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Gouvernance et stratégie territoriale : le rôle des acteurs dans la gestion de leur territoire / Governance and territorial strategy : the role of the actors in the management of their territory

Bouzoubaa, Lamiaâ 14 December 2009 (has links)
Cette thèse est consacrée à l’étude de l’implication des acteurs dans le processus de la gouvernance territoriale. Elle met en œuvre une recherche empirique qui permet, au travers de la démarche de triangulation, d’explorer le rôle des acteurs dans la gestion de leur territoire. Une analyse théorique des principaux concepts liés à la gouvernance territoriale permettra de mettre en évidence un cadre conceptuel adapté à l’étude des outils dont disposent les acteurs pour favoriser une gouvernance territoriale. En effet, cette étude propose une approche intégrant les différentes théories pour déterminer l’ensemble des facteurs qui permettent aux acteurs de s’inscrire dans un contexte de gouvernance territoriale. La thèse présente son projet en termes de problématique et de méthodologie, au travers une enquête réalisée sur les 20 communes de la Meurthe-et-Moselle et par une analyse du contenu de différents rapports et notes internes relatives à une société se situant dans un département du Nord Est de la France. La recherche suggère aux acteurs territoriaux qu’un modèle de gouvernance territoriale ne peut être considéré comme universel. En revanche, elle peut être investie au travers de certaines caractéristiques liées à la rationalité, la coopération et au processus de prise de décisions / This thesis is devoted to study the involvement of stakeholders in the process of territorial governance. It uses an empirical research which, through the process of triangulation, to explore the role of stakeholders in the management of their territory.A theoretical analysis of main concepts related to the territorial governance will highlight a conceptual framework adapted to the study of tools available to actors to promote a territorial governance. Indeed, this study suggests an approach that integrates the various theories to determine all the factors that allow players to register in a context of territorial governance. The thesis introduced the project in terms of issues and methodology, through a survey of the 20 municipalities of the Meurthe and Moselle and a content analysis of various reports and internal memoranda relating to a company located in a department of the North eastern France. Research suggests that the territorial model of territorial governance can not be considered as universal. However, it can be invested through certain characteristics related to rationality, cooperation and decision-making process
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Les causes de l'abstentionnisme électoral

Souissi, Hamdi January 2013 (has links)
Cette thèse cherche à élucider le mystère de la désertion civique alors que la démocratie semble triompher un peu partout. Elle débute par un examen des institutions démocratiques modernes et leur conformité aux principes défendus par l'idéal démocratique. Face à ce décalage, le comportement individuel et les processus rationnels de décision seront analysés. Le champ d'analyse s'élargira à travers l'examen des déterminants sociaux et de leur impact sur la participation globale. Finalement, seront examinées les institutions et les systèmes afin de voir dans quelle mesure ils influent les comportements politiques. Cela mènera à une conclusion qui s'articulera autour de l'idée d'une rationalité "perçue" où les individus font des calculs stratégiques mais tout en demeurant restreints par des facteurs sociaux qu'ils ne contrôlent pas.
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L'exercice médical comme tension entre esthétique et politique / Medical exercise as tension between esthetics & politics

