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The role of European Regions within the framework of international relations of composite States. In particular, the Spanish Case / El rol de las Regiones Europeas en el marco de las relaciones internacionales de los Estados compuestos. En particular, el Caso EspañolRidao Martín, Joan 12 April 2018 (has links)
The competence of the European States in the field of international relations seems to conceive at the present time as an all-embracing faculty, which embraces all responsibility for any activity with external significance. In the Spanish case, this trend has meant a return to the prevailing conception during the primary stage of constitutional development, and refers to coverage in an expansive reading of the State’s competency title on international relations and on the functions of international treaties and Direction Foreign policy constitutionally conferred on the Government. / La competencia de los Estados europeos en materia de relaciones internacionales parece concebirse en la actualidad como una facultad omnímoda, que abraza toda responsabilidad sobre cualquier actividad con trascendencia exterior. En el caso español, esta tendencia ha supuesto un regreso a la concepción prevalente durante la etapa primaria de desarrollo constitucional, y pretende hallar cobertura en una lectura expansiva del título competencial del Estado sobre las relaciones internacionales y en las funciones sobre tratados internacionales y dirección de la política exterior conferidas constitucionalmente al Gobierno.
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La dimension parlementaire de l'action extérieure de l'Union européenne / The Parliamentary Dimension of the European Union's External ActionCadilhac, Marie-Cécile 02 December 2017 (has links)
La dimension parlementaire de l’action extérieure de l’Union européenne, entendue comme la place occupée par le Parlement européen et par les parlements nationaux des Etats membres en tant qu’acteurs de l’action extérieure, se déploie à deux niveaux. Elle s’exprime tout d’abord, au sein de l’Union, à travers l’exercice des pouvoirs parlementaires octroyés par les traités (et le cas échéant par les droits constitutionnels nationaux), et ce de façon incontestable. Elle s’exprime ensuite sur la scène internationale au travers de multiples actions de diplomatie parlementaire, en l’absence de cadre juridique érigé par les traités, et ce de façon ambiguë. Dans l’un comme dans l’autre cas, la dimension parlementaire de l’action extérieure apparaît comme un atout, mais sous conditions, pour la poursuite de l’objectif d’affirmation de l’Union sur la scène internationale. Elle est en effet, en principe, un atout pour la légitimité démocratique de l’action de l’Union et pour la cohérence matérielle de l’action extérieure. Néanmoins, dans la pratique, cet atout demande à être confirmé. Afin d’être un atout effectif, la dimension parlementaire de l’action extérieure de l’UE suppose, à cet égard, d’assurer une conciliation harmonieuse de la légitimité démocratique de l’action de l’UE avec l’affirmation de l’Union sur la scène internationale. La quête de cette conciliation conduit à la formulation de réponses – réalisées ou réalisables – qui suivent un mouvement distinct selon l’espace d’expression des parlements. Lorsque le Parlement européen et les parlements nationaux agissent au sein de l’Union, les solutions résident dans la réalisation de multiples adaptations à partir du cadre juridique et institutionnel érigé par les traités. Ces adaptations, qui restent perfectibles, expliquent que la dimension parlementaire de l’action extérieure soit aujourd’hui encore un processus en construction. Lorsque le Parlement européen et les parlements nationaux agissent sur la scène internationale, les solutions résident dans la structuration d’un cadre juridique global, les règles juridiques existantes étant pour l’heure parcellaires et incomplètes. En définitive, l’action extérieure de l’Union s’enrichit d’une dimension parlementaire qui suppose, au sein de l’Union, d’approfondir les multiples adaptations réalisées à partir du cadre juridique existant et, sur la scène internationale, de structurer un cadre juridique global pour l’heure inexistant. / The parliamentary dimension of the European Union’s External Action, to be understood as the involvement of the European Parliament and of the National Parliaments of EU Member States as actors of the External Action, is rolled out on two levels. Firstly, it is undoubtedly articulated within the European Union, through the exercise of parliamentary powers conferred by the treaties (and, where appropriate, by national constitutional Law). Secondly, it is ambiguously articulated on the international scene through various parliamentary diplomatic actions, without any legal framework set up by the treaties. In both cases, the parliamentary dimension of the External Action appears to be an asset, but under conditions, for the assertion of the European Union on the international scene. It is, in principle, an asset for the democratic legitimacy of the EU’s Action and for the coherence of the External Action. However, it needs to be confirmed in practice. In order to be a truly effective asset, the parliamentary dimension of the EU’s External Action requires reconciling the democratic legitimacy of the EU’s Action with the assertion of the European Union on the international scene. The quest for this conciliation leads to different answers – effective or desirable – which follow a particular pattern depending on the parliaments’ “area of expression”. When the European Parliament and the National Parliaments act within the EU, these answers consist of multiple adaptations of the legal and institutional framework established by the treaties. These adaptations, which are still imperfect, can explain why the parliamentary dimension of the External Action is still a process under construction. When the European Parliament and the National Parliaments act on the international scene, the solutions consist of the structuring of a comprehensive legal framework, since the existing legal rules remain piecemeal and incomplete. Eventually, the EU’s External Action is enriched by a parliamentary dimension which implies deepening, inside the EU, the multiple adaptations achieved from the existing legal framework, and which implies structuring, on the international scene, a global legal framework, which is missing for the moment.
