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Entre chocs pétroliers et conflit israélo-arabe : la France et l’institutionnalisation de la politique proche-orientale de la Communauté Européenne : de la création de la Coopération Politique Européenne en 1969/70 à la déclaration de Venise de 1980 / Between oil price shocks and the arab-israeli conflict : France and the institutionalisation of a European Near-Eastern Policy : from the launching of European Political Cooperation in 1969/70 to the Venice declaration of 1980

Sattler, Verena 08 July 2015 (has links)
C’est avec le lancement de la Coopération Politique Européenne (CPE) en 1969/70 que les six États membres de la Communaute européenne (CE) ont tourné une page dans l’histoire de l’intégration européenne. À partir de cette date les membres de la CE se sont consultés sur des questions de politique étrangère afin d’harmoniser leurs vues et d’élaborer des positions communes. Dès le début la France avait le plus grand intérêt à mettre le Proche-Orient sur l’agenda des Six. Comme les deux chocs pétroliers de 1973/74 et de 1979 risquaient de peser lourd sur les relations euro-arabes, les autres États membres de la Communauté ont consenti en principe à développer une position commune envers le Proche-Orient. Ainsi une politique proche-orientale des Six, et àpartir de 1973 des Neuf, s’est institutionnalisée au cours des années 1970 qui était basée d’une part sur des déclarations communes sur la situation au Proche-Orient et d’autre part sur une coopération économique interrégionale plus étroite, notamment dans le cadre du dialogue euro-arabe. Sous la présidence de Georges Pompidou tout comme sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing la France a été le moteur dans le développement des relations euro-arabes des années 1970. Même si l’action française qui visait à faire adopter sa propre politique proche-orientale par ses partenaires européens n’était pas toujours couronnée de succès la déclaration commune du 6 novembre 1973 et surtout la déclaration commune de Venise du 13 juin 1980reflètent nettement position pro-palestinienne de la France. / By launching European Political Cooperation (EPC) in 1969/70 the six member states of the European Community (EC) openend a new chapter in the history of European Integration. Henceforward the six member states consulted each other in foreign policy issues in order to develop commun positions where possible. From the beginning France showed the greatest interest in putting the Middle East on the European agenda. As the two oil price shocks of 1973/74 and 1979 put a strain on the euro-arab relations the other member states of the EC supported the French request to develop a commun European Near-Eastern policy. Consequently, the 1970ies were marked by a process of institutionalisation of commun policy towards that region that was, on theone side, based on common European declarations, and, on the other side, on a more intense euro-arab cooperation in the field of economics, and this especially within the framework of the euro-arab dialogue. Both under the presidency of Georges Pompidou and under the presidency of Valéry Giscard d’Estaing France can be described as motor of the development and the extension of euro-arab relations. Even if the French diplomacy that tried to make her Near-Eastern policy a common European policy has not always been crowned with succes the common Brussels declaration of November 1973 and especially the common Venicedeclaration of June 1980 reflect clearly the pro-Palestinian stance of France.
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Le droit international à l'épreuve de la question palestinienne : quel état palestinien ? / International law put to the test of the palestinian question : which palestinian state ?

Al Smadi, Morsee 09 July 2012 (has links)
La question palestinienne est depuis un siècle sans solution. Les Palestiniens qui, tout comme les peuples arabes de la région, espéraient obtenir leur indépendance à l'issue de la 1ère Guerre mondiale se sont vus placés sous Mandat britannique octroyé par la Société des Nations. Depuis la Palestine est la terre d'un affrontement de deux nationalismes ; arabe palestinien d'un côté et juif sioniste de l'autre. L'intervention de l'ONU en vue de résoudre la question par le partage de la Palestine (un Etat arabe et un Etat juif) n'a pas apporté la solution. Au contraire, cela a aggravé la situation. Plusieurs guerres ont éclaté créant des situations humaines terribles notamment en ce qui concerne les réfugiés palestiniens et l'occupation des territoires palestiniens en 1967. De plus, le conflit israélo-arabe a pris un caractère durable. Depuis 1967 le Droit International dans son organisation actuelle se trouve tantôt inappliqué tantôt bloqué. En effet, Bien que les droits nationaux du peuple palestinien à l'autodétermination et à l'indépendance étatique aient été reconnus et à mainte reprise rappelés fussent l'occupation israélienne perdure. L'échec du Droit International dans le règlement de la question a laissé place à des négociations politiques, entre Israël et les Palestiniens représentés par l'OLP, et qui se sont soldées par la mise en place d'un régime transitoire vers la formation d'un Etat palestinien