• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 21
  • 4
  • 2
  • Tagged with
  • 39
  • 39
  • 23
  • 16
  • 11
  • 11
  • 10
  • 8
  • 8
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

L'intervention de la Banque Mondiale et la reconfiguration institutionnelle au niveau local : analyse de huit projets de développement urbain au Sénégal (1972-2006)

Ndongo, Mebometa January 2010 (has links) (PDF)
Notre thèse s'intitule L'intervention de la Banque Mondiale et la reconfiguration institutionnelle au niveau local: analyse de huit projets de développement urbain au Sénégal (1972-2006). Elle a pour problématique la dynamique des projets de développement urbain, c'est-à-dire leur origine, leur opérationnalisation et leur évolution. L'absence d'une structure interprétative de cette réalité entretient un manque de connaissance et de compréhension sur l'évolution de ces projets et sur les logiques à l'oeuvre dans leur interaction. Pourtant quelques travaux s'y sont attardés, mais sans trop s'intéresser aux facteurs explicatifs ni à leurs effets sur les institutions locales. Notre objectif est alors double. D'abord, décrire les différents projets mis en oeuvre dans un pays spécifique pour en reconstruire l'évolution. Ensuite, expliquer la logique dans laquelle s'insèrent ces projets. Pour parvenir à cette fin, nous avons retenu huit projets que la Banque Mondiale a mis en oeuvre au Sénégal entre 1972 et 2006. Ces huit projets ont été retenus en raison de la richesse documentaire existante à leur égard et à cause de leur statut de cas pilotes, à partir desquels la Banque devait généraliser son approche à d'autres pays africains. La thèse est donc une étude approfondie de la dynamique sous-jacente à la stratégie de développement urbain de la Banque au Sénégal et une analyse détaillée des différents projets afin d'expliquer les facteurs déterminants de cette dynamique. Elle n'est donc pas une évaluation de l'expérience de la Banque Mondiale au Sénégal. La méthodologie utilisée consiste en l'analyse de documents factuels produits par la Banque Mondiale, en l'examen de la littérature scientifique et technique associée aux projets retenus et en la réalisation d'une consultation auprès de vingt personnes ressources. La thèse jette un regard interdisciplinaire, propre aux études urbaines, et se situe dans le champ d'analyse et d'évaluation des politiques de développement urbain. Notre perspective est exploratoire et inductive. Notre analyse s'insère dans l'axe de recherche transversal des phénomènes urbains dans le développement international inscrit dans le programme conjoint offert par l'INRS et l'UQAM. La perspective retenue correspond à trois postulats basés sur un questionnement normatif, méthodique et théorique. Cela situe la thèse à la frontière d'une analyse empirique, d'une démarche rationnelle et d'un regard théorique. Après avoir retenu le contexte, les objectifs, les stratégies opératoires, la gestion et le bilan comme des variables d'analyse, nous avons choisi un cadre conceptuel triangulaire qui fait appel à l'environnement structurel, à l'apprentissage opérationnel et à la gouvernabilité. Notre recension des écrits révèle que le recours à ces concepts peut être une contribution utile. Ainsi leur juxtaposition représente des points de repères à partir desquels nos hypothèses de recherche sont avancées dans le cadre d'une démarche qui se veut cependant plutôt inductive. La description des projets retenus permet de reconstruire leur évolution en cinq phases interactives, centrées sur la priorité physicospatiale, la priorité politicoinstitutionnelle, la priorité de la productivité urbaine, la priorité municipale et de la décentralisation, et la priorité de l'investissement et de l'ajustement municipal. Ces phases sont déterminées par des forces structurelles, dont la normativité resurgit ou se réactualise grâce aux concepts du réseau des savoirs, la principale référence étant la gouvernance urbaine locale flexible à travers les niveaux, les échelles et les agents. Ceci converge avec la détermination des normes environnementales auxquelles les phases sont subordonnées. L'analyse des projets est bâtie autour de variables permettant de circonscrire les déterminants environnementaux, de considérer la méthode rationnelle de l'apprentissage et de raffiner la théorie de la gouvernabilité. Finalement, la thèse privilégie la convergence environnement / apprentissage / gouvernabilité. Base de normes, espace de déclencheurs d'apprentissage et source de problèmes (à résoudre par les politiques prioritaires et les solutions construites), le contexte d'un projet de développement urbain s'en trouve valorisé par la gestion, le bilan, les objectifs et les stratégies opératoires dans l'interprétation de sa dynamique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Développement urbain, Banque Mondiale, Sénégal, Afrique subsaharienne, Environnement structurel, Gouvernance flexible, Apprentissage opérationnel, Institutionnalité locale, Gouvernabilité programmée.
12

