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Le pré carré africain : de de Gaulle à Macron

Palmer, Paloma 01 January 2019 (has links)
Ce mémoire analyse l’histoire et le développement des relations franco-africaines du colonialisme au XXIe siècle. Je montre comment, à chaque étape de ces relations, que ce soit pendant le colonialisme, la décolonisation, la Françafrique ou "l'amitié" de Macron, l'objectif de l'État français n'a pas changé : préserver l'Afrique comme le pré carré de la France. Je soutiens qu'au XXIe siècle, alors que le continent africain se mondialise de plus en plus, l'État français cherche désespérément à renforcer ses liens avec ses anciennes colonies, notamment par l'éducation, la langue et la culture. Bien qu'Emmanuel Macron déclare que la Françafrique est terminée, sa stratégie visant à faire appel à la jeunesse africaine fait écho à la tactique de la « mission civilisatrice » du colonialisme français. Je soutiens donc que des questions concernant l'héritage colonial français, et leur impact sur l’identité africaine, restent essentielles même au XXIe siècle.
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Pourquoi rendre les gens libres selon Rousseau?

Paquet, Audrey 01 1900 (has links)
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La contestation internationale : les problèmes de la souveraineté et de la domination

Martin, Jean-Philippe 01 1900 (has links)
Dans ce travail, nous posons d’abord la question de la légitimité de la contestation internationale. En partant de la conception libérale de la souveraineté étatique, nous montrons que la contestation internationale pourrait être critiquée pour l’interférence qu’elle crée entre des acteurs étrangers. Pour défendre la légitimité de la contestation, nous argumentons en faveur de la position républicaine de Philip Pettit selon laquelle la souveraineté étatique ne devrait pas être comprise comme une absence d’interférence, mais plutôt comme une absence de domination. En montrant que les problèmes environnementaux peuvent être compris en tant que domination écologique, nous tentons alors de démontrer que la contestation internationale ne pose pas nécessairement problème pour la souveraineté des États, mais qu’au contraire, celle-ci peut servir protection contre d’éventuels cas de domination. Dans la seconde partie du travail, nous explorons la question de la légitimité des moyens de contestation utilisés par les activistes. En conservant les idées de Pettit concernant la domination, nous prenons toutefois nos distances par rapport à cet auteur et sa conception délibérative de la contestation. Nous amorcerons finalement la réflexion dans le but de trouver des critères pouvant légitimer certains recours à des moyens de contestation plus radicaux. Nous défendons notamment une position originale, voulant que la contestation soit comprise en continuité avec la délibération plutôt qu’en rupture avec celle-ci. / In this paper, we first study the case of international activism’s legitimacy. Accordinging to the liberal sovereignty principal, we show that it could be a problem to allow activists to protest on the international stage, as this would create a form of interference against the ones they target. But as we consider that the political pressure of interest groups is necessary to face major problems like the environmental issues, it seems important to us to advocate their work at the global level. To offer a defense of international activism, we base our position on the republican ideas of Philip Pettit for whom, political freedom would not be a non-interference, but a non-domination. After showing that some environmental issues can be understood as domination issues, we argue that international activism is not a necessarily a problem for the State’s sovereignty, but that it offers a protection against some form of ecological domination. In the second half of this paper, we study the legitimacy of the different means of pressure the activists can use to protest. As we keep the idea of freedom as non-domination, we will take our distances from Pettit’s thought of political contestatory. After criticizing the ideas of the deliberative democrats, we will initiate the reflection to find some new criterions that would legitimate some more radical means of pressure like direct actions and civil disobedience. We also offer an original thesis by suggesting that activism and deliberation should not be understood as opposites but rather as a continuum.
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Les arrêtés des assemblées générales des sections parisiennes : de la parole du peuple à l'élaboration de la loi en l'an I de la République (1792-1793) / Orders of the the general assemblies of Parisian sections : from popular voice to the drafting of laws in the beginning of the First French Republic

