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Le vieillissement de la population carcérale sous responsabilité fédérale au Canada : vers des "pénitenciers-hospices"?

Tesseron, Anne-Laure January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Sentiment de vulnérabilité et risques liés au milieu de travail : étude de l'insécurité parmi les agents de correction fédéraux

Lavoie, Valérie January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les effets de l'expérience carcérale sur la construction identitaire des jeunes de la rue à Montréal

Larouche, Annie January 2008 (has links) (PDF)
Cette recherche se penche sur les effets de la gestion répressive actuelle à l'égard des jeunes de la rue à Montréal, menant de plus en plus à des séjours d'incarcération, souvent pour des motifs non criminels tels que le défaut de paiement d'amende. L'objectif principal de cette étude est de comprendre les effets que l'expérience carcérale peut avoir sur la construction identitaire de ces jeunes. Cette recherche qualitative est basée sur 10 entretiens semi-directifs centrés sur l'expérience carcérale de jeunes vivant ou ayant vécu la rue pendant une période d'au moins six mois. Tous les répondants ont fait un séjour ou plus en prison, d'au minimum un mois, pour des motifs relatifs à leur vie de rue. Un questionnaire rempli par l'ensemble des répondants a complété la collecte de données. Notre hypothèse est que l'expérience carcérale a un impact sur la construction identitaire du jeune de la rue qui est amené à se repositionner sur le plan identitaire afin d'arriver à concilier de manière plus satisfaisante ses besoins de reconnaissance sociale et d'accomplissement personnel et de parvenir le plus possible à une consonance existentielle. Notre analyse s'appuie principalement sur la théorie de la gestion relationnelle de soi de Bajoit (1997, 2000, 2003, 2004) et sur les travaux de Chantraine (2004), Kokoreff (2004) ainsi qu'Otero, Poupart et Spielvogel (2004). Elle a permis de voir comment les transformations identitaires varient selon le rapport de l'individu à sa détention, allant du maintien de l'identité pré-incarcération au repositionnement identitaire majeur. Trois types de rapports ont été identifiés chez les répondants: l'incarcération inéluctable, marquée par une routine d'enfermement et la vie de rue; l'incarcération parenthèse, marquée par une toxicomanie enveloppante et la prostitution; et l'incarcération bifurcation, marquée par un changement de mode de vie ou de « carrière ». Enfin, des effets sur d'autres plans que l'identité ont été relevés dans les récits des répondants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Jeune de la rue, Incarcération, Prison, Construction identitaire, Identité.
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Le vieillissement de la population carcérale sous responsabilité fédérale au Canada : vers des "pénitenciers-hospices"?

Tesseron, Anne-Laure January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L'évaluation du risque suicidaire comme outil de prévention auprès de détenus séjournant en centre psychiatrique

Blouin, Lucie January 2011 (has links)
Les personnes incarcérées ainsi que les personnes présentant une problématique de santé mentale sont deux groupes parmi lesquels le taux de suicide est plus élevé comparativement à la population générale. Considérant que ces caractéristiques se retrouvent parmi la clientèle du Centre Régional de Santé Mentale (CRSM), qui est l'un des cinq centres psychiatriques du Service Correctionnel du Canada (SCC), des mesures de dépistage du risque suicidaire avaient été mises en place. Le Suicide Probability Scale (SPS ), test conçu par Cull et Gill (1988), était administré de façon répétitive, soit à un intervalle de trois mois à tous les détenus-patients et après un mois à ceux qui ont obtenu un résultat indiquant un risque sévère . Cette thèse visait à évaluer la valeur prédictive du SPS auprès d'une population à la fois carcérale et psychiatrique et aussi à vérifier si le fait de passer un même test de façon répétitive n'influence pas sa prédictivité.Les dossiers de soixante sujets ont été examinés, dont la moitié ont posé un geste suicidaire lors de leur séjour au CRSM. Ces sujets sont des hommes adultes condamnés à une peine d'incarcération au niveau fédéral, c'est-à-dire une sentence supérieure à deux ans et qui ont présenté des besoins au niveau de la santé mentale justifiant un transfert au centre psychiatrique. Les résultats des analyses ROC confirment la validité prédictive du SPS dans une perspective à court et moyen terme, mais pas à long terme puisque pour les tests administrés à l'admission, les analyses statistiques ne se sont pas révélées significatives. D'autres analyses ROC ainsi que des régressions logistiques n'ont pas permis de confirmer l'hypothèse initiale à savoir que l'utilisation répétitive d'un même instrument nuisait à sa validité prédictive. Toutefois, une prudence est recommandée quant aux interprétations tirées de ces analyses, compte tenu du nombre restreint de participants lorsqu'ils ont été répartis selon le nombre de passations du test.
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Les fonctions sociales de l'enfermement carcéral : constats, hypothèses, projets de recherche

