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A noção de capitalismo tardio na obra de Jürgen Habermas : em torno da tensão entre capitalismo e democracia / The notion of late capitalism in the work of Jürgen Habermas : around the tension between capitalism and democracyDa Hora Pereira, L. J., 1986- 21 August 2018 (has links)
Orientador: Yara Adário Frateschi / Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Faculdade de Filosofia e Ciências Humanas / Made available in DSpace on 2018-08-21T10:06:54Z (GMT). No. of bitstreams: 1
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Previous issue date: 2012 / Resumo: O tema da democracia constitui talvez o tema mais importante na obra do filósofo alemão Jürgen Habermas. No entanto, apesar da importância essencial de uma discussão vinculada diretamente aos seus aspectos normativos, pretendemos testar uma perspectiva complementar no estudo desta temática. Ora, é importante ressaltar que Habermas pensou a democracia não apenas a partir de suas possibilidades normativas de realização de ideais como os de autonomia e auto-determinação. Como um autêntico teórico crítico, ele também investigou as possibilidades concretas de institucionalização de formas democráticas de governo. A análise da relação tensa entre capitalismo e democracia é importante para refletir sobre os condicionamentos sistêmicos ou estruturais que o capitalismo impõe ao funcionamento dos regimes democráticos liberais. Ou seja, trata-se aqui de pensar a democracia a partir de suas possibilidades concretas de realização, o que pressupõe levar em conta os obstáculos impostos pelo capitalismo tardio. Desse modo, esta dissertação de mestrado tem como objetivo analisar as duas primeiras décadas da trajetória intelectual do filósofo alemão sob o prisma da relação entre capitalismo e democracia. Investigaremos como o tratamento dessa problemática surge a partir dos diagnósticos do capitalismo tardio produzidos pelo autor ao longo de diversas obras, culminando na sua Teoria da Ação Comunicativa (1981). Ademais, na trilha de Habermas, nos perguntaremos acerca do estado desta relação tensa no contexto do capitalismo contemporâneo, marcado pelo neoliberalismo, pela globalização e por crises / Abstract: The theme of democracy is perhaps the most important theme in the work of the German philosopher Jürgen Habermas. However, despite the essential importance of a discussion tied to its normative aspects, we intend to test a complementary perspective in the study of this issue. At present, it is important to emphasize that Habermas thought democracy not only from of their normative possibilities of realization of ideals, such as autonomy and self-determination. As an authentic critical theorist, he also investigated the concrete possibilities of institutionalization of democratic forms of government. The analysis of the tense relationship between capitalism and democracy is important to think about the systemic or structural constraints that capitalism imposes on the functioning of liberal democratic regimes. That is, we mean to think democracy from its concrete possibilities of realization, which requires taking into account the obstacles imposed by the late capitalism. Thus, this dissertation aims to analyze the first two decades of the intellectual history of the German philosopher from the perspective of the relationship between capitalism and democracy. We will investigate how the treatment of this topic emerges from the diagnoses of late capitalism produced by the author over several works, culminating in his Theory of Communicative Action (1981). Furthermore, on the steps of Habermas, we will ask about the status of this tense relationship in the context of contemporary capitalism, characterized by neoliberalism, globalization and crises / Mestrado / Filosofia / Mestre em Filosofia
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Autour de l'idéalisme britannique: recherches et réflexions méthodologiques sur l'histoire des idées en Grande-Bretagne (milieu XIXe s. - début XXe s)Rosaye, Jean-Paul 20 November 2009 (has links) (PDF)
Ce travail est un condensé d'une dizaine d'années de recherches dont le dénominateur commun a été l'histoire des idées en Grande Bretagne au moment où la modernité s'éprouve dans le modèle de la société industrielle et où des tentatives se sont ébauchées pour sortir du relativisme et du matérialisme ambiants. Son objectif principal, outre la synthèse de mes travaux, a été de formaliser certaines recherches et de poursuivre une interrogation originale sur le sens de l'idéalisme britannique. J'ai distingué trois grandes parties dans ce document qui recouvrent peu ou prou une exposition chronologique de mes travaux; mais ces parties ont également été construites avec le souci de mettre en évidence mon intérêt pour l'idéalisme britannique et l'impact de l'élaboration des théories de la connaissance. Le fil conducteur en a été l'évolution de mes idées concernant la discipline de l'histoire des idées.
