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Mise en voix de l'intime : étude de cinq solos de Marie Brassard

Fortin, Dominique 12 1900 (has links)
Ce mémoire se penche sur l’évolution des stratégies d’autoreprésentation et d’autofictionnalisation dans cinq solos de Marie Brassard entre 2000 et 2011 – Jimmy, créature de rêve, La noirceur, Peepshow, L’invisible et Moi qui me parle à moi-même dans le futur. L’objectif de cette étude est d’analyser comment les masques vocaux contribuent au dévoilement de soi et produisent de ce fait un sentiment d’intimité malgré l’alternance des effets d’identification et de distanciation qu’ils suscitent. Le premier chapitre montre que, par l’ouverture du moi sur le monde au fil des créations, les protagonistes parviennent bientôt à dire « je » sans avoir la consistance d’un personnage, alors que le moi de l’archiénonciatrice se dilate grâce à la perméabilité et aux permutations continuelles des thèmes, des motifs et des personnages. Le second chapitre analyse le décloisonnement spatial qui affecte la scène et la salle comme la performeuse et ses collaborateurs dans l’établissement d’un véritable dialogisme. À partir de l’étude du corps en scène, le dernier chapitre examine les effets du décloisonnement textuel et spatial, et montre que la mise en évidence du triple rôle endossé par Brassard – auteure, actrice et agenceure scénique – oblige à reconsidérer la nature du corps qui s’offre au regard durant la représentation, en invitant le spectateur à s’investir dans le jeu scénique au-delà des évidences. / This dissertation focuses on the development of the strategies of self-representation and autofictionnalisation in five one-woman shows by Marie Brassard between 2000 and 2011 – Jimmy, creature de reve, The Darkness, Peepshow, The Invisible and Me Talking to Myself in the Future. The objective of this study is to analyze the way vocal masks contribute to self-disclosure and thereby produce a feeling of intimacy despite the alternating effects of identification and alienation they engender. The first chapter shows that by opening the “me” to the world through creations, the protagonists soon come to say “I” without having the consistency of a character, while the “me” of the archienonciator expands through continual permeability and permutations of themes, motives and characters. The second chapter analyzes the deregulation affecting the space stage and the audience as well as the performer and her collaborators in the establishment of a genuine dialogism. With the study of the body on stage as its starting point, the last chapter examines the effects of spatial and textual decompartmentalization and shows that the display of the triple role endorsed by Brassard – author, actress and scenic organizer – forces us to reconsider the nature of the body that offers itself to the audience during the performance, inviting the audience member to invest himself in stagecraft beyond what is obvious.
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L'intergénéricité dans « L'énigme du retour » de Dany Laferrière

Beauregard, Martin 03 1900 (has links)
No description available.
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Problematique de l'identite Juive dans des oevres choises de Patrick Modiano / Issue of Jewish identity in selected works of Patrick Modiano

Isaacs, Carole Ann 01 1900 (has links)
Towards the end of the 1960s in France we witness the awakening of the memory of the Holocaust and the Occupation which coincides with the publication of Patrick Modiano’s first novel, La place de l’étoile. It is from this time that Jewish memory of the Holocaust begins to surface and we see the emergence of a literature of the post-Holocaust generation. Modiano belongs to this generation that, being deprived of a personal memory of the Holocaust, turns to this period in a quest for roots and identity. Like his Jewish colleagues, Modiano struggles to come to terms with a past that he has not experienced and an absence of memory. This dissertation analyses Modiano’s use of the period of the Holocaust as signifier of Jewish identity in four of his novels in order to highlight the role of the issue of Jewish identity in the construction of a textual identity / Vers la fin des années 60 on voit en France le réveil de la mémoire de la Shoah et de l’Occupation qui coïncide avec la publication du premier roman de Patrick Modiano, La place de l’étoile. C’est à partir de cette époque que la mémoire juive de la Shoah va pouvoir se faire entendre et qu’on constate l’émergence d’une littérature de la génération d’après la Shoah. Modiano appartient à cette génération qui, étant dépourvue d’une mémoire personnelle de la Shoah, se tourne vers cette période dans une quête de racines et d’identité. Comme ses confrères juifs, Modiano a du mal à se réconcilier avec un passé qu’il n’a pas vécu et une absence de mémoire. Cette étude examine de près le recours de Modiano aux années de la Shoah en tant que signifiant de l’identité juive dans quatre ouvrages afin de mettre en exergue le rôle de la problématique de l’identité juive dans la construction d’une identité textuelle chez cet écrivain / Linguistics and Modern Languages / M. A. (French)
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Infinitivamente pessoal: a autoficção de Caio Fernando Abreu, \'O biógrafo da emoção\' / Infinitivamente pessoal: the autofiction of Caio Fernando Abreu, the \"bigrapher of emotion\"