souverain. La dynamique d'Oslo a consolidé le droit du peuple palestinien à l'autodétermination, notamment par la territorialisation de la direction palestinienne dans les Territoires Occupés et l'instauration des structures institutionnelles autonomes, pouvant servir de base à la construction étatique. Toutefois, forcé de constater une inertie dans les négociations, qui durent depuis dix-huit ans, et un non respect du calendrier établi par les Accords. Aussi, plusieurs éléments mettent en doute la possibilité d'un Etat souverain et indépendant sur les frontières de 1967 : le durcissement de la position israélienne sur la question territoriale ; la volonté manifeste d'Israël de conserver le contrôle sur une partie de la Cisjordanie ; le refus d'évacuer les territoires selon le calendrier ; la multiplication des faits accomplis ; la poursuite de la colonisation et la construction du mur de séparation dans les Territoires Occupés. / For a century, the Palestinian issue has been unresolved. Following the First World War, Palestinians, like other Arab people in the region, hoped to gain their independence but were placed under British mandate granted by the League of Nations. Since then, Palestine has been a place where two nationalisms have clashed: Palestinian Arab nationalism on the one side and Jewish Zionism on the other. The UN intervention to resolve the issue by a partition of Palestine (one Arab state and one Jewish state) failed to provide a solution. On the contrary, it aggravated the situation. Several wars erupted which generated terrible human situations, regarding in particular the Palestinians refugees or the occupation of the Palestinian territories in 1967. Furthermore, the Arab-Israeli conflict became a long standing one. Since 1967, International Law, in its current form, is sometimes unimplemented sometimes blocked. Despite the rights of the Palestinian people to self-determination and independent statehood having been recognized and repeatedly reaffirmed, the Israeli occupation endures. International law's failure in resolving the issue has given way to political negotiations between Israel and the Palestinians represented by the PLO. Such negotiations led to the establishment of a transitory system towards the creation of a sovereign Palestinian state. The dynamics of Oslo has strengthened the right of the Palestinian people to self-determination, including by the territorialisation of the Palestinian authority in the occupied territories and the establishment of autonomous institutional structures which can form the basis for state building. However, forced to conclude to a lack of progress in the negotiations, under way for the past eighteen years, as well as to a failure to comply with the timetable established by the Agreements. Therefore, several factors cast doubt on the possibility of a sovereign and independent state to be established on the 1967 borders: the hardening of the Israeli stand on the territorial issue, Israel's clear desire to retain control over part of the West Bank; its refusal to evacuate the territories according to schedule; its policy of fait accompli, its continuation of settlement activities and the construction of the separation wall within the Occupied Territories.
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Des pacifistes israéliens : contextualisation sociohistorique de l’émergence des camps de la paix achkenazim et haredim (1881-2009)

Séguin, Michaël 12 1900 (has links)
Facile de discourir sur la paix ; complexe, par contre, d’évaluer si paroles et gestes y contribuent vraiment. De manière critique, ce mémoire cherche à contextualiser l’émergence de la nation israélienne de 1881 à 1948, de même qu’un certain nombre de forces pacifistes juives, religieuses comme séculières, sionistes comme anti-sionistes, que cette société a engendrées ou provoquées de la fin du XIXe siècle à aujourd’hui. Dans un premier temps, quatre stratégies utilisées pour construire l’État juif sont explorées : la voie pratique (l’établissement de mochavot, kibboutzim et mochavim), la voie diplomatique (le lobbying de Herzl et Weizmann), la voie sociopolitique (la formation de syndicats, de l’Agence juive et du Va’ad Leoumi) et enfin la voie militaire (la mise sur pied d’organisations paramilitaires telles la Hagana, l’Irgoun, le Lehi et le Palmah). Cette exploration permet de mieux camper le problème de la légalité et de la légitimité des nations palestinienne et israélienne. Dans un deuxième temps, une approche conceptuelle et une approche empirique sont combinées pour mieux comprendre ce qu’est un camp de la paix. L’exploration conceptuelle remet en question les critères qu’utilisent certains chercheurs afin d’identifier si une organisation contribue, ou non, à la construction de la paix. L’exploration empirique trace les contours de deux camps de la paix israéliens : les militants de la gauche séculière achkenazi (un pacifisme qui a émergé dans les années 1970) et les religieux haredim (un pacifisme opposé à l’idéologie sioniste dès ses débuts). Ce survol permet de saisir que tout système de croyances peut provoquer la guerre autant que la paix. La conclusion discute des défis du dialogue intercivilisationnel, des défis tant intranationaux (l’harmonie sociale israélienne entre