Combessie, Philippe 13 November 2003 (has links) (PDF)
Ce mémoire comprend trois parties. Dans la première je propose une synthèse de constats établis à partir de mes propres travaux et étayés par les acquis des principaux auteurs sur lesquels j'estime pertinent d'appuyer une démarche sociologique rigoureuse sur mon terrain d'investigation actuellement privilégié : au premier rang Emile Durkheim, mais aussi Erving Goffman, Howard Becker, Alvaro Pirès, Mary Douglas, Hannah Arendt, Claude Faugeron, Antoinette Chauvenet, et quelques autres, dont le nom apparaîtra dans ces pages. Je propose une synthèse des constats établis à partir de mes propres travaux, étayés par les œuvres de ces maîtres. Cette première partie se développe en cinq chapitres : 1/ le crime est une construction sociale, 2/ les prisons stigmatisent leur environnement (la notion de périmètre sensible), 3/ les relations entre les agents de la prison dépendent de l'environnement, 4/ ce que produit la prison comme ce qui s'y déroule est surdéterminé par ce qui se passe en amont, 5/ on n'enferme pas « sociologiquement correct ». La deuxième partie de ce mémoire est constituée d'une analyse originale présentée sous forme de deux hypothèses qui s'inscrivent dans le prolongement de mes travaux précédents et de ceux des auteurs dont les analyses servent de point d'appui aux miennes. Ces deux hypothèses devraient contribuer à un renouvellement de l'analyse sociologique de la prison, et, plus largement, à un enrichissement de la sociologie de la déviance. La première interroge l'influence de l'enfermement carcéral sur la construction sociale de l'image du criminel : alors que, selon la logique judiciaire, c'est la condamnation qui différencie criminels et innocents, je postule que la prison joue un rôle déterminant, à la fois en tant que telle et comme stigmate le plus puissant des dispositifs de coercition de la justice pénale. La seconde propose une analyse macrosociologique des fonctions sociales de l'enfermement pénitentiaire, dont la principale, masquée, est analysée comme fonction latente de la prison : étayée par une nouvelle lecture de la thèse de Paul Fauconnet sur la responsabilité pénale, cette fonction latente permet de comprendre la survivance du dispositif carcéral malgré son inadéquation au plus légitime des objectifs qui lui sont assignés : l'amendement des repris de justice. Dans la troisième partie de ce mémoire, je présente un éventail de projets de recherches visant à permettre de répondre aux questions soulevées par les hypothèses précédemment développées. J'ai regroupé ces projets selon trois axes de recherche : 1/ les étapes du processus pénal : recherches quantitatives et qualitatives sur les « tris » opérés selon des logiques pénales et sociales parmi les justiciables lors de ces différentes étapes (compléments de recherches existantes ou en cours), 2/ les réactions des justiciables mis en cause dans une affaire pénale : recherches sur les inégales stratégies mises en œuvre face aux risques d'enfermement, 3/ les représentations sociales de la prison et des dispositifs de coercition légaux : recherches sur les représentations des divers groupes sociaux (réactualisations de recherches anciennes et compléments de recherches partielles) et sur les représentations des « sociologues de la prison » eux-mêmes, dont il convient d'analyser parallèlement les positions dans le champ social, les problématiques principales et les déroulements de carrière (aucune recherche en ce sens n'a été effectuée à ce jour).
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Perception-interprétation-transformation : essai sur les identités cachées de l'acteur

