappel est primordial afin de bien comprendre comment la pensée critique a évolué au-delà de la décennie 1930. À noter que l'analyse présente dans ce mémoire offre une perspective différente que celle de Fortin sur les commentaires de cette période puisqu'elle s'organise autour de concepts théoriques nouveaux, en particulier la notion de stéréotype telle que définie par Jean-Louis Dufays. Les deux autres chapitres traitent de textes critiques sur Né à Québec qui n'ont jamais dans le passé été directement le sujet d'une étude de réception. Tout au long de cette étude, le discours sur l'œuvre de Grandbois est décrit, analysé et comparé afin de comprendre comment ce récit historique en est venu à être aujourd'hui délaissé par le public et les littérateurs du Québec et d'ailleurs.
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Le chemin de la Vérité: la persuasion de la puissance divine dans le Contre Celse d'Origène

Georgieva, Elena 14 October 2005 (has links)
Résumé de la thèse « Le chemin de la vérité : la persuasion de la puissance divine dans le Contre Celse d’Origène Les traités du Contre Celse permettent d’aborder la problématique de la persuasion de l’enseignement chrétien en ce qu'ils témoignent de l’affrontement virulent de deux visions du monde, - celle du monde gréco-romain et celle de l’enseignement chrétien. En effet, l’essor du mouvement chrétien devrait beaucoup à la lumière de cette rhétorique, oserons-nous dire cette propagande, qui propose une vision du monde nouvelle en s’appuyant sur une théologie qui s’escrime à dépasser la culture gréco-romaine en l’intégrant dans sa propre vision du monde. En ce, l’École d’Alexandrie en général et Origène en particulier seraient les fondateurs d’une nouvelle lecture théologique tant du point de vue polythéiste que de celui du christianisme. Du point de vue méthodologique, je me suis attelée à ce travail en constatant une insuffisance, pour ne pas dire un manque, d’études consacrées à la pratique rhétorique chez Origène. L’idée d’une rhétorique entendue comme un genre secondaire moins « noble », entre guillemets, que le théologique est sans doute la cause de cette lacune scientifique ; or, force est de constater que les Apologistes ayant précédé le penseurs alexandrin et lui-même sont souvent formés à la rhétorique ce qui ne va pas sans incidence directe sur leurs œuvres attendu que formation et méthodes font souvent un avec l’élaboration de savoirs. L’objet immédiat du travail était de décrire et d’analyser par une lecture centrée sur la rhétorique apologétique les lieux communs et les arguments que celle-ci fournit, et qui affectent la structure de la pensée d’Origène. Pour mieux comprendre le processus de persuasion mis en œuvre par le théologien, j’ai pensé que les topoï qu’il emprunte au savoir classique étaient des éléments tangibles qu’il convenait de prendre au sérieux plutôt que de la ranger au placard des vieilleries scolaires. Somme, mon soupçon, ma seconde approche du corpus, était qu’au travers du plus banal de son œuvre, - son infrastructure scolaire-, je toucherai son originalité. Il restait à prouver si ce paradoxe pouvait s’avérer fécond en analysant le discours d’Origène et en m’efforçant de réévaluer, réinterpréter et intégrer dans les recherches portant sur son œuvre la question négligée de sa pratique rhétorique. Somme toute, j’ai tenté de mieux comprendre comment l’homme de l’Antiquité posait la question du sens. Le plan d’ensemble de ma thèse comprend deux parties. Dans la première partie, j’ai dégagé les grandes lignes de l’approche rhétorique d’Origène en prenant pour fil conducteur la question de la véracité de la révélation qui s’impose comme le thème dominant de son entreprise. Ceci m’a conduit à l’examen de l’idée d’autonomie, que celle-ci agisse sur la pensée comme force centripète ou centrifuge, permettant tantôt de se démarquer en minimisant, voire en gommant les différences, tantôt de les exalter en les proclamant. Dans la deuxième partie, j’ai essayé de démontrer les éléments historiques et philosophiques à partir desquels le modèle de la pensée chrétienne a été configuré. J’ai ainsi dégagé l’idée que le récit évangélique a été élaboré tout à la fois par rapport aux modèles de l’histoire « sainte » biblique et les modèles généalogiques de la tradition gréco-romaine. En premier lieu, j’ai démontré que la démarche apologétique d’Origène consistait à faire se côtoyer la puissance persuasive de la parole transcendante et celle de la parole rhétorique humaine. Or « faire se côtoyer » la puissance persuasive de la parole transcendante et celle de la parole rhétorique ne signifie pas pour autant les mettre sur le même pied. On peut donc affirmer la conjonction de la « rhétorique » ineffable de la puissance divine et de la « bonne rhétorique » dans la méthode apologétique d’Origène. L’apologétique chrétienne, s’engageant dans une relation de pouvoir par rapport aux « autres » concurrentiels, est amenée à construire la conception de la vérité chrétienne unique et la plus ancienne par opposition à la diversité des doctrines philosophiques et religieuses de la