• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 35
  • 6
  • Tagged with
  • 46
  • 24
  • 18
  • 17
  • 17
  • 13
  • 12
  • 11
  • 9
  • 8
  • 7
  • 6
  • 6
  • 6
  • 5
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
21

Vivre dans le non-loti de Ouagadougou : processus de marchandages fonciers entre citadins, chefs traditionnels et autorités publiques / Living in the non-plotted of Ouagadougou : process of land bargaining of city dwellers, traditional authorities and public authorities

Guigma, Pougdwendé Léandre 04 December 2017 (has links)
Cette recherche interroge les interférences entre les pratiques des citadins et les politiques publiques dans l’aménagement et la gestion urbaine des quartiers non-lotis de Ouagadougou. La thèse principale est que les citadins interagissent avec les pouvoirs publics par leurs actions urbaines respectives. Les citadins déclenchent et/ou marchandent leurs actions dans le non-loti, au gré des décisions et des opérations publiques antérieures, présentes et projetées. La démonstration s’est effectuée suivant trois entrées. Dans un premier temps, l'analyse a porté sur les relations entre les espaces produits par les pratiques des citadins et ceux revendiqués par des pouvoirs publics. Puis les investigations se sont focalisées sur les images de ville mobilisées par les acteurs urbains, pour légitimer et motiver leurs actions. Enfin, l’analyse des effets réciproques des « politiques institutionnelles » sur les « dynamiques locales » (F. Navez Bouchanine, 2012) a mis en évidence les « compétences des citadins » (I. Berry-Chikhaoui, A. Deboulet 2000). Les terrains de recherche ont été trois quartiers non-lotis de Ouagadougou (Bissighin, Watinoma/Noghin/Basnéré et Tengandogo), où un regard réflexif a été porté sur les effets des actions urbaines prévues dans le cadre du Programme participatif d'amélioration des bidonvilles de ONU Habitat. L'analyse de la constitution et de la transformation de ces trois quartiers non-lotis a révélé des stratégies communes d'appropriations et de marchandages fonciers par les citadins et les pouvoirs publics, avec l'intermédiation des chefs traditionnels ou « cheffocratie » (A. Ouédraogo, 2014) et des organisations de la société civile. / This research questions the interference between the practices of urban dwellers and public policies in the urban planning and management of the non-plotted neighborhoods of Ouagadougou. The main thesis is that urban dwellers interact with public authorities through their respective urban actions. City dwellers trigger and / or bargain their actions in the non-plotted areas in the light of past, present and projected public decisions and operations. The demonstration was carried out following three inputs. Initially, the analysis focused on the relationships between the spaces produced by the practices of city dwellers and those claimed by public authorities. Then the investigations focused on city images mobilized by urban actors to legitimate and motivate their actions. Finally, the analysis of the reciprocal effects of "institutional policies" on "local dynamics" (F. Navez Bouchanine, 2012) highlighted the "skills of urban dwellers" (Berry-Chikhaoui, A. Deboulet 2000). The research fields were three non-plotted neighborhoods in Ouagadougou (Bissghin, Watinoma/Noghin/Basnéré et Tengandogo), where a reflexive look has been taken at the effects of the urban actions planned under the Participatory Slum Upgrading Program of UN Habitat. The analysis of the constitution and transformation of these three non-plotted neighborhoods revealed common strategies of appropriations and bargaining by urban residents and public authorities with the intermediation of traditional chiefs or " cheffocracy "(A. Ouédraogo, 2014) and civil society organizations.
22

Urbanité et sentiment de nature: ethnographies comparées de la randonnée pédestre Corse – Chapada Diamantina (Brésil)