Pénélope, Isabelle January 2008 (has links) (PDF)
Intitulé, Essai sur les identités cachées de l'acteur, ce mémoire se définit comme une tentative de comprendre comment l'homme se crée et devient passeur d'une mémoire livrée par l'art d'être soi. Être soi, signifie être capable de se percevoir dans les différentes facettes de ce que nous appelons communément la perso(n)na-lité. L'image déformée par cette fameuse persona, masque sociale que nous portons tous, peut fausser la perception de la réalité du sujet qui s'identifie uniquement à elle pour vivre. Prisonnier de cette fausse image que les Autres lui renvoient, le sujet n'ose plus sortir de sa cage psychique. Il lui faut partir en quête de son histoire, de son vécu pour réaliser qu'il est aussi cet être doté d'une constellation d'identités, insoupçonnées, voir cachées. Pour l'actrice, apprentie-chercheuse qui se met à nu dans l'oeuvre de ce mémoire, le sens que revêt le mot acteur, dénote tout individu désireux de laisser son empreinte lumineuse et sa trace sur le sol fertile de son environnement immédiat pour devenir artisan de sa toile sociale. Des hommes de passage, les acteurs du documentaire filmé par Bruno Boulianne, sont des prisonniers pas ordinaires. À la prison de Bordeaux, au coeur du Québec, ils ont redécouvert le pouvoir des mots. Par l'entremise du projet de Mohamed Lotfi, qui a installé un studio de radio dans l'enclos de la prison, ces hommes se sont transformés en Souverains anonymes. À l'aide de la phénoménologie, l'apprentie-chercheuse du savoir être va chercher le point de contact entre la réalité de ces prisonniers et son propre vécu. Les vécus de l'apprentie-chercheuse et des Souverains anonymes, les acteurs de la fiction Des hommes de passage, se sont rencontrés et ont donné naissance à cette oeuvre particulière, l'essai identitaire. Dans un mouvement symphonique en trois temps: Perception-Interprétation-Transformation (passé, présent, futur) le sujet, prisonnier de son histoire, partira à la conquête de son espace de re-création. L'individu prisonnier qui se percevait uniquement par l'autre redécouvre alors, en prison, dans le silence et la solitude, qu'il peut agir et s'interpréter. Coupé du reste du monde, ce détenu redécouvre son pouvoir d'agir dans un corps prisonnier qui se raconte grâce à la médiation des Autres, et de l'aide du Mentor, figure de l'ange apportant la bonne nouvelle. Rebaptisé, Souverains anonymes, le voici devenu acteur de sa propre épopée, odyssée. Sa nouvelle re-présentation symbolique du monde l'a transformé en héros atemporel d'un mythe moderne. Cet acteur peut à nouveau déployer ses ailes et transmettre la parole qui guérit à d'Autres. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Générativité, Prison, Anonymat, Solitude, Guérison, Souveraineté, Identités, Culturelles, Création, Pouvoir, Paroles, Passages, Jeu, Ombre, Lumière, Femme, Homme, Noir, Masque, Social, Mythe, Acteur, Médiation, Liberté, Mort, Héros, Mentor.
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Le travail d'enseignant en milieu carcéral