Nelson Luis Barbosa 08 May 2009 (has links)
Este trabalho tem como objetivo estudar a escrita autoficcional de Caio Fernando Abreu (1948-1996) segundo as concepções, respectivamente, dos teóricos franceses Serge Doubrovsky e Vincent Colonna, destacando-a e diferenciando-a de uma escrita pretensamente autobiográfica, segundo a concepção do também francês Philippe Lejeune. Se para Doubrovsky a escrita autoficcional é identificável pela condição do homonimato entre autor-narrador-personagem, para Colonna tal condição não se faz necessária para a identificação dessa escrita. Desse modo, no caso da autoficção segundo Colonna, para identificação da autoficção de Caio F., propõe-se o critério da sobreposição de textos com base nos paratextos genettianos. Procura-se, assim, estabelecer as bases diferenciais de uma escrita autoficcional que congrega em sua estrutura fatos reais e ficcionais elaborados pela linguagem, em contraposição a uma escrita dita autobiográfica baseada num pretenso pacto de verdade, entendendo ser a autoficção a forma de escrita amplamente praticada por Caio F. Para demonstração dessa escrita autoficcional, promove-se a análise e interpretação de textos significativos de Caio F., neles identificando as estruturas que os tornam autênticas autoficções. / This work aims to study the autofictional writings of Caio Fernando Abreu (1948-1996) according to the French scholars Serge Doubrovsky and Vincent Colonna, emphasizing and differentiating it from a supposedly autobiographic writing and also according to Philippe Lejeune. If, according to Doubrovsky, autofictional writing is recognizable by the requisite of homonimity author-narrator-character, to Colonna such requirement is not necessary. According to the latter, to identify Caio F.s autofiction, one must adopt the criteria of superposition of texts, based on Genets concept of paratext. Therefore, our goal is to establish the differential basis of an autofictional writing which creates in its structures of real and fictional facts elaborated by the language, as opposed to a writing considered autobiographic based on a intended pact of truth. Consequently, autofiction is the way of writing widely practiced by Caio F. In order to demonstrate this autofictional writing, we analyse and interprete Caios most important texts, identifying in them the structures that make them genuine autofictions.
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La vulnérabilité au cœur de l’œuvre d’Aglaja Veteranyi : réflexions et expérimentations autour d’une œuvre et de sa traduction vers le français québécois

