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Analyse critique de la stratégie contre-insurrectionnelle canadienne en Afghanistan : le rôle de la propagande des opérations psychologiques

Forget, Amélie 04 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire cherche à comprendre les facteurs derrière l'échec éminent de la mission de l'OTAN en Afghanistan. Si la nature de la présence occidentale a dû passer d'une force d'assistance de sécurité à une véritable guerre contre-insurrectionnelle, l'adaptation difficile de la Coalition a eu des conséquences majeures. En employant un cadre d'analyse constructiviste critique, il a été possible d'identifier un triple paradoxe à cet égard, soit la complexification du commandement des forces alliées, la complexification du rapport à l'ami et à l'ennemi et la complexification dans le processus de légitimation de la mission. En deuxième partie, une lecture critique du premier manuel de contre-insurrection canadien, paru en 2008, révèle que son apport ne se trouve pas tant au niveau des principes, qui demeurent essentiellement les mêmes que ceux de la doctrine classique, mais bien au niveau des concepts. La doctrine canadienne présente des corrélations avec les principales innovations développées par les approches postpositivistes en théories des relations internationales au cours des vingt dernières années: elle place la relation entre le pouvoir politique, le discours et la légitimité au cœur du processus de sécurisation et de la contre-insurrection. Or, l'application de concepts postpositivistes à une ligne opérationnelle objectif-moyen-fin est épistémologiquement incompatible et entraine, dans la pratique concrète, son lot d'incohérences. Dans une mission de contre-insurrection, il revient aux opérations psychologiques de déterminer les formes pertinentes et les moyens de diffusion appropriés des éléments de propagande. La troisième partie étudie la formulation et la diffusion des messages émis par les Forces canadiennes en Afghanistan en étudiant des produits de propagande diffusés par les opérations psychologiques canadiennes. Leur méthode cherche explicitement à s'ingérer dans la narration sécuritaire des populations sélectionnées, en utilisant le processus de sécuritisation tel que théorisé par le constructivisme. Toutefois, trois limites opérationnelles viennent s'ajouter aux difficultés de la mission afghane: le manque de formation militaire au sujet des opérations non cinétiques, la subjectivité des agents et la quasi-absence de méthodes d'évaluation des opérations. Un constat semble faire consensus parmi les sources consultées: la solution au conflit afghan n'est pas militaire. Ce mémoire innove en appliquant l'opérationnalisation du constructivisme critique comme cadre d'analyse d'un cas empirique concret en études de sécurité. Il permet aussi de mettre à jour certains débats menés au sein des Forces canadiennes et la publication d'éléments de doctrine et de propagande très peu diffusés dans le domaine public. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : constructivisme critique, contre-insurrection, opérations psychologiques, Afghanistan, propagande
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Propagande, information et diplomatie publique pendant la guerre froide : les stratégies de l'USIA en Europe d'Eisenhower à Reagan / Propaganda, Information and Public Diplomacy : The Strategies of the United States Information Agency in Europe from Eisenhower to Reagan

