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Étude des moteurs de développement en Chine rurale et ethnique

Brodeur, Julie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Patrimoine mondial et développement local : étude comparative de systèmes touristiques locaux en Italie et en France / World heritage and local development : comparative analysis on local tourism systems in Italy and France

Ciambrone, Alessandro 10 January 2013 (has links)
Le principal objectif de l’étude consiste à démontrer, en temps de crise économique mondiale, comme il serait possible de conjuguer exigences de croissance économique et stratégies de protection et de valorisation du patrimoine, dans une perspective durable, en considérant que le tourisme représente un dès possible secteur pour le développement territorial, l’intégration sociale et l’amélioration des conditions de vie des collectivités locales. La région Campanie et la province de Caserte – territoires objets d’étude en Italie - sont dotés d’un exceptionnel patrimoine culturel, paysager et immatériel mais ne sont pas suffisamment protégés et valorisés. À cette fin, la recherche analyse et propose des stratégies de gestion des biens à travers l’étude des best practices françaises dans le domaine du tourisme culturel, considérées comme le moteur de développement durable du territoire. La France, classée premier pays au monde pour le nombre de visiteur international, selon les statistiques de l’Organisation mondiale du tourisme, a développé une politique gouvernementale de long terme visant à la protection et à la promotion du patrimoine, grâce à des interventions sur les biens, sur la structure organisationnelle des institutions responsables, et sur toutes les formes d'art de la production intellectuelle. En Italie, en revanche, la stratégie de gestion s’est souvent montrée inadéquat par rapport au prestige international dont elle dispose sur le plan de son patrimoine culturel, paysager, gastronomique et immatériel. Un management contestable des biens, a donné lieu à une croissance limitée de l'économie par rapport à son potentiel avec un effet négatif sur le patrimoine. / The main objective of this study is to demonstrate, in times of global economic crisis, how it is possible to combine economic growth needs and strategies for the protection and enhancement of the heritage in a sustainable way, starting from the assumption that tourism is one of possible areas for regional development, social integration and improvement of living conditions of local communities. The Campania Region and the Province of Caserta – territories object of study in Italy - have a unique cultural, landscape and intangible heritage but is not sufficiently protected and enhanced. To this end, the research analyzes and proposes policies for managing assets through the study of international "best practices", in particular in France, in the field of cultural tourism, seen as an engine for sustainable development of local communities. France, the first country in the world for number of international visitors, according to updated data, provided by the World Tourism Organizations, has developed a long-term government policy aimed at the protection and enhancement of heritage, through actions on assets, on the organizational structure of the institution in charge, and targeted promotion of all art forms of intellectual production. In Italy, however, the management strategy has often shown inadequate compared to the international prestige of the country for its cultural, landscape, food, wine and intangible heritage, with a limited growth of economy if compared with this heritage’s potential with the consequent negative effect on heritage.
