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Au-delà des collines. Ethnographie des relations dominico-haïtiennes en zone frontalière.

Bourgeois, Catherine 19 August 2016 (has links)
Haïti et la République dominicaine sont séparées par une frontière de 380 kilomètres héritée de la période coloniale. Cette frontière illustre également un fait particulier dans la région :l’indépendance de la République dominicaine par séparation d’avec Haïti alors que la majorité des colonies du continent américain déclaraient leur indépendance en se séparant des empires coloniaux. Depuis cette époque, certains secteurs de la société dominicaine n’ont cessé d’alimenter un discours nationaliste centré sur l’anti-haïtianisme. Haïti occupe donc une place particulière dans l’imaginaire collectif dominicain comme cela apparaît notamment dans son traitement médiatique, dans les politiques migratoires ou encore dans les relations quotidiennes entre Dominicains et Haïtiens – la République dominicaine constituant la principale destination de migration pour la population haïtienne issue des secteurs populaires.Cette thèse porte sur les relations entre Haïtiens et Dominicains dans la région frontalière, lieu privilégié pour « étudier ethnographiquement les diverses formes par lesquelles des personnes de nationalités différentes cohabitent et entrent en relation » (Grimson). Dans ce travail, la frontière est envisagée comme une construction spatiale, politique et sociale. En ce sens, la thèse s’attache tout d’abord à décrire les processus par lesquels la limite entre les anciens empires coloniaux est devenue une frontière territoriale et sociale intégrée dans les pratiques des populations frontalières. Une attention particulière est ainsi portée sur le processus de construction nationale et sur la politique violente de nationalisation de la région frontalière dominicaine dans la première moitié du 20e siècle aboutissant à la fin des relations transfrontalières, des modalités de circulation dans cet espace ainsi que des modes d’organisation sociale et d’identifications locaux qui avaient jusque là prévalus. Cette période correspond à une phase intense de construction de l’identité nationale dominicaine résultant à la fois de l’imposition par les élites d’une idéologie centrée sur l’opposition avec le pays voisin, et d’une intériorisation de cette idéologie par la population frontalière. Dans cette perspective, une attention particulière est portée sur le massacre de la population haïtienne perpétré dans la région en 1937. À travers l’analyse des versions officielles et des récits mémoriaux de ce massacre, ce travail interroge la mémoire collective frontalière entendue comme le processus social de (re)construction du passé (Halbwachs) « [fondant] et [renforçant] les sentiments d’appartenances et les frontières socio-culturelles en définissant ce qui est commun à un groupe et ce qui le différencie des autres » (Pollak). Cette thèse pose donc la question des processus qui rendent possible l’émergence des sociétés nationales dans la lignée des travaux de B. Anderson sur le nationalisme et les communautés imaginées. Elle interroge également les modes d’expression du nationalisme dominicain à l’heure actuelle qui dévoilent partiellement l’intimité culturelle dominicaine.La thèse porte ensuite sur la gestion quotidienne de la frontière. À travers l’analyse de la législation sur le contrôle frontalier, la migration, le commerce mais aussi la santé, par exemple, et surtout à travers la description de l’application de ces réglementations, ce travail interroge la manière dont la population frontalière fait l’expérience de l’État et comment cette expérience constitue « une clef de production d’imaginaires sur la nationalité et sur la relation État-société » (Grimson). Ce faisant, il révèle l’existence de plusieurs conceptions de l’espace frontalier qui entrent parfois en conflit et qui participent donc à la reconstruction constante de la frontière. La thèse porte enfin – et c’est le point central de cette recherche – sur les relations quotidiennes entre Dominicains et Haïtiens dans l’espace frontalier. Les observations des interactions, les conversations et les entretiens font apparaître une multiplicité de frontières symboliques et sociales (dans le sens des travaux