Bragard, Romain January 2009 (has links)
BRAGARD, Romain. Urbanité et sentiment de nature: ethnographies comparées de la randonnée pédestre Corse – Chapada Diamantina (Brésil). 2009. 253f. Tese (Doutorado) - Curso de Sciences Sociales, Centre de Recherche Et D’Études Anthropologiques, Université Lumière Lyon 2, Lyon, 2009. / Submitted by Hanna Sandy (nannybells@gmail.com) on 2016-12-16T12:15:16Z No. of bitstreams: 1 2009_tese_rbragard.pdf: 13361393 bytes, checksum: f16abc1f970dd4045a2b10f0995be600 (MD5) / Approved for entry into archive by Márcia Araújo (marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2016-12-20T16:43:04Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2009_tese_rbragard.pdf: 13361393 bytes, checksum: f16abc1f970dd4045a2b10f0995be600 (MD5) / Made available in DSpace on 2016-12-20T16:43:04Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2009_tese_rbragard.pdf: 13361393 bytes, checksum: f16abc1f970dd4045a2b10f0995be600 (MD5) Previous issue date: 2009 / This research is articulated around a founding hypothesis: the feeling of nature that motivates the hikers is an urban feeling. Loving the nature, searching for a physical contact with it, spending energy and money to go through it and experience extraordinary feelings are all elements of the modern cultural weft. Tourists at the GR20 (Corsica) and at the Chapada Diamantina (Bahia, Brazil) inherited from the history of the idea of nature, from the history of the individual and from the history of free time in western civilization. They are moved by the desire of nature, which is worked out in the urban routine, and which emergence conditions are similar in both countries. However, the features of the « hiking ritual » in each of these places change according to their social structures and their « national myths ». In one hand, we can see how French tourists in Corsica experience and act the « myth of the individual » (Miguel Benasayag), fulfilled by equality and autonomy values. On the other hand, Brazilian tourists perform a hierarchical social scene, which places them between the guide who serves them and the natural divinity that overwhelms them. In both cases, a political question can be asked: does the feeling of nature hide and legitimate a « selective democracy » (Jessé Souza) that is connected to a depoliticization of nature as raw material ? / Cette recherche s’articule autour d’une hypothèse structurante : le sentiment de nature qui motive les randonneurs est un sentiment urbain. Aimer la nature, rechercher un contact physique avec elle, dépenser énergie et argent pour la parcourir et éprouver des sentiments extra-ordinaires, sont des actes qui s’inscrivent dans une trame culturelle moderne. Les excursionnistes du GR20 (Corse) et de la Chapada Diamantina (Bahia, Brésil) sont héritiers d’une histoire de l’idée de nature, d’une histoire de l’individu et d’une histoire du temps libre. Ils sont mus par un désir de nature, qui s’élabore dans le quotidien urbain, et dont les conditions pratiques d’émergence sont comparables. Mais la forme que prend le « rituel excursif » dans chacune des deux localités varie en fonction de structures sociales et de « mythes nationaux » distincts. On observe ainsi que les randonneurs français vivent avec force le « mythe de l’individu » (Miguel Benasayag), égalitariste et autonomiste, et que les randonneurs brésiliens performent une scène sociale hiérarchisée, qui les situe entre le guide qui les sert et la nature divinisée qui les dépasse. Dans les deux cas, une question politique peut être posée : le sentiment de nature n’a-t-il pas pour fonction impensée de masquer et de légitimer une « démocratie sélective » (Jessé Souza), qui s’articule à une dépolitisation du rapport à la nature-matière première ?
23

Urbanité et sentiment de nature : ethnographies comparées de la randonnée pédestre Corse – Chapada Diamantina (Brésil) / Urbanity and feeling of nature : comparative ethnography of hiking : Corsica (France) – Chapada Diamantina (Brazil)