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Rapports au territoire et au patrimoine dans un contexte d'après-guerre : tourisme de retour d'expulsés allemands

Bierwerth, Gesa January 2019 (has links)
Cette recherche porte sur les rapports au territoire et au patrimoine d’expulsés allemands de la Seconde Guerre mondiale et de leurs descendants. Elle étudie ces rapports dans un contexte de déplacements de frontières et de populations, de tensions de l’après-guerre et de développements plus récents au sein et entre l’Allemagne et les pays de l’Europe centrale et orientale. La recherche se penche tout particulièrement sur le phénomène de retour touristique des expulsés allemands vers leurs lieux d’origine situés en Europe de l’Est. Elle prend appui sur des enquêtes ethnologiques menées auprès de groupes de touristes dont les lieux d’origine et la destination touristique sont la Prusse orientale, une ancienne province allemande. La Prusse orientale fait partie des territoires cédés par l’Allemagne en 1945. Ses habitants allemands prennent la fuite ou sont expulsés. La province est dès lors partagée entre la Pologne, la Russie et la Lituanie. Les nouvelles populations qui s’y installent se trouvent du jour au lendemain héritières du patrimoine de l’ennemi dont la gestion s’avère difficile. Pour les anciens habitants allemands, les lieux d’origine sont inaccessibles durant la guerre froide et le patrimoine allemand disparaît littéralement derrière le rideau de fer. Or, grâce à l’effondrement du Bloc de l’Est à partir de 1989, ces territoires deviennent à nouveau accessibles. Dès lors, les expulsés partent à titre de touristes pour revisiter leurs lieux d’origine. Ils entreprennent des voyages organisés dans le but de retrouver leurs maisons d’enfance et de découvrir un territoire et un patrimoine somme toute peu connus. De fait, la découverte de sites patrimoniaux est au cœur de ces voyages guidés. L’objectif de la thèse est de cerner dans quelle mesure l’expérience touristique patrimoniale transforme le rapport au passé, au territoire et au patrimoine des expulsés ainsi que de leurs enfants et petits-enfants. L’analyse se penche notamment sur l’interprétation du patrimoine par les guides et son influence sur les touristes. Les guides opèrent une patrimonialisation par le bas et établissent une filiation directe entre les touristes et les personnes ayant bâti le territoire au cours des siècles. Ainsi, ils contribuent à forger de nouvelles représentations du passé chez les touristes, au-delà des biographies personnelles. Le tourisme de retour et la découverte du patrimoine élargissent le territoire d’identification, à savoir de la maison d’enfance vers le territoire visité. La dimension collective du rapport des expulsés au passé, au patrimoine et à la patrie s’en trouve finalement renforcée. Le tourisme de retour déploie des effets positifs sur plusieurs plans. Il engendre notamment un cheminement réflexif chez les touristes dont résulte une disposition à la réconciliation avec les habitants actuels de l’ancienne Prusse orientale et dont profite aussi le patrimoine. / This dissertation deals with the personal links of German expellees of the Second Word War and their descendants with the territory concerned and its cultural heritage. These links are examined in the context of shifts of borders and populations, post-war tensions and more recent developments in and between Germany and the States of East-Central Europe. This study focuses on the return of the German expellees as tourists to their places of origin in Eastern Europe. It is based on ethnological research in tourist groups whose place of origin and travel destination is East Prussia, a former German province. East Prussia is one of the territories lost by Germany in 1945. The German inhabitants of the region flee or are expelled. Henceforth, the province is divided into a Polish, a Russian and a Lithuanian part. The new populations suddenly emerge as the heirs to their enemy’s cultural heritage whose administration turns out to be problematic. During the Cold War the places of origin remain inaccessible to the former German inhabitants and the German cultural heritage literally disappears behind the Iron Curtain. Due to the collapse of the Eastern bloc starting in 1989, these territories become accessible again. Since then expellees have been travelling to their places of origin as tourists. They undertake organised tours in order to find their childhood homes and to discover the area as well as its cultural heritage about which they generally know rather little. In fact, the discovery of cultural heritage sites is central to the guided trips. It is the aim of this dissertation to examine in what way the experience of tourism in combination with cultural heritage affects the relationship of the expellees as well as their children and grandchildren with the past, the territory and its cultural heritage. In particular, the analysis focuses on the interpretation of the cultural heritage by the guides and its effect on tourists. The guides perform a heritagization “from below” and illustrate the direct lineage between the tourists and the people who cultivated the land in the course of the centuries. Hence, they contribute to the creation of new representations of the past for the tourists beyond their personal biographies. Homesickness tourism extends the territory of identification, namely from the childhood home to the area visited. At last, the collective dimension of the relationship of the expellees with the past, the cultural heritage and the homeland is reinforced. Homesickness tourism is positive in several aspects. It engenders a process of reflexion which leads to a disposition towards reconciliation with the present inhabitants of East Prussia, which is also beneficial for the cultural heritage.
