• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 69
  • 36
  • 9
  • 5
  • 3
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 135
  • 54
  • 36
  • 27
  • 25
  • 22
  • 21
  • 20
  • 20
  • 19
  • 19
  • 18
  • 17
  • 17
  • 17
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
101

Le je(u) de l'écriture et l'enjeu autofictionnel dans La naissance du jour, de Colette

Damaceno, Taiane Meirelles January 2016 (has links)
Le présent mémoire a pour but de procéder à une étude de l’oeuvre La Naissance du Jour, de Colette, parue en 1928. Pour atteindre cet objectif, un parcours de trois chapitres a été proposé. D’abord, les données biographiques et bibliographiques sont mises en évidence, lors du premier chapitre. Dans le second chapitre, l’analyse de l’oeuvre é réalisée, à la lumière de ses composants, ses thèmes et ses éléments fondamentaux. Les réflexions principales éveillées lors de la lecture de l’oeuvre sont exposées dans le dernier chapitre. Les observations originaires de l’appréhension de ce parcours d’analyse tiennent à montrer que La Naissance du Jour suscite une discussion notable sur le « réel » et le « fictionnel » à travers la confrontation des genres autobiographique et autofictionnel et le traitement spécifique de la catégorie espace-temps. D’après les différentes conceptions d’écriture dégagées de l’oeuvre colettienne, nous arrivons à comprendre l’acte d’écrire chez Colette comme un jeu de sensations et de sens où le sujet, le « je », est immergé dans un miroir de langage, par lequel il se (re)construit. / Esta dissertação tem por objetivo proceder ao estudo da obra La Naissance du Jour, de Colette, publicada em 1928. Para tanto, foi proposto um percurso de três capítulos. Primeiramente, os dados biográficos e bibliográficos são evidenciados no primeiro capítulo. No segundo capítulo, a análise da obra se faz, à luz de seus componentes, temas e elementos fundamentais. As principais reflexões despertadas durante a leitura da obra são apresentadas no último capítulo. As considerações originadas por este percurso de análise mostram que a obra suscita uma importante discussão sobre o “real” e o “ficcional”, por meio da confrontação dos gêneros autobiográfico e autoficcional e o tratamento específico da categoria espaço-tempo. De acordo com as diferentes concepções de escrita obtidas na obra de Colette, nós podemos chegar à compreensão do ato de escrever como um jogo de sensações e de sentidos em que o sujeito, “eu”, permanece imerso em um espelho de linguagem, pelo qual ele se (re)constrói.
102

Les "avatars du moi" chez Paul Auster : autofiction et métafiction dans les romans de la maturité

Thevenon, Marie 23 November 2012 (has links) (PDF)
Entre autobiographie et fiction, le terme " autofiction ", inventé par Serge Doubrovsky, est un " genre " qui s'est surtout épanoui à la fin du XIXe siècle avec " la transposition en fiction des fragments d'une expérience " (Hubier), devenue de plus en plus populaire au fil du temps. La recherche entreprise dans cette thèse porte sur la forme contemporaine de ce mélange entre autobiographie et fiction que l'on trouve chez Paul Auster. Le corpus principal est composé de ses romans dits de la " maturité ", publiés entre 1991 et 2008 : Leviathan, The Book of Illusions, Oracle Night, The Brooklyn Follies, Travels in the Scriptorium et Man in the Dark. C'est ainsi la question de l'évolution de l'autofiction mais également de la métafiction chez cet auteur qui est examinée dans cette thèse. Divisé en trois parties, ce travail porte dans un premier temps sur les repères spatiotemporels dans les romans de Paul Auster avant de se concentrer sur les éléments métafictionnels présents dans les romans du corpus. Dans la première partie, une distinction est faite entre deux espaces : l'espace intérieur et l'espace extérieur et la façon dont ces deux espaces cohabitent. Dans une deuxième partie, la thèse s'intéresse aux repères temporels, qu'ils soient d'ordre mémoriel ou en rapport direct avec la structure du récit. La thèse examine le rôle que jouent certains repères empruntés à l'Histoire contemporaine dans l'histoire personnelle des personnages, en observant qu'ils occupent une place toujours plus importante au fur et à mesure que l'oeuvre austérienne progresse, en particulier à partir des attentats du onze septembre. Enfin, c'est la mise en scène de l'écriture chez Paul Auster et la façon dont elle alimente l'autofiction en mettant l'accent sur l'identité d'écrivain de notre auteur qui est traitée : l'emploi du langage, l'évolution des supports d'écriture chez les personnages, la description de la méthodologie du travail de l'écrivain mais également l'intratextualité qui met en avant le lien entre tous ses romans.
103