tradition gréco-romaine, et en continuité avec la doctrine hébraïque perçue comme dépassée. En effet, la vérité chrétienne est identifiée à l’origine, à la pureté et à l’essence. De là les deux arguments apologétiques les plus puissants : démontrer l’unité et l’ancienneté de la doctrine chrétienne et donc construire une généalogie à partir d’une seule source originelle, Dieu. En postulant une « vérité absolue » qu’on identifie avec Jésus Christ, le Logos, l’apologiste interprète les enseignements de ses adversaires comme une déviation de cette vérité ou comme une vérité dépassée. Le double chemin vers l’origine est donc symboliquement barré. Par ailleurs, l’apologiste élabore une forme d’échelle de vérité où les rivaux de l’enseignement chrétien ne sont que des moyens rhétoriques pour démontrer la supériorité chrétienne. L’élaboration de la conception de la vérité absolue chrétienne va de pair avec la constitution discursive de l’« autre ». En tenant compte de la relation discursive intersubjective, je parle d’une constitution discursive de l’« autre ». C’est précisément la finalité apologétique du Contre Celse qui nous permet d’affirmer le caractère construit de la notion de l’« autre » en tant que construction rhétorique. L’« autre », qu’il soit juif ou païen ou gnostique, est constitué à partir du projet chrétien. Mieux, il reçoit sa définition uniquement en fonction de sa différence avec le christianisme. Deux stratégies apologétiques s’imposent ainsi : d’une part minimiser, voire gommer, les différences internes au mouvement chrétien et grossir les différences avec l’« autre » et, d’autre part, grossir les différences en minimisant les ressemblances, en les décrivant comme une imitation ou un vol (le thème du larcin). En second lieu, on peut affirmer que le mythe informe le « récit évangélique » dans la mesure où l’histoire individuelle de Jésus et le mythe du Christ se retrouvent fusionnés d’une manière inextricable dans la narration christologique. Le mythe apparaît ainsi comme une construction symbolique fondée sur les symboles et formes déjà existants ; mais, qui plus est, étant un récit, il reforme et transforme ces symboles dans une nouvelle structure propre à lui. Lorsque je parle du mythe chrétien, j’entends un système dynamique de schèmes qui, sous l’impulsion du schème général mythique de kat‹basiw-Žn‹basiw, tend à se configurer en récit évangélique. Ainsi, le mythe peut traduire l’accumulation d’« essaims » ou de « constellations » de schèmes. C’est en ce sens qu’on parle du message chrétien comme étant exprimé en un langage mythique. J’ai adopté le terme générique de « schème » dans le sens d’un modèle, une « engramme ». L’ingéniosité chrétienne consiste à constituer le schéma mythique de kat‹basiw-Žn‹basiw, sur lequel repose le « mythe fondateur » chrétien. Il est fondé sur la conception d’une histoire sainte articulant expression mythique et expression historique au sein d’un schéma temporel finalisé. J’ai relevé trois modèles principaux de l’histoire sous-tendant les divers types de récits bibliques : l’histoire « blanche », l’histoire-fait, l’histoire-événement. L’histoire « blanche » présente les deux réalités, le « Même » et l’ « Autre », existant chacune pour soi et sans aucun contact entre elles. En revanche, l’histoire-fait présente leur communication en dehors du temps. Enfin, l’histoire-événement présente le passage de Celui qui agit d’un principe à l’autre dans un système où le temps se déroule. On peut retrouver ces modèles de l’histoire concrétisés dans un certain nombre de récits bibliques : le récit de la création, le récit de la séduction ou le récit du péché, le récit de l’alliance ou le récit de la médiation divine. Enfin, j’ai étudié l’élaboration du « récit évangélique » par rapport à un certain nombre de récits qui se transposent et s’entrecroisent entre eux, à savoir le « récit de l’alliance », le « récit messianique » et le « récit généalogique ». La configuration du récit évangélique repose sur le jeu dynamique entre les récits identifiables déjà sédimentés dans des traditions différentes et le récit innovateur d’une déviance réglée. Le « récit évangélique » consiste en la combinaison unique de l’histoire et du mythe, qui se donne comme un récit fondateur mytho-historique. La prédication de Jésus met en place une historicisation du mythe. En même temps, avec les évangiles, on assiste à un processus de mythisation de Jésus qui aboutit à sa divinisation. L’élaboration du « récit évangélique » tire son intelligibilité de l’ensemble des opérations par lesquelles une herméneutique actualisante s’est transposée sur les récits et modèles anciens et les prophéties hébraïques. On peut affirmer que le « récit évangélique » a été configuré à la jonction des représentations bibliques et grecques. L’originalité du christianisme consiste en la perspective universelle que le « récit évangélique » revêt. Ainsi, le devenir est divisé en trois temps qui sont reliés entre eux de manière structurée à travers l’intermédiaire divin de Jésus Christ qui assure les renvois théologiques et contrôle ainsi le monde de tout les temps.