Vollaire, Christiane 06 September 2014 (has links)
Ce travail vise à ouvrir au champ de l’esthétique le complexe des problématiques biopolitiques défini par Michel Foucault. On y établit donc des croisements entre trois domaines originellement dissociés : celui de l’exercice médical (articulation entre théorie et pratique), celui de l’esthétique et celui du politique. La méthode se fonde sur un constat critique : celui des processus de désesthétisation en médecine, engageant une pensée de l’esthétique comme fondement des processus de subjectivation. Hannah Arendt, dans Juger, établissait chez Kant la fonction profondément politique du jugement esthétique en tant que fondateur de communauté. Ici, c’est en partant d’une pensée critique de la médecine que nous voulons établir cette fonction politique du rapport à l’esthétique. On élaborera ainsi ce que Brecht appelait un montage, au sens à la fois conceptuel et esthétique : non pas un simple collage, mais ce qui vise à faire surgir les résonances entre des plans discontinus, entre des seuils. On désignera d’abord comme politiques de désesthétisation ce qui tend, dans l’exercice médical à désapproprier le sujet de ses propres représentations au nom d’une pseudo-rationalité. On élaborera ensuite un concept de l’inassignable, du rapport à la mort aux conduites addictives, et aux conduites esthétiques. On montrera enfin, à partir du croisement entre les pensées de Rousseau, de Foucault, d’Edward Saïd et de Simone Weil, la nécessité réesthétisante d’un engagement du penseur dans son objet par une philosophie de terrain, à l’encontre de l’affectation de scientificité produite par le versant positiviste du discours médical. / This work aims at opening to the esthetics field the biopolitics issues’ complex as defined by Michel Foucault. Links are settled between three research fields originally dissociated : medical exercise (point of articulation between theory and practise), esthetics, and politics. The approach will be based on a critical statement of fact : the dis-esthetization of medical process, bound to esthetics thought as the basis of the subjectivation process. Hannah Arendt, in Juger, established in Kant’s thought the deeply political function of esthetic judgement as a base for the establishment of a community. Starting from a critical approach of medecine, we aim to found this political function of esthetics. We shall, in this way, work out what Brecht used to call a montage, in a both conceptual and esthetic acceptance : not a simple pasting, but what aims at cropping up echoes between broken levels, and between thresholds. We will first designate as dis-esthetization what strives, in the medical exercise, to take away from the subject his own representations in the name of a so-called rationality. We will then establish the concept of non-assignable, starting from our connection to death, then considering addictive behaviours and esthetic patterns. And we will at last show, while crossing Jean-Jacques Rousseau, Michel Foucault, Edward Saïd and Simone Weil’s thoughts, the need for a re-esthetic commitment of the thinker with his subject by turning to a field philosophy, opposed to the feigned scientific nature produced by the positivist side of medical discourse.
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L'éthique kantienne résiste-t-elle à son explicitation ?

Butterlin, Isabelle 09 December 2008 (has links) (PDF)
L'éthique, dans la version qu'en donne le kantisme, peut se saisir sous une unique question. Il suffit en effet, pour déterminer la valeur morale de son action, de se demander s'il est possible d'universaliser la maxime de l'action. La question, cependant, pose problème : il faut savoir comme la poser, c'est-à-dire comment constituer la description de l'action à partir de laquelle nous poserons la question. Cela pose la question de la description de l'action et de l'identification des actions dans le discours éthique. L'enjeu est de valider la possibilité de l'universalisme éthique à partir de l'étude du cas qui lui semble le plus difficile à résoudre, celui du mensonge. Je reprends donc la lecture du droit de mentir, et de la polémique entre Kant et Constant.
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SCIENCE, TELEVISION ET RATIONALITE, Analyse du discours télévisuel à propos du cerveau

Babou, Igor 13 December 1999 (has links) (PDF)
Le discours télévisuel à propos de science est l'un des dispositifs qui participent à la circulation sociale des connaissances. Cette thèse apporte sa contribution à ce champ de recherche en articulant la sémiotique de Ch. S. Peirce, son extension à l'analyse de discours et une réflexion sur les processus de vulgarisation. La thématique du cerveau, favorisant l'observation des représentations de la rationalité, permet d'apporter un nouvel éclairage sur les modes de fonctionnement du discours télévisuel à propos de science. Cette recherche ne s'inscrit en effet ni dans le paradigme de la traduction (la vulgarisation comme médiation culturelle), ni dans celui de la trahison (la vulgarisation comme entreprise de gestion de l'opinion par la technostructure). Elle pose par contre le discours télévisuel à propos de science comme une production culturelle liée à des logiques institutionnelles, mais aussi à un ensemble de représentations sociales. À partir d'un corpus d'émissions illustrant vingt ans de télévision, on a pu mettre à l'épreuve les deux principales hypothèses de cette recherche : • Une logique sociale de légitimation opère entre les institutions scientifiques et télévisuelles : le discours télévisuel à propos de science garde les traces d'une confrontation au cours de laquelle chacun de ces acteurs tente d'y inscrire son identité. Cette confrontation est un facteur d'évolution du discours. • Une matrice culturelle joue un rôle structurant sur le discours télévisuel à propos de science : il s'agit du champ des représentations de la rationalité. Cette matrice est un facteur de stabilisation du discours. On trouve ainsi des correspondances entre des fonctionnements institutionnels et la mise en forme des savoirs. Le discours télévisuel à propos de science est aussi une reformulation des discours sur la rationalité. L'apport de la recherche a donc consisté à faire apparaître une double dynamique sociale et textuelle.
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La vérité chez Alasdair MacIntyre : heuristique, herméneutique, thématique