The IMF, the World bank group, and the question of human rights /

Ghazi Shariat Panahi, Bahram. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Science politique--Genève--Institut universitaire de hautes études internationales, 2004. / Bibliogr. p. 313-372.
13

Décentralisation et corruption : une étude de cas

Meier, Alexsander 02 1900 (has links) (PDF)
Est-ce que la décentralisation peut améliorer la gouvernance publique en défavorisant la corruption? Au début des années 1990, de nombreux organismes internationaux lancent des programmes anti-corruption qui incluent des politiques de décentralisation. Dans ce mémoire, nous cherchons à évaluer si une politique plus décentralisatrice ou centralisatrice a des effets sur la corruption aux États-Unis entre 1977-2006 en utilisant des séries chronologiques et des régressions en panel afin d'étudier la variation entre états américains. Une analyse similaire a été faite par Fisman et Gatti (2002) qui montrent que des transferts fédéraux plus élevés sont associés à une hausse de la corruption aux États-Unis entre 1976-1987. Les évidences empiriques qui analysent des données de panel de plusieurs pays ne sont pas univoques. Nos résultats concordent avec la littérature dans la mesure où le degré de centralisation est fortement et significativement corrélé à une hausse de la corruption lorsque nous étudions la période 1977-1987 alors que, depuis le début des années 1990, une tendance inverse est remarquée. Même si la décentralisation améliore certainement la performance du gouvernement, en donnant plus d'autorité et de responsabilité à des gouvernements locaux, elle ne contribue pas toujours à contrôler positivement la corruption. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : corruption, abus de pouvoir, décentralisation fiscale, transferts fédéraux, gouvernance publique, Banque mondiale, États-Unis
14

Les relations entre l’Organisation Mondiale du Commerce et les autres organisations internationales / The relations between the World Trade Organization and the other international organizations

Moutier-Lopet, Anaïs 10 November 2012 (has links)
Si les fonctions principales de l’OMC sont de servir de cadre aux négociations commerciales et de faire respecter les règles commerciales multilatérales qui ont été négociées, figure parmi les nouvelles missions de l’OMC l’obligation de coopérer « (e)n vue de rendre plus cohérente l'élaboration des politiques économiques au niveau mondial ». En réalité, l’interdépendance du mandat de l’OMC avec d’autres organisations internationales est beaucoup plus large et imprègne une grande partie des accords négociés lors de l’Uruguay Round. La mondialisation a rendu encore plus nécessaire une coopération étroite entre les institutions multilatérales. Pour mettre en œuvre ce mandat sur la cohérence, l’OMC a établi un nouveau cadre général de coopération interinstitutionnelle. Et si l’OMC n’a pas vocation à devenir l’organisation internationale de la gouvernance, elle a réussi à trouver sa place dans l’archipel de la gouvernance internationale en contribuant à l’améliorer / If the main functions of the WTO are to serve as a forum for trade negotiations and enforce multilateral trade rules that have been negotiated, an important aspect of the WTO’s mandate is to cooperate with the International Monetary Fund, the World Bank and other multilateral institutions to achieve greater coherence in global economic policy-making. The interconnectedness of the mandate of the WTO with other international organizations is much broader and permeates much of the agreements negotiated during the Uruguay Round. Globalization has made it even more necessary close cooperation between multilateral institutions. To implement this mandate on Coherence, the WTO has established a new framework for interinstitutional cooperation. And if the WTO is not intended to become the international organization of governance, it has managed to find its place in the archipelago of international governance in contributing to the improvement.
15

