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Repenser la responsabilité lors de la mondialisation : vers une conception de la méta-responsabilité / Individual responsibility in the age of globalization : towards a conception of meta-responsibility

Álvarez Sánchez, José 13 November 2017 (has links)
Les domaines de la philosophie et de la théorie politique ont connu un certain nombre de changements au cours des quarante dernières années. L'un attire notre attention tout particulièrement ; le basculement d'un point de vue national, cristallisé par le contrat social rawlsien, vers un point de vue non-national. En effet, plusieurs penseurs abordent un ensemble de phénomènes considérés comme nouveaux, tels que les traités de libre commerce et l'économie globale, les entreprises et les institutions supra et transnationales, l'immigration et les contrôles frontaliers etc. Ces changements sont intéressants puisqu'ils obéissent, principalement, à une évolution majeure du terrain politique et social que l'on appelle mondialisation. Les théoriciens travaillant dans le domaine de la justice globale semblent s'adresser à deux questions différentes mais reliées. La première concerne la justice globale : dans quelle mesure et pourquoi l'ordre mondial est-il juste ou injuste ? Qu'est-ce qu'un ordre global juste ? La deuxième est dans un sens corollaire à la première, et concerne la responsabilité : qui devrait être blâmé ou digne d'éloge pour l'ordre mondial ? Est-ce que les citoyens sont responsables de l'ordre mondial ? Qui devrait redresser ses éventuelles conséquences injustes ? Face à l'économie mondialisée et aux institutions politiques et économiques internationales et trans-nationales, cette interrogation devient légitime et nécessaire : suis-je responsable à l'égard des travailleurs des sweat shop lorsque j'achète des habits à Auchan ou bien à l'égard des caféiculteurs très mal payés lorsque je prends un capuccino dans un café Starbucks ? Est-ce que les citoyens sont responsables des traités de libre commerce que leurs gouvernements signent ? Ces questions sur la responsabilité des individus dans le contexte de la mondialisation seront l'enjeu de ce travail de recherche. Nous interrogerons plus exactement la responsabilité d'un agent lorsqu'il fait partie d'un chaîne causale complexe, lorsqu'il participe d'une injustice structurelle. Ainsi, il ne s'agit pas seulement d'une chaîne causale, mais de connexions qui sont l'issue d'un changement des modes de productions, de consommation et de la concurrence dans un marché mondialisé. Plus important encore, il ne s'agit pas simplement de la responsabilité individuelle mais plutôt de la responsabilité individuelle en tant que citoyen, et donc d'une responsabilité politique. Elle peut certes être individuelle, mais nous devons tenir compte du fait qu'elle doit être pensée en tant que responsabilité politique, et pas uniquement morale, puisque l'individu et ses actions sont déterminés par des communautés politiques dans lesquelles il participe, ou dans lesquelles il est représenté. Ainsi, la mondialisation nous invite à repenser la responsabilité individuelle pour pouvoir rendre compte des intuitions morales et politiques qui guident une bonne partie du champ de la justice globale. Pour cela, nous verrons dans un premier temps la manière dont les théories de la justice globale essaient de répondre à ce défit. Grâce à cela nous dégagerons l'hypothèse qui nous guidera, l'idée que dans la mondialisation, un agent peut être responsable, avec d'autres, des raisons pour lesquelles il n'est pas considéré comme responsable. C'est-à-dire qu'il sera méta-responsable. Dans un second temps, nous essaierons de déterminer un model de responsabilité individuelle, et de comprendre comment la responsabilité est attribuée. Ensuite, nous essaierons de formuler une manière de concevoir la responsabilité politique. Grâce à ces deux éléments, la responsabilité individuelle et la responsabilité politique, nous pourrons parvenir à formuler une conception de la méta-responsabilité comme forme de penser l'agentivité traversée par la mondialisation. / The fields of philosophy and political theory have met major changes in the past 40 years. On of them is quite interesting; there has been a change of the national point of view, which paradigm could be the rawlsian model, to a non-national one. Many thinkers have thought about a set of phenomenons considered as new such as free trade agreements and global economy, supra and transnational institutions and corporations, immigration and border control etc. The thinkers working on global justice seem to adresse two sets of different but related questions. The first ones concern global justice: why and to which extend is global order just or unjust? What is a just global order? The second set is, in a sense a corollary of the first and concerns responsibility: who is to be blamed or praised for the global order? Are citizens responsible for the global order? Who should address its possible unjust consequences? Facing globalization and international and transnational political and