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Identité, mémoire et expérience du communisme chez Milan Kundera, Herta Müller et Gao Xingjian

Draghici, Sorinel January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La représentation du stalinisme dans Les Aventures de Tintin

Bachand, André 28 March 2022 (has links)
Inspirées des événements historiques du XXe siècle, Les Aventures de Tintin (1929-1976) introduisent au politique. La rencontre entre Tintin et Staline était inévitable. Hergé élabore ainsi certains scénarios staliniens, écho des peurs de ses contemporains envers le « communisme » et le totalitarisme. Ce mémoire s'interroge sur la nature et l'évolution de la représentation du stalinisme à des fins scénaristes. Il reconnaît les propositions théoriques majeures du totalitarisme stalinien d'Arendt, de Friedrich, de Brzezinski et d'Aron, à l'origine de l'école totalitariste; les différents courants historiographiques et l'ouverture partielle des archives soviétiques. Son cadre opératoire regroupe trois grandes variables staliniennes : l'idéologie, la terreur et le dictateur. En raison de la nature de la bande dessinée, il propose deux niveaux d'analyse: le lisible et le visible. Ses stratégies de vérification recourent au paradigme de l'indice de Ginzburg (1980) et à la représentation de l'ennemi soviétique dans le cinéma américain de la Guerre froide de Ballion (2014). Jamais, à notre connaissance, la représentation du stalinisme ne fut étudiée pour l'ensemble des albums Tintin. Notre analyse recense six albums « staliniens » sur les vingt-trois complétés. Ils constituent 26% du corpus Tintin, proportion significative. Or, à aucun moment Hergé ne personnifie Staline, sa figure s'incarnant plutôt dans celle des représentants officiels soviétiques. Le lecteur croise ces derniers sur 56% des pages du corpus étudié. Notre analyse discursive de la représentation hergéenne du stalinisme conclut qu'elle priorise la terreur et le dictateur, l'écart séparant ces deux variables s'avérant moins grand qu'anticipé. Réaliste, elle participe partiellement à la socialisation politique du jeune lecteur, le bédéiste y développant un discours politique convenu à l'égard de Staline et de l'Union soviétique. C'est en recourant à la dissémination d'indices dormants qu'Hergé le compose, soulevant l'intérêt du lecteur avisé à la recherche de différents niveaux de lecture. Ce discours politique dans la représentation du stalinisme d'Hergé n'atteint toutefois pas la complexité de celui du genre romanesque stalinien de Koestler, de Gheorghiu, d'Orwell, de Weisberg, de Soljenitsyne ou de London. Ce ne fut là nullement sa prétention. / Inspired by historical events of the twentieth century, Les Aventures de Tintin (The Adventures of Tintin) (1929-1976) introduces to politics. The encounter between Tintin and Stalin was inevitable. Hergé elaborates some Stalinist scenarios, echoing the fears of his contemporaries towards "communism" and totalitarianism. This thesis questions the nature and the evolution of the representation of Stalinism for screenwriting purposes. It acknowledges the major theoretical propositions of Stalinist totalitarianism (Arendt, Friedrich, Brzezinski and Aron of the totalitarian school), the different historiographic currents and the partial opening of the Soviet archives. Its operative framework identifies three major Stalinist variables: ideology, the terror and the dictator. Because of the nature of the comic book, it proposes two levels of analysis: the readable and the visible. Its verification strategies appeal to the indiciary paradigm (Ginzburg, 1980) and to the representation of the Soviet enemy in American Cold War cinema (Ballion, 2014). To our knowledge, the representation of Stalinism has never been studied in the entirety of the Tintin albums. Our analysis identifies six Stalin albums, representing 26% of the corpus Tintin. At no time is Stalin featured, his figure being personified in that of the official Soviet representatives on 56% of the corpus pages. This Hergean representation of Stalinism focuses on the terror and the dictator, the gap between these two variables is being less than anticipated. Realistic, it partially participates in the political socialization of young readers, while raising the interest of the advised reader with disseminating of dormant indices. However, this representation doesn't reach the complexity of Stalin's literary fiction genre (Koestler, Gheorghiu, Orwell, Weisberg, Soljenitsyne, London). This was in no way his pretense.
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Politique et incertitude chez Claude Lefort