Pour en finir avec la dépolitisation : le développement international et son discours face aux pratiques locales du pouvoir

Bahri, Hassen January 2017 (has links)
Diagnostic des forces et des faiblesses, traitements, bilans, perspectives et prédictions, les institutions financières internationales conditionnent les prêts octroyés aux États financés à une série d’ajustements et de mesures auxquelles leurs économies devraient être soumises. Leurs documentations en matière de développement économique prennent un ton qui n’est pas sans rappeler les écrits religieux. Naturalisé, simplifié et dépolitisé, le discours de ces institutions se veut une sorte de catéchisme de l’orthodoxie économique, des commandements (censés représenter la culmination du savoir économique et le consensus de ses savants) dont la stricte obéissance mènerait vers la terre promise du développement et de la prospérité et dont le rejet représenterait une hérésie démagogique. Les auteurs critiques des politiques de développement de ces bailleurs de fonds arguent que les États receveurs de l’aide financière sont en train de perdre le contrôle sur leurs économies et que leurs populations, en plus du coût social auquel elles sont soumises, voient le pouvoir décisionnel leur échapper pour devenir l’apanage d’une élite d’experts. Grâce à la place hégémonique du savoir économique dont ils se prévalent, ils occuperaient un poids de plus en plus prépondérant dans le processus de prise de décisions politiques. Conçu et prescrit via l’angle de l’expertise, le développement serait réduit à ces éléments techniques et contribuerait ainsi à la dépolitisation du politique et à asseoir le pouvoir des bailleurs de fonds, détenteurs du monopole de l’expertise du développement, sur les politiques économiques de l’État financé. Toutefois, les disparités régionales en matière d’applications des politiques néolibérales des institutions financières et les difficultés éprouvées par l’élite économique dans certains pays à imposer leur savoir comme savoir hégémonique et à s’installer dans les rouages clés de la prise de décision politique nous poussent à considérer l’importance des dynamiques locales du pouvoir. Mais encore, ils nous contraignent à rejeter toute velléité de comprendre l’économie de l’État financé via uniquement le prisme d’une domination d’institutions toutes puissantes qui imposeraient un savoir-faire hégémonique à des États soumis et sans recours. Dans cette thèse, nous défendrons l’idée que si le développement est bel et bien une manifestation de rapports de pouvoir, il faudrait plutôt chercher à le comprendre via les pratiques qui le composent. Ce que nous proposons c’est une lecture de l’entreprise du développement via ses contraintes bureaucratiques, via les différentes stratégies de contournement des exigences des institutions financières et les mécanismes de leur interprétation, mais également à travers les différentes luttes internes qui définissent le polity et les limites du pouvoir de l’État. Cette approche, nous l’espérons, permettrait de mieux saisir les dynamiques qui sous-tendent les politiques économiques de l’État financé, de mieux dégager le rôle des institutions financières et de situer la place de l’idéologie néolibérale dans le processus décisionnel.
16

Évaluation de l'intégration du genre dans le DSRP du Rwanda

Demnati, Lina January 2009 (has links) (PDF)
La Banque Mondiale a choisi d'inscrire l'intégration transversale de la dimension genre comme l'un des critères clés pour l'obtention de financement par les pays bénéficiaires, notamment dans le cadre de sa plus récente politique de développement qui a pour objectif premier la réduction de la pauvreté. Les modifications au sein des politiques de développement de la Banque Mondiale, ont obligé les pays tributaires de son aide à réorienter leur stratégie de développement en élaborant des documents de stratégies pour la réduction de la pauvreté (DSRP). L'objectif de ce mémoire est d'analyser les politiques de réduction de la pauvreté adoptées par le Rwanda dans son DSRP de 2002 et d'évaluer si l'intégration de la dimension genre est bien appliquée par le gouvernement rwandais de façon transversale. Plus précisément, le DSRP ainsi que les rapports annuels consécutifs élaborés par le Rwanda entre les années 2000 et 2005 ont été analysés grâce à des critères d'évaluation spécifiques et au cadre méthodologique de la planification selon le genre développé par Caroline Moser. La conclusion du mémoire est que l'intégration de la dimension genre n'est effective que dans certains domaines. De plus, les mesures adoptées en faveur de l'égalité des sexes ont essentiellement des impacts à court terme sur le renforcement des capacités des femmes. En somme, l'approche genre intégrée dans la stratégie de réduction de la pauvreté du Rwanda ne vise pas une transformation en profondeur de la société rwandaise, elle a plutôt pour objectif de combler des besoins de base (matériels etc.) immédiats de la population. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Genre et développement, Document de stratégies pour la réduction de la pauvreté, Banque Mondiale, Rwanda, Planification pour le développement.
17