Ouimet, Gabrielle 07 1900 (has links)
Le présent mémoire de type recherche-création a comme objectif de se pencher sur les lieux de manifestation de la vulnérabilité linguistique dans les œuvres de l’autrice d’expression allemande Aglaja Veteranyi (1962-2002), dont la singularité linguistique découle d’une jeunesse analphabète et apatride. Dans un premier temps, nous cernerons le caractère composite de la vulnérabilité telle que définie dans les recherches en sciences sociales et en littérature, après quoi nous en observerons les manifestations dans le vécu de l’autrice, puis dans ses œuvres. Nous proposons de parcourir son œuvre selon une trajectoire non linéaire, afin d’y repérer les manifestations de la vulnérabilité et de faire une relecture positive de la notion en contextes littéraires. À partir d’un corpus composé de quatre œuvres littéraires et de documents d’archives, nous dresserons un portrait des manifestations de la vulnérabilité dans les œuvres de Veteranyi au regard 1) des thématiques 2) de la structure narrative 3) de la voix narrative et 4) de l’expression plurilingue. La situation du français québécois au sein de la francophonie témoigne elle aussi d’une vulnérabilité sur le plan linguistique. Nous proposons de faire dialoguer les deux vulnérabilités afin d’observer le lieu d’inspiration qu’elles constituent dans l’écriture créative. Pour ce faire, nous proposons, dans la partie création du travail, la traduction d’un extrait du roman Das Regal der letzten Atemzüge de l’allemand vers le français québécois, en vue de créer un dialogue de type expérimental inspiré de la posture de recherche du « vulnerable writing » (Page, 2017). / This research-creation thesis focuses on the expression of linguistic vulnerability observed in the work of Aglaja Veteranyi (1962-2002), a Swiss German-Speaking author marked by an illiterate youth and a long period of statelessness. The first research part aims to identify the composite nature of vulnerability as defined in social science and literature research. Then, we will observe how it manifests itself in the biographical experiences of the author. Finally, we will analyze the reflection of vulnerability in the selected works. We propose to explore Aglaja Veteranyi's literary work according to a non-linear trajectory, in order to trace the apparitions of vulnerability. Based on a corpus composed of four literary works and archival documents, we will draw a portrait of the vulnerability in Veteranyi's work with regard to 1) the themes 2) the narrative structure 3) the narrative voice and 4) the multilingual expression. The situation of Quebec French within the Francophonie also reflects a linguistic vulnerability. We propose to bring the two vulnerabilities into dialogue in order to observe the source of inspiration they constitute in creative writing. To do this, we attempt, in the creation part of the thesis, the translation of an excerpt from the novel Das Regal der letzten Atemzüge from German into Quebec French, in order to create an experimental dialogue inspired by the research posture of “vulnerable writing” (Page, 2017).
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Existences entre-deux : s’imaginer un futur au-delà de la binarité. Une exploration de l’identité queer, de la langue et de la liminalité. / States of In-Between: Imagining a Future Beyond Binaries. An Exploration of Queerness, Language, and Liminality.