les juifs achkenazim, mizrahim, russes, éthiopiens, etc.) qu’internationaux (la paix entre les Palestiniens et les Israéliens). / It is easy to speak of peace, but much more difficult to evaluate to what extent one’s actions really contribute to it. This master’s thesis seeks to critically contextualize the emergence of the Israeli nation from 1881 to 1948 and highlight certain Jewish pacifist forces, religious and secular, zionist and anti-zionist, which this society has generated or compelled into being from the end of the XIXth century until today. First, four strategies used to build the Jewish state are explored: the practical path (setting up moshavot, kibbutzim and moshavim), the diplomatic path (Herzl and Weizmann’s lobbying), the sociopolitical path (establishing unions, the Jewish Agency and the Va’ad Leumi) and finally the military path (setting up paramilitary organizations such as Hagana, Irgun, Lehi and Palmach). This exploration allows the researcher to better frame the issue of the legality and legitimacy of the Palestinian and Israeli nations. Secondly, the notion of peace camp is investigated using a combined conceptual and empirical approach. The conceptual inquiry questions the criteria used by some scholars to determine whether an organization contributes or not to peacebuilding. The empirical inquiry examines two peace camps: the Ashkenazi secular left (a pacifism that emerged in the 1970s) and the religious Haredim (a pacifism opposed to the zionist ideology from the start). This overview highlights the fact that any belief system can incite war as well as peace. The conclusion discusses the challenges of intercivilizational dialogue, challenges that are both intranational (social harmony between Ashkenazim, Mizrachim, Russian, Ethiopian, etc. Israeli Jews) and international (peace between Palestinians and Israelis).
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Les affrontements idéologiques nationalistes et stratégiques au Proche-Orient vus à travers le prisme de la Société des Nations et de l'Organisation des Nations Unies

Benfredj, Esther 12 1900 (has links)
L’effondrement et le démantèlement de l’Empire ottoman à la suite de la Première Guerre mondiale ont conduit les Grandes puissances européennes à opérer un partage territorial du Proche-Orient, légitimé par le système des mandats de la Société des Nations (SDN). Sans précédent, cette administration internationale marqua le point de départ de l’internationalisation de la question de la Palestine, dont le droit international allait servir de socle à une nouvelle forme de colonialisme. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’Organisation des Nations Unies (ONU) continua l’action entreprise par la SDN en s’occupant également de cette question sur la demande des Britanniques. En novembre 1947, l’ONU décida du partage de la Palestine en deux Etats pour résoudre les conflits entre sionistes et nationalistes arabes. Si ce partage fut accepté par les sionistes, il fut rejeté par les Etats arabes voisins et de nombreux Arabes palestiniens. Les affrontements opposant nationalistes arabes et sionistes de Palestine laissèrent place au conflit israélo-arabe après la proclamation d’Indépendance de l’Etat d’Israël en mai 1948. Au commencement de la guerre froide, les Etats-Unis et l’URSS prirent conscience de l’intérêt géostratégique de cette région, progressivement désinvestie par la France et la Grande-Bretagne. Dans cette étude, nous verrons comment la scène interétatique et la communauté internationale, successivement composée de la SDN puis de l’ONU, ont en partie scellé le sort du Proche et Moyen-Orient. Nous consacrerons également une analyse au rôle joué par les idéologies nationalistes arabes et sionistes, qui tiennent une place centrale au sein de ce conflit. / The collapse and dismantling of the Ottoman Empire following World War I, led the great European powers to engage in a territorial division of the Middle East, legitimized by the mandates system of the League of Nations. Without any precedents, that international administration marked the beginning of the internationalization of Palestine’s thorny issue. The international law would serve as the pillar for a new form of colonialism. The day after World War II, the United Nations continued the action taken by the League of Nations, as well as for the demand of the British. In November 1947, the UN decided to divide Palestine into two States. If the Zionists had accepted that split, their neighbors, Arab States and Palestinian Arabs, would have rejected it. The clashes opposing the Arab Nationalists and the Palestine Zionists gave space to the Arab-Israeli conflict after the independence of Israel, on May 14, 1948. At the beginning of the Cold War, the United States and the Soviet Union became aware of the geo-strategic interest in this region, gradually divested by France and Great Britain. In this study, we will see how the interstate scene and the international community, successively composed by the League of Nations and the United Nations, have partially sealed the fate of the Near and the Middle East. We will also devote a preliminary analysis related to the role played by the Arabs and Zionists nationalist ideologies, which are central in this conflict.