Les facteurs clés de succès des projets d'aide au développement

Ika, Lavagnon A. 03 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse examine les facteurs clés de succès, les interactions entre eux, et leur relation avec les dimensions du succès des projets d'aide au développement. Elle s'articule autour de trois articles de recherche, l'un conceptuel sur l'expérience des agences d'aide en matière d'identification des facteurs clés de succès (FCS) de leurs projets et les deux autres, empiriques, qui épousent deux perspectives : celle des superviseurs de projet des agences d'aide multilatérale au développement notamment la Banque mondiale et celle des coordonnateurs de projet sur le terrain, en l'occurrence en Afrique. Sur le plan méthodologique, ces travaux adoptent une approche contingente de l'étude des projets et de leur succès; et les données ont été collectées par questionnaire. D'abord, la thèse fait le point sur l'expérience des agences d'aide dans l'identification des critères et des FCS des projets de développement. C'est l'objet du premier article qui s'intitule : « Identification des critères et des facteurs clés de succès des projets dans la documentation des agences d'aide au développement ». (Une toute première version de ce papier a déjà fait l'objet de publication dans la Revue Management & Avenir sous le titre : « Les agences d'aide au développement font-elles assez en matière de formulation des facteurs clés de succès des projets? »). L'objectif spécifique de ce premier article est de mettre en évidence les critères et les FCS que les agences d'aide au développement utilisent, d'analyser l'évolution des critères et des FCS à travers les décennies de développement et de faire un rapprochement entre la gestion de projet et la gestion des projets de développement international. Dans ce premier article, nous présentons les agences d'aide dans leur diversité et dans leur contribution au développement et nous envisageons les projets comme des vecteurs du développement. Ensuite, nous tentons de définir les concepts de résultats de développement, de succès, de critères de succès et de facteurs de succès des projets de développement avant de présenter les critères de succès et les FCS des agences d'aide. Puis nous analysons l'évolution des critères et des FCS à travers les décennies de développement. Enfin, nous faisons un rapprochement entre la gestion de projet et la gestion des projets de développement international sur les critères et les FCS ainsi que sur leur évolution dans le temps. Les résultats montrent que si les agences ont bien défini et harmonisé les critères de succès, il reste beaucoup à faire pour les critères impact et durabilité, et les FCS. Ils suggèrent qu'un rapprochement entre la gestion de projet et la gestion des projets de développement international est possible et qu'en matière de succès des projets, la gestion des projets de développement international peut tirer des enseignements de la littérature de la gestion de projet pour mieux comprendre les critères et les FCS des projets de développement. Partant de ces enseignements, le deuxième article, qui s'appuie sur le premier, analyse les interrelations entre quatre FCS bien connus tant en gestion de projet qu'en gestion des projets de développement international mais captant « l'exercice global de supervision des projets de la Banque mondiale » (la conception, le suivi, la coordination, et la formation) et leurs influences respectives sur deux dimensions du succès des projets tout autant bien connues (le succès de la gestion et le succès du livrable). Cet article s'intitule : « World Bank projects' critical success factors and their interactions : an empirical investigation ». Ce deuxième article, utilisant plutôt les modèles d'équations structurelles comme méthode d'analyse statistique des données, a été accepté pour publication au PMI Research Conference 2010. (Une première version de cet article, utilisant plutôt la régression multiple comme méthode d'analyse statistique des données, a fait l'objet de publication dans les actes du 9ème congrès de l'IRNOP (International Research Network on Organising by Projects) en 2009 sous le titre : « The most critical success factors for World Bank projects : the Task Team Leaders' perspective ». Ces deux versions diffèrent dans la mesure où la seconde fait des analyses confirmatoires et teste ainsi la validité des instruments de mesure et du modèle lui-même). Dans ce deuxième article, nous mettons d'abord en évidence