Le « vécrire » dans l’œuvre romanesque de Marguerite Andersen

Tennier-Gigliotti, Julie Corine Elizabeth 02 April 2014 (has links)
L’intérêt des romans de Marguerite Andersen repose sur les enjeux stratégiques des modalités génériques employées par l’auteure, ainsi que sur les mécanismes exploités par chaque narratrice dans le récit de son parcours identitaire. Nous proposons une approche théorique qui s’inspire de la thématique du « vécrire », néologisme emprunté au roman Salut Galarneau ! de Jacques Godbout. La narratrice du premier roman, De mémoire de femme, emploie le mot « vécrire » en réfléchissant à son projet d’écriture et si la narratrice exprime le même désir que le personnage de Jacques Godbout, celui d’entremêler la vie et l’écriture, il y a encore plus. Chez elle, « vécrire » est intimement lié à l’énonciation de la quête de sens de ses protagonistes féminins, un parcours narratif à visées éthiques et esthétiques. Il s’agit d’un processus complexe qui exige un cadre théorique à trois dimensions, alimenté d’écrits dans plusieurs domaines. La première dimension du cadre théorique porte sur la construction identitaire, la deuxième dimension, sur la dynamique mémorielle et figurative du « vivre » et de l’« écrire » et la troisième dimension, sur la question générique. La thèse comporte un premier chapitre consacré aux enjeux théoriques. Le deuxième analyse De mémoire de femme et sert en quelque sorte de matrice esthétique et didactique, car il révèle les éléments fondamentaux du « vécrire » qui traversent tout le corpus. Les troisième, quatrième et cinquième chapitres portent respectivement sur L’Homme-papier, La soupe et Parallèles. La quête scripturaire de chaque narratrice soulève des questions intéressantes quant à la confusion des sphères du référentiel et de l’imaginaire qui peut s’opérer selon la volonté de l’écrivaine – dans les termes de Jacques Godbout, par le mensonge – ou à d’autres moments, par le mécanisme du refoulement ou le jeu entre la mémoire et l’oubli. Dans la conclusion, nous abordons brièvement deux romans récents de Marguerite Andersen, pour dégager la cohérence de son projet d’écriture. Enfin, notre réflexion portera sur la façon dont ces textes participent au mouvement littéraire francophone, à l’écriture au féminin et à la littérature franco-ontarienne.
104