Fourneaux, Germain 12 April 2018 (has links)
Le dessein de ce mémoire est de montrer comment la pensée de Claude Lefort est traversée par la question de l'incertitude. Nous cherchons à présenter comment, influencé par la phénoménologie de Merleau-Ponty, Lefort défend l'idée que la modernité se structure en fonction d'une perte de surplomb. Reprenant l'ensemble de son œuvre, nous explorons comment l'incertitude liée à cette perte de surplomb permet à Lefort de rendre compte de l'expérience démocratique et de sa négation au sein des différents systèmes totalitaires.
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De la tyrannie en Amérique : étude des sources de l'interprétation pessimiste de l'oeuvre de Tocqueville dans les sciences sociales américaines d'après-guerre

Harmon, Jonathan January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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À la recherche des mots perdus : essai sur la méthode en histoire (Arendt, de Certeau, Foucault)

Cova, Hans January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Jean-François Revel et la démocratie / Jean-François Revel and Democracy

Boulanger, Philippe 15 November 2012 (has links)
Essayiste mondialement connu, éditorialiste dans de grands hebdomadaires français, agrégé de philosophie, Jean-François Revel a accompagné la vie intellectuelle française et internationale de la seconde moitié du XXe siècle. Né le 19 janvier 1924 à Marseille, décédé le 30 avril 2006, il se caractérise par un itinéraire intellectuel qui s’ancre profondément dans son temps. Il l’est comme tous les penseurs de son siècle, certes, mais sans doute encore davantage, car il est un penseur peu théoricien, avant tout soucieux des faits. Il compose son argumentaire libéral et l’emploie dans la grande presse et dans ses essais à grand succès, au service de la défense d’une démocratie qu’il juge menacée de l’intérieur et de l’extérieur.Libéral impénitent, Revel prend résolument la défense de la démocratie libérale contre le totalitarisme communiste et le socialisme marxiste. Polémiste, il critique durement la Constitution de la Ve République, le « grand dessein » du général de Gaulle, l’Union de la gauche entre socialistes et communistes et l’antiaméricanisme des Français. Sceptique popperien, il tente de dégager les ressorts intellectuels de ce qu’il appelle la « tentation totalitaire » et de la paralysie des démocraties occidentales confrontées aux ambitions géostratégiques de l’URSS.Publiciste à la manière des écrivains du XIXe siècle, témoin des grands défis politiques, économiques, sociaux et idéologiques du XXe siècle, sentinelle isolée du libéralisme au temps du marxisme triomphant, ardent défenseur de la démocratie libérale si combattue et malmenée par les fascismes et les totalitarismes nazi et communiste, Revel aura donc occupé une place à la fois centrale et marginale dans l’histoire des idées en France.En outre, Revel est resté, en vérité, et malgré une ferme empreinte anglo-saxonne, un libéral démocrate français, certain de son ancrage à gauche en dépit des controverses le visant, affronté à une gauche française profondément marxisée et une droite gaulliste et post-gaulliste très nettement hostile au libéralisme. Pour lui, l’adhésion au libéralisme intégral n’est pas une question de dogme, mais d’expérience : le libéralisme politique assure la paix civile, l’équilibre des pouvoirs et la participation des citoyens à la vie politique ; le libéralisme économique garantit mieux que l’interventionnisme étatique l’efficacité et la justice sociale.Penseur mineur par rapport à Aron ou Hayek, essayiste et polémiste, Revel a, depuis son décès, été plongé dans un relatif confinement. Son rôle de diffuseur des idées libérales dans la grande presse – plutôt que dans les cercles universitaires – n’est que rarement souligné dans les travaux sur le libéralisme au XXe siècle. L’objet de ce travail est de tenter de remédier modestement à ce confinement. / Writer all over the world, columnist in top French weeklies, graduated in philosophy, Jean-François Revel went through the international and French intellectual life from the end of the war on. Born on July 19, 1924, Marseilles, passed away on April 30, 2006, his intellectual profile was deeply rooted in his time. So were his intellectual contempories in this century, but undoudtedly still more, because his thought was little theoritical, based on facts before all. His liberal reasoning was used in the largest press and in his best-selling books at the service of democracy, that he sees as threatened internally and externally.Publicist in the way of the 19th century-writers, watchman of prominent political, economic, social and ideological challenges in the last century, isolated sentinel of liberalism in the period of triumphant Marxism, fierce champion of liberal democracy that was fought by fascisms and Nazi and Communist totalitarianisms, Revel played a role both central and marginal in the history of ideas in France.Moreover, Revel remained, and in spite of a real Anglo-Saxon stance, a French liberal democrat, convinced of being left-winger even though he was the target of controversies, faced with both a deeply Marxised French Left and a clearly antiliberal Gaullist and post-Gaullist Right. Giving his support to integral liberalism was not a question of dogma but of experience. Political liberalism ensures civil peace, check and balance, the participation of citizens to political life, and economic liberalism is better than state interventionism to create social justice and to guarantee efficiency.Philosopher of minor interest if compared with Aron or Hayek, political writer and polemist, Revel has, since he died, been relatively confined. His role of vulgarizator of liberal ideas in the largest press – rather than in the academic inner circles – has rarely been underlined in the studies dealing with 20th century-liberalism. The topic of this thesis is to try to modestly make Revel’s work better known.
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Post-totalitarisme, antipolitique et anarchisme