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Formalisme pragmatiste pour le développement de schèmes cognitifs en robotique autonomeCoussinet, Cédric 25 September 2007 (has links) (PDF)
Afin de déterminer les difficultés à réaliser un robot autonome, une grille d'analyse philosophique et épistémologique a été établie pour mener une étude transversale. Cette étude révèle que les diverses approches se justifient par au moins une hypothèse ontologique qui conduit inévitablement à une impasse au développement d'une science de la cognition contrairement aux sciences physiques. Une solution consiste alors à adopter une définition pragmatiste de la vérité (James, 1905) conduisant à considérer la cognition comme une dynamique sémiotique auto-orientée toujours en interaction avec l'environnement. À partir de la notion d'autopoièse (Varela, 1989), la cognition a été définie comme une autopoièse sémiotique. La formalisation de ce concept a permis de déterminer une architecture cognitive. En s'inspirant des systèmes de classeurs (Holland, 1976), une architecture cognitive minimale fut spécifiée et implémentée. L'expérimentation en environnement simulé et réel a pu montrer la présence de propriétés d'auto-organisation et d'auto-orientation, en exprimant les règles et les métarègles avec le même formalisme.
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Incidences subjectives de l'annonce du pronostic létalBernard Lemonnier, Sophie 30 March 2012 (has links) (PDF)
S'entendre annoncer, lors d'une consultation médicale, que la mort est proche, n'est pas sans effet subjectif. Effroi et traumatisme : violence faite à cette illusion d'immortalité protectrice qui soutient le sujet dans sa quotidienneté, ouverture faite sur le gouffre de la déréliction. La clinique que l'on rencontre dans une unité de soins palliatifs met en évidence les effets subjectifs, trop souvent délétères, d'une telle annonce. C'est à partir de celle-ci que se déploie cette interrogation concernant le sujet et ce qu'il parvient à faire -ou non- de cette annonce. Nous serons alors amenés à rendre compte de ce que la mort réelle, annoncée du lieu de l'Autre, a cet effet de produire une néantisation de la fonction symbolique qu'il supporte, en ce que son manque vient subitement à manquer. La clinique propre aux soins palliatifs montre alors les incidences subjectives d'une telle vacillation et les possibles recours du sujet dans ses tentatives pour pallier au défaut del'Autre.
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Causalité et probabilités : réseaux bayésiens, propensionnismeDrouet, Isabelle 15 December 2007 (has links) (PDF)
Les théories probabilistes de la causalité apparaissent dans les années 1960 corrélativement de la critique de l'idée selon laquelle la causalité serait une relation de nécessitation. Le présent travail traite de questions soulevées par l'état actuel du développement de ces théories. En ce qui concerne la causalité générique, on peut considérer que l'analyse conceptuelle de ses rapports avec les probabilités est achevée. Les questions qui se posent aujourd'hui sont donc épistémologiques. Plus exactement, les questions traitées dans ce travail portent sur l'inférence aux causes génériques en tant qu'elle est fondée sur les réseaux bayésiens causaux. De façon sensiblement différente, la question du rapport entre la causalité singulière et les probabilités n'est pas complètement réglée du point de vue conceptuel. Nous abordons cette question à partir d'une analyse de la relation entre la causalité et la théorie propensionniste des probabilités.