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La protection des droits de l'enfant dans l'action extérieure de l'Union européenne / The protection of the children’s rights in the external action of the European UnionBatista, Sandie 20 June 2018 (has links)
Le Traité de Lisbonne a profondément modifié l’étendue de l’action extérieure de l’Union européenne. L’une des modifications les plus importantes qu’il a apportée à l’action extérieure de l’Union européenne relève des objectifs constitutionnels qu’elle doit désormais satisfaire. En effet, l’article 3 §5 du Traité sur l’Union européenne concerne les objectifs internationaux de l’Union. Parmi ces objectifs, l’un d’eux est particulièrement important, d’une part, en ce qu’il traduit un intérêt nouveau de l’Union et, d’autre part, en ce qu’il était inattendu, il s’agit de l’objectif de protection des droits de l’enfant. Le nouveau statut de la protection des droits de l’enfant au sein du droit de l’Union est passé relativement inaperçu et la doctrine s’en est peu fait l’écho.Ce nouvel objectif sur la scène internationale soulève plusieurs questions tenant à l’existence d’outils juridiques permettant sa réalisation ou encore tenant à l’efficacité des mesures adoptées pour protéger les droits de l’enfant au niveau international. Ces différentes problématiques trouvent des réponses, toutefois, la réalisation de cet objectif soulève d’autres difficultés qui poussent à s’interroger sur les limites de l’action européenne et par la même, sur les limites du fonctionnement de l’Union européenne. Les droits de l’enfant sont un domaine particulier car ils emportent des aspects juridiques certes, mais pas seulement. L’Union européenne en décidant d’incorporer leur protection au sein de ses objectifs internationaux, se trouve dans une situation d’équilibriste tout particulièrement au regard de la situation internationale actuelle mêlant conflits armés, crise humanitaire et mouvements migratoires importants. Force est de constater que face à cette situation, l’Union connait de nombreuses difficultés à réaliser cette protection internationale des droits de l’enfant voire même à lui faire une place au sein de son action extérieure. / The Treaty of Lisbon has deeply changed the scope of the external action of the European Union. One of the most important changes it has made to the European Union's external action is the constitutional objectives it now has to meet. Indeed, Article 3 §5 of the Treaty on EU concerns the international objectives of the EU. Among these objectives, one of them is particularly important. Firstly, because it reflects a new interest of the EU and, on the other hand, because it was unexpected: it is the aim of protecting children’s rights. The new status of the protection of children's rights in EU law has been relatively unnoticed and the doctrine has barely relayed it. This new aim on the international scene raises several questions related to the existence of legal tools for its realization or to the effectiveness of the measures adopted to protect children’s rights at an international level. These different issues are answered. However, the achievement of this objective reveals other difficulties that raise issues about the limits of European action and therefore the limits of the functioning of the EU. Children’s rights are a particular matter because they carry legal aspects, of course, but not only. The European Union, by deciding to incorporate their protection into its international objectives, finds itself in a balancing act, particularly in regard of the current international context, which combines armed conflicts, humanitarian crisis and major migratory movements. It is clear that, faced with this situation, there are many difficulties encountered by the EU for the achievement of this aim of protection of children’s right and even in making it a part of its external action.
