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Le malaise de la vérité : résistances du roman autobiographique chez Henry Roth

Dufault, Olivier 04 1900 (has links) (PDF)
La présente étude traite d'À la merci d'un courant violent de Henry Roth. Cette tétralogie de près de 2000 pages, publiée entre 1994 et 1998, venait rompre le silence de plus d'un demi-siècle qui avait suivi la publication du seul roman de Roth, Call it Sleep (L'or de la terre promise). Elle s'inscrit de manière originale dans le sillon d'œuvres au statut générique indécidable, sinon problématique. Discours référentiel et fictionnel y cohabitent, s'y intriquent et s'y contredisent. Si la matière est en grande partie autobiographique, les procédés formels sont issus sans conteste de la tradition des romans réalistes, modernes et contemporains (de Dickens à la métafiction de Gass en passant par Joyce, Proust et Dos Passos). Devant beaucoup à la théorie des genres littéraires de Jean-Marie Schaeffer et plus particulièrement à la définition théorique et historique du roman autobiographique comme genre littéraire de Philippe Gasparini, cette étude cherche à approfondir le problème du genre contradictoire et hétérodoxe de l'œuvre tardive de Roth, le roman autobiographique. Le mémoire, en trois chapitres, traite du pacte de lecture contradictoire, scellé par le double affichage générique délibérément orchestré par l'auteur et par l'éditeur, et de ce que Vincent Colonna a appelé la lecture duelle, à la fois référentielle-autobiographique et fictionnelle. Par là, il touche au problème de la vérité dans sa relation à la fiction et tente, finalement, de proposer des pistes d'analyse inusitées sur la question épineuse de l'auteur (comme notion, comme figure et comme personne) en études littéraires. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Henry Roth, À la merci d'un courant violent, roman autobiographique, roman juif américain, auteur.
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Monstrous desires : homosexuality and the gothic in twentieth-century american literature

Peters, Brian Mitchell January 2001 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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The great american navel : le grand roman américain et le langage approprié

Grenier, Daniel January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour objectif d'analyser le phénomène du Grand Roman Américain comme représentation de l'imaginaire national, en en faisant l'archéologie. Je propose, à partir de ce postulat initial, de procéder à un balayage sociologique des éléments qui entrent en ligne de compte dans la composition formelle et symbolique de certaines oeuvres marquantes ayant eu droit au titre de Grand Roman Américain. Il s'agit d'une sorte d'histoire chronologique de l'expression et de ses représentations littéraires. Opération qui mènera à une analyse approfondie de la prise en charge du langage, de l'espace et du temps comme discours dans Underworld de Don Delillo, parangon de ce qu'est le Grand Roman Américain dans son acception moderne. Underworld jouera le rôle d'un prisme, apte à rendre compte du roman contemporain (pour des notions telles que l'obsession de la mémoire collective et individuelle, l'absorption des mythes fondateurs, la contamination entre culture d'élite et culture de masse) et de ses prédécesseurs (on peut penser à la réactualisation des archétypes, aux intertextes, aux réécritures). Entre une sociologie qui prendrait comme point d'appui une littérature américaine analyste de son environnement, et une sociocritique d'un roman emblématique comme Underworld, ce mémoire cherche aussi à créer un pont entre différentes oeuvres qui pensent et ont pensé l'Amérique à la fois comme un tout préhensible et un concept fuyant, équivoque. Dans un premier temps, il s'agira de proposer une analyse sociologique et historique de l'expression Grand Roman Américain et d'en examiner les corrélats à l'intérieur de l'imaginaire social de l'Amérique. Dans un aller-retour entre la société et le livre qui s'en veut le reflet, je tenterai de dégager les lignes de tensions et les chevauchements, autrement dit les instants d'imprécisions entre la réalité et le mythe, entre le vrai social et le faux livresque. En quoi les oeuvres littéraires qui se réclament du Grand Roman Américain sont-elles révélatrices des ambiguïtés propres à leur milieu? Se consacrer ensuite à l'étude d'Underworld, c'est chercher à investir le coeur de la problématique. Le roman sera abordé sous les deux angles suivants: premièrement, son rapport au langage et au discours (la parole, la voix, l'énonciation). Qu'est-ce que l'Amérique, comment être Américain? Deuxièmement, et par extension, son appartenance au corpus Grand Roman Américain, dans une perspective d'intertextualité qui permettra de bien saisir les enjeux majeurs qui regroupent et recoupent les différentes époques littéraires et les différentes écritures. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Littérature américaine, Imaginaire social, Oralité, Mythes, Idéologies.
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Travail de l'image, critique de l'histoire dans l'écriture americaine contemporaine. John Edgar Wideman, Richard Powers, Paul Auster / Picturing time. The agency of images and the critique of history in contemporary American writing. Paul Auster, John Edgar Wideman, Richard Powers

