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A Sociolinguistic Comparison of the French and Anglo-Saxon Cultures : from codeswitched substantives to borrowings : the issue of grammatical gender / Comparaison sociolinguistique des cultures française et anglo-saxonne : des substantifs issus de l’alternance codique aux emprunts : la question du genre grammatical

Martin, Élodie 16 November 2017 (has links)
L’attribution du genre grammatical est une notion complexe qu’il est difficile d’expliquer de manière rationnelle en français car elle est, la plupart du temps, arbitraire. Cette thèse a pour but de théoriser le genre grammatical attribué aux substantifs issus de l’alternance codique et aux emprunts de l’anglais au français. L’alternance codique est un phénomène individuel alors que l’emprunt est un phénomène collectif. Ces deux phénomènes linguistiques sont donc généralement considérés comme différents. Ainsi, le second objectif de cette thèse est de démontrer l’existence d’un continuum entre l’alternance codique et l’emprunt. Dans un premier temps, les concepts clés sont présentés, définis et exemplifiés. Puis, les principales notions caractérisant l’alternance codique et l’emprunt sont détaillées. Ce second chapitre met donc naturellement ces deux phénomènes en opposition dans le but de pouvoir les analyser comme un continuum lorsque des hypothèses concernant le genre grammatical qu’ils se voient attribuer sont formulées. Le troisième chapitre est consacré aux études de cas, et plus précisément à l’analyse de quatre corpus différents. Ce dernier chapitre a donc pour but de confirmer les hypothèses émises dans les deux chapitres précédents et permet de les classer dans cinq catégories afin d’expliquer l’attribution du genre grammatical. Ces catégories sont les suivantes : la raison extralinguistique, la raison interlinguistique, la raison métalinguistique, la raison à la fois interlinguistique et métalinguistique, et la raison grammaticale. Les résultats concernant les pourcentages de substantifs féminins et masculins sont présentés sous forme de graphiques, ainsi que ceux concernant les pourcentages de raisons expliquant l’attribution du genre grammatical aux substantifs issus de l’alternance codique, aux emprunts facultatifs, et aux emprunts obligatoires. Ainsi, l’interprétation de ces résultats est plus claire, plus objective, et plus scientifique. En outre, l’existence d’un continuum alternance codique – emprunt est par conséquent démontrée au moyen de l’explication de l’attribution du genre grammatical, ce qui crée un lien entre l’alternance codique et l’emprunt facultatif, ainsi que par le biais du processus de lexicalisation menant à l’emprunt facultatif, dans lequel l’alternance codique est le point de départ. Le lien entre l’alternance codique et l’emprunt obligatoire n’apparaît, quant à lui, pas de manière évidente étant donné que ces deux phénomènes linguistiques ne partagent pas de caractéristiques communes. / Grammatical gender attribution is quite a difficult notion to logically explain in French, due to the fact that it is, most of the time, arbitrary. This PhD thesis aims to theorise the grammatical gender allocated to codeswitched and borrowed substantives from English to French. Codeswitching and borrowing being generally considered as two distinct linguistic phenomena, since the former is an individual phenomenon, while the latter is a collective phenomenon, the second objective of this thesis is to demonstrate the existence of a codeswitching – borrowing continuum. Throughout three chapters, key concepts are firstly presented to lay the foundation of the thesis. Then, the main notions characterising codeswitching and borrowing are detailed – which naturally opposes these two linguistic devices – in order to eventually analyse them as a continuum, when hypothesising grammatical gender attribution. The last chapter devoted to case studies, and more precisely to the analysis of four different corpora, confirms the hypotheses exposed in the two previous chapters, and enables to classify them into five categories to explain grammatical gender attribution. These categories represent extralinguistic, interlinguistic, metalinguistic, both interlinguistic and metalinguistic, and grammatical reasons. Results on the percentages of feminine and masculine substantives, as well as the reasons explaining the grammatical gender allocated to codeswitched substantives, optional borrowings, and compulsory borrowings are displayed through graphs so that their interpretation is clearer, more objective, and more scientific. Additionally, the existence of a codeswitching – borrowing continuum is therefore demonstrated through the explanation of grammatical gender attribution, linking codeswitching with optional borrowing, as well as through the process of lexicalisation, in which codeswitching is the starting point of the chain, leading to optional borrowing. As for compulsory borrowing, connecting it with codeswitching is not that obvious considering that they do not share common features compared with optional borrowing.