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FERRON Benjamin, Les répertoires médiatiques des mobilisations altermondialistes (Mexique-Chiapas, Israël/Palestine, 1994-2006), Contribution à une analyse de la société transnationale, thèse de doctorat en science politique, Université de Rennes 1, 2012, 808 p.

Ferron, Benjamin 12 March 2012 (has links) (PDF)
Cette étude compare les stratégies déployées par deux réseaux militants de solidarité internationale pour diffuser publiquement leurs causes politiques, dans une conjoncture marquée par l'essor du cadre de mobilisation altermondialiste (1994-2006) : le mouvement néozapatiste (Chiapas, Mexique) et le mouvement anti-occupation (Israël-Palestine). Comment expliquer que des conflits politiques si différents - la révolte des Indiens du Chiapas et les luttes contre l'occupation israélienne des Territoires palestiniens - puissent être considérés, dans certaines arènes politiques et médiatiques, dans les termes semblables de la lutte contre la " mondialisation néolibérale " ? Comment expliquer, parallèlement, que la lutte néozapatiste soit plus facilement érigée en emblème de l'altermondialisme que la lutte anti-occupation ? Optant pour une démarche constructiviste visant à rendre compte au plus près des logiques pratiques de la circulation internationale de l'altermondialisme et de ses acteurs, l'enquête s'intéresse spécifiquement au rôle des médias des mouvements sociaux dans ce processus. Elle défend la thèse que cette convergence partielle des cadres de mobilisation collective est le produit d'une série de choix tactiques et de contraintes intériorisées favorisant la production de discours contestataires relativement indépendants de leurs conditions sociales de production. Pour comprendre les conditions donnant ou non un pouvoir " performatif " à ces discours critiques sur la mondialisation néolibérale, l'enquête de terrain repose sur 76 entretiens semi-directifs auprès de militants et de journalistes, des observations menées dans des centres de " médias alternatifs ", et un travail sur archives. La comparaison des répertoires médiatiques des deux réseaux met à jour la spécialisation progressive de militants dans le travail de médiatisation alternative. Le travail s'intéresse dans un premier temps aux processus d'internationalisation du capital politique des mouvements (partie I). Il met ensuite en évidence l'existence d'une corrélation négative entre l'évolution de leur couverture médiatique dans la presse conventionnelle et l'investissement de militants dans des réseaux de " médias alternatifs ", qui fonctionnent selon les cas comme des espaces de compensation ou de correction symboliques (partie II). Enfin, il analyse les conditions concrètes de production, de diffusion et d'institutionnalisation du militantisme de l'information dans chacun des deux réseaux (partie III).
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West-Eastern Divan Orchestra : une médiatisation à contre-courant / West-Eastern Divan Orchestra : a media coverage against the current

Fartouna Fetoui, Houda 01 December 2016 (has links)
L’orchestre symphonique du West-Eastern Divan Orchestra semble constituer un bon support de réflexion sur la possibilité d’échapper aux stéréotypes dans la communication, du fait même de sa nature qui met ensemble les deux parties d’un conflit historique à savoir le conflit israélo-palestinien. Ce sujet est par essence problématique dans le monde des médias internationaux, puisqu’il fait l’objet de censure et de diverses omissions de la part de certaines parties gênées par l’existence même de cette formation. Ce projet semble également faire l’objet de discours divergents et fournit une matière intéressante de communication non consensuelle. Comme hypothèse de travail, cette thèse postule que la médiatisation du WEDO va à contre-courant de l’image qui entoure habituellement le conflit israélo-palestinien. Cette recherche se propose de discerner les échos qui circulent autour de ce phénomène du WEDO et examiner les multiples facettes développées par les différents discours qui prennent en charge ce projet. Le résultat expérimental confirme l’hypothèse de travail et infirme l’aspect de la couverture médiatique non consensuelle. En fait, les médias sont partagés par rapport à l’image controversée de Daniel Barenboim, un personnage à contre-courant et un projet d’étude en lui-même. La présentation du WEDO, dans l’ensemble du discours médiatique, quels que soient le pays d’origine, la coloration politique et la rubrique, est entre favorable et très favorable. Également, l’aspect le plus développé est le caractère pacifique de l’orchestre ; effectivement les énoncés qui traitent de l’image médiatique de l’orchestre dénotent dans leur ensemble la représentation d’une entreprise courageuse bannissant les conflits et les atrocités de la guerre et d’une nouvelle forme de pensée empruntant à Goethe cet esprit universel pour la paix entre les hommes et fait de la musique un chant privilégié de fraternité et d’amour. / The symphony orchestra of the West-Eastern Divan Orchestra seems to be a good reflection of support on the