Quessard-Salvaing, Maud 19 November 2009 (has links)
Pendant plus de quarante cinq ans l’atout maître de la diplomatie publique américaine a été l’Agence d’information des Etats-Unis (l’USIA, United States Information Agency), établie en 1953 à l’apogée de la guerre froide pour répondre à la propagande soviétique anti-américaine et coordonner les programmes culturels et d’information à l’étranger. En privilégiant une approche comparative, notre thèse se propose d’apporter un éclairage sur le rôle longtemps ignoré de la diplomatie publique au sein de la machine de la politique étrangère américaine en se concentrant sur trois Administrations présidentielles, Eisenhower, Kennedy et Reagan qui se distinguent comme des périodes charnières. Dans ce cadre, notre étude tente de déterminer le rôle qu’ont pu jouer les stratégies de la diplomatie publique américaine élaborées depuis Washington telles qu’elles furent pratiquées par les agents des services d’information (USIS) dans les pays de « la zone cruciale » (France, Italie et Allemagne) en Europe de l’Ouest, ou dans les nations captives. Notre thèse démontre que des premières campagnes de propagande des combattants de la guerre psychologique, dans les années 1950, aux émissions high-tech des champions de l’information et de la désinformation des années 1980, l’USIA fut au cœur des stratégies de persuasion de la puissance américaine en Europe. Au regard des succès et des échecs des activités officielles et officieuses pour lesquelles l’USIA a œuvré, nous abordons la délicate question de la réception des programmes d’information officiels et de l’efficacité des stratégies d’influence américaines dans les batailles européennes pour la liberté. / For 46 years, the centrepiece of U.S. public diplomacy was the United States Information Agency (USIA) established in 1953 at the height of the Cold War to counter anti-American propaganda from the Soviet Union and coordinate foreign information dissemination programs. The purpose of my dissertation - a comparative study - is to try to shed a new light on the too long neglected role of public diplomacy in the American foreign policy process over the course of three key presidential Administrations- Eisenhower, Kennedy and Reagan. Therefore in the course of my dissertation, through field centered case studies, I investigate the strategies set up by the USIA in Washington and by the USIS [United States Information Services] in the field for “the crucial zone” (defined as France, Italy and Germany), and for key “captive nations” (such as Poland, Romania, Czechoslovakia and Hungary). In my dissertation I argue that since the first propag! anda campaigns of the cold warriors to the high-tech broadcastings of the champions of information and disinformation, USIA was at the core of the American strategies of persuasion and power in Europe. Indeed, in the field, between 1953 and 1991 the psychological warfare between the US and the USSR turned into a cultural Cold War and a war of information in which both public and private networks were involved. Considering the success and failures of the covert and overt activities of the USIA I may tackle the tricky issue of the effectiveness of American strategies of influence in the European battle for freedom.
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Civils et militaires : les aspects culturels de la présence américaine en France, 1944-1967 / Civilians and the military : the cultural aspects of the American presence in France, 1944-1967

Doppler, François 20 November 2015 (has links)
Notre thèse se donne pour objectif d’examiner la projection culturelle de la présence militaire américaine en France entre 1944 et 1967. Après la Seconde Guerre mondiale, alors que le monde bascule dans la Guerre froide, nul ne sait déterminer l’issue de la confrontation politique et idéologique qui se déroule entre les États-Unis et l’Union Soviétique. En 1949, la France fait partie des pays fondateurs de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN). Sa participation à l’organisation internationale entraîne le « grand retour » des soldats américains, les GI, sur le territoire français. Celui-ci s’accompagne d’une politique culturelle inédite, qui se traduit par de nombreuses actions menées tant au niveau institutionnel que sur le terrain des bases militaires. Comment et pourquoi les autorités diplomatiques et militaires s’appliquent-elles à développer une stratégie de promotion de la présence militaire américaine en France ? Quelles formes prennent les campagnes de publicité organisées par les services d’information américains en France (USIS-France), pour développer les rapports entre civiles et militaires ? Quelle image les Français et les Américains se font-ils de cette présence militaire en territoire étranger ? À la lumière d’études journalistiques, archivistiques et de terrain, nous montrons que Washington s’emploie à conduire une politique culturelle « parabelliciste » très maîtrisée. Cette notion, adaptée de la pensée de l’intellectuel français Jacques Ayencourt en 1946, caractérise avec à-propos la politique culturelle américaine conduite de l’arrivée des premiers GI en 1944 jusqu’au départ des derniers bataillons en 1967. / Our thesis aims to examine the promotion of the American military presence in France from 1944 to 1967. After World War II, as the world was slowly drifting into the Cold War, the outcome of the political and ideological confrontation between the United States and the Soviet Union was still uncertain. In 1949, France took part in the foundation of the North Atlantic Treaty Organization (NATO). Its participation in NATO led to the return of US soldiers, the GIs, to French territory. Their return was accompanied by an unprecedented cultural policy, implemented both at the institutional level and in the day-to-day lives of French citizens. How and why did the diplomatic circles and the military establishment feel the need to develop a strategy to promote the US military presence in France? How were the advertisement campaigns conceived by the US information services in France (USIS-France) in order to develop a relationship between civilians and the military? What image did the French and the Americans have of this military presence on French soil? Based on journalistic, archival and field studies, our work shows that Washington’s cultural policy was “parabellicist,” aiming deliberately to keep both the French and the Americans on a war footing. This notion, derived from Jacques Ayencourt’s work in 1946, appropriately characterizes American cultural policy conduct from the arrival of the first GIs in 1944 until the last battalions departed in 1967.
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Rwanda, l'Opération Turquoise et la controverse médiatique (1994-2014) : analyse des enquêtes journalistiques, des documents secret-défense et de la stratégie militaire / Rwanda, "l'Operation Turquoise " and the media controversy (1994-2014) : analysis of journalistic investigations, top-secret files and military strategy