de F. Barth) entre les deux groupes et définies par des éléments, produits et reproduits au quotidien, tels que la langue, l’habillement, le métier ou encore la confession religieuse par exemple. Loin d’être anodins, ces éléments servent à identifier un individu comme appartenant à un groupe et ces identifications jouent un rôle fondamental dans les modalités des relations quotidiennes. Celles-ci se révèlent fortement asymétriques et, pour la plupart, elles n’existent que dans la mesure où elles sont intéressantes pour l’une des deux parties (principalement les Dominicains). Les relations se déroulent dès lors principalement dans le cadre du travail agricole et du commerce et sont généralement marquées par de la discrimination. Toutefois, l’ethnographie révèle également l’existence de relations plus privilégiées entre Dominicains et Haïtiens. Celles-ci semblent être le résultat de la capacité de certains individus (principalement des Haïtiens) à se mouvoir dans un espace normatif différent (compétence métisse, Cunin) et à construire des réseaux de relations transfrontaliers (compétence transfrontalière, Losonczy). Connaître et savoir s’adapter aux normes en vigueur dans un autre espace, connaître les codes de sociabilité, connaître les chemins à emprunter pour traverser la frontière, pouvoir s’exprimer avec une relative aisance dans la langue de l’autre, sont autant d’éléments permettant de construire des réseaux et de les mobiliser en fonction des besoins. Les relations ainsi établies peuvent conférer un accès privilégié à certains espaces de la zone frontalière comme les lieux d’hospitalité temporaire ou prolongée, et les personnes de confiance (Losonczy). Par ailleurs, l’ethnographie montre que les modalités d’interactions et de cohabitation varient aussi en fonction des lieux de contacts et de la temporalité des migrations – celles-ci s’effectuant essentiellement depuis Haïti vers la République dominicaine. Trois zones de migrations apparaissent ainsi dans l’espace frontalier dominicain :les villes frontalières, les communautés rurales et les villages proches des grandes plantations agricoles. À chacun de ces espaces correspond une forme de migration plus particulière qui est soit journalière, soit temporaire ou encore prolongée. Si dans les trois espaces les relations sont majoritairement asymétriques, certains lieux semblent cependant plus propices à l’établissement des relations plus privilégiées (entraide, mariage, accueil d’un enfant,…) ou, au contraire, à une intensification du rejet et de l’exclusion (ségrégation spatiale, conflits, saccages d’habitations, expulsions,…). L’ethnographie révèle donc l’existence d’au moins deux formes d’organisation sociale dans la région frontalière dominico-haïtienne. L’une est celle de la « configuration sociale métisse » (Losonczy) que dessinent les formes de sociabilité basées sur les réseaux transfrontaliers. Celle-ci est toutefois mise à mal notamment par les représentations qui circulent sur les Haïtiens ainsi que par un ensemble de règles et pratiques qui soulignent les différences, réaffirment les frontières ethniques et assignent des appartenances identitaires. L’autre est celle de la « configuration du côte à côte » (Bourgeois) qui organise les modes de sociabilité de groupes mis en situation de co-présence limitant leurs relations à quelques échanges strictement définis. Dans ce type de configuration, les frontières des groupes apparaissent comme plus rigides, moins souples que dans le modèle de la configuration sociale métisse. Enfin, cette thèse montre que les relations et les différentes facettes de l’organisation sociale dans la région frontalière jouent un rôle dans la construction des appartenances identitaires locales. Plusieurs registres identitaires collectifs et individuels apparaissent ainsi dans les récits migratoires des Haïtiens et dans les conversations avec les frontaliers dominicains. Ces registres ne sont pas mutuellement exclusifs :ils révèlent une appartenance identitaire à géométrie variable en fonction des personnes avec lesquelles on se trouve et des modalités d’interactions. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Положение айнов в современном японском обществе : магистерская диссертация / Position of the Ainu in modern Japanese society