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EU Delegations Between Consistency and Pragmatism : A Study on the Political Role of EU Delegations in the Middle East and North AfricaAxelsson, Simon January 2023 (has links)
It is more than a decade since the Lisbon Treaty entered into force, and the European External Action Service (EEAS) was founded to unify the EU's foreign policy and make it more coherent and consistent. With the creation of the EEAS, the Commission delegations were transformed into EU delegations, and the delegations started to represent the whole EU abroad politically. The Lisbon Treaty clearly strengthened the EU foreign policy and arguably gave the EU a common voice in the world. However, the speed at which the transformation took, and takes place, is not the same in all third (non-EU) countries where the EU is present. Many scholars argue that there is still a lack of consistency in EU foreign policy, and some aspects of EU external action after Lisbon are still understudied, such as EU external action in specific regions. Against this backdrop, and within a theoretical framework of Frauke Austermann’s theory of a European diplomatic service of “different speeds,” this thesis examines the consistency of the political role between EU delegations in selected Middle East and North Africa (MENA) countries in an attempt to answer the following research question: How consistent is the political role between EU delegations in the MENA region twelve years after the founding of the EEAS and the political sections of the delegations? This is done by conducting and analysing semi-structured interviews with diplomats working in the political sections of fourteen of the sixteen EU delegations in the region. With the help of a qualitative content analysis method, the consistency of the political role is examined by investigating the function of the political sections, their main tasks within the respective delegations and their relations and interaction with headquarters in Brussels, EU member states’ (EUMS) foreign missions and host country authorities. The findings of this thesis show that a few observations of the interviewees could put the consistency of the political role into question. The main issues concerned malfunctioning cooperation between the sections of the delegations, the influence of specific EUMSs on the work of the delegations and the poor staffing (although this was a rather consistent issue). Yet, for the most part, based on the aspects studied in this thesis, the political role proved to be very consistent between the delegations of the region.
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La naissance d'une diplomatie européenne : vers la mise en place du Service européen pour l'action extérieure : le regard polonais / The birth of a European diplomacy : towards the establishment of the European external action Service : the Polish approachKulczyk, Marcin 30 September 2014 (has links)
La présente étude est consacrée à la naissance d'une diplomatie européenne sous le regard polonais. À travers l'histoire de la construction européenne, il s'agit d'analyser la marche vers la mise en place du Service européen pour l'action extérieure (SEAE). Lancé en 2010 sous l'autorité du Haut Représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, il devait réformer en profondeur les relations extérieures de l'Union européenne et lui permettre de s'affirmer en tant qu'acteur sur la scène internationale. Le regard de la Pologne permet de saisir plus concrètement les enjeux politiques et stratégiques liés à la création d'une diplomatie commune de l'UE. Deux aspects de cette diplomatie européenne sont étudiés : son visage et son appareil. Cette étude s'intéresse aux développements successifs de la représentation extérieure de l'UE dans la perspective de l'émergence d'une diplomatie européenne de réseaux. Elle démontre que la création du SEAE a provoqué des mouvements tectoniques dans l'architecture institutionnelle européenne et à l'intérieur des appareils diplomatiques nationaux. / The present study deals with the birth of a European diplomacy from the Polish point of view. Throughout the history of the European construction, the aim is to analyze the progress towards the establishment of the European External Action Service (EEAS). Launched in 2010 under the authority of the High Représentative of the Union for Foreign Affairs and the Security Policy, it had to reform in depth the external relations of the European Union (EU) and allow it to assert itself as an actor on the international stage. The Polish approach enables to grasp more concretely the political and stratégie issues related to the création of a common EU diplomacy. Two aspects of this European diplomacy are studied : its face and its apparatus. This study examines the successive developments of the EU external représentation in the context of the emergence of European diplomacy networks. It demonstrates that the EEAS has caused tectonic movements in the European institutional architecture and within national diplomatie services.