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La musique « folklorique » pour piano (1907 – 1920) de Béla Bartók : emprunt symbolique, matériau combinatoire / « Folklore » music for piano (1907 – 1920) by Bela Bartók : symbolical borrowings, pitch material combination

Seress, Hugues 06 March 2012 (has links)
L’emprunt au folklore constitue une des nombreuses manipulations effectuées par le créateur du début du XXe siècle, à partir d’un matériau préexistant à son œuvre. Ces manipulations sont sous-tendues par de multiples processus identitaires, qui souvent détournent le regard de l’analyste, de l’œuvre vers l’ensemble de ses connotations contextuelles et symboliques. S’interroger sur les conséquences, tant stylistiques que techniques, de ces phénomènes, ne semble pas aller de soi. En réexaminant la structure tonale d’œuvres, avec et sans emprunt, composées par Béla Bartók entre 1903 et 1920, via un modèle d’inspiration néo-riemannienne permettant une interprétation de leur parcours tonal sur la définition d’unités triadiques, cette étude propose de réévaluer, au-delà de leur tonalité, des répertoires encore trop souvent considérés comme séparés par une ligne de faille assez peu perméable : celle entre romantisme et modernité. / Borrowing from folklore constitutes one of the numerous operations done by early 20th century creators from a material pre-existing to their works. Those operations are subtended by multiple identity-searching processes that often shift the eyes of the analyst away from the work to the whole of its symbolical and contextual connotations. Questioning oneself about the consequences, be they stylistic or technical, of those phenomena doesn’t seem to be taken for granted. By reexamining the tonal structure of works, with or without borrowings, composed by Béla Bartók between 1903 and 1920, through a pattern of Neo-Riemannian inspiration, enabling an interpretation of their tonal distances based on the definition of triadic unit. This study aims at reassessing, beyond their tonality, corpuses still to often considered as split apart by a rather impervious flaw line, that between romanticism and modernity.
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Analyse comparée des emprunts informatiques dans la langue arabe et française

Ourfahli, Joseph 05 November 2007 (has links) (PDF)
Parallèlement au développement accéléré des nouvelles technologies d'information et de communication, il est à remarquer que le VOCABULAIRE INFORMATIQUE évolue également et l'on remarque l'apparition de nouveaux vocables et concepts dans les différentes langues vivantes. Ces dernières prêtent, empruntent ou forment leurs nouveaux-nés linguistiques.<br />Pour être à la mode, les « consommateurs » de l'informatique, se voient, non sans vélocité, adopter et digérer ce renouveau conceptuel informatique. Les linguistes, quant à eux, se proposent de présenter ces nouveaux arrivants, d'en analyser les origines aussi bien linguistiques que conceptuelles, et d'en expliquer la formation et la logique derrière leur création dans le langage informatique du français et de l'arabe, les langues qui nous préoccupent ici. Pourquoi ces deux langues? Eh bien parce que toutes les deux langues « accueillent » des dizaines, voire des centaines, d'emprunts linguistiques à l'anglo-américain dans le domaine de l'informatique. Ceci est dû sans aucun doute à l'hégémonie technoscientifique et économique américaine.<br />De nos jours, on peut facilement observer le phénomène d'un « flot » ininterrompu d'éléments linguistiques relatant la révolution informatique et constituant dans leur ensemble une terminologie nouvellement née. Comme la technologie de l'informatique a pris naissance au sein des États-Unis, ce pays exporte un grand nombre de termes et d'expressions informatiques, nous pouvons signaler qu'une certaine terminologie anglo-américaine est arrivée à envahir plusieurs lexiques de langues étrangères. De ces langues « internationales », le français et l'arabe ne cessent d'affirmer que leur génie a pu traiter à fond l'envahissement, voire l'intégration, de ces termes étrangers.<br />L'objectif premier de cette recherche est d'essayer de débroussailler le pourquoi et le comment de l'intégration linguistique de cette terminologie, celle qui, à son tour, a posé une problématique non négligeable.<br />En second lieu, si l'on se met à l'observation de la « digestion » de ce renouveau terminologique par le français et l'arabe, on tombe sans doute sur le fait que ces deux langues montre clairement leur faculté d'emprunter et de traduire ces éléments nouveau-nés puisqu'elles renoncent à les utiliser tels quels, c'est-à-dire en anglo-américain.<br />En dernier lieu, nous essayons d'observer une méthodologie d'intégration de la terminologie informatique selon:<br />- une approche linguistique de la composition des néologismes à travers l'étude de cette intégration de l'anglo-américain au français;<br />- une pareille approche de l'accueil des emprunts, de leur traitement et de leur reproduction dans une autre langue.