Lamoureux, Daniel 07 1900 (has links)
Jusqu’à maintenant, la prison a surtout été analysée à partir du point de vue des détenus et celui des surveillants comme si le vécu de l’enfermement et la relation détenus-surveillants étaient les seuls points de vue permettant d’en apprendre sur ce qu’elle est et d’en saisir le fonctionnement. Nous pensons, pour notre part, que d’autres points de vue sont possibles, voire même souhaitables. C’est le cas, notamment, de celui des enseignants qui exercent leur métier en prison. Bien que théoriquement en mesure d’offrir un complément intéressant aux fonctions de dissuasion et de réinsertion sociale que la prison remplit difficilement à elle seule, le projet éducatif carcéral constitue une activité plus ou moins marginalisée qui est ramenée au niveau des autres activités pénitentiaires. Au premier chef, c’est à la prison que nous sommes tentés d’en imputer la responsabilité et, de fait, elle y est pour quelque chose. D’abord conçue pour neutraliser des criminels, il lui est difficile de les éduquer en même temps. Mais cette marginalisation, nous le verrons, n’est pas le seul fait de la prison. Elle tient aussi beaucoup au mandat qu’ils se donnent et à la façon dont les enseignants se représentent leur travail. S’étant eux-mêmes défini un mandat ambitieux de modelage et de remodelage de la personnalité de leurs élèves délinquants détenus, prérequis, selon eux, à un retour harmonieux dans la collectivité, les enseignants déplorent qu’on ne leur accorde pas toute la crédibilité qui devrait leur revenir. Cette situation est d’autant plus difficile à vivre, qu’à titre de travailleurs contractuels pour la plupart, ils sont déjà, aux yeux du personnel correctionnel, objets d’une méfiance qui sera d’autant plus grande que, pour effectuer leur travail, ils doivent se faire une représentation du délinquant et du délit peu compatibles avec celles qui prévalent dans le milieu. C’est ainsi qu’à la marginalisation comme fait organisationnel se superpose une auto-marginalisation, incontournable, qui est le fait des enseignants eux-mêmes et qui se traduit par leur attitude de réserve à l’égard de la prison. La chose est d’autant plus paradoxale que le mandat que se donnent les enseignants, bien qu’ils s’en gardent de le dire, correspond tout à fait au projet correctionnel. Mais la prison, davantage préoccupée par la gestion du risque que par la réinsertion sociale des détenus, n’a d’intérêt pour l’éducation en milieu carcéral que dans la mesure où elle permet une socialisation à l’idéologie pénitentiaire et contribue à consolider la paix à l’intérieur des murs avec la complicité des enseignants eux-mêmes. Du reste, ces derniers ne sont pas dupes et lui en font grief, encore qu’il soit permis de nous demander si on ne lui reproche pas, plus simplement, de ne pas leur donner toute la place qu’ils croient leur revenir et de les laisser suspendus dans le vide carcéral. / Until now, the prison has been analyzed, primarily, from the prisoners and warders points of view as if the reality of confinement and the prison-warder relationship were the only likely opinions that could allow us to learn how the prison operates and thus understand its function. On the contrary, we think that other points of view are not only possible but even desirable. In particular, this is the case for teachers who are working in prisons. Although theoretically being able to offer an interesting complement to the functions of dissuasion and social rehabilitation that the prison fills with difficulty, the prison educational project constitutes a more or less marginalized activity which is brought down to the level of other penitentiary activities. At its highest degree, we are tempted to charge the prison with responsibility for it; and, in fact, a prison does have a certain liability in this matter. Initially conceived to neutralize criminals, it is difficult for the prison to educate them at the same time as pointed out by the sociology of organizations. This marginalization, we will see, is not solely that of the prison but also in the way in which the teachers perceive their work and the mandate which they assign themselves. Prison teachers have defined, for themselves, an ambitious mandate of modeling and remodeling the personalities of their delinquent pupils, a prerequisite, according to them, for a harmonious return to the community. It is an ambitious mandate for which they feel that they do not receive the respect they deserve. This situation is made all the more difficult because, as contractual workers for the majority, they are, in the eyes of the correctional staff, more or less objects of mistrust. This feeling is increased by the fact that the teachers, in order to carry out their work, develop a portrait of the delinquent and offence that is not very compatible with that which prevails in the prison environment. Thus, this marginalization as an organizational fact superimposes a self-marginalization, impossible to circumvent, which is true of the teachers themselves and which results in their attitude of detachment toward the prison. It is all the more paradoxical that the mandate the teachers give themselves, although they take great care to not say it, corresponds completely with that of the correctional project. Even though the prison is more preoccupied with the risk management of its prisoners rather than their social rehabilitation, it does have an interest in education in prison but only insofar as it merges with penitentiary ideology and contributes to a consolidated peace inside the walls made complicit by the teachers themselves. The latter are not easily deceived and object to this point of view and we may ask ourselves whether their criticism of the prison is simply because the prison does not provide them with the required space they believe they should occupy thus leaving them suspended in a vacuum that is the correctional system.
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Vivacité des argotismes d'origine carcérale dans la langue familière française / Vivacity of prison slang vocabulary in French colloquial language