Gauthier, Elyse 16 November 2023 (has links)
This research project explores two particular approaches to playwriting, autofiction and collective creation, in order to examine how the dramaturgical process can be “queered” through combining methods of creation in unconventional ways. The thematic content of the resulting theatrical text focuses on the intersection of queer/trans identities and bilingualism, specifically through a Franco-Canadian lens, as well as the notions of utopias and futurities in queer contexts. By employing these two methodologies simultaneously and blurring the lines between the individual and the collective, the texts developed through group writing sessions explore the inherent liminality of queer/trans bilingual identities, both in time and in space. To be queer, non-binary and bilingual is to embody duality, disrupt binaries, and exist in grey areas; this same liminal space is central to my exercise both in process and in content. Thus, the object of this study is queer dramaturgy itself, or in other words, the process of writing “queerly,” not just about queerness. The combination of methodologies transgresses the boundaries of the conventional dramaturgical process and aligns itself with queer Practice as Research theories, proposing approaches to playwriting that “are set against the dominant modes of representation and are shaped through forms that are on the fringe and boundaries of disciplines” (Campbell and Farrier, Queer Dramaturgies, p. 7). This project also investigates what trans and non-binary identity means within Franco-Canadian communities, and the relationship between language and gender identity. Furthermore, notions of queer temporality play an important role in the project, given the complex and often conflicting investments that both queer and Franco-Canadian communities have in history and futurity. Through an analysis of Mani Soleymanlou’s works Un. Deux. Trois. and 2042 as case studies of autofictional theatre, collective creation, and utopian performance, as well as the results from a series of writing sessions conducted with multilingual non-binary and trans participants, this research project aims to shed light on these fascinating intersections of identity and process that have thus far rarely been explored. /// Ce projet de recherche explore deux approches dramaturgiques distinctes, soit l'autofiction et la création collective, afin d'examiner comment le processus dramaturgique peut devenir « queer » en combinant des méthodes de création de manière non conventionnelle. Le contenu thématique du texte théâtral qui en résulte se concentre sur l'intersection des identités queer/trans et du bilinguisme, tout particulièrement dans une perspective franco-canadienne, ainsi que sur les notions d’utopies et de futurs possibles dans des contextes queers. En employant ces deux méthodologies simultanément et en brouillant les lignes entre l'individu et le collectif, les textes développés lors des sessions d'écriture de groupe explorent la liminalité inhérente aux identités bilingues queer/trans, à la fois dans le temps et dans l'espace. Être queer, non-binaire et bilingue, c'est incarner la dualité, remettre en question la binarité et exister dans des zones grises. C’est justement cet espace liminal qui est au cœur de mon projet de recherche, à la fois dans le processus et dans le contenu. Ainsi, l'objet de cette étude est la dramaturgie queer comme telle, ou, en d'autres mots, comment on peut créer d’une manière « queer » en plus d’écrire sur un propos queer. La combinaison des méthodologies transgresse les frontières du processus dramaturgique conventionnel et s'aligne sur les théories de la recherche-création queer (Queer Practice as Research), proposant des approches à la dramaturgie « set against the dominant modes of representation and are shaped through forms that are on the fringe and boundaries of disciplines » (Campbell et Farrier, Queer Dramaturgies, p. 7). Ce projet examine également les notions d'identité trans et non-binaire au sein des communautés franco-canadiennes, ainsi que la relation entre la langue et l'identité de genre. De plus, les notions de temporalité queer jouent un rôle important dans le projet, étant donné les investissements complexes et souvent conflictuels que les communautés queer et franco-canadiennes ont par rapport à l'histoire et à l’avenir. À travers une analyse d’œuvres mises en scène par Mani Soleymanlou (Un. Deux. Trois. et 2042) comme études de cas de théâtre autofictionnel, de création collective et de performance utopique, ainsi que les résultats d'une série de séances d'écriture menées avec des participant∙e∙s plurilingues non-binaires et trans, ce projet de recherche vise à mettre en lumière ces intersections fascinantes de l'identité et des processus créatifs qui ont jusqu'à présent été rarement explorées.
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L’écriture du trauma dans Le Voyage dans l’Est de Christine Angot, suivi de Reprise