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L'emprunt des collectivités territoriales : un paradoxe du droit public financier / The indebtedness capacity of local authorities : a public finance law paradox

Salen, Pierrick 14 March 2014 (has links)
Le cadre juridique du recours des collectivités territoriales et de leurs groupements au crédit a subi d’importantes modifications lors des nombreuses réformes dont a fait l’objet le secteur public local.En dépit de ces évolutions, l’emprunt des collectivités territoriales continue d’être au coeur d’un paradoxe entre autonomie et contrainte. Il constitue d’abord un facteur d’autonomie pour les décideurs locaux comme cela s’est accentué avec la libéralisation du crédit qui s’est produite au cours de la seconde moitié du XXème siècle. Les collectivités territoriales doivent ainsi désormais user de cette autonomie pour répondre aux enjeux induits par la banalisation de cet instrument qui intègre dans une large mesure le champ du droit privé et dont les pratiques ne cessent de se complexifier. La liberté acquise n’est toutefois pas totale. D’une part, l’autonomie offerte au secteur public local dans son recours à l’emprunt ne reste que relative dès lors que l’État continue d’imposer un encadrement multiple et ce, tant à travers l’existence de règles que par la mise en place de procédures de contrôle.D’autre part, cette autonomie a fait émerger de nouveaux enjeux pour les décideurs locaux qui ont vula notion de risque financer s’inscrire au coeur de leurs politiques d’endettement. L’actualité la plus récente de l’emprunt local demeure du reste une parfaite illustration de ce paradoxe entre autonomie et contrainte avec des collectivités territoriales qui ont connu d’importantes difficultés liées à leur recours au crédit. / Regarding the recourse of local authorities and their consortiums to credit, the applicable legalframework went through a number of significant modifications. These modifications took place duringthe numerous reforms of the local public sector. In spite of these evolutions, the indebtness capacity of local authorities continues to be at the heart of an autonomy and constraint paradox. Theliberalisation of credit that took place during the second half of the XXth century accentuated theautonomy factor for local deciders. Local authorities must use this autonomy to find solutions to thechallenges induced by the trivialization of this tool - a tool that for a large part incorporates privatelaw - and the practices of which never cease to increase in complexity. The acquired liberty ishowever not absolute. On one hand the autonomy given to the local public sector in its recourse to debt remains relative as long as the State continues to impose a multi-layered framework - this takingplace not only through the existence of rules but also through the implementation of contro lprocedures. On the other hand, this same autonomy enabled the rise of new challenges for localdeciders : the notion of financial risk found itself at the very heart of their debt policies. The mostrecent event with regards to local debt is a perfect illustration of this autonomy and constraintparadox, and local authorities faced great difficulties regarding their resort to credit
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Intégration des emprunts lexicaux au français en arabe dialectal tunisien / Integration of lexical words from the French language into the Tunisian arabic dialect

Mzoughi, Inès 01 June 2015 (has links)
Cette étude linguistique porte sur les emprunts lexicaux au français en arabe dialectal tunisien.Notre problématique principale s'articule autour de la question de l'intégration des emprunts lexicaux au français en arabe dialectal tunisien.L'objectif de la présente étude est non seulement d'identifier, de classer et d'analyser les occurrences d'emprunts lexicaux au français attestées en arabe dialectal tunisien, mais aussi de décrire les différentes phases d'adaptation phonologique, morphologique, syntaxique, sémantique et graphique par lesquelles passe l'emprunt lexical en intégrant la langue d'accueil. / This linguistic study deals with lexical words borrowed from the French language into the Tunisan arabic dialect.Our main point concerns the integration of lexical words from the French language into the Tunisian arabic dialect.The objective of our research is not only to identify, classify and analyse the occurences of the lexical words borrowed from the French language recognized by the Tunisian arabic dialect but also to describe the phonological, morphological, syntaxic, semantic and graphic adaption of the various phases necessary to the integration of the lexical words borrowed from the Ffench language by integrating the host language.