Bragard, Romain 20 October 2009 (has links)
Cette recherche s’articule autour d’une hypothèse structurante : le sentiment de nature qui motive les randonneurs est un sentiment urbain. Aimer la nature, rechercher un contact physique avec elle, dépenser énergie et argent pour la parcourir et éprouver des sentiments extra-ordinaires, sont des actes qui s’inscrivent dans une trame culturelle moderne. Les excursionnistes du GR20 (Corse) et de la Chapada Diamantina (Bahia, Brésil) sont héritiers d’une histoire de l’idée de nature, d’une histoire de l’individu et d’une histoire du temps libre. Ils sont mus par un désir de nature, qui s’élabore dans le quotidien urbain, et dont les conditions pratiques d’émergence sont comparables. Mais la forme que prend le « rituel excursif » dans chacune des deux localités varie en fonction de structures sociales et de « mythes nationaux » distincts. On observe ainsi que les randonneurs français vivent avec force le « mythe de l’individu » (Miguel Benasayag), égalitariste et autonomiste, et que les randonneurs brésiliens performent une scène sociale hiérarchisée, qui les situe entre le guide qui les sert et la nature divinisée qui les dépasse. Dans les deux cas, une question politique peut être posée : le sentiment de nature n’a-t-il pas pour fonction impensée de masquer et de légitimer une « démocratie sélective » (Jessé Souza), qui s’articule à une dépolitisation du rapport à la nature- matière première ? / This research is articulated around a founding hypothesis: the feeling of nature that motivates the hikers is an urban feeling. Loving the nature, searching for a physical contact with it, spending energy and money to go through it and experience extraordinary feelings are all elements of the modern cultural weft. Tourists at the GR20 (Corsica) and at the Chapada Diamantina (Bahia, Brazil) inherited from the history of the idea of nature, from the history of the individual and from the history of free time in western civilization. They are moved by the desire of nature, which is worked out in the urban routine, and which emergence conditions are similar in both countries. However, the features of the « hiking ritual » in each of these places change according to their social structures and their « national myths ». In one hand, we can see how French tourists in Corsica experience and act the « myth of the individual » (Miguel Benasayag), fulfilled by equality and autonomy values. On the other hand, Brazilian tourists perform a hierarchical social scene, which places them between the guide who serves them and the natural divinity that overwhelms them. In both cases, a political question can be asked: does the feeling of nature hide and legitimate a « selective democracy » (Jessé Souza) that is connected to a depoliticization of nature as raw material ?
24

Quand le littoral se ferme. Quelle gouvernance de l'accès et des usages de l'interface littorale dans les agglomérations d'Auckland, Nouméa et Port-Vila ? / When the shore is closing. What governance of access and uses of the coastal interface in three South Pacific agglomerations (Auckland, Nouméa and Port-Vila) ?

Hoffer, Olivier 10 December 2013 (has links)
Auckland, Nouméa et Port-Vila connaissent un développement urbain très soutenu depuis au moins deux décennies, ce qui pourrait favoriser une privatisation progressive du littoral. La fermeture du rivage, résultant de la logique de marché, remettrait en cause des pratiques variées (de la pêche de subsistance à la promenade contemplative), fortement ancrées dans les mentalités. Une telle situation serait paradoxale pour ces trois agglomérations marquées par l'omniprésence de la mer. Elle menacerait également la durabilité de cités encore jeunes et en recherche d'identité et d'urbanité. Ce travail de recherche propose une grille d'évaluation de l'accès au littoral en milieu urbain, et interroge la mise en place d'une gouvernance basée sur un « droit au littoral ». Quels sont, dans chaque agglomération, les mécanismes d'ouverture et de fermeture de l'interface littorale ? Quels modes de régulation sont mis en place d'Auckland à Port-Vila pour garantir l'accès au bord de mer pour le plus grand nombre ? L'hypothèse que la puissance publique est déterminante pour garantir l'ouverture de l'interface littorale se vérifie-t-elle ? L'accès au littoral peut-il être régulé par d'autres acteurs que la puissance publique ? La démarche synchronique mis en œuvre dans cette thèse permet plus largement une réflexion sur les interactions entre l'urbanisation et l'interface littorale. / For at least two decades now, Auckland, Nouméa and Port-Vila have been experiencing a very strong urban development, that could involve the gradual privatization of the shore. The closure of the coast, due to the market strategies, could in these three cities jeopardize practises as widespread as subsistence fishing or simply walking by the sea. This would be a paradox in three cities surrounded by the sea. It would threaten the sustainability of those recent cities in search of identity and urbanity. This research aims at providing an evaluation grid of access to the coastal interface in urban areas, and interrogates for the creation of a governance based on a « right to the shore ». In each agglomeration, what mechanisms lead to the closure of the seafront? What are the measures developed to ensure public access to the coastline, and what are their spatial consequences? Is the public authority crucial to allow access to the shore? Furthermore, it will enable a comparison between three coastal management ways, and broadly a reflexion concerning urban and coast interaction.
25