Valadié, Flora 24 November 2012 (has links)
Les romans de Powers, Auster et Wideman sont travaillés par l’image et hantés par l’histoire. Au fil des pages, photographes, peintres, spectateurs visionnaires ou témoins aveugles signifient la toute-puissance d’une image qui, bien souvent, scelle la rencontre du regard et du passé. L’entrée dans l’image est aussi entrée dans l’histoire événementielle, et l’histoire quant à elle ne se donne à voir que sous forme d’image, photographique, picturale ou langagière. Cependant, l’image, qu’elle soit littérale ou littéraire, oppose une temporalité propre au temps de l’histoire : conjonction précaire du passé et du présent, simultanéité de temporalités disjointes, l’image, par son hétérogénéité même, disloque le cours de l’histoire. Dans les six romans de Powers, Auster et Wideman qui constituent le corpus de cette thèse, l’image apparaît alors comme le lieu de la conversion du temps chronologique en temps imaginaire ; par le truchement de l’image, le temps des horloges est suspendu tandis qu’afflue celui de la fiction. En reconfigurant le temps, l’image politise l’écriture des trois écrivains : parce qu’elle est en excès de tout discours historiciste, elle fait exploser les mythes fondateurs de l’Amérique et les postulats d’une histoire orientée. Elle démonte le discours du progrès chez Powers, brouille le code des couleurs chez Wideman, et vide le symbole de sa force consensuelle chez Auster. Elle ouvre un temps convulsif à l’intérieur du temps chronologique, et engage, par sa forme même, le regard qui se pose sur elle. Parce qu’elle est force explosive et fictionnante, l’image engendre alors une communauté qui ne communie plus autour de mythes et de symboles, mais s’éprouve en tant que fiction ; l’image apparaît ainsi comme une image « en reste », un résidu et une réserve qui désœuvre la communauté, défait toute clôture narrative et totalité organique, et réinvente les imaginaires du commun. / Auster’s, Power’s and Wideman’s novels are wrought by images and haunted by history. Page after page, photographers, painters, visionary onlookers, or blind witnesses testify to the might of images that force the gaze to confront the past. Entering an image also means entering history and history, in its turn, reveals itself under the form of photographic, pictorial, or verbal images. However, the image, whether literal or literary, pits its own temporality against the time of history : a tenuous conjunction of past and present, a simultaneous combination of disconnected temporalities, the image, by its very heterogeneity, disrupts the flow of history. In the six novels by Paul Auster, Richard Powers, and John Edgar Wideman that make up the corpus of this dissertation, the image then is the crux where chronological time is converted into imaginary time; through the image, clockset time is suspended while the time of fiction flows in. By rearranging time, the image politicizes the writings of these three authors: because it exceeds historicist and positivist discourses, the image blows apart the founding myths of America and the premises of a biased history. In Powers’s novels, it debunks the discourse of progress, in Wideman’s it blurs the code of colours , and drains the symbol of its consensual strength in Auster’s. The image opens up a convulsive time within chronological time and by its sheer form, commits the gaze that rests on it. Because of its explosive and fictional strength, the image begets a community that no longer communes around myths and symbols but experiences itself as fictional ; a lingering image, a remnant and a supply of meaning, it makes the community inoperative, as it undermines narrative closure and ruins any notion of an organic whole, thus crafting new forms of poetic commonality.
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Brats, niggers, trembling leaves .motifs and theme in the prose works of Truman Capote