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Les liens entre la patrimonialisation et l'événementiel : une étude de cas du site patrimonial du Vieux-Québec

St-Pierre, Mathieu 22 October 2018 (has links)
La place du patrimoine dans les études scientifiques est sans cesse grandissante. Le concept de patrimoine évolue et se transforme grandement depuis plusieurs années. Le patrimoine urbain, surtout dans les quartiers historiques comme celui du Vieux-Québec, prend de l’importance. Les quartiers historiques sont protégés, mis en valeur et labélisés par des instances comme l’UNESCO. Ils sont, depuis les années 1990, animés. La montée de la fonction événementielle est au coeur de cette animation. Par une étude de cas du site patrimonial du Vieux-Québec, cette recherche tente d’identifier et d’analyser l’utilisation du décor patrimonial d’un site, construit par un processus de patrimonialisation, par l’événementiel. La stratégie d’enquête est basée sur l’analyse d’articles et de livres scientifiques et gouvernementaux, également sur une compilation statistique des grands événements ayant eu lieu sur le territoire ainsi que d’une analyse de ces événements par les discours tenus dans les journaux, par les guides touristiques et par les affiches et les vidéos promotionnelles. Le décor du site étudié est en construction depuis le 19e siècle par un processus de patrimonialisation débuté par de grandes commémorations historiques. La fonction événementielle du secteur connait une hausse exponentielle depuis les années 1980, les principales causes sont les grands événements commémoratifs ayant lieu dans la ville et le mouvement de festivalisation mondial. Le décor bonifié par la patrimonialisation est utilisé par la fonction événementielle afin de promouvoir les grands événements. Le décor est utilisé directement par une évocation historique, surtout lors d’événements culturels et commémoratifs, comme les Fêtes de la Nouvelle-France ; il est également utilisé indirectement, comme une image de carte postale, par des événements comme le Red Bull Crashed Ice.
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La construction du patrimoine du Canada entre reconnaissance publique et valorisation touristique : le rôle de la Commission des lieux et monuments historiques et des organismes de tourisme canadiens (1919-1956)

Dutour, Juliette 16 April 2018 (has links)
Marquer les lieux inconnus, ceux dont l’accès est difficile, est une pratique humaine courante. C’est un geste qui marque et qui ancre la trace du passage d’un homme seul ou d’une expédition entière, à la fois dans l’espace - les tas de pierres sont visibles souvent de loin - et sur le territoire - ces « monuments » localisent la plupart du temps le point le plus lointain sur une distance parcourue. Construit en 1910 par un explorateur canadien en voyage dans l’Arctique, ce cairn est l’ancêtre de ceux que la Commission des lieux et monuments historiques du Canada érige à travers le pays à partir des années 1920. Cependant, contrairement à eux, ce cairn ne porte pas de plaque et, sans elle, son rôle est d’autant plus simple : il vient signifier le fait que des hommes - au moins trois ici : les deux qui figurent sur la photographie et celui qui la prend - ont réussi à atteindre ce point extrême du Canada. En plus d’être une marque de revendication territoriale, ce monticule de grosses pierres ramassées à proximité du site, autour duquel ces hommes posent fièrement, est une manière pour eux de dire qu’ils ont été « là », qu’ils ont réussi à atteindre leur objectif et, par conséquent, qu’ils ont obtenu le droit de marquer le territoire afin que la mémoire de leur passage y soit inscrite. Sans plaque commémorative, sans noms ni dates gravés dans la pierre, la mémoire de leur passage est vouée à rester anonyme : si d’autres hommes viennent à passer dans la zone, ils sauront que des hommes les ont précédés, mais ils n’apprendront leurs noms et le détail de leurs aventures que s’ils connaissent l’histoire des expéditions qui ont eu lieu dans la région. Dans le processus de reconstitution de l’histoire de la