Rendez-vous en ville ! Urbanisme temporaire et urbanité évènementielle : les nouveaux rythmes collectifs / Let' meet in the city ! Temporary urbanism and event sociability : new shared rhythms

Pradel, Benjamin 27 November 2010 (has links)
La métropole est polychronique. L'isolement d'un de ses rythmes permet de nuancer les théories de la modernité liquide et de la ville en continu. À travers l'étude de trois événements festifs métropolitains à Paris et Bruxelles, nous proposons une lecture de l'histoire urbaine par ses temps partagés, une description des mécanismes par lesquels les rythmes sociaux émergent et une analyse de leur rôle social et spatial. Réinterrogé par le concept de rendez-vous collectifs, les rythmes urbains sont une co-production entre un urbanisme temporaire et une urbanité événementielle. Ces deux éléments explique le double rôle spatial et social des rythmes événementiels. Les institutions municipales instrumentalisent l'urbanisme temporaire pour signifier le temps, organiser le rassemblement et produire du lieu. L'urbanité événementielle est le résultat des interprétations individuelles des événements comme signe temporel qui produit du lien social et un sens commun des lieux. La répétition de la rencontre entre l'urbanisme temporaire et l'urbanité événementielle provient d'une part, de la décision politique de d'instrumentaliser le rendez-vous dans l'organisation urbaine, d'autre part de la synchronisation des individus qui organisent leurs temps pour participer au rassemblement. La rationalité qui anime les participants est motivée par la valorisation des interactions de face-à-face et la production de liens sociaux associatifs, dans une société interrogée par la différenciation et la désynchronisation des modes de vie. L'individu ne se passe pas de rassemblements rituels, dans des lieux et selon des temporalités saisonnières. Ces rythmes collectifs sont adaptés à la métropole, à la complexification de ses territoires, à l'hybridation de ses représentations culturelles et à l'individualisation de ses temporalités. Au-delà, le concept de rythme est une théorie de morphologie sociale qui rend compte du fonctionnement des sociétés de façon multiscalaire et dynamique. Elle s'inscrit dans les théories sociologiques intermédiaires qui lient l'individu et le collectif, l'habitant et les institutions, la morphologie spatiale et temporelle de groupements humains de toutes tailles. Le fait métropolitain, influençant et influencé par l'individu et le global, constitue une échelle mésociale heuristique / The city is polychronic. We qualify liquid modernity theory and the twenty-four hour city model by isolating one of its rhythms. Based on a diachronic study of three festive urban events in Paris and Brussels, we propose a new reading of urban history through planned gatherings, a description of the mechanisms by which social rhythms emerge and the role they play in building urban space and society. The planned gathering concept is applied to urban social rhythms, which are seen as the product of an interaction between temporary urbanism and event sociability. Institutions instrumentalise temporary urbanism to signify units of social time, and implicitly plan gatherings by producing a conducive physical place. Event sociability is the collective result of individual interpretations of this sign, which produce social ties and create a corresponding social place. These places become periodic through political decisions to reproduce the sign, as w ell as individuals' efforts to organize and synchronize their time to participate. The resultant planned gatherings are in turn instrumentalized to organize the metropolis. In a society whose groups are increasingly differentiated and desynchronized, face-to-face interaction and the production of discretionary social ties are highly valued. Individuals apply value rationality and thus continue to participate in ritual, seasonal gatherings at fixed places and times. Despite historical continuities, these rhythms are specifically modern in that they have adapted to the contemporary city's territorial complexity, cultural hybridization, and idividualized temporality. Using the semantic duality of rhythm (flowing / periodic) we outline a more general theory of social morphology which provides a multiscale, dynamic account of societies, covering interactions between the individual and the collective, inhabitants and institutions, the spatial and temporal patterns in human groups of varying size. The mesosocial metropolitan scale is situated between the indivual and the global
26