Quickelberghe, Y. Van January 1993 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Shirley Jackson ou l'écriture de l'inhabitable / Shirley Jackson or the Writing of the Uninhabitable

Jain Rogulski, Mira 15 December 2018 (has links)
Cette étude analyse les modalités de l’inhabitable dans un monde hostile et instable, ainsi que les stratégies élaborées afin de contrecarrer les effets pervers de l’instabilité. La violence des affects en jeu est à l’image de la cruauté des relations sociales, et ne laisse que peu d’espace viable même au sein du cercle familial, lui aussi soumis à l’entropie de la méchanceté ontologique. Les héroïnes de Jackson, confrontées de diverses manières aux résurgences d’expériences traumatiques que la traversée du présent, odyssée physique et psychique, transforme en obstacles insurmontables, recherchent la demeure idéale où se réfugier et trouver l’ancrage que leur interdit le monde extérieur. Jackson utilise les tropes de la maison gothique, de la hantise et du surnaturel pour illustrer les rouages trompeurs qui se mettent en place dès lors que ses héroïnes pensent avoir trouvé un tel lieu. Le paradoxe du corps maternel, qui fait cohabiter la vie et la mort, sous leurs formes pulsionnelles les plus destructrices, est le principe fondateur de l’effondrement des personnages. La folie apparaît comme un des moyens de comprendre l’incompréhensible, et de contenir la fragmentation. Enfin, l’invention du nom constitue le dernier retranchement où construire une demeure intérieure. / Our study examines the modalities of the uninhabitable in the work of Jackson, where the characters are imprisoned in a world intrinsically hostile, as well as the strategies they use to thwart the instability it entails. The violence of the feelings at stake mirrors the cruelty of social relationships, leaving but little livable space even within the family circle, also affected by the entropy of ontological evil. Jackson’s heroines, variously confronted to the reemergence of past traumatic experiences that their odyssey through the present time transforms into unsurmountable obstacles, seek the ideal house, the haven that will anchor them into a world that rejects them. Jackson uses the tropes of the gothic haunted house as maternal space to illustrate the deadly deception such a place embodies. The cohabitation the most drastic forms of the death drive and vital impulses is the foundation principle of mental dissolution. Madness is one of the means to both embrace and understand the incomprehensible. We conclude by showing how the invention of one’s name is a way of elaborating an inner house.
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La naissance du roman américain (1789-1819) : poétique de l’hybridité / The Birth of the American Novel (1789-1819) : Hybrid Poetics

Dorotte, Juliette 12 December 2014 (has links)
Cette étude propose de réviser le postulat selon lequel le roman américain ne naît que dans les années 1820, pour suggérer que cette forme émerge plus tôt, entre 1789 et 1819. La période qui suit la fin de la guerre d’Indépendance n’est pas favorable à la naissance du roman : les élites craignent alors la déchéance de la jeune République, et la fiction risque de faire basculer le pays dans l’anarchie. Les œuvres des premiers auteurs américains sont fortement façonnées par l’impératif de didactisme et d’utilité sociale et morale qui pèse alors sur la création littéraire. Toutefois, le roman qui émerge dans les années 1790 demeure une forme sombre, plurielle et paradoxale qui résiste à toute tentative de recadrage et de maîtrise, comme en témoigne particulièrement l’œuvre de Charles Brockden Brown. Alors qu’une première tradition littéraire a commencé à se mettre en place au tournant du siècle, le roman subit une transformation esthétique majeure au cours des années 1800 et 1810. Il dépeint à présent avec nostalgie, dans une forme lisse, mesurée et linéaire, une Amérique qui n’existe plus ou qui n’a jamais existé, dans laquelle tout est perpétuellement ordonné et transparent. Ces ouvrages ne marquent pourtant pas l’avènement du roman américain, car leur équilibre est artificiel et les éléments sombres sont toujours lisibles au cours de ces deux décennies. Nous concluons qu’un roman spécifiquement américain se développe effectivement entre 1789 et 1819, qui, au moyen de deux esthétiques opposées mais complémentaires, s’interroge sur l’individualité, le temps et l’écriture, dans une quête perpétuelle d’équilibre et de maîtrise qui ne se réalise jamais vraiment. / Although critics still widely consider the American novel only emerges in the 1820s, this dissertation invalidates this assertion and suggests that it rises between 1789 and 1819 and has specific aesthetic characteristics. The period that follows the close of the Revolution is not favorable to the development of the novel: the elites fear the fall of the early Republic, and the novel might precipitate the nation into anarchy. The first American authors’ works are fashioned by the social and moral imperatives that influence writing at that time. Despite these measures, the novels published in the 1790s are dark, fragmented and paradoxical and resist any attempt at order and control, as Charles Brockden Brown’s works show. While the 1790s seem to witness the development of a specifically American tradition, the novel undergoes a major aesthetic change at the beginning of the 19th century. Long fictions now depict, with nostalgia and in a smooth, balanced, strongly linear form, an ordered and transparent American nation that is no more or that never existed. Yet these works do not indicate that the American novel has reached its mature form, as their balance is purely artificial and unruly elements are still at work during those decades. We conclude that a specifically American novel emerges during the thirty years following the Revolution: under two different but complementary aesthetics, this genre questions matters linked to individuality, time and writing, and is haunted by a quest for control and balance that never really comes to completion.
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Mountains and rivers for a home : a study of the cultural and social repercussions of the return to nature in Leslie Marmon Silko's Ceremony and Thomas King's Green grass, running water