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La mise en oeuvre de la compétence de l'Union européenne en matière d'investissements internationaux / The implementation of the European Union's competence over international investmentsPigeon, Nicolas 02 July 2018 (has links)
En tant qu’entité politique dotée d’un pouvoir normatif, l’Union européenne participe à la tentative d’appréhension de la réalité économique que sont les investissements internationaux. Mais l’Union n’est pas un État ; or, l’appréhension juridique de cette matière résulte essentiellement de la coexistence d’États. Comment, dès lors, l’ordre juridique européen se saisit-il des investissements internationaux ? Il le fait de longue date dans le cadre de l’élaboration du marché intérieur puisque les traités UE et FUE sont, entre autres, des instruments de libéralisation des investissements transfrontaliers. Depuis l’entrée en vigueur du traité de Lisbonne, une étape supplémentaire a été franchie dans le processus de consolidation de la compétence européenne dans le domaine des investissements : l’Union est désormais dotée d’une compétence externe exclusive en matière d’investissements étrangers directs dans le cadre de la politique commerciale commune. La mise en œuvre de cette compétence européenne montre deux choses. Malgré l’entrée en vigueur du traité de Lisbonne, l’Union ne dispose encore que d’une compétence limitée dans ce domaine qui lui permet certes d’agir mais qui ne suffit pas à créer les conditions de sa pleine substitution aux États membres. La coexistence entre l’Union et les États membres qui en résulte n’empêche cependant pas la recherche autonome d’affirmation de l’Union sur la scène internationale. Celle-ci révèle alors la spécificité de son action économique extérieure : plus qu’elle ne protège l’investissement, l’Union recherche, au moyen de la règle de droit, la libre circulation des flux d’investissements et des courants d’échanges internationaux. / As a political entity endowed with a normative power, the European Union contributes to the attempt to apprehend the economic reality of international investments. But the Union is not a State ; yet, the juridical prehension of this matter essentially results from the coexistence of sovereign States. Consequently, how does the EU legal order comprehend international investments? Long-standing, it does so as part of the organisation of the internal market, since the TEU and TFEU are, among other things, juridical instruments of cross-border investments liberalisation. Since the entry into force of the Lisbon treaty, the strengthening of the EU’scompetence over international investments went one step further. Henceforth, the EU has an exclusive external competence over foreign direct investments within the framework of the common commercial policy. The implementation of this competence shows two things. Despite the entry into force of the Lisbon treaty, the Union still does not possess the whole competence on investment matters. Certainly, the Union can now act more easily in this field. However, that competence does not suffice to create the legal conditions allowing for its full substitution to the Member States. Though, the resulting coexistence between the Union and the Member States does not prevent the Union from researching an autonomous way to assertits own existence and identity on the world stage. By doing so, the Union reveals the specific features of its external economic action regarding international investments : more than the protection of particular investments, the Union seeks, by using the rule of law, the free movement of investment and trade international flows.
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La politique opérationnelle de l'Union européenne dans le cadre de la PESC : singularités et cohérences / The operational policy of the European Union within the framework of CFSP : peculiar and coherentDaniel, Elise 08 July 2016 (has links)
La Politique étrangère et de sécurité commune (PESC) est la politique de l'Union Européenne qui suscite le moins d'intérêt et le moins d'attention dans la doctrine de droit de l'Union Européenne. Ce statut d'enfant-perdu de la doctrine s'explique aisément : la Politique étrangère et de sécurité commune multiplie les singularités, et en tout premier lieu celle d'être généralement présentée comme étant la politique intergouvernementale par excellence de l'Union européenne. La PESC présente également la singularité d'être une politique opérationnelle. Plus de trente opérations civiles et militaires ont ainsi été menées au-delà des frontières de l'Union européenne. La PESC présente également la singularité d'être une politique opérationnelle. Plus de trente opérations civiles et militaires ont ainsi été menées au-delà des frontières de l'Union européenne depuis 2003 et le recours aux mesures restrictives ne faiblit pas. De la même manière, la conduite et la réussite de telles opérations a nécessité tant la mise sur pied d'institutions, d'organes et d'agences que l'établissement d'une base industrielle et technologique de défense et d'un marché intérieur de la défense. Le développement et l'affermissement de cette politique opérationnelle de l'Union européenne ne se sont cependant pas faits sans l'intervention des institutions européennes. Le Parlement, la Commission européenne et la Cour de justice de l'Union européenne exercent, au contraire, un contrôle politique, financier et juridictionnel toujours plus poussé sur cette politique. C'est alors la fin de la singularité de la Politique étrangère et de sécurité commune, laquelle tend à devenir comme les autres et à s'inscrire en cohérence avec le modèle d'intégration de l'Union européenne. / The Common Foreign and Security Policy (CFSP) is the EU policy, that arouses the least interest and attention in the doctrine of law of the European Union. This lack of consideration can easily be explained : the Common Foreign and Security Policy is peculiar is numerous ways, and first and foremost it is specific for being the quintessential intergovernmental policy of the European union. CFSP also presents the difference of being an operational policy. More than thirty civil and military operations have been carried out beyond the borders of the European Union since 2003 and the use of restrictive measures is not weakening. In the samie vein, the conduct and success of such operations required the development of institutions, bodies and agencies as well as the establishment of an European Defence Technological and Industrial Base and the creation of an internal market of defense. However, this operational policy of the European Union could not have been developed and strengthened without intervention of European institutions. The Parliament, the European Commission and the Court of justice of the European Union exercise more and more elaborate political, financial and judicial control over this policy. On this las aspect, the Common Foreign and Security Policy tends to become an European policy like any other and be consistent with the model of integration of the European Union.