région, le cairn de 1910 n’est donc pas d’une très grande aide, les seules informations mentionnées directement sur la photographie indiquant seulement : « cairn construit au cours de mon dernier voyage au fond de l’anse Adams, où j’ai laissé une marque. Adams Sound, octobre 1910. Voyage de l’Arctique1 ». Les détails de l’expédition au cours de laquelle cette photographie a été prise sont aujourd’hui connus. Le site d’Arctic Bay est situé sur la côte nord de la baie Adams, dans la partie nord de l’île de Baffin, au Nunavut. La région est habitée par des nomades inuits depuis 5000 ans et elle tire son nom d’un baleinier européen, l’Arctic, qui, en 1872, navigue tout près du site2 . Cette photographie est prise lors de la troisième expédition du capitaine Jacques Bernier qui, en 1910, réussit à passer l’hiver sur le site. Le cairn, construit en octobre 1910, célèbre ainsi la réussite de l’installation d’un campement temporaire dans cette région qualifiée de « désert arctique ». Quelques années plus tard, les responsables de la Commission des lieux et monuments historiques du Canada, s’inspirant de cette tradition de marquage des lieux visités par les explorateurs canadiens, reprennent le principe du cairn. Celui-ci représente donc une forme ancienne, traditionnellement liée aux opérations de conquête territoriale et d’affirmation politique réalisées par les premiers Canadiens. La reprise de cette forme est une manière, pour la Commission, de revenir à une tradition typiquement canadienne : de cette manière, pour célébrer l’histoire du pays, elle fait toujours, de manière implicite, référence à l’œuvre des premiers Canadiens, et elle revient sans cesse aux origines du pays. Les membres de la Commission ajoutent au cairn un média supplémentaire, à la fois vecteur de communication et de transmission de l’histoire : les plaques. C’est le début de la valorisation publique de l’histoire par le gouvernement fédéral, et la mise en place d’un programme de commémoration historique fortement lié au territoire. Ces plaques et leurs mémoriaux ont un très fort impact sur le territoire : en venant se superposer aux sites historiques qu’ils désignent, ils créent un double discours dans l’espace. En effet, en acquérant petit à petit une autonomie non seulement de forme - en tant que monuments reliés aux sites mais physiquement distincts d’eux - mais aussi de fond - ils deviennent, au fil du temps, des monuments à part entière, et se détachent des sites dont ils racontent l’histoire. Le patrimoine canadien est d’abord composé de plaques commémoratives ; c’est de cette manière que l’histoire se matérialise dans un premier temps dans l’espace canadien. En insérant des plaques sur le territoire, les autorités fédérales ont longtemps le sentiment de recréer des lieux disparus, par le simple fait de décrire le site et d’en interpréter l’histoire. Durant plus de trente ans, elles semblent ainsi préférer « recréer » des personnages, des événements passés et des lieux disparus - des bâtiments ruinés ou en très mauvais état - par l’entremise de ces plaques, plutôt que de s’occuper des sites bâtis encore intacts. La commémoration passe avant la conservation : l’insertion dans l’espace des plaques commémoratives ainsi que la composition de leurs textes occupent entièrement la Commission des lieux et monuments historiques pendant cette période. Cependant, outre leur rôle assumé de matérialisation de l’héritage, plusieurs interrogations subsistent quant à leurs fonctions. À quoi servent leurs textes qui ont pour ambition de résumer en quelques phrases des événements de l’histoire du pays ? Leur rôle est-il de raconter et de diffuser l’histoire à la population canadienne et aux touristes étrangers, ou d’investir et de donner un sens à l’espace ? Et celles-ci ont-elles le pouvoir d’assurer la protection d’un site en maintenant les pilleurs et les visiteurs indésirables à distance ?
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Tourisme culturel sur les traces de Pierre Perrault : étude ethnologique à l'Île aux Coudres

Huot, Pascal January 2008 (has links)
No description available.