Chadronnet, Florence 07 1900 (has links)
Mémoire en recherche-création / Notre recherche s’intéresse aux moyens par lesquels la fictionnalisation du vécu, dans le roman autofictionnel Le Voyage dans l’Est de Christine Angot, permet d’approcher le réel et de dire l’indicible. La métatextualité apparaît comme un moyen important, mettant en évidence la fidélité à l’expérience revendiquée – et donc l’écart vis-à-vis du témoignage littéraire et judiciaire. En outre, l’éthos de l’écrivaine oscille entre l’apparente authenticité et l’incertitude délibérée, une stratégie alternant entre la révélation et la dissimulation du trauma. Enfin, la répétition représente une stratégie narrative et stylistique structurante pour l’ensemble du texte. Au bout du compte, l’expérience de la répétition – avec les nombreuses variations (ou stratégies) étudiées dans notre essai – des événements que constitue fondamentalement la narration du Voyage dans l’Est mène à leur resignification autant qu’à l’agentivité de l’auteure. C’est cette idée de la répétition, à la fois comme moyen d’écrire le trauma (puisque composante essentielle de ce dernier) et comme moyen de le dépasser, qu’explore particulièrement notre création. S’éloignant de l’autofiction, le roman s’ancre néanmoins dans le réel par un intertexte juridique dialoguant avec l’histoire de la protagoniste (elle-même avocate). Deux relations symétriques, séparées par dix ans – et un processus judiciaire –, sont développées : la première – qui a entraîné le dépôt d’accusations –, à l’adolescence, avec un professeur; la seconde, avec l’avocat qui a agi comme poursuivant dans le dossier. L’usage combiné du « je » (narratrice autodiégétique) et des pronoms « tu » et « il » (désignant respectivement l’enseignant et le procureur) évoque, en le subvertissant, le triangle amoureux. Sous forme de fragments, les événements traumatiques sont progressivement reconstitués, à travers la seconde relation, qui s’écarte de la première par des différences croissantes, et qui permet ultimement à la protagoniste de s’en détacher. / Our research focuses on the means by which the fictionalization of lived experience, in Christine Angot's autofictional novel Le Voyage dans l’Est, makes it possible to approach reality and to say the unspeakable. Metatextuality appears as an important means, highlighting the claimed fidelity to experience – and therefore the deviation from literary and court testimony. Furthermore, the author's ethos oscillates between apparent authenticity and deliberate uncertainty, a strategy that alternates between revealing and concealing trauma. Lastly, repetition represents a structuring narrative and stylistic strategy for the entire text. Ultimately, the experience of repetition – with the many variations (or strategies) explored in our essay – of the events that the narration of Le Voyage dans l’Est fundamentally constitutes leads to their resignification as well as to the agency of the author. It is this idea of repetition, both as a means of writing trauma (since it is an essential component) and as a means of going beyond it, that our creation particularly explores. Moving away from autofiction, the novel nevertheless grounds itself in reality through a legal intertext dialoguing with the story of the protagonist (herself a lawyer). Two symmetrical relationships, separated by ten years – and a judicial process – are developed : the first – which led to the laying of charges –, in adolescence, with a teacher; the second, with the lawyer who acted as prosecutor in the case. The combined use of the "I" (autodiegetic narrator) and the pronouns "you" and "he" (respectively designating the teacher and the prosecutor) evokes, while subverting it, the love triangle. In the form of fragments, the traumatic events are gradually reconstituted, through the second relationship, which diverges from the first through increasing differences, and which ultimately allows the protagonist to detach herself from it.
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Les prisonniers de l'oeil et de la conscience

Mandia, Valérie 23 August 2012 (has links)
Le premier volet de cette thèse en création littéraire, un récit, s’appuie sur une logique orientée à bâtir des passerelles là où c’est possible, et à mettre à plat les disciplines artistiques afin d’en révéler les limites. Cette difficulté particulière au coeur de la thèse met en place des stratégies d’hybridité susceptibles de renforcer l’intensité artistique inhérente à chaque discipline. Intitulé Décorps, le récit devenu ainsi hybride opère donc un rapport de synergie plastico-textuelle. Plus précisément, ce récit, à la frontière entre l’image et les mots, présente une narratrice, Valérie M., dont la voie/voix aboutit à une démarche non conventionnelle ouvrant un espace agonistique entre deux paroles artistiques, entre le même et l’autre, et entre le réel et la fiction. Le deuxième volet de cette thèse en création littéraire, une réflexion au sujet de l’entreprise artistico-littéraire, compte trois chapitres expliquant les raisons sous-jacentes au travail de création hybride. Pour ce faire, le premier chapitre examine les difficultés auxquelles doit faire face l’auteur-artiste dans un monde opaque. L’hybridité s’y découvre comme un outil herméneutique capable parfois d’introduire un minimum de sens dans un univers promis au chaos. Le deuxième chapitre explore pour sa part le métissage générique à partir de la notion d’autofiction à laquelle participe en partie Décorps. Il s’interroge sur les limites et la portée de ce type de représentation littéraire. Enfin, le troisième chapitre consiste en un retour sur Décorps en vue de comprendre ses processus d’hybridation et les tensions survenues au cours de la démarche artisticolittéraire. Ce dernier chapitre se penche sur le langage confronté à ses limites, touchant une forme de mort, de nécrose, là où il n’a plus de prise.
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Les prisonniers de l'oeil et de la conscience