Medias et identité urbaine : la construction de l'idée de modernité dans les espaces urbains africains à travers la presse : le cas du Sénégal / Media and urban identity : the social constructions of the idea of modernity in african urban areas through the press : the case of Senegal

Diouf, Amadou Mansour 17 April 2013 (has links)
Ce travail de recherche a voulu explorer les relations entre les médias, la ville et la modernité. Le corpus est fourni par la presse écrite et l'espace d’investigation en est la ville sénégalaise. Beaucoup de travaux menés ces dernières années sur les médias sénégalais s'intéressent surtout à des questions plus "politiques" : droits humains, gouvernance démocratique, alternance politique…tandis que d'autres sont orientés vers les TIC ou l’internet. Cette thèse veut trouver son originalité dans une approche des dynamiques urbaines dans la durée à travers une démarche basée sur les outils des sciences de l’information. Le postulat de départ est que la ville est le cadre générateur des médias qui acquièrent une urbanité plus ou moins forte selon le type de support considéré (radio, télé, presse, internet). Cette relation débute au XIXe siècle à Saint-Louis dans un contexte colonial où naissent les premiers journaux suscités par la puissance coloniale (La France). L'aménagement du cadre de vie par le colonisateur, perçu comme un vecteur de modernisation et de domination des autochtones, à travers l'espace, ne manque pas de causer des affrontements. La ville dans sa capacité à produire de nouveaux modes de vie, comme démontré par l’École de Chicago, s'impose alors comme l'emblème de la modernité. La diversité urbaine va induire trois types de pluralisme : urbain, politique et médiatique qui s'imbriquent de manière complexe avec des retombées dans la fabrication de l'information. Les médias ont du mal à s'affranchir de leur cadre de naissance et deviennent eux-mêmes un lieu de l'aménagement du cadre de vie. Cela est perceptible à travers les usages que font les journalistes du terme modernité et dans les représentations de l'espace urbain. Il s'avère que la ville et les médias sont des éléments indissociables dans l'aventure de la modernité au Sénégal. Les concepts de spatiogénèse, sémiosphère urbaine et de territorialité médiatique sont utilisés pour rendre compte de ces phénomènes. La capacité de construction de la réalité des médias est mise en exergue à travers l'approche constructiviste. La thèse fournit des outils théoriques pour la compréhension des relations entre SIC, territorialité urbaine et modernité; elle constitue surtout dans les études médiatiques sénégalaises, un effort important dans l'analyse de l'évolution de la presse du XIXe au XXe siècle. / This study explores the relationship between Medias, city and modernity. The corpus analysed is provided by newspapers and the ground of the research is the Senegalese city. These last years, most of academic studies carried on Senegalese Medias are mainly focused on political issues: human rights, democratic governance, and competitive elections whereas others deal with ICT or Internet issues. This doctoral research wants to find originality in approaching urban dynamics over time, using communication and information science tools. The premise of the study is that the city is the place where Medias are generated and this fact is to be considered in the rating of the urbanity of different types of media (radio, TV, newspapers, internet). This relationship began in the nineteenth century in the city of Saint-Louis, in a colonial context where the first newspapers were raised by the colonial power (France). The city planning led by the colonizer as a vector of modernization and domination, causes clashes with indigenous people. The city in its ability to produce new ways of life (urbanity), as demonstrated by Chicago School, has emerged as the emblem of modernity. In fact urban diversity induces three types of pluralism: urban, political and media pluralism that fit in complex with implications in information gathering and production. The media strive to get free from their original context of emergence and become a lieu of city and town planning. This is noticeable through the journalistic uses of the term modernity or through representations of urban space. The City and the Media can be considered as elements of a single body that significantly contribute in the adventure of modernity in Senegal. Concepts as spatiogenesis, urban semiosphere, and urban territoriality, are used to account for these phenomena. The Constructivism as a methodology is used to highlight the Media capacity of building the reality. The thesis provides theoretical tools for understanding the relationship between Communication and information Science, territoriality and urban modernity; it is most importantly an endeavour in the analysis of the press and media dynamics on one hand and a step up in Senegalese Media Studies from the nineteenth to the twentieth centuries on the other.
27

