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La fabrication plurielle de centralités dans la périphérie de Constantine : le cas de la ville nouvelle Ali Mendjeli / The plural fabrication of centralities in the periphery of Constantine : the case of the new town Ali Mendjeli

Lakehal, Ahcène 23 May 2013 (has links)
La ville de Constantine (Algérie) a connu depuis quelques décennies un étalement urbain considérable de ses périphéries urbanisées. Cet étalement a donné naissance à la Ville Nouvelle Ail Mendjeli qui constitue aujourd’hui, sans nul doute, l’un des principaux théâtres des dynamiques territoriales de la périphérie constantinoise. Créée ex nihilo, sa mise en place par les seules autorités locales a été difficile et il lui a fallu presque dix ans pour que son développement atteigne son rythme de croisière. Cette thèse analyse la fabrique de la Ville Nouvelle, puis les rôles respectifs des acteurs publics et privés dans l’évolution de sa centralité. Si l’impulsion de départ était bien le fait des responsables politiques, le système d’acteurs s’est rapidement complexifié, du fait des stratégies des commerçants et des pratiques des résidents, “citadins ordinaires”. Aujourd’hui, l’action combinée de tous ces acteurs fait que s’inventent à Ail Mendjeli de nouvelles formes d’urbanité. / The city of Constantine (Algeria) has been known for several decades a considerable urban sprawl of its urban peripheries. This urban sprawl has given birth to the New Town ALi Mendjeli. This is one of the man theaters of territorial dynamics of the periphery of Constantine. Creating its establishment only by the local authorities was difficults and it took nearly ten years to make its development reaches its cruising speed. This thesis analyzes the fabric of New Town, and the respective roles of public and private actors in the development of its centrality. If the impulse departure was indeed the work of the political responsables, relayed by urbain planners to their services, the actors’ system was rapidly complexified due to the tradors strategies and pratices of residents (ordinary city, today, the combined action of all these actors, have invented to “Ali Mendjeli” new froms of urbanity.
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La fabrique d'un quartier informel : de la marginalisation à l'intégration urbaine. Cherarba : une véritable polarité économique, puissant facteur d'intégration / The factory of an informal district : of the marginalization in the integration urban. Cherarba : a real polarity economic, important factor of integration

Benalia, Fateh 11 December 2015 (has links)
Les grandes villes du Sud s’étalent dans leurs périphéries, en grande partie non réglementaires, notamment en conséquence de l’incapacité de l’Etat à procurer un logement à l’ensemble de la population. Cette thèse restitue l’analyse d’un de ces quartiers irréguliers aux marges de la ville : le quartier de Cherarba dans le Sud-est de l’agglomération algéroise, à la porte de la Mitidja. La réflexion porte sur les pratiques et les représentations des populations et la façon dont elles pèsent sur les dynamiques de dé-marginalisation et/ou d’intégration socio-spatiale de ces quartiers populaires à la ville. Les activités économiques générées par les populations s’avèrent un vecteur déterminant permettant à ces quartiers irréguliers périphériques de s’intégrer dans l’ensemble de la dynamique socio-spatiale de la ville. Trois axes structurent la recherche ; nous verrons d’abord comment les habitants "ordinaires" sont des acteurs à part-entière dans la production de l’espace urbain, en agissant au cœur même de ces transformations, à travers des stratégies résidentielles et économiques. Ensuite le regard se focalisera sur l'étude des interdépendances des territoires marginalisés avec la ville. L'examen des pratiques des populations devra permettre ici de mettre en évidence les modes d'effacement des frontières, d'imbrication et d'interactions à l'ensemble de la ville, particulièrement par le biais des dynamiques économiques. Le cœur de la réflexion concernera l'émergence d'une véritable polarité urbaine, formidable vecteur d'intégration. Enfin, l'analyse portera sur les pratiques et les représentations des populations, en mettant en évidence les formes de sociabilités et de solidarités, les ressources et les réseaux sociaux au sein et en dehors du quartier et les significations sociales qu'il recouvre. Le dévoilement de ces processus de recomposition urbaine bouscule les a priori entretenus sur ces périphéries stigmatisées et considérées comme des non-villes et conduit à une nouvelle approche de la réalité urbaine, modifiant les perceptions sociales négatives qui affectent cet « urbanisme d'émanation populaire ». / The big cities of the South spread out in their peripheries, largely not statutory, in particular as a result of the incapacity of the State to get an accommodation to the whole population. This thesis restores the analysis of one of these irregular districts to the margins of the city: the district of Cherarba in the Southeast of the urban area from Algiers, in the door of Mitidja. The reflection concerns the practices and the representations of the populations and the way they weigh on the dynamics of die-marginalization and/or sociospatial integration of these popular districts in the city. Economic activities generated by the populations turn out a determining vector allowing these peripheral irregular districts to become integrated in the whole of the socio-spatial dynamics of the city. Three axes structure the search; we shall see at first how the "ordinary" inhabitants are actors to whole part in the production of the urban space, by acting in the heart of these transformations, through residential and economic strategies. Then the look will focus on the study of the interdependences of territories marginalized with the city. The examination of the practices of the populations will have to make it possible here to highlight the modes of obliteration of the borders, overlap and interactions to the town suit, particularly by the means as of economic dynamics. The heart of the reflection will relate to the emergence of a true urban polarity, formidable vector of integration. Finally, the analysis will concern the practices and the representations of the populations, by highlighting the forms of sociability and solidarities, the resources and the social networks in the breast and except the district and the social meanings which it recovers. The unveiling of these processes of urban reorganization pushes aside prejudice maintained on these peripheries stigmatized and considered non-cities and leads to a new approach of the urban reality, modifying the negative social perceptions which affect this « town planning of popular emanation ».
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Imagerie et quartier, entre pratiques des populations et action publique : le cas de la ville d'Annaba en Algérie / Imagery and district, between practices of the populations and public action : case of the town of Annaba in Algeria