economical institutions those questions become legitimate and necessary: am I responsible for the sweat shop workers that produced the clothes I bought at Auchan or for badly payed coffee-grower when I buy a capuccino at Starbucks? Are citizens responsible for the free-trade agreements that are signed by there governments? These questions concerning the individual responsibility in the age of globalization will be the object of these research. We will question the responsibility of an agent when he is part of a complex causal chain, when contributes to structural injustice. Thus, it is not only about a causal chain but about connexions that are the result of changes in the modes of production and consumption, or the competition on a global market. Moreover, individual responsibility, in this context, cannot be thought solely as individual but the responsibility of individuals qua citizen, this is political responsibility. It is certainly individual but since agents and their actions are also determined by the political communities to which they belong or that represent them, this responsibility must be thought as political and not only as moral. Thus, globalization invite us to rethink individual responsibility in order to make sense of the the moral and political intuitions the guide the field of global justice. In order to do so, we will see, first, the way in which some theories of global justice try to tackle this challenge. Thanks to this we will determine thy hypothesis that will guide us; the idea that in the context of globalization an agent can be responsible, with others, for the reasons that make him non-responsible, that is, meta-responsible. On a second moment we will try to formulate a model of individual responsibility and to understand its conditions of attributability. Subsequently we will try to formulate a way to conceive political responsibility. Thanks to this two elements, individual responsibility and political responsibility we will be finally able to formulate a conception of meta-responsibility as a way to think agency when it is entwined by globalization.
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Libéralisation ou équité des échanges? : Les conflits sur les modalités de l'élaboration de la politique commerciale américaine de l'ALENA à l'ALEAC (1991-2005) / “Free” trade or “fair” trade ? : The battle for the rules of American trade policy from NAFTA to CAFTA (1991-2005)

Velut, Jean-Baptiste 29 January 2009 (has links)
Aux Etats-Unis, les années 1990 ont été marquées par l’émergence de nouveaux débats politiques sur le libre-échange. Une large coalition de syndicats et d’organisations pour la protection de l’environnement et des consommateurs s’est pour la première fois mobilisée dans le but de redéfinir les règles de la politique commerciale américaine. Quel est le bilan de leurs activités politiques, près de quinze après leur première bataille législative contre l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) ? Ce travail de recherche s’appuie sur une série d’entretiens avec des acteurs politiques, des documents internes de groupes d’intérêts (syndicats, écologistes, patronat, etc.) et les registres du Congrès pour analyser les conflits entre les défenseurs du libre-échange et les partisans d’une « équité des échanges » à travers cinq études de cas entre 1991 et 2005. L’analyse conclut que la « relation spéciale » entre le patronat et l’exécutif a été l’un des principaux obstacles aux progrès de l’alliance entre syndicalistes et écologistes depuis l’origine du processus de décision jusqu’à la ratification au Congrès. Non seulement les institutions américaines ont limité l’influence des groupes de la société civile à l’origine des négociations commerciales, mais le président a également fortement assisté les organisations patronales dans leurs efforts de lobbying, leur permettant de remporter la plupart des batailles législatives entre 1991 et 2005. / The 1990s marked the emergence of the “new politics of American trade.” A large coalition of labor, environmental and consumer organizations fought to broaden the narrow economic scope of American trade policy and change the rules of globalization. More than fifteen years after their first legislative battle against the North American Free Trade Agreement, what is the legacy of their political mobilization? What factors constrained their progress? Drawing from interviews with political actors, lobbying materials from labor, environmental and business organizations, and congressional records, this dissertation analyzes the clash between “fair” and “free” traders in five major legislative battles from 1991 to 2005. It reveals that the “special relationship” between the business community and the executive branch was the key obstacle to the achievements of the “blue (collar)-green” alliance from the beginning to the end of the policy process. Not only did the private sector enjoy privileged access to the negotiations phase, but the president also assisted free trade coalitions in their lobbying efforts, allowing them to win most legislative battles.