Rouard, Christophe 25 August 2008 (has links)
The theme of truth in the work of Alasdair MacIntyre has rarely been developed. The present thesis aims at filling this lack. In a long first part the goes in details through the whole of MacIntyre’s work with a special attention to the item of truth, which is omnipresent. This heuristic part leads to a hermeneutic part, in which the thought of the Anglo-Saxon philosopher is compared with that of Hans-Georg Gadamer - to whom he affirms to be widely indebted - in order to discern the proper of the Macintyrian researcher and that of his access to truth, which he considers as absolute. The unifying thread of it is the dichotomy Aristotle vs. Heidegger in Gadamer’s work. This dichotomy, which is suggested by the Anglo-Saxon philosopher, proves to be an important key of interpretation of his thought in the field of hermeneutic. In a third part the author studies a diversity of themes for a right understanding of the Macintyrian conception of truth: today’s context of plurality of traditions and civilisations, Macintyrian Thomism, the absolute and what is relative and truth as a good. This thematic part is built upon a confrontation with the thought of the second Hilary Putnam, that of "Reason, Truth and History", which is used as a safeguard in the work of MacIntyre when he tries to define the conception of truth in the tradition rationality. The author makes some critics of MacIntyre’s thought, notably on the credit given to human rationality: the Anglo-Saxon philosopher does not seem to understand the limits proper to it, on theoretical level and practical level as well. / Le thème de la vérité chez Alasdair MacIntyre restait trop peu connu. Cette thèse entend contribuer à combler ce manque. Dans une longue première partie, l’ensemble de l’œuvre macintyrienne est épluché en suivant le thème de la vérité, qui y est omniprésent. Cette partie heuristique débouche sur une partie herméneutique, où la pensée du philosophe anglo-saxon est confrontée à celle de Hans-Georg Gadamer, envers lequel il reconnaît une dette importante, afin de discerner quelle est la part propre de la situation de l’investigateur macintyrien et celle de son accès à la vérité, qu’il considère finalement comme étant absolue. La dichotomie Aristote vs Heidegger chez Gadamer en constitue le fil rouge. Cette dichotomie, suggérée par le philosophe anglo-saxon, s’avère être une clé d’interprétation importante de sa pensée dans le champ de l’herméneutique. Dans une troisième partie sont étudiés divers thèmes importants pour une juste compréhension de la conception macintyrienne de la vérité : le contexte contemporain de la pluralité des traditions et des civilisations, le thomisme macintyrien, le relatif et l’absolu, et la vérité comme (un) bien. Cette partie thématique est charpentée par une confrontation avec la pensée du second Hilary Putnam, celui de "Reason, Truth and History", qui sert en quelque sorte de garde-fou dans l’œuvre macintyrienne quand il s’agit de définir la conception de la vérité impliquée dans la tradition rationality. Certaines critiques de la pensée d’Alasdair MacIntyre sont faites, notamment en ce qui concerne le crédit qu’il accorde à la rationalité humaine : le philosophe anglo-saxon ne semble pas prendre la mesure des limites qui lui sont propres, tant au niveau théorique qu’au niveau pratique.
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La vérité chez Alasdair MacIntyre : heuristique, herméneutique, thématique