opportunity to escape the stereotypes in communication, by virtue of its nature that puts together the two parts of a historical conflict namely the israeli-palestinian conflict. This topic is problematic for nature in the world of international media, since the subject of censorship and various omissions on the part of some parts hindered by the very existence of this composition. This project also appears to be divergent speech and provides an interesting field of non-consensual communication. As a working hypothesis, this theory posits that the media coverage of WEDO goes against the grain of the image that usually surrounds the israeli-palestinian conflict. This research aims to discern echoes that circulate around the phenomenon of the WEDO and examine the many facets developed by the various discourses that support this project. The experimental results confirm the hypothesis of work and cripple the aspect of non-consensual coverage. In fact, the media is divided over the controversial image of Daniel Barenboim, a character against the current and a research project in itself. The presentation of WEDO, throughout the media discourse, whatever the country of origin, political color and the item is between favorable and very favorable. Also, the most developed aspect is the peaceful character of the orchestra; indeed statements that deal with the media image of the orchestra as a whole indicate the representation of a brave company banishing conflicts and atrocities of war and a new way of thinking borrowed from Goethe to this universal spirit peace among men and made music a special song of brotherhood and love.
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Femmes de/en guerre : voi(es)x de l'engagement féminin face à la violence armée dans le nord de l'Irlande (1968-1998) et en Palestine (1967-2000)

Masse, Johanna 21 July 2021 (has links)
Lorsqu'il est question de violence politique, la manière dont les femmes sont représentées trahit très souvent des représentations genrées problématiques, car essentialistes. L'idée que les femmes, en raison de leurs capacités reproductives, sont naturellement opposées à la violence et intrinsèquement pacifiques a ainsi longtemps prévalu. À la différence des hommes pour qui le recours à la violence dans un objectif politique a largement été accepté comme rationnel, ce n'est pas le cas pour les femmes, qui voient leurs actions violentes dépolitisées. Cette dépolitisation des actions passe alors soit par une privatisation du domaine d'action (de la sphère publique à la sphère privée), soit par une déresponsabilisation de l'auteure de l'action (pathologisation de la personnalité et donc des causes). Encore aujourd'hui, cette justification biologisante persiste, consciemment ou inconsciemment, tendant non seulement à favoriser une invisibilisation de la dimension politique de l'action des femmes, mais plus spécifiquement une invisibilisation de la violence politique féminine. Celle-ci se caractérisant par une assimilation presque automatique des femmes à la catégorie de " victimes ". C'est particulièrement le cas dans les cas de conflits armés où cette invisibilisation est renforcée par ce qui est perçu comme une participation très minoritaire des femmes. À partir des cas d'étude des conflits nord-irlandais (1968-1998) et palestinien (1967-2000), l'objectif de cette thèse est de questionner cette représentation de la participation féminine en analysant les multiples manières dont elle s'est exprimée, dans l'espace et dans le temps. Ainsi, empruntant une approche interactionniste symbolique dans une orientation interprétative de la réalité sociale, nous nous sommes intéressées à l'engagement politique féminin en période de conflit armé à travers la méthodologie des histoires de vie. Plus spécifiquement, à partir d'entretiens réalisés avec femmes ayant - directement ou indirectement - fait l'expérience du conflit, ainsi que des témoignages autobiographiques recueillis dans la littérature, nous avons analysé les processus de politisation et trajectoires féminines au cours de ces conflits. Nous l'avons fait d'une part fait à travers leur dimension spatiale, et d'autre part à travers leur dimension temporelle. Ainsi, c'est tout abord à partir des espaces de la maison et de rue, nous permettant d'interroger la traditionnelle dichotomie entre sphère privée et sphère publique, puis de l'espace de la prison, en tant qu'institution totale que nous avons appréhendé l'engagement féminin dans sa dimension spatiale. Par la suite, c'est en ayant recours au concept de disponibilités biographique et aux concepts de répertoire d'actions et d'opportunité politique que nous avons examiné l'engagement féminin dans sa dimension temporelle. Ensemble, les deux dimensions nous permettent de mettre de l'avant la capacité agentielle des femmes en période de conflit armé, celle-ci s'exprimant de manière complexe et enchevêtrée. / When it comes to political violence, the way in which women are represented very often betrays problematic, essentialist gendered representations. The idea that women, because of their reproductive capacities, are naturally opposed to