la spécificité des projets de développement international, les problèmes qu'ils posent, et les notions de succès, de critère et de facteur de succès tant dans la littérature de la gestion de projet que dans celle plus spécifique de la gestion des projets de développement international. Ensuite, nous posons des hypothèses sur les relations entre les FCS et les dimensions du succès des projets. Après nous procédons à une analyse factorielle en composantes principales des critères et des FCS avec le logiciel SPSS et nous analysons les interrelations entre FCS à l'aide des modèles d'équations structurel1es (estimées notamment avec le logiciel AMOS). Les résultats de ce deuxième article confirment l'existence empirique d'un facteur de second-ordre que nous avons baptisé « FCS reliés à la gestion de projet » mais captant l'exercice global de supervision des projets. Les résultats empiriques montrent en outre que les FCS affectent de façon significativement différente les deux dimensions du succès des projets et que la première (le succès de la gestion) n'affecte pas significativement la deuxième (le succès du livrable). Ils confirment aussi l'existence empirique de FCS non reliés à la gestion de projet mais plutôt reliés au projet lui-même comme le budget et l'expérience du superviseur de projet et indiquent que ces derniers ne semblent pas avoir un effet sur les FCS reliés à la gestion de projet (conception, suivi, coordination, et formation) mais captant l'exercice global de supervision des projets. Enfin ils suggèrent que dans la perception des TTL, la hiérarchie des FCS est la suivante : la conception, le suivi, la coordination et la formation dans cet ordre. Enfin, très peu a été écrit sur la gestion de projet à l'intention des gestionnaires de projet du Tiers-Monde, notamment à l'intention des coordonnateurs africains des projets de développement et la littérature est muette sur la façon d'adopter les outils et les techniques de gestion de projet importés. Quels sont les concepts, outils et techniques de gestion de projet que les gestionnaires africains des projets de développement peuvent déployer? Quel est leur degré d'application actuelle? Sachant que la planification de projet reste un FCS, quelle est la force de la relation entre l'effort de planification et le succès des projets de développement? Ce sont les questions qui sont abordées dans le dernier article : « Project management in the international development industry : the project coordinator's perspective ». Il a été publié dans la revue International Journal of Managing Projects in Business. Il met en évidence la perception des coordonnateurs de projets de développement, en fait les gestionnaires de projet dans un secteur spécifique et non-traditionnel de la gestion de projet, le développement international, et analyse la relation empirique entre l'effort de gestion de projet dans la phase d'exécution (le degré d'utilisation des outils de gestion de projet), le succès et les critères de succès des projets. Dans ce dernier article, nous abordons l'importance des outils tant en gestion de projet en général qu'en gestion des projets de développement en particulier. Nous proposons également un tableau synoptique des outils utilisés dans la gestion des projets de développement international que nous classons en trois grandes catégories : les outils d'identification et de planification; les outils de réalisation et de suivi; et les outils de mesure de performance, d'évaluation et de gouvernance. Nous donnons ensuite un bref aperçu des travaux sur le succès et les critères de succès avant de présenter et de discuter les résultats de l'analyse factorielle en composantes principales des outils de gestion de projet, et de l'analyse de corrélation et de régression entre l'effort de gestion de projet et le succès. En somme, ce dernier article suggère que le succès des projets est insensible à l'effort de planification mais supporte de façon significative l'idée que le recours au suivi et à l'évaluation peut améliorer les résultats des projets. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : aide au développement, gestion de projet, critères de succès, facteurs clés de succès, planification de projet, outils et techniques de gestion de projet, Banque mondiale, Afrique, Task Managers, coordonnateurs nationaux de projet, modèle d'équations structurelles.
18

L'enseignement à distance et le supérieur en Afrique de l'ouest : une université façonnée de l'extérieur ou renouvelée de l'intérieur ?