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Le régime juridique de l'action internationale des Émirats Arabes Unis en faveur des réfugiés / The juridical system of the international actions contributed by the United Arab Emirates in favor of the refugeesAlzarouni, Fahad 28 January 2019 (has links)
Les aides humanitaires aux réfugiés occupent de plus en plus une place importante dans l’action extérieure du gouvernement des Émirats Arabes Unis au cours de ces dernières années, compte tenu du nombre croissant de crises humanitaires dans l’ensemble des régions du monde et en particulier au Moyen-Orient. Or, il faut préciser ici que l’action extérieure du gouvernement des Émirats en matière d’aide humanitaire se conforme à l’action de l’ensemble des États du Golfe du fait de la coordination des politiques étrangères effectuées par le Conseil de coopération des États du Golfe (CCG). Celui-ci entretient des rapports très étroits avec les agences humanitaires des Nations Unies (notamment le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (ci-après « HCR ») et le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge en tentant de développer un dialogue politique plus poussé / Humanitarian aid to refugees has become an increasingly important part of the United Arab Emirates government’s external action in recent years, given the increasing number of humanitarian crises in all regions of the world, and in particular in the Middle-East. However, it should be noted here that the UAE’s external action in the field of humanitarian aid is in link with the action of all the Gulf States because of the coordination of foreign policies carried out by the Cooperation Council of the United Gulf States (GCC). The latter has very close relations with the United Nations humanitarian agencies (in particular the Office of the United Nations High Commissioner for Refugees (hereinafter “UNHCR”) and the international Red Cross and Red Crescent Movement, attempting to develop a deeper political dialogue
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Strategie prosazování Čechů na pozice vedoucích delegací EU / The Strategy of Promoting Czech Citizens to the Position of Heads of EU DelegationsUrban, Patrik January 2020 (has links)
This diploma thesis deals with strategies of promoting Czechs as ambassadors of the EU (HoD) since the launch of the European External Action Service to the present. The main research goal of this thesis is to find out whether the Czech Republic promotes its candidates to the HoD positions in the countries of its priority interests. So far, a Czech citizen has become an HoD in six cases. These cases are confronted with a categorization of priority countries of the Czech Republic which has been elaborated by the author. Then, the Czech activities in promoting citizens are analysed based on interviews with relevant employees of the Czech state organs. These actions are consequently put into categorization of lobbying methods of the smaller states in the EU. Based on the categorization of the Czech territorial priorities, it can be claimed that the Czechs have not been sent as HoDs to the countries of the Czech interests so far. Even their other applications have not been meant to place them to the countries of the Czech interests. On the other hand, there is a bulk of activities embraced by the Czech Republic to reverse this trend. First, the Czech administration exacerbates networking and informal meetings among the Czechs based in Brussels. Second, the Czech state officials have developed formal...
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Vnější aktérství Evropské komise prostřednictvím podpory internacionalizace malých a středních podniků: Institucionální analýza Rámcového programu pro konkurenceschopnost (CIP), 2002-2009 / Strenghtening European Commission's external actorness through internationalisation of SMEs: An institutional analysis of Competitiveness and Innovation Framework Programme (CIP), 2002-2009Trnka, Jan January 2015 (has links)
European Union faced several external challenges in the beginning of the 21st century. Its enlargement to 24 member states led to a state of dissimilar and not well interconnected economies in need of a new model of external competitiveness. Finding the model and, more importantly, delivering it on community level, was a new task of the European Commission, especially after re-launch of the Lisbon strategy in 2005. Yet, there was another challenge for EU that was not so easy to address by the Commission: the relative weakening of EU's external economic action comparing to new increasingly assertive policies of other international players, especially BRICs. Was it possible for the Commission focus only on supporting EU competitiveness without any external action, as was expected by articles of the Treaty of Nice? As the thesis argues, indeed there was an external action of the Commission before the Lisbon treaty, through its public support of SME internationalization within the Competitiveness and Innovation Framework Programme (CIP). A neoinstitutional analysis of the issues on two levels is carried out: Firstly on the level of European institutions (motives, relevant contexts and institutional rules), secondly, on the level of secondary actors (SMEs, NGOs, CIP executive agency EACI), where the...
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