Le « vécrire » dans l’œuvre romanesque de Marguerite Andersen

Tennier-Gigliotti, Julie Corine Elizabeth 02 April 2014 (has links)
L’intérêt des romans de Marguerite Andersen repose sur les enjeux stratégiques des modalités génériques employées par l’auteure, ainsi que sur les mécanismes exploités par chaque narratrice dans le récit de son parcours identitaire. Nous proposons une approche théorique qui s’inspire de la thématique du « vécrire », néologisme emprunté au roman Salut Galarneau ! de Jacques Godbout. La narratrice du premier roman, De mémoire de femme, emploie le mot « vécrire » en réfléchissant à son projet d’écriture et si la narratrice exprime le même désir que le personnage de Jacques Godbout, celui d’entremêler la vie et l’écriture, il y a encore plus. Chez elle, « vécrire » est intimement lié à l’énonciation de la quête de sens de ses protagonistes féminins, un parcours narratif à visées éthiques et esthétiques. Il s’agit d’un processus complexe qui exige un cadre théorique à trois dimensions, alimenté d’écrits dans plusieurs domaines. La première dimension du cadre théorique porte sur la construction identitaire, la deuxième dimension, sur la dynamique mémorielle et figurative du « vivre » et de l’« écrire » et la troisième dimension, sur la question générique. La thèse comporte un premier chapitre consacré aux enjeux théoriques. Le deuxième analyse De mémoire de femme et sert en quelque sorte de matrice esthétique et didactique, car il révèle les éléments fondamentaux du « vécrire » qui traversent tout le corpus. Les troisième, quatrième et cinquième chapitres portent respectivement sur L’Homme-papier, La soupe et Parallèles. La quête scripturaire de chaque narratrice soulève des questions intéressantes quant à la confusion des sphères du référentiel et de l’imaginaire qui peut s’opérer selon la volonté de l’écrivaine – dans les termes de Jacques Godbout, par le mensonge – ou à d’autres moments, par le mécanisme du refoulement ou le jeu entre la mémoire et l’oubli. Dans la conclusion, nous abordons brièvement deux romans récents de Marguerite Andersen, pour dégager la cohérence de son projet d’écriture. Enfin, notre réflexion portera sur la façon dont ces textes participent au mouvement littéraire francophone, à l’écriture au féminin et à la littérature franco-ontarienne.
105

Le Québec en autoreprésentation : le passage d'une dramaturgie de l'identitaire à celle de l'individu

Leroux, Patrick 12 March 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse trace et interroge le passage qui s'est opéré au cours des quarante dernières années dans la dramaturgie québécoise, soit le passage d'une écriture de l'identitaire à celle de l'individu. La lecture privilégiée sera de l'ordre de la sociocritique du texte dramatique et elle permettra d'identifier les stratégies discursives et poétiques autoréflexives d'une pratique théâtrale qui puise ses tropes aux littératures de l'intime. Ainsi, les pièces à caractère biographiques et les relectures historiques sont étudiées au même titre que celles qui se revendiquent de l'autobiographie, de l'autofiction et de l'autoreprésentation. Ces dernières caractérisent la production théâtrale québécoise récente. Après avoir été résolument politique et axée sur la langue, la dramaturgie québécoise, longtemps considérée écriture-miroir d'un peuple dont la nation est en perpétuel devenir, aujourd'hui s'intéresse d'abord à elle-même, à sa littérarisation, voire à ses praticiens préoccupés par la place qu'ils occupent dans un milieu plus exiguë, plus marginalisé dans l'ensemble de la société québécoise. Le devenir sociétal a-t-il été substitué par la préoccupation du devenir individuel, non pas comme exemplum, mais comme manifestation d'un sentiment d'unicité? La thèse examine l'émergence d'une dramaturgie tributaire des pratiques autographiques de ses praticiens. Le discours théâtral est à nouveau en accord avec le discours social, sauf que cette fois, le reflet que renvoie le miroir est celui d'une société d'individus préoccupés par leur propre devenir.
106

Le je(u) de l'écriture et l'enjeu autofictionnel dans La naissance du jour, de Colette

Damaceno, Taiane Meirelles January 2016 (has links)
Le présent mémoire a pour but de procéder à une étude de l’oeuvre La Naissance du Jour, de Colette, parue en 1928. Pour atteindre cet objectif, un parcours de trois chapitres a été proposé. D’abord, les données biographiques et bibliographiques sont mises en évidence, lors du premier chapitre. Dans le second chapitre, l’analyse de l’oeuvre é réalisée, à la lumière de ses composants, ses thèmes et ses éléments fondamentaux. Les réflexions principales éveillées lors de la lecture de l’oeuvre sont exposées dans le dernier chapitre. Les observations originaires de l’appréhension de ce parcours d’analyse tiennent à montrer que La Naissance du Jour suscite une discussion notable sur le « réel » et le « fictionnel » à travers la confrontation des genres autobiographique et autofictionnel et le traitement spécifique de la catégorie espace-temps. D’après les différentes conceptions d’écriture dégagées de l’oeuvre colettienne, nous arrivons à comprendre l’acte d’écrire chez Colette comme un jeu de sensations et de sens où le sujet, le « je », est immergé dans un miroir de langage, par lequel il se (re)construit. / Esta dissertação tem por objetivo proceder ao estudo da obra La Naissance du Jour, de Colette, publicada em 1928. Para tanto, foi proposto um percurso de três capítulos. Primeiramente, os dados biográficos e bibliográficos são evidenciados no primeiro capítulo. No segundo capítulo, a análise da obra se faz, à luz de seus componentes, temas e elementos fundamentais. As principais reflexões despertadas durante a leitura da obra são apresentadas no último capítulo. As considerações originadas por este percurso de análise mostram que a obra suscita uma importante discussão sobre o “real” e o “ficcional”, por meio da confrontação dos gêneros autobiográfico e autoficcional e o tratamento específico da categoria espaço-tempo. De acordo com as diferentes concepções de escrita obtidas na obra de Colette, nós podemos chegar à compreensão do ato de escrever como um jogo de sensações e de sentidos em que o sujeito, “eu”, permanece imerso em um espelho de linguagem, pelo qual ele se (re)constrói.
107