Boutemedjet, Anissa 18 June 2014 (has links)
L’efficience des représentations à l’oeuvre dans les dynamiques sociospatiales et leur cristallisation à travers une forte imagerie constituent à notre sens un objet de recherche fécond pour comprendre le fait urbain. Notre réflexion porte sur l’imagerie de deux quartiers à Annaba, Kouba et Les Allemands, respectivement représentatifs des ensembles collectifs réalisés dans le cadre du Plan de Constantine en 1958 et des ZHUN dans les années 1980. Les constructions identitaires qui y sont attachées sont largement liées à l’histoire urbaine et aux conditions de leur peuplement, le premier abrite majoritairement des cadres, des techniciens, le second reflète une sorte de proximité spatiale entre le même type de population et des sinistrés provenant des bidonvilles et de la médina. Ainsi, nous considérons que saisir l’imagerie contrastée caractérisant ces espaces, permettrait d’accéder aux logiques à la base, tant des actions urbaines initiées par les pouvoirs publics, que des modes d’appropriation des populations de ces quartiers, à travers leur itinéraire résidentiel, leurs mobilités, leurs usages, leurs interactions sociales et leurs relations à la ville. / The efficiency of the representations to work in the dynamic socio-space ones and their crystallization through a strong imagery constitute with our direction a fertile object of research to understand the urban fact. Our reflection relates to the imagery of two districts to Annaba, Kouba and the Allemands, respectively representative of the collective units carried out within the framework of the Plan of Constantine in 1958 and the ZHUN in the years 1980. Identity constructions which are attached there are largely related to the urban history and in the conditions of their settlement, the first shelters mainly executives, technicians, the second reflects a kind of space proximity between the same type of population and the disaster victim coming from the slums and medina. Thus, we consider that to seize the contrasted imagery characterizing these spaces, would give access logics the base, as well of the urban actions initiated by the authorities, as modes of appropriation of the populations of these districts through their residential route, their mobilities, their uses, their social interactions and their relations at the city.
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Gouverner la ville: Bruxelles à l'épreuve de son internationalisation, 2001-2008