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Global Warming and Our Natural Duties of Justice : A cosmopolitan political conception of justice

Maltais, Aaron January 2008 (has links)
Compelling research in international relations and international political economy on global warming suggests that one part of any meaningful effort to radically reverse current trends of increasing green house gas (GHG) emissions is shared policies among states that generate costs for such emissions in many if not most of the world’s regions. Effectively employing such policies involves gaining much more extensive global commitments and developing much stronger compliance mechanism than those currently found in the Kyoto Protocol. In other words, global warming raises the prospect that we need a global form of political authority that could coordinate the actions of states in order to address this environmental threat. This in turn suggests that any serious effort to mitigate climate change will entail new limits on the sovereignty of states. In this book I focus on the normative question of whether or not we have clear moral reasons to bind ourselves together in such a supranational form of political association. I argue that one can employ familiar liberal arguments for the moral legitimacy of political order at the state level to show that we do have a duty to support such a global political project. Even if one adopts the premises employed by the most influential forms of liberal scepticism to the ideas of global political and distributive justice, such as those advanced by John Rawls and Thomas Nagel, it is clear that the threat of global warming has expanded the scope of justice. We now have a global and demanding duty of justice to create the political conditions that would allow us to collectively address our impact on the Earth’s atmosphere.
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Extrême pauvreté et justice globale : une réflexion philosophique sur le concept de responsabilité dans une perspective cosmopolitique

Dongmeza, Cyriaque Grégoire 11 1900 (has links)
Le problème de l’extrême pauvreté dans le Tiers-monde n’est pas d’abord une question économique. Il est avant tout politique parce qu’il est la conséquence directe des choix de société et de l’organisation du pouvoir au niveau des États et des diverses instances de la communauté internationale. Le politique a pour objet la conquête du pouvoir et la répartition des richesses à grande échelle. Il s’agit aussi d’un problème moral parce que les options prises collectivement par les peuples et le concert des nations ne s’orientent pas toujours vers la vertu de justice et l’égalité de chances pour tous. Extrême pauvreté et justice globale forment un binôme qui nous ramène donc au cœur de la philosophie politique et morale. Après la Seconde guerre mondiale, la philosophie politique a élargi ses horizons. Elle réfléchit davantage à l’exercice du pouvoir sur la scène internationale et la distribution des richesses au niveau mondial. Le phénomène de la mondialisation économique crée une dépendance mutuelle et d’importantes influences multilatérales entre les États. Plus que par le passé, l’autarcie n’est guère envisageable. Le dogme de la souveraineté intangible des États, issu du Traité de Westphalie au XVIIe siècle, s’avère de plus en plus caduque au regard des enjeux communs auxquels l’humanité fait actuellement face. D’où la nécessité d’une redéfinition du sens des souverainetés nationales et d’une fondation des droits cosmopolitiques pour chaque individu de la planète. Voilà pourquoi le binôme extrême pauvreté/justice globale nécessite une réflexion philosophique sur le concept de la responsabilité qui s’étend non seulement sur la sphère nationale, mais aussi sur une large amplitude cosmopolitique. L’expression « pays du Tiers-monde » peut sembler archaïque, péjorative et humiliante. Cependant, mieux que celles de « pays sous-développés » ou « pays en voie de développement », elle rend compte, sans euphémisme, de la réalité crue, brute et peu élégante de la misère politique et économique qui y sévit. Bien qu’elle semble désuète, elle délimite assez clairement le domaine de définition conceptuel et géographique de notre champ d’investigation philosophique. Elle désigne l’ensemble des pays qui sont exclus de la richesse économique répartie entre les nations. Étant donné que le pouvoir économique va généralement avec le pouvoir politique, cet ensemble est aussi écarté des centres décisionnels majeurs. Caractérisée par une pauvreté extrême, la réalité tiers-mondiste nécessité une analyse minutieuse des causes de cette marginalisation économique et politique à outrance. Une typologie de la notion de responsabilité en offre une figure conceptuelle avec une géométrie de six angles : la causalité, la moralité, la capacité, la communauté, le résultat et la solidarité, comme fondements de la réparation. Ces aspects sous lesquels la responsabilité est étudiée, sont chapeautés par des doctrines philosophiques de types conséquentialiste, utilitariste, déontologique et téléologique. La typologie de la responsabilité donne lieu à plusieurs solutions : aider par philanthropie à sauver des vies humaines ; établir et assigner des responsabilités afin que les torts passés et présents soient réparés aussi bien au niveau national qu’international ; promouvoir l’obligation de protéger dans un contexte international sain qui prenne en considération le devoir négatif de ne pas nuire aux plus défavorisés de la planète ; institutionnaliser des règles transfrontalières de justice ainsi que des droits cosmopolitiques. Enfin, nous entendrons par omniresponsabilité la responsabilité de tous vis-à-vis de ceux qui subissent les affres de l’extrême pauvreté dans le Tiers-monde. Loin d’être un concept-valise fourre-tout, c’est un ensemble de responsabilités partagées par des acteurs identifiables de la scène mondiale, en vue de la coréparation due aux victimes de l’injustice globale. Elle vise un telos : l’épanouissement du bien-être du citoyen du monde. / The problem of extreme poverty in the Third World is not first and foremost a question of economy. It is above all a political one because it is the direct consequence of choices made by societies and of the organization of power at