Chekunkova, E. S., Чекункова, Е. С. January 2015 (has links)
The paper analyzes the role and place of the Ainu in Japanese society at the end of XX – beginning of XXI century. The author explores Japan’s policy towards ethnic minorities and а development of the Ainu people's national movement. The author also investigates changes in living conditions of Japan’s indigenous people in recent decades, defines a current state of the Ainu language and culture. / Работа посвящена анализу места и роли айнов в японском обществе в конце XX – начале XXI вв. Автор раскрывает особенности политики Японии в отношении этнических меньшинств, определяет динамику развития национального движения айнов, а также прослеживает изменения условий жизни коренного народа Японии в последние десятилетия и дает оценку современному состоянию его культуры и языка.
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Information Communication Technologies and Identity in Post-Dayton Bosnia: Mendingor Deepening the Ethnic Divide

McIntire, William David 05 June 2014 (has links)
No description available.
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Paradoxical South Caucasus: Nations, Conflicts and Alliances

Melikyan, Gevorg 22 September 2010 (has links)
No description available.
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Interracial and intercultural adoption : a South African legal perspective

Ferreira, Sandra 05 1900 (has links)
The best interests of the child are paramount in every matter concerning the child. This applies in the case of adoption of a child as well. When an adoption is intercultural, culture is an issue to be taken into account. This study is undertaken to consider the role that culture should play in a decision whether an adoption is in the best interests of the child. In order to determine whether intercultural adoption is a viable option that serves the best interests of the child, interracial adoption also needs to be focused on, as intercultural adoption is often also interracial. The research for this thesis is done from a South African legal perspective, although some interdisciplinary and international research is necessary as well. A brief historical overview of adoption in South Africa is undertaken, as it is important to have some background knowledge about adoption in South Africa in order to understand why race and culture are relevant in the South African adoptive system. The role of the family in the life of the child is investigated. The difference between family care, parental care and alternative care is researched. Thereafter the role of emotional bonding for a child, also known as attachment, is focused on. An important question is whether race and culture is the same thing. This is researched, whereafter the role of race and culture in the adoption process is investigated. The relevant provisions of the Child Care Act 74 of 1983,which regulates adoption in South Africa, are compared to the relevant provisions of the Children’s Act 38 of 2005, which will regulate adoption in South Africa soon. Finally, some conclusions are drawn, shortcomings are highlighted and possible solutions are suggested. The outcome of this thesis should provide some guidance to those involved in the adoption process with regard to the factors that are important in determining the best interests of the child in an intercultural adoption. / Law / LL.D.
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Les relations interethniques dans la Grande Guerre ; regards sur le mythe du soldat canadien-français opprimé

Lalime, Céleste 04 1900 (has links)
Au Québec, la mémoire de la Grande Guerre renvoie automatiquement à une vision douloureuse de l’événement. Créée et alimentée par des souvenirs à forte charge émotive tels la crise de la conscription, les émeutes de Pâques et l’inhospitalité de l’Armée canadienne envers les combattants canadiens-français, cette mémoire est non seulement négative, mais également victimisante. Dans leur récit du conflit, les Québécois ont pris pour vérité une version qui les dépeint comme boucs émissaires des Canadiens anglais. Acceptée et intégrée autant dans l’historiographie que dans la croyance collective, cette thèse du Canadien français opprimé n’a jamais été questionnée. Ce mémoire entend donc revisiter cette version en la confrontant aux sources laissées par les contemporains. En utilisant la presse anglophone et les témoignages de combattants, il lève le voile sur le regard anglo-saxon envers les Canadiens français et dans une plus large mesure, sur les relations interethniques pendant la guerre. Il témoigne de la réalité du front intérieur comme de celle du champ de bataille pour ainsi proposer une réinterprétation de cette victimisation si profondément ancrée dans le souvenir québécois. / The First World War inevitably brings back painful memories in the province of Quebec. Quebeckers have a negative recollection of the war, viewing themselves as victims. Events related to the Great War such as the conscription crisis, the Easter riots and the inhospitality expressed by the Canadian Forces towards French Canadians are emotionally-charged memories that have nurtured this conception. When writing about the war, Quebeckers depict themselves as the scapegoats of English Canadians and present this notion as a truth. Integrated in both the historiography and popular beliefs, the idea of the oppressed French Canadian has never been questioned. This thesis aims at re-examining this idea by surveying contemporary sources: the Anglophone press and testimonies from soldiers. Its objective is to reassess the attitude and perception of Canadian Anglophones towards French Canadians, and more broadly the nature of interethnic relationships in the army during World War I, both on the home front and on the battlefield. It presents a reinterpretation of the victimisation that is deeply ingrained in the remembrance Quebeckers have of the conflict.
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Vazba kultury na sociální prostor Prahy (na příkladu slovenské a maďarské menšiny) / Relation of culture to the social space of Prague (on the example of Slovak and Hungarian minorities)