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« Poéthiques » de l’événement dans les œuvres de Claude Simon, Jean Rouaud, Jean Follain, Jacques Réda, François Jacqmin et Eugène Savitzkaya.

Parent, Sabrina 08 November 2006 (has links)
Dans le cadre des études littéraires, la notion d’événement a le plus souvent été abordée sous l’angle narratif. Cette étude ne rejette pas cette perspective, mais elle considère que l’on ne peut s’y limiter. L’événement est ainsi appréhendé dans le champ élargi des sciences humaines (historiographie, philosophie analytique, phénoménologie, etc.) afin de mieux saisir sa spécificité dans le texte littéraire. Les questions relatives à l’événement –qu’il soit historique, naturel ou quotidien– sont abordées dans les textes narratifs et poétiques : qu’est-ce qu’un événement pour l’écrivain –romancier (Simon, Rouaud, Savitzkaya) ou poète (Follain, Réda, Jacqmin) ? Quels sont les procédés linguistiques auxquels il recourt pour l’écrire ? Quelles sont les visées éthiques de l’écriture ? Le but ultime de notre investigation consiste en effet à proposer une « poéthique » (Pinson) pour chacun de nos auteurs, c’est-à-dire une interprétation relative à la portée éthique de leurs textes.
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Le pacte autobiographique, l'ordre du récit et la littérature enfantine dans Mémoires d'une jeune fille rangée de Simone de Beauvoir et Les Mots de Jean-Paul Sartre - une comparaison

Eriksson, Louise January 2004 (has links)
<p>In the end of the 18th century, the first French autobiographical work was written by Jean-Jacques Rousseau. Almost 200 years later, the two French authors and philosophers Simone de Beauvoir and Jean-Paul Sartre published their autobiographies. Beauvoir released her Mémoires d’une jeune fille rangée in 1958 and Sartre published Les Mots in 1964. The audience has both loved and criticized the two works. Especially the autobiography of Jean-Paul Sartre was expected for a very long time, thanks to the fact that he had told his audience he would write a work about his life. As the authors lived together during a big part of their lives, it is especially interesting to study the resemblances and the differences of their way of writing and also of the contents of the autobiographies.</p><p>The purpose of this literary essay is to make a comparison between the two autobiographies, examining the order of narrative, the reasons for writing, the chronology and the interest in children’s literature. The analysis is primarily based on the theorist Philippe Lejeune’s work concerning the autobiographical pact and the identity of name.</p><p>Researches made by French critics claim that the autobiographical work of Beauvoir and Sartre differ. One of these critics is Philippe Lejeune. This analysis will show that, even if there is a difference between sex, family and the reasons for writing, there are many resemblances, some of them more or less expected than others. It will also show that both authors resemble when it comes to choice of memories, order of narrative and literary background. The analysis also puts the presence of the autobiographical pact under the light.</p>
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Agir à l'épreuve de l'insensé : enjeux éthiques de l' introduction de la phénoménologie en France / Acted faced with the meaninglessness : ethical issues of the introduction of phenomenology in France

Pams, Mathieu 09 March 2018 (has links)
Il s’agit pour partie d’un travail historique consacré à l’introduction de la phénoménologie en France, et au rôle qu’ont pu jouer à cet égard Levinas, Sartre et Ricœur. Le contexte de cette introduction est étudié pour faire ressortir l’unité d’un moment philosophique, celui d’une phénoménologie lue à l’aune d’une réception concomitante, celle de Kierkegaard. C’est ainsi que Levinas, Sartre et Ricœur se retrouvent dans le problème formulé par Camus, celui d’un insensé oblitérant l’action de l’homme dans le monde. Il s’agit donc pour une autre part de rendre compte de l’usage de la phénoménologie pour élucider les modes de l’agir humain. Il s’ensuit à la fois un cadre conceptuel partagé, autour des notions de contingence et de transcendance, et une démarche qui vise à épouser les contours du drame que l’insensé fait subir au sujet agissant. Mise à profit dans des directions variées, et souvent antagoniques, la phénoménologie guide à cette occasion une défense de la subjectivité par la mise en question de la subjectivité, avant d’ouvrir la voie à l’élucidation d’un ultime pouvoir du sujet, la narrativité. / This work is partly devoted to trace the history of the introduction of phenomenology in France and to investigate the role that Levinas, Sartre and Ricœur have played in it. The context of this introduction is studied with the aim of underlining the unity of a philosophical moment, the one of a phenomenology that is understood through the concomitant reception of Kierkegaard. In this context, Levinas, Sartre and Ricœur share the problem that was formulated by Camus, the meaninglessness that obliterates the action of man in the world. Therefore, this work is also devoted to set out the use of phenomenology that is intended to elucidate the modes of human action. It follows that they share a same conceptual framework, structured by the ideas of contingency and transcendence, and a same approach that intends to keep pace with the drama that the meaninglessness makes the acting subject play. Exploited in different and often antagonistic directions, the phenomenology guides a defense of subjectivity that proceeds with the questioning of subjectivity, until the elucidation of a last power of subject, the narrativity.