Douët, Gaëlle January 2007 (has links) (PDF)
La mort de Staline marque une césure indéniable dans l'évolution du totalitarisme soviétique. S'ensuit une transformation du système totalitaire en système « post-totalitaire » dans les pays satellites de l'Union soviétique, prélude à l'émergence de l'antipolitique et ce, malgré un durcissement idéologique suite à l'effervescence sociale réprimée en Hongrie, en Tchécoslovaquie et en Pologne. Projet de régénérescence sociale, l'antipolitique se développe tout d'abord sous une forme « pré-politique » puis devient à proprement parler une nouvelle culture intellectuelle et sociale, cherchant à dissocier la société civile de la culture totalitaire. Cependant, l'antipolitique est aussi porteuse d'un projet politique dans la mesure où elle cherche à circonscrire le pouvoir post-totalitaire, devenu tentaculaire, en se posant comme « polis parallèle ». Le projet antipolitique, comparé à l'anarchisme sur la base de leur projet commun d'émancipation de l'individu vis-à-vis du pouvoir politique, ne se situe pas dans la continuité de la pensée anarchiste. Plus qu'un simple projet réformateur, l'antipolitique repense la philosophie politique à travers une nouvelle dialectique entre une société politique qui revêt la forme d'un État de droit minimal et une société civile dont le rôle de contrepouvoir est renforcé. L'antipolitique, en tant qu'instance médiatrice et le droit, en tant qu'instance conciliatrice, servent de garde-fous afin que le rapport État-société soit symétrique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Totalitarisme, Post-totalitarisme, Normalisation, Pré-politique, Antipolitique, Société civile, Anarchisme.
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De la tyrannie en Amérique : étude des sources de l'interprétation pessimiste de l'oeuvre de Tocqueville dans les sciences sociales américaines d'après-guerre

Harmon, Jonathan January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Parcours et pensée d'un intellectuel français de la première moitié du 20ème siècle : Ernest Seillière (1866-1955) : l'incarnation nouvelle de la figure du médiateur dans le champ intellectuel / The intellectual journey of a french thinker from the first half of the 20th century : Ernest Seillière (1866-1955) : the new embodiment of mediator in the intellectual sphere