Rouard, Christophe 25 August 2008 (has links)
The theme of truth in the work of Alasdair MacIntyre has rarely been developed. The present thesis aims at filling this lack. In a long first part the goes in details through the whole of MacIntyre’s work with a special attention to the item of truth, which is omnipresent. This heuristic part leads to a hermeneutic part, in which the thought of the Anglo-Saxon philosopher is compared with that of Hans-Georg Gadamer - to whom he affirms to be widely indebted - in order to discern the proper of the Macintyrian researcher and that of his access to truth, which he considers as absolute. The unifying thread of it is the dichotomy Aristotle vs. Heidegger in Gadamer’s work. This dichotomy, which is suggested by the Anglo-Saxon philosopher, proves to be an important key of interpretation of his thought in the field of hermeneutic. In a third part the author studies a diversity of themes for a right understanding of the Macintyrian conception of truth: today’s context of plurality of traditions and civilisations, Macintyrian Thomism, the absolute and what is relative and truth as a good. This thematic part is built upon a confrontation with the thought of the second Hilary Putnam, that of "Reason, Truth and History", which is used as a safeguard in the work of MacIntyre when he tries to define the conception of truth in the tradition rationality. The author makes some critics of MacIntyre’s thought, notably on the credit given to human rationality: the Anglo-Saxon philosopher does not seem to understand the limits proper to it, on theoretical level and practical level as well. / Le thème de la vérité chez Alasdair MacIntyre restait trop peu connu. Cette thèse entend contribuer à combler ce manque. Dans une longue première partie, l’ensemble de l’œuvre macintyrienne est épluché en suivant le thème de la vérité, qui y est omniprésent. Cette partie heuristique débouche sur une partie herméneutique, où la pensée du philosophe anglo-saxon est confrontée à celle de Hans-Georg Gadamer, envers lequel il reconnaît une dette importante, afin de discerner quelle est la part propre de la situation de l’investigateur macintyrien et celle de son accès à la vérité, qu’il considère finalement comme étant absolue. La dichotomie Aristote vs Heidegger chez Gadamer en constitue le fil rouge. Cette dichotomie, suggérée par le philosophe anglo-saxon, s’avère être une clé d’interprétation importante de sa pensée dans le champ de l’herméneutique. Dans une troisième partie sont étudiés divers thèmes importants pour une juste compréhension de la conception macintyrienne de la vérité : le contexte contemporain de la pluralité des traditions et des civilisations, le thomisme macintyrien, le relatif et l’absolu, et la vérité comme (un) bien. Cette partie thématique est charpentée par une confrontation avec la pensée du second Hilary Putnam, celui de "Reason, Truth and History", qui sert en quelque sorte de garde-fou dans l’œuvre macintyrienne quand il s’agit de définir la conception de la vérité impliquée dans la tradition rationality. Certaines critiques de la pensée d’Alasdair MacIntyre sont faites, notamment en ce qui concerne le crédit qu’il accorde à la rationalité humaine : le philosophe anglo-saxon ne semble pas prendre la mesure des limites qui lui sont propres, tant au niveau théorique qu’au niveau pratique.
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Approche épistémologique et conceptuelle du rôle des émotions au sein de la rationalité

Rivory, Laure 04 1900 (has links) (PDF)
Les émotions ont été considérées en philosophie, et ce depuis l'Antiquité, tantôt comme des aides tantôt comme des obstacles aux décisions rationnelles. Les rapports entre émotions et décisions ne constituent donc pas donc un objet inédit de réflexion mais récemment cette question a été reprise et le champ théorique renouvelé. Des développements montrent que les émotions pourraient intégrer les raisonnements de manière constructive, et pas nécessairement comme des éléments perturbateurs et responsables d'erreurs. Il s'avère que malgré la complexité du phénomène émotionnel, et la diversité des conceptions à son égard, l'étude des impacts émotionnels dans les choix fait intervenir la distinction entre émotions positives et négatives de manière récurrente. La caractéristique permettant d'établir cette distinction se nomme la valence. D'apparence claire et pratique, elle comporte plusieurs difficultés importantes. En plus d'être un concept ambigu au sens variable d'une théorie à l'autre, la distinction simple qu'elle recoupe s'applique difficilement à certaines émotions plus complexes qui semblent mélanger des valences différentes. Face à ces problèmes, nous pensons qu'il n'est ni nécessaire ni souhaitable d'abandonner la notion de valence, mais qu'il convient plutôt de la réformer afin qu'elle puisse rendre compte avec plus de réalisme des émotions concrètes. D'une part, nous entendons apporter des clarifications sur ce concept central dans l'étude des émotions et de leur impact dans les choix et décisions; d'autre part, nous montrerons la nécessité de porter une attention renouvelée à la valence des émotions pour comprendre ces impacts avec plus de finesse et de précision. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Émotion, rationalité, heuristique, décision, affect, valence.
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Expression poétique et genèse de la rationalité dans le texte biblique / Poetic expression genesis of rationality in the biblical text