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Problématiques de l'emprunt et problèmes de traduction : études de cas entre langues arabe et française / Problems of the Loanword and Problems of Translation : case studies between Arabic and French languages

Rustom-Ozone, Nisrine 13 December 2010 (has links)
Deux notions formeront cette étude : les emprunts linguistiques d’abord et la traduction ensuite. Pour les aborder, nous nous intéresserons à des problèmes théoriques liés aux sémantiques lexicale et discursive afin de dégager les cadres théoriques de ces deux sujets en prenant appui sur des exemples authentiques dans les deux langues (français et arabe). On s’interrogera dans un premier temps sur le rôle exact de l’emprunt dans le mécanisme complexe du langage. Nous commencerons à poser les données du problème, tout d’abord, au niveau lexicologique où le contact se fera entre les mots et leurs équivalents morphosyntaxiques dans l’autre langue ; c’est le cas le plus simple à analyser. Ensuite, notre analyse s’élargira au niveau discursif, là, le discours sera affronté dans sa complexité. Contrairement à une idée reçue du structuralisme qui présente la langue comme un organisme statique, il s’agit d’un système changeant qui rétablit sans cesse ses équilibres internes compromis. Notre analyse va être basée sur la théorie praxématique qui voit que la réalité et la langue sont inséparables. L’emprunt est une preuve par son existence et son maintien, qu’une nouvelle réalité existe, utilise un nouvel élément pour la caractériser. A travers les problèmes de l’emprunt linguistique, on trouve donc des problèmes liés à la langue, au lexique et au discours. Puisque l’emprunt est le passage du lexique d’une aire linguistique à l’autre, il soulève également tous les problèmes fondamentaux de la traduction : ici c’est l’analyse discursive qui est directement concernée. Nous nous intéresserons donc à la problématique des contacts des langues, d’une part, au plan de l’unité minimale qu’est le mot, et d’autre part, à celui de son actualisation en discours qui est au coeur de la problématique de la production du sens. / Two notions will train this study: the linguistic loanword at first and the translation then. To approach them, we shall be interested in theoretical problems bound in semantic lexical and discursive to loosen the theoretical frames executives of these two subjects by taking support on authentic examples in both languages (French and Arabic). First of all we will wonder on the exact role of the loanword in the complex mechanism of the language. We shall begin to put the data of the problem, first of all, at the lexicological level where the contact will be made between the words and their morphosyntactic equivalents in the other language; it is the easiest case to analyze. Then, our analysis will widen at the discursive level, there, the speech will be faced in its complexity. Contrary to a generally accepted idea of the structuralism which presents the language as a static body, it is a changeable system which restores ceaselessly its damaged internal balances. Our analysis will be based on the praxématique theory which states that the reality and the language are inseparable. The loanword is a proof by its existence and its preservation that a new reality exists, since it consists in using a new element to characterize this very reality. Through the problems of the linguistic loan, we thus find problems connected to the language, to the lexicon and to the speech. Because the loan is the passage of the lexicon of a linguistic area to the other one, it also raises all the fundamental problems of the translation: here the discursive analysis is directly concerned. We shall thus be interested in the problem of the contacts of the languages, on the one hand, to the plan shot of the minimal unit which is the word, and on the other hand, to that of its updating in speech which is in the heart of the problem of the production of the sense direction.