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L'hybridation et les écarts génériques : véhicule de la critique sociale chez Stephen King

Leclair, Julie January 2006 (has links) (PDF)
Le présent mémoire se veut une étude d'un genre littéraire peu connu à ce jour, soit le genre particularisé par Stephen King et qui lui est unique. Nous croyons en effet juste d'écrire qu'il s'agit de « son » genre, puisqu'il est le chef de file d'une utilisation subversive des genres littéraires fantastique, gothique et gore. Tous les critiques le diront, l'écriture de King se reconnaît aisément grâce à un style narratif singulier, à un sens du suspens inégalé et à un humour noir et caustique littéralement impitoyable. Nous avons décidé de bâtir notre recherche sur ces fondations, mais en nous penchant plus particulièrement sur l'utilisation que fait l'auteur américain des trois genres littéraires nommés ci-haut. En effet, plutôt que de faire appel à un genre en particulier, King utilise les trois genres simultanément, tout particulièrement dans le roman The Shining, et nous pensons que cette hybridation générique permet un éclatement de la structure morale de l'oeuvre, qui l'accompagne d'une critique parfois acerbe de la société américaine. En outre, nous verrons que le manichéisme commun aux récits d'horreur est revu et repensé dans les textes de King, ce qui permet à l'auteur de remettre en cause la victoire indéfectible et toujours plus ou moins prévisible, dans les romans noirs, du Bien dans sa grande guerre contre le Mal. Nous avons divisé ce mémoire en trois chapitres distincts, le premier étant voué à une revue des connaissances concernant les trois genres littéraires étudiés, et les deuxième et troisième aux analyses proprement dites des romans Salem 's Lot, Carrie et The Shining. Parallèlement à l'étude de Salem 's Lot, nous proposons une analyse du roman Dracula de Bram Stoker. Nous croyons cette analyse pertinente puisque Stephen King a écrit son deuxième roman en hommage au texte de l'auteur irlandais. L'utilisation du genre gothique est commune aux deux auteurs, mais la critique sociale présente dans les deux romans semble diamétralement opposée. Nous avons décidé de découvrir en quoi le vampire de Stoker est si différent de celui de King et pourquoi ce qu'ils représentent métaphoriquement est si divergent. Notre analyse de Carrie et de The Shining approfondira la notion d'hybridation générique et nous amènera à conclure que l'utilisation simultanée de plusieurs genres littéraires donne la possibilité à l'auteur d'inclure dans le sous-texte de ses oeuvres les plus achevées une critique sociale beaucoup plus subtile que ne lui permet l'utilisation d'un seul genre, comme c'est le cas dans Salem 's Lot. Tout au long du mémoire, nous nous attarderons aussi sur le type de peur que crée chacun des genres comme effet de lecture: la terreur pour le fantastique, l'horreur pour le gothique et la répulsion pour le gore. Nous décrirons ces trois registres de peur dans le premier chapitre et nous verrons que c'est la terreur qui permet la meilleure réflexion sur l'objet de la peur et que c'est pourquoi le roman The Shining est sans contredit le plus effrayant, sur le plan de la critique sociale, des trois romans de Stephen King à l'étude dans ce mémoire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Genres littéraires, Hybridation générique, Stephen King, Fantastique, Gothique, Terreur, Société américaine.

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