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L'interface Langage/PenséeBa, Mouhamadou El Hady 09 March 2012 (has links) (PDF)
Le but de cette thèse est de caractériser ce qui se passe à la jonction entre le système linguistique et le système conceptuel de notre esprit. Nous défendons la thèse selon laquelle le système linguistique de notre esprit encode des règles permettant de manipuler directement des représentations mentales dotées d'un contenu sémantique. Après avoir examiné les propositions des formalistes du début du XXe siècle (Frege, Russell), des sémanticiens formels (Montague, Lewis) et de la pragmatique de Grice, nous développons notre propre théorie. Nous nous servons des travaux de Chomsky pour développer une théorie unifiée de l'interface langage/pensée dont nous montrons qu'elle rend compte des données neuropsychologiques concernant le traitement linguistique. Nous testons alors notre théorie en l'appliquant au problème des implicatures enchâssées et terminons en signalant ses applications possibles en TALN, à la clarification de l'hypothèse du langage de la pensée et à la distinction sémantique/pragmatique.
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La fonction analytique. Freud, Jung, Lacan : Approche transdisciplinaireChabaud, François 15 December 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse propose un éclairage sur la réalité de la Fonction analytique, sa physiologie, et les pathologies comportementales qui résultent de son dysfonctionnement. Nous y visitons les travaux de Freud, Jung et Lacan. Par une approche de comparatisme de leurs " écritures respectives ", nous découvrons les fondements de la Fonction analytique. Tous trois tiennent leur savoir d'une approche transdisciplinaire (mythologie, alchimie, Taoïsme, linguistique, mathématiques, etc.) Freud précise le rôle indispensable de la pulsion en décrivant ses quatre caractéristiques. Avec son travail sur le "Bloc-notes magique ", il énonce les modalités de la gravure psychique. La physiologie analytique comprend deux stades distincts : le premier ou " tronc commun " correspond à la gravure de la trace mnésique (Freud). Ce stade se déroule selon le mode binaire : ça pour Freud, persona pour Jung, imaginaire pour Lacan. Le second, se développe à partir du tronc commun, selon la modalité ternaire : la structure arborescente. C'est le stade du moi de Freud, du moi de Jung, du réel de Lacan. Cette phase, comme celle du brassage inter-chromosomique de la méiose biologique, produit une infinité de combinaisons. Modes binaire et ternaire représentent les phases principales de la Fonction analytique. Mais le mode binaire ne doit pas faire barrage au mode ternaire, en enfermant la psyché dans l'imaginaire (Lacan). La psyché doit se dépasser et faire oeuvre d'artiste. Nous montrons que le déséquilibre de l'archétype anima/animus (Jung) est cause de ces pathologies. Nous y voyons également que " la pensée judéo-chrétienne " joue un rôle de censeur, et fait obstacle à la modélisation ternaire.
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La Katalepsis des staseis gréco-hellenistiques à la lumière de la doctrine d'EpicureYoussouf maiga, Moussa 24 June 2013 (has links) (PDF)
Vers la fin du IVe siècle av. J-C., des tyrans macédoniens sont érigés en dieux (théoï). C'est en face d'une telle bassesse politique manifestée par les Athéniens que le philosophe du Jardin, Épicure (341-271 av. J.-C.), put légitimement s'interroger sur la garantie de la sécurité (asphaleia), de la liberté et du bonheur en cette période de désarroi. Dans sa perspective, il appert qu'avec des tyrans débauchés, qui ne poursuivent que des désirs superfétatoires (richesse, pouvoir, honneur, gloire, royauté, etc.), et qui sont en perpétuelle guerre les uns contre les autres, la sécurité (asphaleia) n'est possible nulle part, sauf dans les murs clos du Jardin en banlieue d'Athènes. Par leur apolitisme, Épicure et ses disciples assument contre l'extérieur, contre la foule et les institutions politiques, leur lathè biôsas (" vis caché "). À l'heure des interrogations sur la concrétisation de la sécurité dans nos propres États, la katalepsis des staseis gréco-hellénistiques permet de montrer avec une lumière nouvelle que le philosophe du Jardin fut un précurseur de la zététique de la sécurité (asphaleia) politique aussi bien intérieure qu'extérieure. En partant des allégations de Cicéron et de Plutarque, que nous pensons injustifiées, nous sommes parvenu à entrevoir qu'en arrière-plan du " vivre caché " d'Épicure et des épicuriens, se loge une préoccupation centrale à l'époque hellénistique, à savoir le souci d'Épicure pour la sécurité de l'entité politique condition sine qua non de la sécurité, de la vie de plaisir et de sagesse, qui caractérisent la communauté des amis du Jardin. Eu égard à l'échec politique de Démétrios Poliorcète qui n'a pas su garantir la tranquillité (hésuchia) et la sécurité (asphaleia) de la polis athénienne, Épicure formule la thèse implicite d'un monarque qui assurera la sécurité et la tranquillité, quitte à user utilement et pragmatiquement de la force. Cette philosophie politique de l'utilité de la force au service de l'ordre et de la sécurité de l'état fut le credo de l'épicurien Jules César. A travers le triomphe politique de Jules César se dévoile selon nous le pragmatisme de la philosophie politique d'Épicure, voire sa Realpolitik dont le substrat est l'utilitas.