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Code-switching : language of bilingual children and what it can reveal about multiple language use

Waine, George 09 1900 (has links)
Le code-switch et les emprunts sont tous les deux des phénomènes linguistiques très courants parmi les communautés multilingues. Malgré le fait qu’il y ait eu beaucoup de recherche à propos de ces phénomènes, il existe deux aspects qui n’ont pas été explorés de manière satisfaisante. Premièrement, la distinction exacte entre le code-switch et l’emprunt, et, deuxièmement, le code-switch parmi les enfants. Plusieurs chercheurs proposent que la différence entre le code-switch et l’emprunt existe dans la phonologie : les emprunts d’une langue à une autre subissent des assimilations phonologiques selon la langue de cible. Si celle-ci est une distinction nécessaire des emprunts, cela ne veut pas dire qu’il est suffisant pour les distinguer du code-switch. Ceci amène plusieurs chercheurs à postuler que la différence cruciale entre le code-switch et l’emprunt est que ce premier est soumis à un ensemble de contraintes. Toutefois, la nature de ces contraintes varie beaucoup parmi les théories. Le code-switch dans les locuteurs bilingues jeunes est un outil idéal pour tester la validité des théories proposées : plusieurs chercheurs proposent qu’il existe un aspect développemental de ces contraintes, qui informe de manière importante sur la nature de l’acquisition du langage bilingue. La cible de ce travail est de répondre à deux questions cruciales. Tout d’abord, s’il existe bel et bien un aspect développemental des contraintes concernant le code-switch, et, deuxièmement, comment le code-switch des enfants peut informer sur l’usage de langues multiples, particulièrement concernant l’acquisition du langage bilingue. / Code-switching and borrowing are both highly common linguistic phenomena in multilingual communities. Whilst much research has been carried out on these phenomena, there are two aspects of them which have not been satisfactorily explored. Firstly, the exact distinction between code-switching and borrowing, and secondly, that of code-switching in children. Many researchers state that the difference between code-switching and borrowing lies in phonology: borrowings from another language assimilate to the phonology of the language in which they have been inserted. Whilst this may be a necessary distinction of borrowing, it may not be sufficient to distinguish it from code-switching. This has led to many researchers to propose that a key difference between code-switching and borrowing is that the former is subject to a set of constraints, though these differ greatly between theories. Code-switching behaviour of young bilingual children is ideal for testing the validity of these theories: many researchers argue that there is a developmental aspect to constraints acting upon children’s code-switching, which provides valuable insight into the nature of bilingual language acquisition. The aim of this thesis is therefore to answer two crucial questions. Firstly, if there does indeed exist a developmental aspect to constraints acting on children’s code-switching, and, secondly, what bilingual children’s code-switching can reveal about multiple language use, particularly with regards to bilingual language acquisition.