Loiret, Pierre-Jean 28 November 2007 (has links) (PDF)
Dans la quasi-totalité des écrits sur l'éducation en Afrique, l'enseignement à distance (EAD) est paré de toutes les vertus et serait susceptible de moderniser les systèmes éducatifs, de réduire les coûts de l'enseignement, de remettre à niveau les enseignants, de massifier l'accès à l'enseignement supérieur. Des projets à vocation continentale comme celui de l'Université virtuelle africaine de la Banque mondiale côtoient des dispositifs plus ciblés géographiquement et culturellement comme celui des campus numériques francophones de l'Agence universitaire de la Francophonie et des initiatives localement portées par des individus plus que par les institutions. Notre interrogation triviale de départ est « à quoi sert l'EAD en Afrique ? ». Elle en révèle une autre plus délicate : « à qui sert l'EAD en Afrique ? ». Notre hypothèse principale est que l'enseignement à distance peut servir à la fois pour façonner l'université de l'extérieur et la renouveler de l'intérieur.
19

A política agrícola do Banco Mundial e o direito ao desenvolvimento

Fleury, José Anselmo Curado 19 September 2016 (has links)
Submitted by Jaqueline Silva (jtas29@gmail.com) on 2016-10-18T16:03:51Z No. of bitstreams: 2 Dissertação - José Anselmo Curado Fleury - 2016.pdf: 1548270 bytes, checksum: 8d4571c463f96691b4ec6e9fb3c91cc3 (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) / Approved for entry into archive by Jaqueline Silva (jtas29@gmail.com) on 2016-10-18T16:28:46Z (GMT) No. of bitstreams: 2 Dissertação - José Anselmo Curado Fleury - 2016.pdf: 1548270 bytes, checksum: 8d4571c463f96691b4ec6e9fb3c91cc3 (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) / Made available in DSpace on 2016-10-18T16:28:46Z (GMT). No. of bitstreams: 2 Dissertação - José Anselmo Curado Fleury - 2016.pdf: 1548270 bytes, checksum: 8d4571c463f96691b4ec6e9fb3c91cc3 (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) Previous issue date: 2016-09-19 / Cette thèse vise à l'analyse de la politique agricole de la Banque du point de vue du droit au développement. Le travail est guidé à partir de la question de savoir si le but ultime de cette politique est de réduire la pauvreté dans la campagne, comme il est dit explicitement par la Banque mondiale, ou il est un outil rhétorique pour la mise en oeuvre d'un modèle économique aligné au capital international. Il est prévu, à travers l'analyse comparative du discours de la Banque mondiale avec les lignes directrices énoncées dans la résolution 41/128 de l'Assemblée générale des Nations Unies sur le droit au développement, en soulignant les contradictions qui révèlent une teneur libérale ne sont pas expressément reconnue au moment de la formulation de cette politique. Le but de ce travail est de souligner l'incongruité méthodologique de la politique agricole de la Banque, en introduisant des lignes directrices et des mesures qui sont incompatibles avec l'objectif de réduction de la pauvreté, avant d'être la dissimulation d'une politique libéralisation visant à transformer la terre en une marchandise, fournissant la base pour la libre circulation des capitaux dans la campagne. / Esta dissertação tem por objeto a análise da política agrícola do Banco Mundial a partir da perspectiva sobre o Direito ao Desenvolvimento. O trabalho orienta-se a partir da dúvida sobre se o objetivo último dessa política é a redução da pobreza no campo, como afirmado explicitamente pelo Banco Mundial, ou se trata de uma ferramenta retórica para implementação de um modelo econômico alinhado ao capital internacional. Pretende-se, através da análise comparativa do discurso do Banco Mundial com as diretrizes expostas na Resolução 41/128 da Assembleia Geral da ONU sobre o Direito ao Desenvolvimento, apontar contradições que revelam um conteúdo liberal não expressamente reconhecido no momento de formulação dessa política. A proposta deste trabalho é apontar a incongruência metodológica da política agrícola do Banco Mundial, ao apresentar diretrizes e ações que não se coadunam com o objetivo de redução da pobreza, sendo antes a dissimulação de uma política liberalizante que visa a transformação da terra em mercadoria, propiciando as bases para a livre circulação de capital na zona rural.
20