Onana, Auguste Charles 21 December 2017 (has links)
Le 22 juin 1994, le Conseil de sécurité de l’ONU vote la résolution 929 autorisantle déploiement d’une force multinationale humanitaire, neutre et impartiale au Rwandaayant pour mission de mettre fin aux massacres. Concrètement, c’est la France, àl’initiative de ce projet, qui va assurer le commandement de la mission dénomméeOpération Turquoise. Celle-ci se heurte à l’opposition des rebelles tutsis du FrontPatriotique Rwandais, aux réserves des organisations humanitaires mais elle reçoit lesoutien appuyé du gouvernement intérimaire rwandais hutu. L’Opération Turquoisesuscite surtout une vague d’accusations dans la presse française, le président FrançoisMitterrand et les militaires français étant accusés de « complicité de génocide », voire de« participation au génocide ». Ces accusations perdurent et reviennent régulièrementdepuis plus de vingt ans, relayées par des journalistes qui disent avoir découvert puisrévélé « l’inavouable » rôle de la France au Rwanda.Cette étude analyse les enquêtes journalistiques menées de 1994 à 2014 et lesconfronte aux documents confidentiels et secret-défense issus des archives américaines,françaises, rwandaises et onusiennes, ainsi qu’à la stratégie militaire mise en oeuvredurant l’Opération Turquoise. Elle permet ainsi d’identifier les sources sur lesquellesreposent ces accusations et d’en évaluer le bien-fondé. Ce faisant, elle met en évidence lafaçon dont la recherche s’est concentrée sur le génocide au détriment de la lutte arméeinitiée par le FPR de 1990 à juillet 1994, laissant de côté des aspects essentiels à lacompréhension de la tragédie rwandaise. / On the 22nd June 1994, the UN Security Council passes the resolution 929authorising the deployment of a multinational humanitarian, neutral and impartial force toRwanda having as its mission to put an end to the massacres. In concrete terms, it isFrance, on initiative of this project, who goes to carry out the command of the missionnamed Operation Turquoise. This comes up against the opposition of the Tutsis rebels ofthe Rwandan Patriotic Front, to the reservations of the humanitarian organisations but itreceives the backup support of the acting Rwandan Hutu government. OperationTurquoise incites above all a wave of accusations in the French press, with the PresidentFrançois Mitterand and the French military soldiers being accused of 'complicity ingenocide', even of taking part in the genocide. These accusations have endured and havebeen regularly coming back for more than twenty years, relayed by journalists who claimto have discovered then revealed the shameful role of France in RwandaThis study analyses the journalistic inquiries led from 1994 to 2014 and comparesthem with confidential secret defence documents stemming from American, French,Rwandan and UN records, as well as the military strategy put in place during OperationTurquoise. It also allows identification of the sources on which these accusations lie andevaluation of their validity. In so doing, it brings to the fore the way in which the researchhas focused on the genocide to the detriment of the armed struggle initiated by the RPFfrom 1990 to July 1994, leaving aside essential aspects in the comprehension of theRwandan tragedy.

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