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The Influence of the Linguistic and Discursive Properties of English Loanwords on their Integration into the Francophone Press of Quebec

Yazeva, Alexandra 21 December 2023 (has links)
Abstract: For more than 250 years, the Canadian province of Quebec could be considered a territory of intensive "language contact" situations (Hoffer, 2002; Winford, 2003) between French and English. One of the outcomes of this situation is the flow of lexical units that pass especially from English to French (that is, loanwords). Against this sociolinguistic background, we observe a paradox that inspired the present study. On the one hand, English loanwords are widely reported to represent an "invasive species" (Peritz, 2018) in Quebec French. On the other hand, these lexical units are uncommon, as the relevant literature has shown through examples drawn from French oral speech (Poplack, 2017) or the francophone press (Planchon, 2019). In fact, these studies have demonstrated that English loanwords account for less than 1% of francophone communication of up to a few hundreds of millions of words. To identify a possible explanation for the abovementioned contradiction, we verify our hypothesis about the dependence of loanword frequency on both the context of loanword usage and the type of loanword that these items belong to in the Quebec francophone press. To this end, we pose the following research questions: 1. Are there any differences in the integration of English loanwords selected from the authoritative online reference source, the Banque de Dépannage Linguistique (2021), into various Quebec francophone print media context types as they are observed in a francophone newspaper, "Le Devoir"? 2. Does the type of borrowing to which an English loanword belongs (as it is indicated in the studied reference source) influence the integration of this unit into the contexts of "Le Devoir"? We choose a Quebec francophone newspaper, "Le Devoir," as our study material; it represents a corpus of 66,402,141 words drawn from 1,556 issues published between 2017 and 2020. Our reference pool is a list of examples of five types of English loanwords (i.e., "integral," "syntactic," and "idiomatic") described in the Banque de Dépannage Linguistique (2021) of the Office québécois de la langue française. To the best of our knowledge, this doctoral study is the first to produce a deep qualitative assessment of the contextual usage of five types of English loanwords (24 lexical units) in the Quebec press over the past quarter of a century and the first ever to analyze idiomatic English loanwords in this respect. Quantitative, contextual, and discourse analysis methods allow us to confirm our hypothesis. Indeed, contexts related to the context types "Culture," "Miscellaneous Topics," and "Opinions and Letters" are the most likely to feature English loanwords. Our multidimensional approach reveals important and recurrent usage patterns that are characteristic of the studied loanword types (for example, the idiomatic loanword "appliquer mur à mur" in the recurrent contexts of discussions on educational policies or the hybrid item "énergisante" in "boisson énergisante" as a negatively perceived term in the recurrent contexts of healthy habit recommendations). -- Résumé: Depuis plus de deux cent cinquante ans, la province canadienne du Québec peut être considérée comme un territoire de situations de "contact linguistique" intensif (Hoffer, 2002 ; Winford, 2003) entre le français et l'anglais. L'une des conséquences de ces situations est le flux inévitable d'unités lexicales passant notamment de l'anglais au français (les emprunts). Dans ce contexte sociolinguistique, nous observons un paradoxe qui a inspiré la présente étude. D'une part, les emprunts à l'anglais sont largement signalés comme ceux représentant une "espèce invasive" (Peritz, 2018) dans le français québécois, et pourtant, d'autre part, ces unités lexicales ne sont pas abondantes, comme la littérature pertinente le prouve de manière irréfutable par les exemples du discours oral français (Poplack, 2017), ou de la presse francophone (Planchon, 2019). En fait, comme l'ont démontré les études mentionnées, la part des emprunts à l'anglais représente moins de 1 % de la communication francophone, qui compte jusqu'à quelques centaines de millions de mots. À la recherche d'une explication possible de la contradiction mentionnée, nous cherchons, dans le cadre de notre étude et en nous référant à l'exemple de la presse francophone québécoise, à vérifier l'hypothèse de la dépendance de la fréquence des emprunts à la fois au contexte d'utilisation de ces items et au type d'emprunt auquel ces items appartiennent. Les questions de recherche que nous posons sont donc les suivantes : 1) Existe-t-il des différences dans l'intégration des emprunts à l'anglais, sélectionnés dans la source de référence en ligne faisant autorité, la Banque de Dépannage Linguistique (2021), dans divers types de contextes de la presse écrite francophone québécoise, tels qu'ils sont observés dans un journal francophone, "Le Devoir" ? 