Mészárosová, Marianna January 2016 (has links)
The interrelation between space and culture represents the central question of this doctoral thesis. To interpret this relationship the author approaches the issue by virtue of actual identity attributes of the selected ethnic groups, namely Slovak and Hungarian minorities living in Prague. The aim of the work is to define the relevance and unique representation of the spatial and cultural phenomenon in the context of existing relations, including determining the extent of observability this mutual connection. The hypothesis of this doctoral is to present culture as a spatially unbounded, and the phenomenon of space as a medium, which can influence the intensity of interest in relation to the own ethno-identifying components. The verification of this assumption author carries out within social and virtual space, on the basis of registered discourses. Discourses, sorted into thematic categories, represent the most common attributes of ethnicity and ethnic identity of the given target groups. The empirical part of this thesis contains the analysis and interpretation of the discourses, which are supported with the theory of articulation. More comprehensive definitions of applied theoretical approaches, together with terminology, research methods and ethics or netiquette, are situated in the...
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Interracial and intercultural adoption : a South African legal perspective

Ferreira, Sandra 05 1900 (has links)
The best interests of the child are paramount in every matter concerning the child. This applies in the case of adoption of a child as well. When an adoption is intercultural, culture is an issue to be taken into account. This study is undertaken to consider the role that culture should play in a decision whether an adoption is in the best interests of the child. In order to determine whether intercultural adoption is a viable option that serves the best interests of the child, interracial adoption also needs to be focused on, as intercultural adoption is often also interracial. The research for this thesis is done from a South African legal perspective, although some interdisciplinary and international research is necessary as well. A brief historical overview of adoption in South Africa is undertaken, as it is important to have some background knowledge about adoption in South Africa in order to understand why race and culture are relevant in the South African adoptive system. The role of the family in the life of the child is investigated. The difference between family care, parental care and alternative care is researched. Thereafter the role of emotional bonding for a child, also known as attachment, is focused on. An important question is whether race and culture is the same thing. This is researched, whereafter the role of race and culture in the adoption process is investigated. The relevant provisions of the Child Care Act 74 of 1983,which regulates adoption in South Africa, are compared to the relevant provisions of the Children’s Act 38 of 2005, which will regulate adoption in South Africa soon. Finally, some conclusions are drawn, shortcomings are highlighted and possible solutions are suggested. The outcome of this thesis should provide some guidance to those involved in the adoption process with regard to the factors that are important in determining the best interests of the child in an intercultural adoption. / Law / LL.D.
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Fabriquer les peuples du Nord dans les films soviétiques : acteurs, pratiques et représentations / The Peoples of the North made in Soviet films : actors, practises and representations