Urbanité, mixité et grande hauteur : pour une approche par les dimensions public/privé des tours mixtes et de leur production : le cas de Paris et de l'Ile-de-France / Urbanity, diversity and high-rise : a new public/private approach of mixed-use towers and their production : the case of Paris and its region

Rossignol, Claire 15 December 2014 (has links)
La construction d'immeubles de grande hauteur reste, malgré les débats qu'elle génère, un projet d'actualité dans de nombreuses villes en France. Fort des expériences passées, nombreux sont les projets se tournant aujourd'hui vers le concept de ville verticale. Ces tours multifonctionnelles, mieux ancrées territorialement et ouvertes au public ont alors pour objectif de mieux s'intégrer dans la ville et de permettre une forme d'urbanité. La mise en œuvre de la mixité à l'échelle du bâtiment, la grande hauteur, ainsi que la recherche de qualité urbaine génèrent de nouvelles contraintes techniques, socio-institutionnelles et territoriales peu étudiées à ce jour. En particulier, la complexification des montages de projet, l'enjeu territorial élargi ainsi que le statut particulier des espaces ouverts au public de la tour provoquent de nouveaux questionnements et enjeux public-privé à la fois spatiaux et organisationnels. Dans ce contexte, comment les tours peuvent-elles contribuer à l'urbanité de la ville contemporaine ? En s'appuyant sur une étude comparative de trois projets de tours mixtes franciliens (Phare, Triangle et Duo), ainsi que sur un état de l'art sur la grande hauteur et le concept d'urbanité, nous proposons une typologie des tours au regard de leur contribution à la ville. En développant une approche dynamique de la dimension urbaine des projets de tours au cours de leur fabrication, nous proposons ensuite un outil d'analyse des «trajectoires de projet» dans le temps. Une corrélation apparaît finalement entre ces trajectoires urbaines et les étapes de leur fabrique, et permet une montée en généralité sur les processus de production des différents idéaux-types de tours et de leur urbanité / Despite a controversial scientific and societal debate, building skyward is experiencing a new rise in French cities. This is reflected in the emergence of new high-rise forms: mixed-use towers and even “vertical cities“. Both are usually conceived as more accessible to the public, more linked to the ground, and more “urban». The implementation of mixed-use, height and urban quality in skyscrapers generates a system of specific technical, social and territorial constraints which are little studied so far. New public-private issues concerning both spatial and organisational considerations are caused by the very complexity of the project, the significant impact of the building on its surroundings, as well as the special status of its privately-owned spaces that are open to the public. In this context how can high-rises be produced and contribute to the urbanity of contemporary cities ? First based on a comparative study of three mixed-use tower projects within the Paris region (Phare, Triangle and Duo), then on a literature review of high-rise buildings and the concept of urbanity, we establish a typology of “urban towers“. These are classified according to their relation and their impact on the city. By developing a new dynamic approach of the urban issue of tower projects during their fabrication, we create an analytical tool which can identify temporal “project trajectories“.Finally, we find a correlation between these project trajectories and the stages of their implementation. This allows us to analyse the production process of each class of tower and their urbanity
28

Mettre en récit l'urbanité des métropoles portuaires : L' architecture comme "laboratoire" de la mondialisation des formes urbaines : gênes, Le Havre, New York (1945-2015) / The urbanity of port metropolises through narratives : Architecture as a "laboratory" of the globalization of urban forms : Genoa, Le Havre, New York (1945-2015)