2) Le type d'emprunt auquel appartient une unité lexicale (tel qu'il est indiqué dans la source de référence étudiée) a-t-il une influence sur l'intégration de cette unité dans les contextes du "Devoir" ? Nous choisissons un journal francophone québécois, "Le Devoir," comme matériel d'étude (corpus de 66 402 141 mots provenant de 1 556 numéros du journal publiés entre 2017 et 2020). Notre liste de référence est la liste pertinente des représentants des cinq types des emprunts à l'anglais (à savoir, "intégral," "hybride," "morphologique," "syntaxique," "idiomatique") telle que décrite dans la Banque de Dépannage Linguistique (2021) de l'Office québécois de la langue française. À notre connaissance, cette étude doctorale est la première du genre au cours du dernier quart de siècle à aborder l'évaluation qualitative approfondie de l'usage contextuel de cinq types des emprunts à l'anglais (24 unités lexicales) dans la presse québécoise, les emprunts idiomatiques étant analysés à cet égard pour la toute première fois. Les méthodes d'analyse quantitative, contextuelle et discursive nous aident à confirmer notre hypothèse. En effet, les contextes liés à la "Culture," aux "Sujets divers" et aux "Opinions et lettres" s'avèrent être ceux qui accueillent le plus les emprunts à l'anglais. Notre approche multidimensionnelle des emprunts révèle des modèles d'utilisation influents et récurrents qui sont caractéristiques des types d'emprunts étudiés, par exemple : l'emprunt idiomatique "appliquer mur à mur" dans les contextes récurrents de discussions sur les politiques éducatives ou celui hybride "énergisante" dans "boisson énergisante" en tant que terme perçu négativement dans les contextes récurrents de recommandations d'habitudes saines."
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L’emprunt linguistique dans le lexique des homosexualités : étude historique et comparative des internationalismes en français, italien, espagnol, anglais et allemand / Loanwords in the lexicon of homosexuality : a historical and comparative study of internationalisms in French, Italian, Spanish, English and German

Lovecchio, Nicholas 10 May 2019 (has links)
Cette thèse étudie le lexique international de l’homosexualité d’un point de vue linguistique, en prenant comme point de départ le fait que les internationalismes sont des emprunts lexicaux qui doivent être étudiés dans une perspective historique et comparative. Après une réflexion critique sur les différentes approches à l’étude de l’emprunt linguistique (philologique vs. sociolinguistique), qui situe la problématique dans le cadre de la néologie en général, il s’agissait d’évaluer jusqu’à quel point le vocabulaire de l’homosexualité dans plusieurs langues d’Europe – le français, l’italien, l’espagnol, l’anglais et l’allemand – résulte de phénomènes d’emprunts lexématiques ou de calques, en émettant et en testant l’hypothèse selon laquelle la plupart de ces dénominations relèvent de la monogenèse, et non de la polygenèse. Pour ce faire, on suit le parcours historique de chaque lexème, dans chaque langue, pour mettre en relief les points de contact entre elles. La nomenclature consiste en 13 séries monographiques : sodomie, contre nature, bougre, bardache, tribade, pédérastie, saphisme, lesbienne, uranisme, inversion, homosexualité (avec hétérosexualité, bisexualité, transsexualité), gay, queer. Chaque série est divisée par langue, pour que les représentants de chacune des cinq langues soient traités selon leurs propres termes. À travers de très nombreux exemples textuels – majoritairement inédits – et une analyse puisant dans une lecture exhaustive de la lexicographie et des sources secondaires, cette thèse propose de multiples corrections, précisions, antédatations et découvertes sur le lexique étudié. / This thesis is a linguistic study of the international lexicon of homosexuality, taking as its central assumption that internationalisms are the product of lexical borrowing and must be studied in a historical comparative perspective. Following a critical review of different approaches to loanword studies (philological vs. sociolinguistic), which places the problem within the more general realm of the neologism, the aim was to assess to what extent the shared homosexual lexicon in several European languages – French, Italian, Spanish, English and German – results from borrowing (loanwords or calques), by testing the hypothesis that most of these denominations can be traced back to a single origin, rather than being independently constructed. The path of each lexeme in each language is followed in order to highlight the points of contact between languages. The nomenclature consists of 13 monographic series: sodomy, against nature, buggery, bardash (with berdache), tribade, pederasty, sapphism, lesbian, uranism, inversion, homosexuality (with heterosexuality, bisexuality, transsexuality), gay, queer. Each series is divided by language so that the representatives of each of the five languages are treated on their own terms. Through a wealth of textual examples – many never before studied – and an analysis drawing on a comprehensive reading of the lexicography and major secondary sources, this thesis presents numerous corrections, clarifications, antedatings and discoveries on the lexicon under study.