Mandia, Valérie 23 August 2012 (has links)
Le premier volet de cette thèse en création littéraire, un récit, s’appuie sur une logique orientée à bâtir des passerelles là où c’est possible, et à mettre à plat les disciplines artistiques afin d’en révéler les limites. Cette difficulté particulière au coeur de la thèse met en place des stratégies d’hybridité susceptibles de renforcer l’intensité artistique inhérente à chaque discipline. Intitulé Décorps, le récit devenu ainsi hybride opère donc un rapport de synergie plastico-textuelle. Plus précisément, ce récit, à la frontière entre l’image et les mots, présente une narratrice, Valérie M., dont la voie/voix aboutit à une démarche non conventionnelle ouvrant un espace agonistique entre deux paroles artistiques, entre le même et l’autre, et entre le réel et la fiction. Le deuxième volet de cette thèse en création littéraire, une réflexion au sujet de l’entreprise artistico-littéraire, compte trois chapitres expliquant les raisons sous-jacentes au travail de création hybride. Pour ce faire, le premier chapitre examine les difficultés auxquelles doit faire face l’auteur-artiste dans un monde opaque. L’hybridité s’y découvre comme un outil herméneutique capable parfois d’introduire un minimum de sens dans un univers promis au chaos. Le deuxième chapitre explore pour sa part le métissage générique à partir de la notion d’autofiction à laquelle participe en partie Décorps. Il s’interroge sur les limites et la portée de ce type de représentation littéraire. Enfin, le troisième chapitre consiste en un retour sur Décorps en vue de comprendre ses processus d’hybridation et les tensions survenues au cours de la démarche artisticolittéraire. Ce dernier chapitre se penche sur le langage confronté à ses limites, touchant une forme de mort, de nécrose, là où il n’a plus de prise.
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Les prisonniers de l'oeil et de la conscience

Mandia, Valérie January 2012 (has links)
Le premier volet de cette thèse en création littéraire, un récit, s’appuie sur une logique orientée à bâtir des passerelles là où c’est possible, et à mettre à plat les disciplines artistiques afin d’en révéler les limites. Cette difficulté particulière au coeur de la thèse met en place des stratégies d’hybridité susceptibles de renforcer l’intensité artistique inhérente à chaque discipline. Intitulé Décorps, le récit devenu ainsi hybride opère donc un rapport de synergie plastico-textuelle. Plus précisément, ce récit, à la frontière entre l’image et les mots, présente une narratrice, Valérie M., dont la voie/voix aboutit à une démarche non conventionnelle ouvrant un espace agonistique entre deux paroles artistiques, entre le même et l’autre, et entre le réel et la fiction. Le deuxième volet de cette thèse en création littéraire, une réflexion au sujet de l’entreprise artistico-littéraire, compte trois chapitres expliquant les raisons sous-jacentes au travail de création hybride. Pour ce faire, le premier chapitre examine les difficultés auxquelles doit faire face l’auteur-artiste dans un monde opaque. L’hybridité s’y découvre comme un outil herméneutique capable parfois d’introduire un minimum de sens dans un univers promis au chaos. Le deuxième chapitre explore pour sa part le métissage générique à partir de la notion d’autofiction à laquelle participe en partie Décorps. Il s’interroge sur les limites et la portée de ce type de représentation littéraire. Enfin, le troisième chapitre consiste en un retour sur Décorps en vue de comprendre ses processus d’hybridation et les tensions survenues au cours de la démarche artisticolittéraire. Ce dernier chapitre se penche sur le langage confronté à ses limites, touchant une forme de mort, de nécrose, là où il n’a plus de prise.

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