Siecińska, Joanna 28 November 2013 (has links)
Intéressée par la situation sociolinguistique de notre pays d'origine, la Pologne, où l'argot carcéral finit par pénétrer dans d'autres sociolectes, nous nous sommes aussi intéressée au cas français en vue d'explorer la même question. Pour ce faire, notre étude a été réalisée dans deux milieux de référence, à savoir celui des détenus d’une part et celui des non détenus d’autre part. Dans le cadre de la méthode d’enquête sociolinguistique nous avons soumis à ces deux milieux de référence un questionnaire comportant un ensemble choisi d’argotismes carcéraux. Notre travail de recherche nous a permis d’examiner la fiabilité du lexique recueilli et de confirmer l’existence d’une pratique langagière essentiellement carcérale, ce qui nous amène à définir la spécificité de l'argot des prisons utilisé dans un cadre carcéral. Par ailleurs est étudiée la perméabilité de la langue familière française au vocabulaire argotique carcéral, ce qui aboutit à mettre au jour les fonctions remplies par l'argot des prisonniers en milieu carcéral. De plus, la confrontation des deux publics permet de dégager les similarités et les différences dans les résultats, ainsi que d'établir une correspondance entre leur profil social et leur pratique linguistique. / The interest in the topic arose by dint of inspiration drawn from observing a sociolinguistic situation in my native country, Poland, where prison slang proves to permeate other sociolects, in particular youth slang, which turned out to be an excellent point of departure for embarking on a similar survey in France. The research was carried out in two different groups: prisoners and non prisoners. Within the framework of a sociolinguistic study, both of them were requested to complete a questionnaire containing 40 units of prison slang vocabulary. First of all, the research was designed to examine the reliability of a selected lexicon and to confirm a genuine prison slang usage in this particular environment. Furthermore, the paper was supposed to define the degree of permeability of the French colloquial language to prison slang vocabulary as well as to shed some new light on different roles played by this specific language within a prison community. Moreover, the comparison of two groups' performance revealed important similarities and differences and brought to light the correlation between social and linguistic variables.
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Prisons et prisonniers dans le Nord sous la IIIè République

Lambin, Sandrine 19 June 2013 (has links) (PDF)
Le département du Nord est particulièrement bien fourni en établissements pénitentiaires : 6 prisons départementales (7 entre 1907 et 1931) et d'une maison centrale. La longue période de la troisième République produit différentes lois qui s'inquiètent du "comment enfermer" mais aussi du "qui enfermer". D'où la question : dans quelles mesures ces lois sur le parc pénitentiaire et ses occupants (détenus et personnel) ? La loi phare du 5 juin 1875 qui entérine la tentative manquée du cellulaire sous la Monarchie de juillet, alimente de longs débats au Conseil Général, avant de parvenir au tout début du XXe siècle à l'ouverture de deux prisons cellulaires : celles de Loos et de Douai. Cette recherche montre que ces établissements n'apportent pas une amélioration flagrante des conditions de détention du département. Si amélioration il y a eu, c'est plutôt grâce à la baisse des effectifs. Cette baisse des effectifs n'est pas un corollaire manifeste des lois de 1885 et de 1891 (relégation, libération conditionnelle et sursis simple). Seul le traitement des jeunes détenus témoigne d'une évolution dans le recours à l'enfermement et, plus timidement, dans son organisation quotidienne de leur enfermement. L'émergence de la prévention se fait, se veut plus déterminante pour cette catégorie de justiciables. Cette recherche témoigne aussi du carcéral, de la vie au jour le jour au sein des établissements. Cette thèse apporte une modeste contribution à l'histoire pénitentiaire et à celle du traitement de la délinquance. Sa singularité réside surtout dans l'exploitation quasi-exhaustive des différentes séries des archives départementales afférentes à ce sujet.

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