Analyse comparative des politiques des institutions internationales relatives à la promotion de l'éducation des filles dans les pays en développement : le cas de l'Unicef, de la Banque Mondiale et de l'Unesco

Zoundi, Lagi 13 April 2018 (has links)
Sur quels « référentiels » se fondent l'UNESCO, l'UNICEF et la Banque mondiale pour opérationnaliser leurs politiques éducatives ? Quelles sont la vision et la représentation de chacune d'elles par rapport à l'éducation des filles et des femmes ? Cette étude porte sur l'analyse des politiques privilégiées par ces trois institutions internationales pour promouvoir la scolarisation des filles dans les pays en développement. L'examen est fondé sur une approche sociopolitique des rapports sociaux de sexe, des représentations sociales de l'éducation et de la place et du rôle des filles et des femmes dans la société. L'étude s'appuie notamment sur les orientations et les actions projetées par ces trois institutions depuis la Conférence mondiale sur l'Éducation pour tous tenue en 1990 à Jomtien (Thaïlande). L'analyse de contenu, principalement des rapports annuels et des plans stratégiques, est réalisée dans une perspective analytique féministe où les notions de scolarisation et d'éducation sont comparées à celles d'émancipation. Il apparaît ainsi que, bien que se situant dans la logique de Jomtien (1990), de Dakar (2000) et des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) adoptés par les Nations Unies en 2000, les politiques éducatives de ces institutions sont le reflet de représentations sociales divergentes sur le rôle et la place des femmes et de visions du monde liées à des contextes organisationnels et à des intérêts spécifiques. Pour la Banque mondiale, qui prône une vision davantage réductrice et utilitariste du capital humain, la promotion de la croissance économique durable et la réduction intergénérationnelle de la pauvreté passent prioritairement par le développement du capital humain, à savoir l'éducation des filles et des femmes, une ressource productive essentielle « à ne pas gaspiller ». Quant à l'UNICEF, le « noyau central » de sa représentation et de sa vision de l'éducation est matérialisé dans la complémentarité entre la défense des droits des filles et ceux des femmes c'est-à-dire que l'émancipation et l'autonomisation des femmes passent d'abord par l'éducation et l'autonomisation des filles. Pour sa part, l'UNESCO ne semble pas préconiser une vision politique qualifiée d'émancipatrice mais une éducation qu'elle veut sans discrimination, « intégratrice des groupes exclus et marginalisés », répondant aux besoins éducatifs de toutes et de tous en vue de l'instauration « d'une culture de l'égalité des sexes ». Cette institution souhaite que le renforcement du respect des droits et des libertés des femmes et des filles constitue un facteur capital du développement humain, du changement social et démographique et de la lutte internationale contre la pauvreté et l'exclusion. En conclusion, si les préoccupations de rentabilité économique sont manifestes à la Banque mondiale, à l'UNICEF et à l'UNESCO, ces préoccupations visent davantage la promotion et l'action sociales même si la perspective politique sur les rapports sociaux de sexe les différencie sensiblement. En fait, les divergences d'approche des rapports sociaux de sexe semblent tenir principalement aux différences de leurs statuts, de leurs mandats, mais aussi de leurs orientations et stratégies, bien que ces trois institutions s'entendent sur la nécessité d'une modernisation et d'organisation des systèmes éducatifs pour promouvoir l'éducation pour tous en mettant l'accent sur la scolarisation des filles et l'alphabétisation des femmes.

Page generated in 0.0634 seconds