the level of the State and of various instances of the international community. Its object is the conquest of power and the distribution of wealth on a large scale. It is also a moral problem because the options taken collectively by nations and the society of nations tend towards or against justice and equality of opportunities for everyone. Extreme poverty and global justice form a binomial that therefore brings us back to the heart of political and moral theory. After the Second World War, political theory broadened its horizons. Since then, it also reflects on the exercise of power at the international level and the distribution of wealth at the world level. The phenomenon of economic globalisation creates a mutual dependency and important multilateral influences between the States. More than in the past, autarky is no longer something to consider. The dogma of the untouchable sovereignty of the States, that came forth from the Treaty of Westphalia in the XVIIth century, appears to be more and more obsolete in view of the common stakes that presently confront humanity. From which came forth the need for a remolding of the meaning of national sovereignties and for the founding of cosmopolitical rights for every individual on the planet. That is why the binomial in question provokes more of a philosophical reflection on the concept of responsibility that extends not only to the national sphere, but to a wide cosmopolitical amplitude. The expression “countries of the Third World” may seem archaic, pejorative and humiliating. However, more so than those of "under developed countries” or "developing countries" it accounts for, without embellishment, the raw, brutal, and far from elegant reality of the political and economical misery that exists there. Though it may be obsolete, it quite clearly delimits the area of conceptual and geographical definition of our field of philosophical investigation. It designates the grouping of countries that are excluded from the economical wealth distributed among the nations. Given that economic power generally goes together with political power, this grouping is also kept away from the major decisional centers. Characterized by an extreme poverty, the Third World reality requires a meticulous analysis of the causes of this extreme economical and political marginalization. A typology of the notion of responsibility offers a conceptual figure of this reality with a geometry of six angles: causality, morality, capacity, community, result and solidarity, as foundations for reparation. These aspects, under which responsibility is studied, are overseen by philosophical doctrines of consequentialist, utilitarian, deontological and teleogical type. The typology of responsibility gives rise to many solutions: bringing aid through philanthropy in helping to save lives; establishing and assigning responsibilities so that the mistakes of the past and the present be repaired both at the national and international levels; promoting the obligation to protect in a healthy international context that takes into consideration the negative duty not to harm the most disadvantaged of the planet; institutionalizing the transboundary rules of justice as well as of cosmopolitical rights. Finally, by omniresponsibility we will understand this as the responsibility of all towards those who endure the throes of extreme poverty in the Third World. Far from being a catch-all concept, it is an ensemble of shared responsibilities for identifiable actors on the world scene, with the view of coreparation due to the victims of global injustice. It aims at a telos: the blossoming of the welfare of the citizen of the world.
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Worlds Ahead?: On the Dialectics of Cosmopolitanism and Postcapitalism

Sculos, Bryant William 10 February 2017 (has links)
This dissertation argues that the major theories of global justice (specifically within the cosmopolitan tradition) have missed an important aspect of capitalism in their attempts to deal with the most pernicious effects of the global economic system. This is not merely a left critique of cosmopolitanism (though it is certainly that as well), but its fundamental contribution is that it applies the insights of Frankfurt School Critical Theorist Theodor Adorno’s negative dialectics to offer an internal critique of cosmopolitanism. As it stands, much of the global justice and cosmopolitanism literature takes global capitalism as an unsurpassable and a foundationally unproblematic system, often ignoring completely the relationship between the psycho-socially conditioned ideological aspects of capitalism and the horizon of achievable politics and social development. Using the philosophies and social theories of Adorno and Erich Fromm, I argue that there is a crucial psycho-social dimension to capitalism, or capitalistic mentality—represented in and functionally reproduced by transnational capitalism—that undermines the political aspirations of normative theories of cosmopolitanism, on their own terms. The project concludes with an exploration of Marxist, neo-Marxist, and post-Marxist theories as a potential source of alternatives to address the flaws within cosmopolitanism with respect to its general acceptance and under-theorizing of capitalism. The conclusion reached here is that even these radical approaches fail to take into account the near-pervasive influence of capitalism on the minds of radicals and activists working for progressive change or simply reject the potentials contained in existing avenues for global political and economic change (something which the cosmopolitan theories explored in earlier chapters do not do). Based again on the work of Adorno and Fromm, this dissertation argues that the best path forward, practically and theoretically, is by engaging cosmopolitanism and neo-/post-Marxism productively around this concept of the capitalistic mentality, building towards a praxeological theory of postcapitalist cosmopolitanism framed by a negative dialectical resuscitation of the concepts of class struggle and unlimited democracy. This postcapitalist cosmopolitanism emphasizes non-exploitative economic and political relations, cooperation, compassion, sustainability, and a participatory-democratic civic culture.