Guichard, Anne-Laure 21 January 2013 (has links)
C’est un fait certain que la compréhension contemporaine de la rationalité, en Occident, trouve l’une de ses sources dans la tradition grecque antique, et dans la manière dont les Grecs ont élaboré leur propre conception de la rationalité humaine, qu’ils ont exprimée de manière philosophique et conceptuelle, en s’éloignant d’une expression poétique jugée peut-être trop inadéquate à l’exercice de la philosophie. Cette source grecque est, certes, d’une importance capitale pour comprendre la rationalité moderne, mais elle n’en forme pas l’unique source ancienne. La Bible forme aussi une source majeure de notre civilisation, elle a contribué de manière essentielle à la constitution de nos modes de pensée, et de nos attitudes philosophiques, en proposant un modèle anthropologique de l’humain et de l’humanité, si l’on s’accorde à nommer l’anthropologie science de l’être humain, et dans la mesure où cette science ne fait pas abstraction de la dimension verticale des rapports entre l’être humain et le sacré, prenant ici le Visage d’un Dieu unique. Cependant la Bible tente aussi d’interpréter tous les champs de l’activité humaine, de telle sorte que cet agir humain soit pensé philosophiquement dans une langue très conceptuelle, l’hébreu, d’après le texte biblique lui-même, et selon une expression poétique qui semble ne pas être philosophique, mais qui forme cependant un système ouvert d’une pensée qui elle-même est philosophique, malgré l’apparence mythique que revêt au premier regard la Genèse notamment.En réalité, sous cet aspect mythique se donne à entendre une certaine compréhension de la rationalité, à laquelle nous sommes redevables, en fait, de toute une manière de comprendre tant le monde et l’univers, que l’humanité, la psyché, ses modes de raisonnements, et la rationalité qui en découle. Elle offre au lecteur, sous la forme d’une expression poétique, dans le langage, et contenue dans l’histoire des personnages et des figures elles-mêmes, le tableau d’une genèse de la rationalité. / It is certain that the contemporary understanding of rationality in the West have one of its sources in the ancient Greek tradition, and the manner in which the Greeks have thought and built their own design of human rationality, that they expressed in a philosophical and conceptual way, getting away from a poetic expression considered perhaps too inadequate to the philosophy’s exercise. This Greek source is certainly of vital importance to understand the modern rationality, but it is not the single ancient source: Celtic, Latin, Arab, but also Jewish’s sources are no less essential to our understanding of rationality as it unfolds now days, nor even to the construction of the so-called contemporary rationality.The Bible is a major source of our civilization, it has contributed in an essential manner to the constitution of our modes of thoughts and philosophical attitudes, by proposing a model that could be called anthropologic of human’s being and the humanity, if we define anthropology as a science of human being and to the extent, perhaps contradictory, where the science do not the economy of the vertical dimension of the relationship between human beings and the sacred, here taking the face of a single God. However also attempts to think all fields of human activity, so that this act human or philosophically thought in a very conceptual language, Hebrew, from the text biblical itself, and according to a poetic expression which does not seem to be philosophical, but which however is an open system of thought philosophical itself, despite the mythical appearance of the Genesis. In reality, this mythical aspect is to hear some understanding of rationality, to which we are indebted, in fact, a way of understanding both the world and the universe, humanity, the human psyche, its modes of reasoning, and rationality resulting. It offers the reader, in the form of a poetic, in the language, and expression contained in the history of the characters and figures themselves, a genesis of rationality.
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Quelle sociologie pour quelle démocratie ? : rationalité, politique, émancipation / What sociology for which democracy? : political rationality and emancipation