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Les emprunts arabes en hausa dans l'oeuvre poétique de Nana Asma'u (1792-1864) : étude linguistique et statistique / Borrowed Arabic in Hausa in the poetic work of Nana Asma’u (1792-1864) : A linguistic and statistical study

Moutari, Mahaman Sabo 11 July 2016 (has links)
L’incursion de l’Islam en Afrique subsaharienne à partir du IXe siècle, s’est opérée via le commerce transsaharien entre les peuples d’Afrique du Nord et ceux du Sahel. Ce contact entretenu par les caravanes commerciales entre les deux peuples a engendré l’islamisation progressive de la population hausaphone. Sous l’influence de l’arabe, plusieurs vocables sont introduits dans le lexique du hausa. Cet effet islamique s’accompagne d’une révolution dans la production de la littérature arabe-ajami. Grâce à l’adaptation de l’écriture ajami, Nana Asma’u, une polyglotte de renommée écrit au 18e siècle, plusieurs œuvres poétiques dont la plupart sont en langues - hausa, fulfulde et arabe. Sur la base de ces observations, cette thèse se propose d’analyser les emprunts lexicaux arabes dans les œuvres poétiques de l’auteur, et leur intégration dans la langue hausa. Sur le plan méthodologique, notre travail de recherche s’appuie sur la combinaison de deux méthodes : linguistique et statistique ; ce qui nous a permis d’analyser tous les phénomènes afférant au métissage linguistique et culturel dans les œuvre de Nana Asma’u. Notre corpus comprend 15 œuvres poétiques que nous avons lemmatisées en préalable aux calculs statistiques à l’aide du logiciel Excel. Les principaux résultats obtenus sur les formes graphiques, montrent une fréquence d’utilisation très élevée des emprunts arabes. L’association de l’analyse linguistique et des traitements informatiques, nous a permis ainsi de confirmer, de façon formelle et impartiale, que la plupart des emprunts les plus fréquents relèvent de domaines religieux, et donc liés aux lexiques de situation. / The incursion of Islam in Sub-Saharan Africa from the 19th Century was operated through trans-Saharan commerce between the peoples of North Africa and those of the Sahel. This contact, maintained by the commercial caravans of these two peoples engendered the progressive islamisation of the Hausa-speaking populations. Under the influence of Arabic, several terms were introduced into Hausa lexicon. This Islamic effect comes with a revolution in the production of Arabic-Ajami literature. Thanks to the adaptation of Ajami writing, Nana Asma’u, a renowned polyglot, wrote several poetic works in the 18th Century, most of which are in the Hausa, Fulfulde and Arabic languages. On the basis of these observations, this thesis proposes to analyse the borrowed Arabic lexicon in the poetic works of the author, and their integration into the Hausa language. From the methodological perspective, our research work relies on a combination of two methods: linguistic and statistical; which enable us to analyse all the phenomena relating to linguistic and cultural hybridization in the works of Nana Asma’u. Our corpus is made up of poetic works that we have first of all lemmatized using statistical calculations with the help of Excel software. The principal results, obtained in the form graphs, indicate a frequency of very high usage of words borrowed from Arabic. The association of the linguistic and computer analyses enabled us to confirm, in a formal and impartial manner, that most of the frequent borrowings fall under religious domains, and as such linked to situational vocabulary.

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