Damiens, Caroline 02 October 2017 (has links)
Cette thèse porte sur les représentations des peuples autochtones du Nord forgées par les films et téléfilms soviétiques de fiction. Mobilisant plusieurs approches — l’analyse filmique, l’histoire culturelle du cinéma, l’histoire des représentations et l’histoire politique soviétique —, elle confronte les films à des sources non-films (presse, archives papier, entretiens), afin de mettre en lumière la construction d’une subjectivité et d’un regard. Il s’agit également de décortiquer la fabrication des représentations, dans ses dimensions à la fois les plus concrètes et les plus symboliques. En ce sens, la question de la participation ou de la non-participation des autochtones à la création de leur image filmique, que ce soit devant ou derrière la caméra, constitue une autre interrogation centrale. Les représentations filmiques des peuples du Nord, tiraillées en permanence entre visions du « progrès » et de l’« authenticité », opèrent à l’écran comme autant d’images qui permettent à l’Union soviétique d’évaluer sa propre perception de la modernité. Des années 1920 aux années 1980, les figures cinématographiques autochtones circulent entre deux pôles d’un continuum, qui va de l’incarnation d’une arriération à éliminer au nom de la soviétisation à celle d’une harmonie avec la nature, désormais perdue ou menacée. Par ailleurs, en prenant en compte la question de la contribution des autochtones à la création de leur propre image, cette thèse s’attache à montrer que le film constitue un espace complexe, où plusieurs lectures et usages sont possibles selon la position des participants. / This thesis focuses on the representations of indigenous peoples of the North in Soviet fiction films and made for TV movies. Mobilizing several approaches — film analysis, the cultural history of cinema, the history of representations and Soviet political history — it confronts films with non-film sources (press, paper archives, interviews) in order to highlight the construction of a subjective point of view. It also studies the production of these representations, in both its most concrete and symbolic dimensions. The issue of the participation or non-participation of indigenous peoples in the creation of their image on film, whether in front of or behind the camera, is another central question. The filmic representations of the peoples of the North, constantly torn between visions of “progress” and “authenticity,” operate on the screen as images that allowed the Soviet Union to evaluate its own perception of modernity. From the 1920s to the 1980s, images of indigenous people shifted along a spectrum ranging from the incarnation of backwardness to be eliminated in the name of Sovietization to the embodiment of harmony with nature, now lost or threatened. Moreover, taking into account the question of the contribution of the indigenous people to the creation of their own image, this thesis demonstrates that cinema became a complex space, where different readings and uses were possible according to the position of the participants.
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Interethnic conjugal unions among 1.5 and 2nd generations of Arab Canadians

Hassin, Fatima 12 1900 (has links)
Dans cette étude, j’examine la propension à former une union interethnique parmi les Canadiens arabes de seconde génération et de génération 1.5 en utilisant les données du recensement canadien de 2016. L’analyse descriptive montre que les unions interethniques sont fréquentes au sein de cette population. Environ la moitié des hommes (56%) et des femmes (49%) sont dans une union interethnique avec une personne non-Arabe d’origine immigrante ou un(e) Canadien(ne) de troisième génération ou des générations suivantes. La régression logistique multinomiale révèle que les hommes et les femmes avec un niveau d’éducation plus élevé, une ascendance partiellement arabe et un statut d’immigrant de deuxième génération sont significativement plus enclins à être en union interethnique qu’à être en union intraethnique avec un immigrant de première génération. Conformément à la théorie de l’assimilation segmentée, ces résultats suggèrent que l’intégration socioéconomique et l’acculturation contribuent à la propension des descendants arabes à former des unions avec des individus non-arabes. La propension des descendants arabes à être en union intraethnique avec des immigrants de première génération ou des descendants est aussi une problématique dont je discute. / In this study, I examine the propensity to form interethnic unions among the 1.5 and second generations of Arab Canadians using the 2016 Canadian census data. The descriptive analysis shows that interethnic unions are common within this population. About half the men (56%) and the women (49%) are in an interethnic union with a non-Arab person with an immigrant background or a Canadian of third generation or subsequent generations. The multinomial logistic regression reveals that men and women with higher educational attainment, part Arab ancestry and second-generation immigrant status are significantly more prone to be in an interethnic union than in an intraethnic union with a first-generation immigrant. In accordance with the segmented assimilation theory, these results suggest that socioeconomic integration and acculturation contribute to the propensity of Arab descendants to form unions with non-Arab individuals. The propensity of Arab descendants to be in intraethnic unions with first generation-immigrants or with descendants of immigrants (1.5 and second generations) is also discussed in this thesis.

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