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Problémy sociální spravednosti na pozadí koncepce Johna Rawlse / Social justice issues against backround of John Rawls´conception

KOUBÍKOVÁ, Martina January 2010 (has links)
At first, the thesis aims at general definition of {\clq}qjustice``, it presents principles and typology of justice. Next, it explores a historical-social background of these conceptions of justice in an outline of historical eras. The second chapter introduces principles and distribution of property in social reality. The third chapter offers an overview of John Rawls´ conception of justice, which is one of the most important contemporary accounts. The fourth chapter deals with a social justice on an international level and enlarges upon Rawls´ theory discussing questions of global justice posed by other authors.
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Pandemin är inte över förran den är det överallt : En kvalitativ studie om hur experter ser på distributionen av vaccin mot covid-19 mellan hög- och låginkomstländer. / The pandemic is not over until it is over everywhere : A qualitative study of how experts view the distribution of COVID-19 vaccines between high- and low-income countries.

Andersson, Jennifer, Njekwa, Sue-Ellen January 2021 (has links)
Covid-19-pandemin utgör ett globalt hot mot hälsa, ekonomiskt välbefinnande och politisk stabilitet. Enligt forskare är vacciner mot covid-19 en nyckel till att få ett slut på pandemin och återgå till en viss typ av normalitet. Problemet är att vaccinerna mot covid-19 har fördelats ojämnt mellan hög- och låginkomstländer. Denna studie är baserad på kvalitativa semistrukturerade intervjuer som undersöker hur experter ser på distributionen av vacciner mot covid-19 mellan hög- och låginkomstländer. Mer specifikt, vilka faktorer som de anser påverka fördelningen samt vilka åtgärder som behövs för att göra fördelningen mer rättvis. Studien är kopplad till ett teoretiskt ramverk om global rättvisa som används för att förklara varför vi människor har skyldigheter att hjälpa varandra. Denna studies resultat indikerar att majoriteten av experterna anser att fördelningen av vaccinerna har i hög grad varit ojämn eftersom höginkomstländer har anskaffat mer vacciner än låginkomstländerna. Enligt experterna kan en global ojämn fördelning av vacciner leda till konsekvenser som att det utvecklas mutationer av viruset som inte vaccinerna fungerar emot, och att pandemin således fortsätter. Den viktigaste faktorn som experterna belyste är att länder har agerat nationalistiskt och att det har varit ett högt tryck på politiska ledare att skaffa vacciner för deras befolkningar. Experterna var överens om att Covax initiativet var en bra åtgärd för att vaccinerna skulle fördelas mer rättvist även om de också påpekade utmaningar med Covax. Denna studie bidrar därför till förståelsen att det finns många faktorer som påverkar den globala fördelningen av vacciner mot covid-19, men också att det finns flera åtgärder för att göra fördelningen mer rättvis. / The COVID-19 pandemic poses a global threat to health, economic well-being and political sta- bility. According to researchers, COVID-19 vaccines are a key to ending the pandemic and return- ing to a certain type of normality. The issue is that the COVID-19 vaccines have been unevenly distributed between high- and low-income countries. This study is based on qualitative semi-struc- tured interviews exploring how experts view the distribution of the COVID-19 vaccines between high- and low-income countries. More specifically, what factors that they consider to affect the distribution and what measures are needed to make the distribution more equitable. The study connects to the theoretical framework of global justice which is used to clarify why humans have obligations to help each other. The result of the study indicates that the majority of experts con- clude that the distribution of the COVID-19 vaccines has been very uneven because high-income countries have obtained more vaccines than low-income countries. According to experts, an une- ven distribution of the vaccines can lead to several consequences such as the development of mu- tants which the vaccine does not work against, and thus to the pandemic continuing. The main factor pointed out by the experts is that countries have acted nationalistic and that there has been a lot of pressure on political leaders to procure vaccines for their populations. The experts agree that the Covax initiative was a good measure for the vaccines to be distributed more fairly, alt- hough they also highlighted challenges with Covax. This study therefore contributes to the under- standing that there are many factors that affect the global distribution of vaccines against COVID- 19, but also that there are several measures to make the distribution more equitable.

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