Guermazi, Alexandre 20 May 2017 (has links)
Les arrêtés des assemblées générales des sections parisiennes sont les actes politiques et juridiques à travers lesquels les citoyens de la ville de Paris s’expriment et décident. Ils peuvent aussi bien contenir des mesures destinées à être appliquée localement la plupart du temps que des pétitions adressées aux élus, ou aux autres lieux de pouvoir. Ils portent sur des domaines très variés : subsistances, instruction publique, questions militaires, assistance et secours publics… L’an I de la République française, et plus précisément la période qui s’étend du 21 septembre 1792 au 5 septembre 1793 correspond à l’élargissement de la participation citoyenne (fin du cens), à la préparation par les législateurs d’une nouvelle Constitution censée entériner ces nouveaux droits, mais elle voit également la construction de nouveaux outils institutionnels pour faire face à une situation d’urgence, aux fondements du futur Gouvernement révolutionnaire.À travers les pratiques de la production (délibération) et de la diffusion (interactions des citoyens avec les autres acteurs) des arrêtés, il s’agit de comprendre le fonctionnement des assemblées générale et quel « modèle » de la citoyenneté en ressort. En suivant le parcours de arrêtés hors de l’assemblée, notamment dans les assemblées d’élus que sont le conseil général de la Commune de Paris et la Convention nationale, il s’agit également de savoir comment la parole populaire façonne les choix politiques de la nation et entre en compte dans l'élaboration des lois. En quoi les arrêtés contribuent-ils à construire un régime d’un type nouveau, une république à la fois démocratique et représentative ? / The orders issued by the general assemblies of Parisian sections are politic and juridical acts used by the citizens of Paris to express themselves and take decisions. These acts can be local bylaws (applied in the area of the section), as well as petitions addressed to deputies or other authorities. They dealt with various affairs: subsistence, education, the military, public assistance, etc.The first year of French republic, especially from 21st September 1792, to 5th September 1793, see the extension of the electoral body (end of the ownership vote) and the drafting of a new constitution by the Assembly in order to consecrate these rights. New institutional devices are also designed to tackle situations of emergency in a time of war and civil unrest, and they become the foundation of the revolutionary government and the Terror.The study of the production and the diffusion of the decrees of the Parisian sections reveals how the general assemblies are organized and what type of citizenship they shape. Following the course of the decrees after their redaction in the sections, especially in the elected assemblies of the General council of the Paris Commune and the National Convention, one can see how the popular voice is taken into account in the drafting of laws and resulte in political decisions. In other words, it reveals to what extent the voice of the people influence the construction of a new government, the first democratic and representative republic.
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L’entreprise républicaine

Monette, Gabriel 01 1900 (has links)
Cette thèse explore l’impact en termes de design institutionnel de la conception républicaine de la liberté appliquée à l’entreprise. Je mobilise le cadre théorique de la pensée républicaine et je l’applique aux divers problèmes contemporains entourant les entreprises (domination dans et par l’entreprise). Ce faisant, je discute du pouvoir de marché, de monopole, de théorie des parties prenantes et de problème de l’agence. Dans cette thèse, je défends l’idée que, pour favoriser la liberté républicaine, il est nécessaire de structurer légalement l’entreprise de manière cohérente avec les idéaux républicains, c’est-à-dire en créant « l’entreprise républicaine » dont la gouvernance est guidée autour du principe des intérêts dominés. Le projet de la thèse est double. Dans un premier temps, présenter l’approche républicaine de l’entreprise. Dans un second temps, développer une théorie de l’entreprise inspirée de ce courant qui pourtant permet d’ouvrir des perspectives neuves sur la liberté dans la firme. / This thesis explores the impact of the republican conception of freedom applied to business in terms of institutional design. I will defend the idea that, in order to promote republican freedom, it is necessary to legally structure the company in a way that is consistent with republican ideals, that is, by creating the "republican enterprise" whose governance is guided by the principle of dominated interests. The thesis project is twofold. First, present the republican approach to business. Secondly, to develop a theory of enterprise inspired by this trend, which nevertheless makes it possible to open up new perspectives on freedom in the firm.
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Courants colonialistes et anticolonialistes dans la pensée républicaine française au tournant du 20e siècle