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Le monstre, ou le sens de l'écart. Essai sur une philosophie de la vie à partir des leçons de la tératologie d'Etienne et d'Isidore Geoffroy Saint-Hilaire.Nouailles, Bertrand 06 October 2012 (has links) (PDF)
L'objet de ce travail de thèse est l'analyse des monstruosités biologiques en tant qu'elles posent question quant à la nature même de la vie et quant à la puissance de la raison à pouvoir l'appréhender. En mettant l'accent sur le travail d'Étienne et d'Isidore Geoffroy Saint-Hilaire, nous nous sommes attachés à montrer en quoi la tératologie parvenait à intégrer les monstres dans des procédures rationnelles - ici celles des sciences biologiques. Mais cette intégration se fait au prix d'un oubli : la dimension nécessairement normative du concept de monstre. Nous nous sommes alors efforcés d'intégrer cette dimension normative et nous avons alors mis au jour la question de savoir ce qu'est la vie en elle-même pour qu'elle soit capable de produire des êtres vivants monstrueux. Cette question nous a amené à élaborer une métaphysique de la vie selon laquelle elle est, en son être même, errance vitale. Penser les monstres revient à devoir penser la vie comme puissance d'écart.
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La liberté du thérapeute : de l'assujettissement à l'autonomieLeblanc, Nathalie 29 May 2008 (has links) (PDF)
Le thérapeute peut-il aujourd'hui exercer sa fonction comme il l'entend et penser sa pratique en la portant hors du champ des idéologies dominantes qui la parasitent ? Peut-il en être sujet et non objet, n'ayant plus alors la possibilité de s'en distancier pour pouvoir la regarder ? De même, quelle position adopte-t-il face aux différentes techniques de soins dont il dispose ? Les considère-t-il toujours comme un moyen et non une fin, aliénant ceux dont il prend soin et leur déniant le statut de personne ? Face aux différentes contraintes (scientifiques, économiques, politiques) qui l'assujettissent, à quels impératifs doit-il se référer ? La liberté du thérapeute met en question les deux concepts qui la sous-tendent : indépendance et autonomie, tels que les définit Kant dans sa Critique de la raison pratique. Mais elle dévoile aussi l'éthique de sa position, en tant qu'êthos, justesse de son rapport à soi, à autrui et au monde. Toutefois, la liberté du thérapeute est indissociable de celle du patient. Le considérer en tant que personne implique de reconnaître ce qui le fonde comme tel, c'est-à-dire son altérité et son autonomie. La responsabilité du thérapeute n'est-elle pas de révéler la liberté singulière de celui qu'il rencontre ? Mais a-t-il aujourd'hui suffisamment d'autonomie pour la mettre à son service et faire du temps dont il dispose un temps avec et pour l'autre ?
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