Le Goff, Silvin 16 May 2017 (has links)
La carrière intellectuelle d'Ernest Seillière de Laborde (1866-1955) s'étendit de l'affaire Dreyfus (son premier essai remarqué, une étude consacrée à Ferdinand Lassalle récompensée du prix Marcellin-Guérin de l'Académie française, parut en 1897) à la fin de la Seconde Guerre mondiale (il fit son entrée sous la Coupole en 1946). Parce qu'il considérait que tout bon représentant de l'élite avait pour mission de guider l'ensemble de la civilisation sur la voie du progrès, ce polytechnicien de formation dédia sa vie à l'élaboration d'une doctrine. Sa philosophie de l'Impérialisme, appuyée sur une vision organiciste de la société et une conception disciplinaire de la religion, imprégnée de darwinisme, de nietzschéisme et de gobinisme, et marquée par la mode des sciences psychologiques ainsi que par certains courants de la pensée allemande de son temps, n'avait pour autre but que de permettre à une bourgeoisie déclinante de répondre de manière adaptée à la montée en puissance et aux revendications sociales et politiques des masses. Le Romantisme, d'abord perçu comme un facteur de dégénérescence, fut progressivement envisagé par Seillière comme le pourvoyeur d'une formidable énergie qu'il importait de canaliser dans un sens impérialiste utilitaire. Opposant un Romantisme allemand énergique et virile à un Romantisme français féminin et anémiant, le germaniste en vint à faire la promotion d'un Socialisme rationnel que lui-même et certains de ses commentateurs crurent identifier dans les différents régimes totalitaires qui se développèrent au cours de l'Entre-deux-guerres. Celui qui se présentait comme un historien-psychologue se garda de jouer les premiers rôles dans les grands débats qui agitèrent le monde intellectuel français de son temps. La pensée de cet auteur prolifique ne fut pas pour autant ignorée de ses contemporains, et fit même quelques émules aux sensibilités et trajectoires diverses, mais dont les pensées demeuraient animées par une même obsession du déclin. / French thinker Ernest Seillière de Laborde (1866-1955) pursued a long career from the affaire Dreyfus (his first notable study dealing with Ferdinand Lassalle, rewarded by the prix Marcellin-Guérin of the Académie française, was published in 1897) to the end of the World War II (he entered the Académie française in 1946). The polytechnicien dedicated his entire life in developping a doctrine, claiming that an authentic member of the elite had to lead the whole civilization on the path to progress. His philosophy of Imperialism, based upon an organicist outlook of society and a constraining approach of religion, imbued with Darwinism, Nietzscheanism and Gobinism, and affected by a growing interest for psychological sciences and a number of contemporary german thinking movements, aimed to enable a decaying bourgeoisie to respond efficiently to the issu of the political rise and social demand of the masses. At first, Romanticism was seen by Seillière as a degeneration factor. But it was soon considered by the thinker as a provider of a great power that had to be controlled in an imperialistic utilitarian way. Drawing a comparison between a virile and dynamic Germanic Romanticism and a feminine and weakening French one, the Germanist promoted a rationalitic Socialism he and some of his commentators foresaw in the totalitarian regimes that emerged during the interwar period. He who described hisself as an historian-psychologist did not play the first part in the various intellectual debates of his time. However, the thought of this prolific writer was not ignored by his contemporaries, and raised interest within various thinkers obsessed with the idea of decline.
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Gnose et totalitarisme : le problème du mal et la responsabilité / Gnosis and totalitarism : the problem of the evil and the responsability

Afagnon, Alexis Dossa 12 January 2018 (has links)
Quelle qualification morale peut-on attribuer aux criminels nazis ? Sont-ils des fous ? Peut-on leur imputer sans réserve la responsabilité de leurs actes ? Si on ne peut rendre le mal totalitaire imputable comme le mal gnostique, l’assimilation du totalitarisme à une récidive gnostique par Eric Voegelin invite à réfléchir à nouveaux frais à la problématique de la responsabilité des criminels de masse. D’une part, le "situationnisme", qui implique que c’est la situation qui transforme des individus en meurtriers de masse et le "dispositionnisme" qui désigne l’importance que peuvent revêtir les dispositions individuelles chez les criminels de masse, et d’autre part l’illusion et l’idéologie caractérisées, l’une et l’autre par la mise à l’écart de la réalité, rendent complexe la question de l’imputation des criminels génocidaires. Si ces derniers ne peuvent être disculpés, la complexité de la question de leur imputation est indéniable. Cette complexité est peut-être une invite à reconsidérer la cause sous-jacente à ce type de mal : le dualisme gnostique du bien et du mal dont le propre est de vouloir en finir avec le mal. Or la rage d’en finir avec le mal conduit souvent à la barbarie. / What moral qualification can be attributed to Nazi criminals? Are they crazy? Can we blame them unreservedly for their actions? If we can not make totalitarian evil imputable like the gnostic evil, the assimilation of totalitarianism to a Gnostic recidivism by Eric Voegelin invites us to think freshly about the problem of the responsibility of mass criminals. On the one hand, "situationism", which implies that it is the situation that transforms individuals into mass murderers and "dispositionalism" that designates the importance that individual dispositions can have for mass criminals, and On the other hand, the illusion and the ideology characterized, both by the exclusion of reality, make the question of the imputation of genocidal criminals complex. If the latter can not be exculpated, the complexity of the question of their imputation is undeniable. This complexity is perhaps an invitation to reconsider the underlying cause of this type of evil: the gnostic dualism of good and evil, whose own is to want to put an end to evil. But the rage to end evil leads often to barbarism.

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