Le je(u) de l'écriture et l'enjeu autofictionnel dans La naissance du jour, de Colette

Damaceno, Taiane Meirelles January 2016 (has links)
Le présent mémoire a pour but de procéder à une étude de l’oeuvre La Naissance du Jour, de Colette, parue en 1928. Pour atteindre cet objectif, un parcours de trois chapitres a été proposé. D’abord, les données biographiques et bibliographiques sont mises en évidence, lors du premier chapitre. Dans le second chapitre, l’analyse de l’oeuvre é réalisée, à la lumière de ses composants, ses thèmes et ses éléments fondamentaux. Les réflexions principales éveillées lors de la lecture de l’oeuvre sont exposées dans le dernier chapitre. Les observations originaires de l’appréhension de ce parcours d’analyse tiennent à montrer que La Naissance du Jour suscite une discussion notable sur le « réel » et le « fictionnel » à travers la confrontation des genres autobiographique et autofictionnel et le traitement spécifique de la catégorie espace-temps. D’après les différentes conceptions d’écriture dégagées de l’oeuvre colettienne, nous arrivons à comprendre l’acte d’écrire chez Colette comme un jeu de sensations et de sens où le sujet, le « je », est immergé dans un miroir de langage, par lequel il se (re)construit. / Esta dissertação tem por objetivo proceder ao estudo da obra La Naissance du Jour, de Colette, publicada em 1928. Para tanto, foi proposto um percurso de três capítulos. Primeiramente, os dados biográficos e bibliográficos são evidenciados no primeiro capítulo. No segundo capítulo, a análise da obra se faz, à luz de seus componentes, temas e elementos fundamentais. As principais reflexões despertadas durante a leitura da obra são apresentadas no último capítulo. As considerações originadas por este percurso de análise mostram que a obra suscita uma importante discussão sobre o “real” e o “ficcional”, por meio da confrontação dos gêneros autobiográfico e autoficcional e o tratamento específico da categoria espaço-tempo. De acordo com as diferentes concepções de escrita obtidas na obra de Colette, nós podemos chegar à compreensão do ato de escrever como um jogo de sensações e de sentidos em que o sujeito, “eu”, permanece imerso em um espelho de linguagem, pelo qual ele se (re)constrói.
108