Aubry, Maximilien 12 1900 (has links)
Au tournant du 20e siècle, après la chute du Second Empire, la France traverse une période d’incertitude institutionnelle. En voulant ancrer le nouveau régime, les fondateurs de la Troisième République engagent le pays dans une période d’expansion coloniale. Les principaux promoteurs de la politique coloniale, dont Jules Ferry et Léon Gambetta, tentent de la justifier en intégrant les principes universalistes républicains au discours colonialiste de l’époque. Cette tactique de persuasion politique entraînera son lot de contradictions idéologiques. L’historiographie soutient qu’un consensus sur la politique coloniale existe chez les contemporains. Cependant, plusieurs acteurs de la Troisième République s’y opposent, donnant naissance à un courant anticolonialiste, lui aussi inspiré de la pensée républicaine. Le but de ce mémoire est d’étudier de quelle façon deux courants idéologiques, en apparence contradictoires, peuvent se baser sur les mêmes racines philosophiques pour définir leur discours. La pensée républicaine s’appuie sur les principes issus de la Déclaration des droits de l’homme de 1794, mettant de l’avant les concepts d’égalité et de liberté. Alors que ces principes seront largement soutenus et diffusés par le discours colonialiste, l’application de ces valeurs dans les colonies se fait attendre. Ne voulant pas trahir l’héritage républicain du nouveau régime, les penseurs de la Troisième République s’affairent à le déformer, par l’entremise des concepts de « hiérarchie raciale » et de « mission civilisatrice ». Pour l’étude des discours colonialistes et anticolonialistes, des périodiques et des ouvrages d’époque seront analysés, en plus de nombreuses prises de parole à la Chambre des députés. Ce mémoire étudie comment la pensée républicaine sous-tend à la fois le discours colonialiste et anticolonialiste. Dans cette optique, l’analyse du discours s’opposant à la colonisation démontre qu’un courant anticolonialiste stable et durable était bien présent durant la Troisième République. / At the turn of the 19th century, after the fall of the Second Empire, France underwent a period of institutional uncertainty. By trying to consildate the new regime, the founders of the Third Republic engaged the country in a period of colonial expansion. The main promoters of the colonial policy, of which Jules Ferry and Léon Gambetta, try to justify it by integrating universalists republicans principles into the colonial discourse. This method of political persuasion will brought to light its share of contradictions. Historiography on the subject tend to consider that there was a consensus among contemporaries. However, several political actors of the Third Republic will oppose colonial expansion, giving rise to an anti-colonialist current, also inspired by republican thought. The purpose of this dissertation is to examine how two different ideological currents, seemingly contradictory, can define their discourse on the basis of the same philosophical roots. Republican ideology is based upon the principles of the Déclaration des droits de l’homme of 1794, which put forward the concepts of equality and liberty. While these principles were upheld in the colonialist discourse, their application in the colonies was constantly put off. In order not to betray their republican heritage, Third Republic thinkers distorted it, through the concepts of « hiérarchie raciale » and « mission civilisatrice ». Colonialist and anti-colonialist speeches will be analyzed in periodicals and contemporary publications, in addition to numerous speeches from the Chambre des députés (Chamber of Deputies). This dissertation examines studies how republican thought supports both colonialist and anti-colonialist discourse. In that perspective, the analysis of the arguments opposing colonization demonstrates that a stable and lasting anti-colonialist current was clearly present under the Third Republic.
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Le problème de la Fortune chez Machiavel : histoire, politique et liberté