Calay, Vincent 17 June 2009 (has links)
Cette thèse propose d’explorer les modalités de formation des savoirs urbains et leur processus de normalisation. Dès lors, à rebours de la majorité des approches en vigueur en études urbaines, elle n’étudie pas les politiques urbaines à travers les acteurs qui les organisent ou les structures qui les déterminent. De ce fait, en déplaçant le champ d’analyse des acteurs et des structures vers la production des savoirs et de leur normativité, la thèse propose de revisiter les approches traditionnellement employées dans l’analyse des politiques urbaines contemporaines. <p>Au plan théorique, ce choix se construit autour de deux courants sociologiques issus des sociologies dites « pragmatistes ». Premièrement, la thèse développe un travail ethnographique sur des situations spatialement et temporellement délimitées dans lesquelles se jouent des épreuves d’urbanités. Celles-ci révèlent et distribuent les statuts des différents êtres qui participent à la composition de l’urbanité de la ville. C’est donc à l’examen de telles épreuves que peuvent se reconstruire les modalités de production de savoirs sur la ville qui donnent forme aux mondes urbains. Ce travail se complète ensuite d’une étude du processus de normalisation, inspiré de la théorie de l’acteur-réseau. La notion d’épreuve est là conçue comme un ensemble de situations où s’observe la stabilisation de différentes formes de savoirs. Cette stabilisation peut ainsi se comprendre comme un processus de normalisation de certains cadres cognitifs qui conditionnent des manières différentes d’agencer l’ordre urbain, c’est-à-dire de le gouverner.<p>Au plan empirique, ce type d’approche implique l’étude de situations concrètes où se joue le gouvernement de la ville. De ce fait, la thèse structure la description du processus d’internationalisation de la ville à travers l’ethnographie de six situations spécifiques où le lien entre la ville et son internationalisation est mis à l’épreuve :un débat parlementaire, une assemblée consultative, la constitution d’un groupe de pression, une exposition d’architecture, une occupation artistique d’espace public et la production d’un guide touristique. L’étude de telles situations permet d’isoler cinq modèles du gouvernement de la ville (administrer, gérer, projeter, dénoncer et imaginer). Ceux-ci sont observés autant dans leur version purement discursive au sein de l’assemblée parlementaire que dans le contexte matériel, discursif et visuel qui organise leur pratique dans les cinq autres situations. Cette étude permet ainsi d’aborder, en profondeur, une histoire très contemporaine de l’internationalisation de Bruxelles qui montre la manière dont certaines modalités de son gouvernement se sont développées et stabilisées.<p>Enfin dans une dernière partie, les différents modèles sont respécifiés afin de saisir le processus de normalisation de certaines manières de gouverner la ville. Cette respécification des modèles passe par l’exploitation de la notion de "régime" telle qu’elle est conçue dans les sociologies pragmatistes, c’est-à-dire l'isolement, à partir des observations de terrain, d’un ensemble conventionnel qui ordonne la tenue des situations. Une telle respécification des modèles en régimes s’opère par l’intermédiaire d’une grille d’analyse qui rassemble dix-sept valeurs correspondant à six régimes particuliers (les régimes d’énonciation publique, d’action, d’engagement, cognitif, figuratif et d’urbanité). Ceux-ci permettent d’appréhender dans le même mouvement autant les modalités d’action retrouvées dans l’ensemble des modèles que le type d’urbanité auquel il fait droit. Dans un deuxième temps, les modèles sont évalués dans leurs rapports réciproques afin de saisir les valeurs qui les caractérisent le plus par rapport aux autres. Enfin, ce travail permet de hiérarchiser les différentes valeurs orientant les cinq régimes de gouvernement de la ville et d’évaluer les rapports de domination et de marginalisation entretenus entre les différents modèles.<p>Une telle exploitation de l’hypothèse des « régimes de gouvernement de la ville » permet ainsi de ne pas dissocier les modalités de gouvernement de la ville des situations dans lesquelles elles sont mises à l’épreuve. De ce fait, cette hypothèse incite directement à un travail comparatif qui permettent leur réévaluation à partir de nouveaux terrains. L’examen de leur hiérarchie permet en outre d’appréhender la question des rapports de force et de pouvoir non entre acteurs mais entre cadres cognitifs.<p> <p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'eau de l'art contemporain : une dynamique d'une esthétique écosophique / Water of Art : a dynamic of ecosophical aesthetics

Marty, Patrick 19 December 2014 (has links)
L’eau est porteuse d’aspects différents de consciences, tout en étant un espéranto planétaire. Doit-on parler des artistes de l’eau ? ou bien de l’eau des artistes ? Quel que soit le point de vue que l’on considère, il se dégage une synergie de pensées oeuvrant à une réflexion consensuelle et paradigmatique. Cette recherche propose une nouvelle lecture de l’interaction de l’élément naturel avec la place qu’il occupe dans l’art contemporain ; comment l’eau dans l’art contemporain devient, grâce à sa puissance évocatrice, l’Eau de l’Art, une source inépuisable d’adaptabilité transculturelle qui se fait l’écho d’une nécessaire métamorphose. L’eau est devenu un médium parmi tant d’autres. L'eau, matière naturelle par excellence, se retrouve utilisée indifféremment par un peu tous les courants artistiques actuels notamment dans des vidéos, des performances, des sculptures, en architecture ou dans des expériences à la frontière de l’art et des sciences cognitives. On peut examiner trois aspects de la culture de l'eau : en tant que vecteur à la fois d'une culture enracinée, et d'une éthique de l'Universel commun, la force symbolique de l'eau dans l'histoire de l’art, et l'actualité écologique, scientifique et psychologique. L’eau couvre tous les champs du possible, et rend accessible les moindres recoins de la pensée, aussi bien la part d’ombre que la lumière de la psyché humaine. Elle accompagne et interagit sur les non dits des sociétés, car elle contient leurs savoirs ; elle est la matrice de leur philosophie, leur sociabilité, leur géographie (compréhension de l’espace et des milieux de vie), leur communication, leur histoire, leur langage. L’Eau de l’Art dynamise ainsi une esthétique écosophique en puisant dans la poésie du temps. / Water is a messenger of various aspects of consciousness, while being a global Esperanto. Should we talk about artists of water? Or the water of artists? Whatever point of view one considers, a synergy of thoughts emerges involving a consensual and paradigmatic vision. This research proposes a new reading of the interaction of the natural element with its role in contemporary art; how water in contemporary art becomes, with its evocative power, Water of Art, an inexhaustible source of crosscultural adaptability that echoes a necessary metamorphosis. Water has become a medium among many others. Water, a natural material par excellence, is used interchangeably by almost all the current artistic trends, including video, performance, sculpture, architecture and experiences on the frontier of art and cognitive science. There are three aspects of the culture of water: as a vector of both an ingrained culture and the Universal ethic; the symbolic force of water in art history; and the ecological, scientific and psychological information. Water covers all possible fields, and allows access to every corner of the mind, the dark side as well as the light of the human psyche. It supports and interacts on the unspoken aspects of society because it contains their knowledge; it is the matrix of their philosophy, their sociability, their geography (understanding of space and living environments), communication, history, language. Therefore, Water of Art adds a dynamic to ecosophical aesthetics in drawing from the poetics of time.
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Quand l'aéroport devient ville : géographie d'une infrastructure paradoxale / When an airport becomes a city : geography of a paradoxical infrastructure