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Étude du processus de patrimonialisation du village de Saint-Élie-de-Caxton

Demers-Pelletier, Anik 17 December 2019 (has links)
Jusque dans les années 1960, le village de Saint-Élie était surtout connu pour ses lacs et son calvaire. Or, avec le mouvement de sécularisation et plus tard la fermeture des usines, Saint-Élie a subi un exode démographique. Puis, en 2007, les résidents ont commencé à observer des changements positifs, le village s’est mis à reprendre vie, des visiteurs ont peu à peu envahi l’espace et des commerces ont surgi un peu partout. C’est qu’un jeune conteur du nom de Fred Pellerin l’a fait sortir de l’ombre grâce à son univers de contes et de légendes. Dans ses histoires, celui qui a été nommé ambassadeur de SaintÉlie, prend en considération la géographie et la topographie des lieux et les protagonistes, les légendes qui habitent ces histoires sont nommées, ont existé. La communauté s’y est donc reconnue sans peine, elle s’est approprié ce patrimoine particulier qu’elle transmet désormais aux visiteurs au moyen d’une visite guidée, à pied ou en charrette. Pellerin a mis son village sur la map et aujourd’hui le nom de celui-ci résonne jusque dans les communautés francophones du Canada, des Maritimes au Yukon, et jusqu’en Europe francophone. Comme ces « curieux » partis à la découverte d’un village non imaginaire, nous avons voulu saisir de près ce qui se passe à Saint-Élie-de-Caxton depuis une quinzaine d’années. Pour ce faire, nous avons eu recours à deux stratégies de recherche : une revue de presse et une enquête de terrain. La revue de presse, qui s’est étalée de 1996 à 2016, a permis de répertorier les articles qui traitent du village de Saint-Élie-de-Caxton, du conteur et de sa carrière afin d’en dégager le discours médiatique. L’enquête de terrain, constituée d’entrevues et d’observations ayant nécessité plusieurs séjours à Saint-Élie, a permis de recueillir le témoignage des résidents, anciens comme nouveaux, sur le mouvement de mise en tourisme, de revitalisation et de mise en patrimoine en cours au village. Ainsi, à travers ces deux grands axes discursifs, nous avons pu découvrir et repérer de nombreux indices et marqueurs de ce qui nous semble être un processus de patrimonialisation à l’oeuvre à Saint-Élie-de-Caxton. L’originalité de notre recherche réside dans cette occasion unique pour l’ethnologue de « suivre » le déroulement d’un phénomène de patrimonialisation étape par étape, au cours de son élaboration. Nous avons cherché à comprendre qui sont les différents agents et acteurs de cette mise en patrimoine et quel rôle précis ils ont joué dans la mise en tourisme du village qui a mené à une importante revitalisation. Nous nous sommes également attachée à saisir les enjeux qui entourent cette mise en patrimoine, comme la folklorisation et la muséification. Nous nous sommes aussi intéressée aux conséquences engendrées par la présence de nombreux visiteurs, aux aspects économiques et aux changements dans le « décor » du paysage caxtonien. La patrimonialisation étant un processus complexe et changeant, qui varie dans le temps et en fonction des acteurs sociaux, chaque cas est donc différent, autonome, unique; nous avons voulu comprendre ce que celui à l’oeuvre à Saint-Élie-de-Caxton avait justement de particulier pour faire de ce village « ordinaire » une attraction touristique prisée. / Up until the 1960s, the village of Saint-Élie was mostly known for its lakes and its calvary. However, over the years, Saint-Élie suffered a demographic exodus brought about by the secularization movement, and, later on, by factories shuting down. Then in 2007, residents started noticing positive changes: the village began to liven up, visitors gradually invading the space and shops popping up all around. That was all thanks to a young storyteller, Fred Pellerin, who brought the village into light by using it as the backdrop to his world of tales and legends. In the sories told by the man who was named ambassador of Saint-Élie, the geography and topography refer to real world places and the protagonists, the legends, are real people that have actually existed. Hence the community has easily recognized itself in these stories and made this special heritage its own, now now transmiting it to visitors through guided tours, either on foot or by cart. Pellerin made his village famous and its name now resonates throughout the Francophone communities of Canada, from the Maritimes to the Yukon, and all the way to European Francophone communities. Just as these flocking tourists, who came to discover this non-imaginary village, we wanted to take a closer look at what has been happening in Saint-Élie-de-Caxton for the last fifteen years. Two research strategies were used top do so: a press review and a field survey. The press