Gras, Pierre 25 January 2018 (has links)
L’accélération de la globalisation des échanges et le constat d’une certaine banalisation des formes urbaines depuis une trentaine d’années ont fait émerger un questionnement sur le devenir patrimonial et l’urbanité des métropoles portuaires.Qu’il s’agisse d’un héritage industriel ou technique lié à leur activité, de bâtiments historiques protégés ou d’édifices réalisés sur des sites libérés par la délocalisation des activités portuaires sous l’effet de la massification des marchandises, la morphologie des métropoles portuaires interroge les configurations résultant de cette phase intense de mondialisation urbaine. Elle constitue de ce fait un « laboratoire » permettant d’observer à quel point, en réalité, cette évolution est protéiforme et contrastée. Les villes portuaires de Gênes, du Havre et de New York – choisies pour les décalages qu’elles proposent, tant en termes d’échelle que les formes urbaines – permettent d’approcher de façon critique l’évolution de l’urbanité de ces métropoles depuis près d’un demi-siècle, au-delà des formules convenues de la production d’une architecture standardisée et de la mise en œuvre de « grands récits » homogénéisateurs sur ces territoires urbains en mutation. / The acceleration of the exchanges at a worldwide scale and the observation of a kind of globalization of urban forms over the past three decades have raised issues about the future of heritage and the urbanity of the port cities. Whether it concerns the industrial or technical heritage linked to their initial activity, protected historic buildings or buildings erected on urban sites liberated by the relocation of port activities due to the massive containerization of goods, the morphology of port metropolises questions the configurations resulting from this phase of urban globalization. It constitutes a true "laboratory", allowing to observe to what extent this evolution is quite protean and contrasted. The port cities of Genoa, Le Havre andNew York - chosen for the discrepancies they offer, both in terms of scales and urban forms - make it possible a critical approach of the evolution of the urbanity of these metropolises for half a century, so far from the agreed formulas of banalization, production of a standardized architecture and implementation of "great stories" homogenizing on these metropolitan areasin mutation.
29

La périurbanisation dans la métropole nantaise. De nouvelles mobilités pour de nouveaux lieux d'urbanité ?

Hervouet, Vincent 18 November 2005 (has links) (PDF)
Depuis les années soixante, la périurbanisation a progressivement remis en cause le modèle européen de la ville dense. En effet, l'étalement urbain se fa¬it, non plus en contiguïté avec les espaces bâtis existants, mais par dissémination de zones résidentielles pavillonnaires dans les espaces périphériques. Né de la volonté d'accéder à la propriété en maison individuelle dans un marché foncier moins concurrentiel, cet éloignement géographique est possible grâce à l'usage massif et quotidien de l'automobile. La dilatation du système urbain sous-tend que l'urbanité ne peut plus être identifiée à la seule citadinité de la ville-centre mais qu'elle se diffuse dans les espaces périurbains. L'étude de ce phénomène dans la métropole Nantes – Saint-Nazaire, à travers la mobilité des ménages de douze communes périurbaines, révèle qu'il existe, en effet, des lieux périurbains d'urbanité. Mais la variété des situations communales rend complexe les modalités de diffusion de l'urbanité en périphérie des villes. Pouvant être, selon les cas, ambiante, recherchée, contrôlée, relayée, rejetée, naissante ou dans une situation intermédiaire entre deux de ces six états, l'urbanité - ou plutôt les urbanités - périphérique(s) sont en fait tributaires des facteurs géographiques, politiques, économiques et sociaux locaux. A la logique métropolitaine de cette diffusion urbaine répond l'émiettement institutionnel communal que les intercommunalités encore balbutiantes ne parviennent pas encore à relayer. Si la gestion globale du système urbain doit nécessairement associer ces nouveaux lieux d'urbanité pour garder sa cohérence, cette dispersion de la ville est un défi difficile à relever en matière d'aménagement du territoire.
30

La nuit dimension oubliée de la ville : entre animation et insécurité. L'exemple de Strasbourg

Gwiazdzinski, Luc 19 December 2002 (has links) (PDF)
Que deviennent nos villes, passée l'agitation de la journée ? Dans nos régions ou le "non-jour" atteint en hiver les deux tiers de la journée, il doit bien y avoir une vie après le jour. Un autre espace se met en place avec de nouveaux acteurs. Nous chercherons à appréhender cette dimension oubliée de la ville à travers l'exemple de la métropole strasbourgeoise.

Page generated in 0.0378 seconds