Lénel, Pierre 02 October 2017 (has links)
« Quelle sociologie pour quelle démocratie ? Rationalité politique et émancipation » a pour ambition d’interroger les liens entre l’épistémologie, la théorie sociologique et la posture ou le type d’engagement du sociologue dans la cité. Il s’agit d’explorer les conditions de possibilité d’une théorie critique, non idéologique, mais fondée en raison sociologique.Une première partie, s’appuyant sur des recherches actions, s’intéresse à la question de la participation des citoyens. Un premier exemple, une sociologie du Théâtre de l’opprimé, montre comment ce type d’intervention peut être interprété comme un dispositif de subjectivation politique. Un deuxième exemple pose la question de la participation à partir d’une tout autre conception du social. A l’occasion de l’élaboration d’un dispositif de participation citoyenne sur le territoire de Feyzin, nous avons tenté d’articuler une sociologie particulière (théorie de l’acteur-réseau) et une conception de la raison pratique (avec Vincent Descombes) pour construire une Conférence riveraine. Dans ces deux cas ce sont les liens entre paradigme sociologique et modalités d’intervention démocratique qui sont examinés. Une seconde partie, plus épistémologique, s’intéresse au fonctionnement de la discipline sociologique et présente trois tentatives d’élaboration d’une posture qui vise à mettre en son centre la notion (et la pratique) d’espace de controverse. Le premier exemple fait retour sur la Querelle allemande des sciences sociales car cette querelle est exemplaire, à la fois d’une controverse qui tente d’explorer les différents arguments disponibles, à un moment donné, mais aussi, d’un point de vue plus substantiel, pose les fondements de deux interprétations du monde social qui sont toujours actives dans les débats contemporains. Le deuxième se situe à un niveau plus théorique, et, à partir d’un colloque qui réunissait différents auteurs partisans d’une théorie de l’activité pour penser le travail, tente de mettre au jour un point de vue de l’activité qui pourrait être commun à l’ensemble de ces auteurs. L’idée est assez simple : il s’agit de contribuer à construire une cumulativité et un point d’accord dont les auteurs pourraient se revendiquer (notamment dans une perspective politique). Enfin, le troisième prend le risque d’explorer ce que l’on appelle parfois un point de vue « postanthropocentré » (ou « désanthropocentré », les termes sont bien loin d’être stabilisés) en sciences sociales. Si l’on prend au sérieux la question d’un approfondissement de la démocratie, jusqu’où peut-on (doit-on) aller dans cette direction ? Que peut signifier pour la sociologie l’idée de prendre en compte les « non-humains » ? C’est ainsi, au moyen de ces multiples angles d’attaque, que ce travail propose de déployer notre interrogation sur les relations entre épistémologie, sociologie et politique. / " What sociology for which democracy? Political rationality and emancipation " has for ambition to question the links between the epistemology, the sociological theory and the posture or the kind of commitment of the sociologist in the city. It is a question of exploring the conditions of possibility of a critical, not ideological theory, but established in sociological reason. A first part, leaning on researches-actions, is interested in the question of the participation of the citizens. A first example, a sociology of the Theater of the oppressed, shows how this type of intervention can be interpreted as a device of political subjectivation. The second example raises the question of the participation from quite a different design of the social. On the occasion of the elaboration of a device of participation citizen on the territory of Feyzin, we tried to articulate a particular sociology (theory of the actor-network) and a design of the reason has a practice (with Vincent Descombes) to build a citizen Conference. In these two cases it is the links between sociological paradigm and modalities of democratic intervention that are examined. A more epistemological, second part, is interested in the functioning of the sociological discipline and presents three attempts of elaboration of a posture which aims at putting in its center the notion (and the practice) of « space of controversy ». The first example makes return on the German Quarrel of the social sciences because this quarrel is exemplary, at the same time of a controversy which tries to explore the various available arguments, at some point, but also, from a more substantial point of view, puts the foundations of two interpretations of the social world which are always active in the contemporary debates. The second is situated at a more theoretical level, and, from a colloquium which gathered various partisan authors of a theory of the activity to think of the work, of tent to bring to light a point of view of the activity which could be common to all these authors. The idea is rather simple : it is a question of contributing to build a cumulativity and a point all right the authors of which could claim to be (in particular in a political perspective). Finally, the third takes the risk of exploring what we sometimes call a point of view " postanthropocentric" (or " desanthropocentric ", the terms are far from being stabilized) in social sciences. If we take seriously the question of a deepening of the democracy, to where do we can go in this direction? What can mean for the sociology the idea to take into account the "non-human beings" ? It is so, by means of these multiple angles of attack, that this work suggests displaying our interrogation on the relations between epistemology, sociology and politics.

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