review, which ran from 1996 to 2016, allowed us to identify the media discourse of articles covering the village of Saint-Élie-de-Caxton, the storyteller, and the latter's career. The field survey consisted of interviews and observations that required several stays in Saint-Élie in order to gather testimonies, from long time residents as well as from newcommers, about the ongoing transformation of the village into a heritage tourist attraction as well as its revitalization. Thus, through these two major discursive axes, we have been able to uncover and identify numerous clues and markers that lead us to think a patrimonialization process may be at work in Saint-Élie-de-Caxton. The originality of our research lies in this unique opportunity for the ethnologist to "follow" the unfolding of a patrimonialization phenomenon step by step, during its development. We sought to understand who are the different agents and actors of this heritage development and what precise role they have played in the village's tourism development which led to a major revitalization. We have also endeavored to grasp the issues surrounding this heritage development, such as folklorization and museification. We were also interested in the consequences of this increase in visitor presence, the economic aspects and the changes in the Caxton landscape. Patrimonialization being a complex and changing process which varies in time and according to social actors, each case is different, autonomous, unique. Our goal was to understand how the process at work in Saint-Éliede- Caxton distinguishes itself from other such processes and has managed to turn this "ordinary" village into a popular tourist attraction.
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Les politiques culturelles et le processus de développement dans le monde arabe : analyse d’une série d’indicateurs / Cultural policies and the development process in the Arab world : analysis of selected indicators

Mehadji, Meriem 02 October 2014 (has links)
En 2010, le bilan sur les objectifs du millénaire pour le développement (OMD) a révélé que l’ensemble des pays ainsi que les différents acteurs impliqués dans ce processus devaient redoubler leurs efforts afin de mettre en place des projets adaptés à la nature des diverses sociétés. À cet effet, la question de la « culture » s’est imposée comme un facteur évident et inhérent à l’accomplissement de ces objectifs. C’est dans ce cadre que se pose notre problématique de recherche à travers une zone géostratégique qui subit de grands bouleversements au niveau politique, économique et social. De cette manière, la culture peut-elle constituer un élément de base dans les programmes de développement entrepris dans les États arabes ? Cette présente thèse s’achemine à travers trois principales étapes. D’abord l’intégration de la culture dans ce processus en tant que secteur à part entière. Ensuite, les moyens et les méthodes utilisés par les différents acteurs engagés et concernés par le domaine de la culture dans les pays arabes. Enfin, les indicateurs spécifiques à la région à travers lesquels apparaissent les limites, mais également le potentiel des États arabes. Pour finir, cette démarche fait office de défrichement, car le développement à travers le secteur culturel reste peu exploité dans le monde arabe. Toutefois, les changements qui s’opèrent depuis quelques années dans la région peuvent conduire à une véritable reconsidération du secteur culturel et de sa relation avec le processus de développement. / In 2010, the appraisal of the Millennium Development Goals (MDGs) indicated that all the countries and the different actors involved in this process should underlay their efforts to implement projects adapted to the nature of the various societies. To this end, the issue of "culture" has emerged as an obvious and inherent factor in achieving these goals.Our research issue raises in this context through a geostrategic area which undergoes great changes in the political, economic and social level. Thus, can the culture constitute a basic element in the development programs undertaken in the Arab States? The present thesis is developed through three main stages. First, the integration of culture in this process as a real sector. Then, the means and methods used by the different actors involved and concerned with the field of culture in the Arab countries. Finally, specific indicators related to the region which could show the limits, but also the potential of Arab States.This approach acts as clearing, insofar as the development through cultural sector remains largely untapped in the Arab world. However, the changes occurring in recent years in the region can lead to a genuine reconsideration of the cultural sector and its relationship with the development process.

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