Mauger-Lavigne, Mariève 08 1900 (has links)
L’objectif poursuivi dans ce mémoire est de démontrer comment, à travers les revers de la Fortune, c’est-à-dire à travers le fait de la contingence, il est possible de penser la liberté politique chez Nicolas Machiavel. Pour ce faire, nous travaillons à partir du concept d’histoire. Nous soutenons que pour être capable d’assurer la liberté des citoyens et de Florence, Machiavel élabore une théorie politique dont la pierre angulaire est la notion d’histoire : l’histoire est constitutive de la politique et elle est la condition sine qua non pour faire face à la Fortune. Pour soutenir une telle chose, nous présentons d’abord comment, durant l’Antiquité l’histoire a été conçue. Nous exposons par la suite le même questionnement, mais cette fois-ci en regard de la tradition humaniste. Il est alors possible de constater que les humanistes ont repris les intuitions gréco-romaines, mais qu’ils ont cristallisé la question de l’histoire autour de la vertu, du bien commun et de la vita activa. Nous tentons ensuite de situer Machiavel par rapport à ces conceptions issues de l’Antiquité et de la Renaissance au sujet de l’histoire. Par sa description de la nature humaine, des humeurs et son rapport à la vertu, nous arguons que sur plusieurs plans, il s’oppose à ses prédécesseurs immédiats, les humanistes. Nous explorons alors ce qu’il propose : une redéfinition de la prudence et du concept de vertu. Finalement, ces refus nous permettent de dégager sur quoi repose sa solution au problème de la Fortune: d’abord une lecture de la politique selon la vérité effective, et ensuite, la mise en place d’institutions capables de s’adapter aux changements et qui correspondent aux mœurs des citoyens. / The determined objective in this essay is to demonstrate how, through the reverse of the Fortune, in other words the contingency, it is possible to think the political freedom of Nicolas Machiavel. To accomplish that, we use the concept of history as a starting point. We hold that to be able to insure the freedom of the people and of Florence, Machiavelli elaborates a political theory who’s cornerstone is the notion of history: history is constitutive of politics and it is the condition sine qua non to face the Fortune. To do that, we first present how history was conceived during Antiquity. We then expose the same question, but this time with regards to the humanist tradition. It is therefore possible to ascertain that humanists reused the greco-roman intuitions, but they also crystallized the problem of history around virtue, the common good, and also the vita activa. We then attempt to situate Machiavelli based on his conceptions about history taken from the Antiquity and the Renaissance. Through his depiction of the human nature, the theory of humours, the polis and his conception about virtue, we argue that on many levels, he is in opposition with his immediate predecessors, the humanists. We then navigate through what he proposes: a redefinition of the concept of the prudence and virtue. Finally, these rebuttals allow us to bring out the basis on which holds his solution for the problem of Fortune: first on an oriented reading of politics based on the effective truth, and then on the establishment of institutions capable of adaptation and that correspond to the customs of the people.
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Jacques-Pierre Brissot, Étienne Clavière et la libre Amérique : du gallo-américanisme à la mission Genet

Corriveau, Tamara January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Non-domination et collectivités : l'apport du républicanisme à une théorie des droits collectifs

Litalien, Éliot 01 1900 (has links)
L'objectif poursuivi dans ce mémoire est de montrer que le néo-républicanisme possède les outils les plus efficaces pour penser la réconciliation des droits individuels, fondement des États de droits occidentaux contemporains, et des droits collectifs que peuvent légitimement réclamer les collectivités nationales. Dans cette visée, et comme de nombreux auteurs libéraux se sont attaqués à cette question dans les dernières décennies, j'expose d'abord trois stratégies libérales pour traiter cette possible réconciliation tout en faisant ressortir leurs faiblesses respectives. J'avance qu'aucune de ces stratégies ne permet vraiment de comprendre comment un régime de droits collectifs et un régime de droits individuels peuvent être articulés de façon cohérente. J'argue ensuite que le néo-républicanisme, parce qu'il comprend la liberté non pas comme l'absence d'interférence, mais comme un statut de non-domination, permet de voir que les droits collectifs des groupes nationaux et les droits individuels sont nécessairement compatibles, parce qu'ils s'organisent en fonction du même idéal. Les droits d'un individu et ceux de sa collectivité nationale sont, d'une certaine manière, les deux faces d'une même médaille, la non-domination individuelle dépendant de la non-domination du groupe national auquel l'individu appartient. En dernier lieu, je soutiens que cette compréhension du rapport entre les deux régimes de droits devrait se traduire par un ensemble de mesures institutionnelles concrètes dont la plus importante est la reconnaissance d'un droit, pour les collectivités nationales, à l'autodétermination. / The purpose of this M.A. research is to show that neo-republicanism provides the most efficient tools to think the reconciliation of a system of individual rights, upon which western contemporary states and their rule of law are based, and of a system of collective rights that can legitimately be claimed by national collectivities. Since the issue of the compatibility of individual and collective rights has mainly been tackled by liberals, I begin by presenting three liberal strategies to deal with this possible reconciliation and I try to highlight their insufficiencies. I claim that none of those strategies actually provide a consistent way to understand how a system of individual rights and a system of collective rights can coherently be articulated. I then argue that neo-republicanism, for it conceptualizes liberty not as the absence of interference, but as the absence of domination, makes apparent that national collectivities’ rights and individual rights are necessarily compatible since they spring from the same ideal. The rights of an individual and the rights of its national collectivity are, in a way, the two sides of the same coin, for individual non-domination depends upon the non- domination of the national group to which the individual belongs. Lastly, I claim that grasping the relationship between the two systems of rights in this manner should be reflected by a set of concrete institutional measures, the most important being the recognition of a right, for national collectivities, to self-determination.
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French Kiss : les fêtes nationales françaises et américaines dans la France en guerre (1914-1918)