Jogos de cena: ensaios sobre o documentário brasileiro contemporâneo

Ilana Feldman Marzochi 04 June 2012 (has links)
Ensaísmo, práticas confessionais, autoficção, performance de si, apropriação de imagens amadoras, valorização do processo e abertura da cena à sua não-realização, na forma da emergência do fracasso, são escolhas, projetos ou procedimentos estéticos empregados em um número crescente de filmes brasileiros, sobretudo aqueles tomados por documentais. Tais escolhas dialogam, criticamente ou não, com uma cultura audiovisual colonizada por estratégias que visam a uma permanente intensificação dos \"efeitos de real\": seja por meio da tentativa de apagamento da linguagem como construção e mediação (o que chamamos de \"apelo realista\"), seja por meio da exposição de uma suposta intimidade como lugar privilegiado, ou mesmo garantia, da verdade do sujeito (o que chamamos de \"hipertrofia da subjetividade\"). Na contramão dessa tendência e operando na indeterminação entre autenticidade e encenação, pessoa e personagem, público e privado, processo e obra, experiência e jogo, vida e performance, diversos documentários brasileiros contemporâneos, que constituem o foco de nosso interesse, têm investido na opacidade, na explicitação das mediações, na reposição da distância e na tensão entre as subjetividades e seus horizontes ficcionais - destilando dúvidas a respeito da imagem documental, colocando sob suspeita seus procedimentos ou produzindo suas próprias esquivas. Os filmes que constituem o nosso corpus - caso de Jogo de cena (Eduardo Coutinho, 2007), Santiago (João Moreira Salles, 2007), Pancinema permanente (Carlos Nader, 2008), Juízo (Maria Augusta Ramos, 2008), Filmefobia (Kiko Goifman, 2009), Moscou (Eduardo Coutinho, 2009), Sábado à noite (Ivo Lopes Araújo, 2007), O céu sobre os ombros (Sergio Borges, 2010), Pacific (Marcelo Pedroso, 2009), Rua de mão dupla (Cao Guimarães, 2004), Avenida Brasília Formosa (Gabriel Mascaro, 2010) e Viajo porque preciso, volto porque te amo (Marcelo Gomes e Karim Ainouz, 2009), além de diversos outros títulos, de longas e curtas-metragens, a eles relacionados - não são aqui vistos como meros sintomas de nossa época, nem como formas puramente autônomas dotadas de legitimidade artística. Organizados em quatro ensaios e articulados a outras manifestações da cultura, os filmes analisados tanto constituem diversos regimes de visibilidade (com seus correlatos modos de produção da subjetividade) como tensionam as formas estéticas e as forças culturais, políticas e sociais em jogo em nossa sociedade mediada pela imagem, onde o que se mobiliza e disputa é a própria vida ordinária (que sempre interessou ao documentário), contígua às dinâmicas do capital e indissociável de seus jogos de cena. / Filmic essays, confessional practices, autofiction, performance of the self, appropriation of amateur images, appreciation of the creative process and the openness of the scene to its non-closure assuming a sense of failure: these are all choices, projects or aesthetic procedures employed by a growing number of Brazilian films, especially those classified as documental. These choices dialogue, critically or not, with an audiovisual culture colonized by strategies that aim the constant intensification of \"reality effects\". These effects are achieved either by the attempt of erasing filmic language as a construction and as a mediation process (what we name \"realist appeal\"), or by means of exposing an alleged intimacy as the place of the subject\'s guaranteed truth (what we name \"subjectivity hypertrophy\"). Heading towards another direction, a number of Brazilian contemporary documentaries work within an undetermined zone between the authentic and the staged, the real subject and the fictional character, the public and the private sphere, the artistic process and the final work, the real experience and the invented game, life and performance. These films, which will be the main focus of our interest, invest in the opacity of meaning, in the self-evidence of the filmic mediations as well as the reenactment of distances and tensions between subjects and their fictional counterparts, raising questions about the status of the documental image and putting their own artistic procedures under scrutiny. The films chosen for our analysis - Playing (Eduardo Coutinho, 2007), Santiago (João Moreira Salles, 2007), Permanent Pancinema (Carlos Nader, 2008), Behave (Maria Augusta Ramos, 2008), Filmphobia (Kiko Goifman, 2009), Moscow (Eduardo Coutinho, 2009), Saturday night (Ivo Lopes Araújo, 2007), The sky above (Sergio Borges, 2010), Pacific (Marcelo Pedroso, 2009), Two way street (Cao Guimarães, 2004), Avenida Brasília Formosa (Gabriel Mascaro, 2010) e I travel because I have to, I come back because I Love you (Marcelo Gomes e Karim Ainouz, 2009) and many other short and feature films - are not seen as symptoms of our time neither as purely autonomous forms with artistic legitimacy. Organized in four essays, the films are analyzed in combination with other cultural manifestations creating different visibility regimes (each one with its own mode of subjectivation) and tensions within the aesthetic forms and the cultural forces - a political and social quarrel at play in our society permeated by images - in which the place of dispute is a theme that always interested documentarists: the ordinary life, always connected to the dynamics of capitalism and inseparable from its scenic games.
109