Drevet-Démettre, Lucie-Emmanuelle 11 September 2015 (has links)
L’aéroport est un objet géographique protéiforme, caractérisé par son « obsolescence accélérée » (BANHAM, 1962). Depuis les années 1990, son ultime mutation s’articule autour d’un processus de diversification fonctionnelle engendré par l’injection d’activités nouvelles, parfois éloignées du transport aérien, dans l’objectif d’accroître les profits et la rentabilité de l’infrastructure dans un contexte de privatisation généralisée. Cette évolution concerne les plus grands hubs mondiaux, notamment Paris-CDG, quatrième aéroport du monde selon le trafic passagers international. Cette tendance, qui a donné naissance au concept opérationnel d’airport city, tel qu’il est désigné par les observateurs et opérateurs anglo-saxons, attise doublement la curiosité géographique. En premier lieu, parce qu’elle interroge la fonction première de l’infrastructure de transport qu’est l’aéroport, qui devient alors un objet spatial non identifié qu’il convient de redéfinir. En second lieu, parce que cette désignation d’airport city, traduite par les opérateurs francophones par ville aéroportuaire, interroge la ville et surtout ce qui fait la ville dans ses dimensions matérielle et idéelle, c’est-à-dire l’urbanité et la citadinité. Suffit-il d’injecter des fonctions urbaines dans un espace pour en faire de la ville ? La ville aéroportuaire n’est-elle qu’une ville fonctionnelle ? En s’efforçant d’évaluer la pertinence géographique de la notion d’airport city, cette thèse impose de faire de l’urbanité et de la citadinité des concepts opératoires afin de les confronter au terrain aéroportuaire. Elle s’efforce également de replacer l’aéroport au centre de l’étude géographique en proposant un ajustement de l’échelle d’observation à l’ensemble de la zone aéroportuaire, évitant ainsi la synecdoque particularisante réduisant l’aéroport au terminal. Dans l’évaluation de la citadinité, elle a également pour objectif de saisir les spatialités de l’ensemble de la société aéroportuaire (passagers, employés, accompagnants, SDF, etc.). / Airports are protean geographical objects characterized by their « accelerated obsolescence » (BANHAM, 1962). Since the 1990s, their final transformation has been structured around a process of functional diversification engendered by new activities, which are sometimes very different from air transport, in order to increase the infrastructures’ profits and profitability in a context of widespread privatization. The world’s largest hub airports are concerned by this evolution, especially the Paris-Charles-de-Gaulle airport, the world’s fourth busiest airport by international passenger traffic. This trend, which has given birth to the operational concept of airport city, as the Anglo-Saxon operators and observers call it, stirs up the geographical curiosity in two ways. Firstly, it questions the primary function of airports, which become unidentified spatial objects that need to be redefined. Secondly, the concept of airport city questions the city itself. Indeed, what makes a city a city on a material (urbanity) and conceptual (“citadinity”) level? Can a space with urban functions be considered as a city? Is the airport city only a functional city? By assessing the geographical relevance of the concept of airport city, this thesis aims at making the concepts of urbanity and “citadinity” operational concepts, so as to compare them with the airport ground. By adjusting the observation scale to the whole airport area, it also replaces the airport at the centre of the geographical study. Thus, the airport is not simply viewed as a terminal. Finally, this thesis aims at understanding the whole airport society’s spatiality (passengers, employees, accompanying people, homeless people…) by assessing the concept of “citadinity".

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