Collet-Garand, Aurélie 12 1900 (has links)
La fête nationale française, décrétée en 1880, vise à consolider l’adhésion à la Troisième République, régime né dix ans auparavant et toujours en déficit de légitimité. Malgré les efforts du gouvernement pour rejoindre les Français de toutes allégeances, des discordes idéologiques persistent et la fête nationale du 14-Juillet ne parvient pas à faire l'unanimité. Telle est la situation sociale et politique de la France à l’aube de la Grande Guerre. Alors que se multiplient les batailles et les pertes militaires, la conviction d'une guerre courte fait place à la réalité d'une guerre aussi destructrice qu’interminable. Les 14-Juillet de ces années-là démontrent la nécessité d'adapter les célébrations nationales à la réalité de la guerre totale et des besoins qu'elle engendre. Parallèlement, le deuil et la souffrance de la guerre ravivent les oppositions sociales et politiques d'avant-guerre, remettant en question les capacités du gouvernement à faire face à la situation, menaçant tant l'Union Sacrée que la République. L'entrée en guerre des États-Unis, en avril 1917, offre l'occasion à quelques hommes politiques prévoyants de rétablir la cohésion sociale autour des valeurs républicaines. En 1917, puis en 1918, le gouvernement mise sur l'union des fêtes nationales républicaines française et américaine pour ranimer l'espoir, le courage et le patriotisme de tous les Français. Au-delà de l'hommage rendu à un allié que l'on espérait plus, l'union des deux fêtes devient le symbole de la solidarité et de la fraternité qui unit les deux Républiques-sœurs, et réaffirme la force et la légitimité du régime français en place. Le 14-Juillet, emblème du parcours social et politique français, connaît donc, à l’occasion de la Grande Guerre, une mutation, une redéfinition de sens. À l'image de la France, « moderne », le 14-Juillet tel que développé lors du conflit, ne cesse de s'adapter aux besoins et à l'image d'une société en constante évolution. / The French national holiday, Bastille Day, was established in 1880 to strengthen popular support to the Third Republic, a disesteemed political regime born ten years earlier. Despite the government’s efforts to rally French people of all allegiances, ideological discord persisted and the parties involved were unable to reach a unanimous decision regarding the national holiday of July 14. Such was the political and social situation in France in 1914, at the dawn of the Great War. While battles and military losses multiply, convictions of a short war gave way to the reality of an endless and destructive conflict. During the years of ceaseless battles, the celebrations of the Bastille Day demonstrated the necessity of adapting national holidays to the context and needs brought to a country by a total war. In parallel, the mourning and suffering birthed by the Great War revived pre-war oppositions, both social and political, thus undermining the Union sacrée, as well as the Republic. The United-State’s involvement in World War I, beginning in April 1917, offered to a few passionate and far-sighted political figures the opportunity to restore consensus among the French people on republican values. In 1917 and 1918, the French government united both French and American national holidays, in the hope to revive optimism, courage and patriotism amongst the population. Beyond the initial tribute to a long sought-after ally, the union of national holidays became a symbol of solidarity and fraternity between both republics, thereby reaffirming the strength and legitimacy of the French political regime in place. The French national holiday, emblematic of the social and political evolution of its people, faced a sense-defining mutation during the Great War. The “Modern” Bastille Day, as developed during the war, never ceases to adapt to the needs and image of the ever-growing society it celebrates.

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