Confissão e autoficção na obra de Reinaldo Santos Neves

Martinelli Filho, Nelson 25 September 2012 (has links)
Made available in DSpace on 2016-12-23T14:34:10Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Nelson Martinelli Filho.pdf: 6828080 bytes, checksum: d8033304039c1cbe55060e8f39589aa1 (MD5) Previous issue date: 2012-09-25 / If in 19th and 20th centuries the notion of individual had been shaken by the thoughts of intellectuals like Friedrich Nietzsche, the image of the author has been continuously controlling literary works until the mid-1960s, when it also has suffered a process of decentralization, triggered by the texts of scholars like Roland Barthes and Michel Foucault. Nevertheless, nowadays the author comes back to the stage without its late oppressive presence: after some replacing and resizing, now he participates on the planning of the traps that deceive the reader with referrals to reality that are supposedly true and that mix themselves with fictional material. In autofiction, term coined by Serge Doubrovsky in 1970, the hypothetical boundaries between reality and fiction are erased and the impasse and indecision, even in the face of texts that are self-proclaimed autobiographies, do prevail. Although autofiction has its grounds in French theoretical thought, studies on this literary practice progress in the works of Brazilian authors, as it can be seen in the rising number of texts being published; courses being held; and of researchers taking the matter into account. In this sense, this dissertation proposes to adjust its focus to the work of Reinaldo Santos Neves in an attempt to grasp what lies beyond the coincidence of the name the author, narrator and character have, an intricate game that dim the boundaries between reality and fiction, suspending the beliefs that are pretentiously maintained in autobiographical accounts. In this way, the work of Reinaldo will be analyzed in order to identify how the author biographical data commingle with fictional elements, so that this imaginary other self cannot establish bounds with a solid and stable individual, but that it will nevertheless remain inside an unresolvable zone, where the traps hind the reader of leaning on any alleged truth / Se entre os séculos XIX e XX a noção de sujeito sofreu um abalo por meio de pensadores como Friedrich Nietzsche, a figura do autor continuou dominando as obras literárias pelo menos até a década de 1960, quando também passou por um processo de descentralização por conta de trabalhos de estudiosos como Roland Barthes e Michel Foucault. Hoje, porém, o autor volta à ribalta sem a presença opressiva de outrora: após um reposicionamento e um redimensionamento diante de sua obra, ele agora participa da elaboração de armadilhas que iludem o leitor com supostas referências à realidade que se misturam à matéria ficcional. Dentro da autoficção, prática nomeada por Serge Doubrovsky em 1970, as hipotéticas fronteiras entre o real e a ficção são apagadas, prevalecendo o impasse e a indecisão mesmo diante de textos que se autoproclamam autobiográficos. Embora a matriz teórica da autoficção seja francesa, avançam cada vez mais os estudos sobre essa prática na obra de autores brasileiros, como se nota no crescente número de publicações, cursos e pesquisadores que se lançam a estudar este assunto. Nesse sentido, a proposta desta dissertação é ajustar o foco para a obra de Reinaldo Santos Neves tentando enxergar, para muito além de uma simples coincidência entre o nome do autor, do narrador e do personagem, um elaborado jogo que obnubila as supostas fronteiras entre verdade e ficção, pondo em suspensão as certezas que pretensamente se tem em relatos autobiográficos convencionais. Dessa maneira, analisar-se-á ao longo da obra de Reinaldo como dados biográficos do autor se confundem com elementos ficcionais de modo que esse outro eu criado não consiga fincar raízes num sujeito sólido e estável, mas que permaneça dentro de uma zona do indecidível, onde as armadilhas impedem que o leitor se apoie em alguma suposta verdade
110

Raconter sa biculture pour dénoncer: le pouvoir transformateur de l'Art dans "Le Piano Oriental" et "Coquelicots d'Irak"

Scally, Lina 21 June 2023 (has links)
No description available.

Page generated in 0.0903 seconds