Cayouette, Murielle 20 April 2018 (has links)
La présente recherche a pour but de procéder à une étude comparative du processus régénératif au cœur de deux romans phares de la fiction autochtone contemporaine, soit Ceremony de Leslie Marmon Silko et Green Grass, Running Water de Thomas King. Trois volets principaux sont examinés : le rôle de la nature en tant que référent culturel dans le processus de régénération des personnages principaux de chaque roman, l’évolution de la quête identitaire dans un environnement post-contact, ainsi que les répercussions de la réactualisation de l’identité de chaque protagoniste sur la communauté à laquelle il appartient. Cette comparaison entre les procédés employés par Silko et King permettront, en un premier temps, d’identifier des éléments de continuité entre les deux auteurs. Ces similarités incluent la centralité de la nature dans la reconnexion des protagonistes avec leur culture et leur identité ainsi que l’emphase sur la nécessité d’une identité hybride dans un environnement post-contact. De plus, la comparaison entre ces deux auteurs issus de deux contextes socio-historiques distincts permet d’isoler certains éléments du contexte propre à chaque roman afin de déterminer le rôle de la réalité autochtone sur la fiction produite à chaque époque. De façon plus spécifique, il sera entre autres question de l’influence de la montée du mouvement environnementaliste euro-américain sur la valeur symbolique du retour à la nature, ainsi que de l’importance grandissante de la classe moyenne autochtone éduquée et de la façon dont ce nouveau phénomène est exprimé dans l’œuvre de King. / This thesis compares the regenerative processes at the heart of two milestone novels of contemporary Native American literature, Leslie Marmon Silko’s Ceremony and Thomas King’s Green Grass, Running Water. My comparative study will be divided into three main sections: the role of nature as a cultural referent in the main characters’ regenerative processes in each novel, the evolution of the identity quest in a post-contact environment, and finally, the repercussions of the protagonists’ re-actualization of identity on the rest of their community. Through the comparative study of the processes employed by Silko and King with respect to one’s relationship to nature, cultural identity and social relations, I will be able to identify several similarities shared by the two novels, which demonstrate that they belong to the same Native artistic continuum. These resemblances include the central role of nature in reconnecting the protagonists to their identity, as well as a predominant emphasis on the emergence of a hybridized identity in a post-contact environment. Moreover, the comparison of two novels emerging from two different eras of Native American Literature –that of the 1970s and of the 1990s- will allow me to isolate the influence of the cultural context to which each particular work belongs. In doing so, it becomes possible to determine the influence of some transformations in Native lifestyle on the fiction produced at a given time. More specifically, the modifications I chose to focus on include the rise of Euro-American environmentalism on the symbolic value of returning to nature for Natives as well as the increasing presence of middle-class, educated Natives and their representation, mostly present in King’s fiction.

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