violence and inherently peaceful has long prevailed. Unlike men, for whom the use of violence for political purposes has been widely accepted as rational, women are often depoliticized in the event of violent action. This depoliticization of actions then passes either by a privatization of the field of action (from the public sphere to the private sphere), or by a disempowerment of the author of the action (pathologization of the personality and thus of the causes). Even today, this biological justification persists, consciously or unconsciously, tending not only to favor an invisibilization of the political dimension of women's action, but more specifically an invisibilization of female political violence. This is characterized by an almost automatic assimilation of women to the category of "victims." This is particularly the case in situations of armed conflict where this invisibilization is reinforced by what is perceived as a very minor participation of women. Based on the case studies of the Northern Irish (1968-1998) and Palestinian (1967-2000) conflicts, the objective of this thesis is to question this representation of female participation by analyzing the multiple ways in which it has been expressed, in space and in time. Thus, borrowing a symbolic interactionist approach in an interpretive orientation of social reality, we are interested in women's political engagement during armed conflict through the methodology of life stories. More specifically, based on interviews with women who have - directly or indirectly - experienced the conflict, as well as autobiographical testimonies collected in the literature, we have analyzed the processes of politicization and female trajectories during these conflicts. We have done so both through their spatial and temporal dimensions. Thus, it is firstly from the spaces of the house and the street, allowing us to question the traditional dichotomy between private sphere and public sphere, then from the space of the prison, as a closed institution, that we apprehended the female commitment in its spatial dimension. Then, using the notion of biographical availabilities and the concepts of repertoire of actions and political opportunity, we examined women's commitment in its temporal dimension. Together, the two dimensions allow us to put forward the agential capacity of women in times of armed conflict, which is expressed in a complex and entangled manner.
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Colonies juives et mémoire sociale : vers une compréhension de l'appropriation du territoire

Boucher Boudreau, Geneviève 19 April 2018 (has links)
"La Guerre des Six Jours de juin 1967 changea véritablement le visage du Moyen-Orient ainsi que celui des territoires juif et palestinien. Une des conséquences de cette guerre fut notamment de permettre aux Israéliens de s'établir à Jérusalem-Est, auparavant territoire palestinien, marquant ainsi le début du mouvement des colonies juives en Cisjordanie. Suite à ces événements, comment expliquer et comprendre la légitimité que revendiquent les colons juifs pour occuper ces terres? En fait, comment le lien entre la mémoire sociale juive et l’identité nationale joue-t-il un rôle dans l’appropriation du territoire par la Communauté juive de Hébron après les accords d’Oslo de 1993? En utilisant l’approche intersubjective et herméneutique, ce mémoire répond à la problématique en utilisant les concepts de mémoire sociale et d’identité nationale. Nous observons, à travers une ethnographie exhaustive, que cette approche prend compte que sur un terrain aussi chargé politiquement, si marqué par un contexte de violence, il est impossible de prétendre ignorer les préjugés de chacun, et que par conséquent l'approche herméneutique s'impose. Cette approche nous aide à mettre en évidence l’importance de la terre, de la mémoire sociale et de la violence commise, transmise et vécue par ces colons juifs. La convergence de la mémoire sociale et de l’identité nationale nous permit de comprendre leur rôle au sein du plan d’appropriation du territoire. Le discours collectif sur l’importance de la terre et la légitimation des communautés juives d’Hébron et Kiryat Arba, en Cisjordanie, est donc transmis et défendu, et ce malgré leur illégalité selon la loi internationale concernant les territoires occupés."
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La résilience islamique au Liban: contribution à l'étude de l'évolution idéologique et structurelle du Hezbollah

Leroy, Didier 11 October 2010 (has links)
Depuis les attentats du 11 septembre 2001, le galvaudage intensif du concept d’« islamisme » par les sphères médiatiques et politiques a eu pour effet de catégoriser de manière simpliste et illusoire des phénomènes sociaux très différents de par le monde, dans le registre du terrorisme. Dans ce contexte, le Hezbollah libanais -pourtant chiite et farouchement opposé à Al-Qaïda- a acquis un statut particulier dans la mesure où le Secrétariat d’Etat américain l’a désigné comme la principale menace terroriste dès 2002. Nous proposons ici une recherche casuistique sur le « Parti de Dieu ». Etude longitudinale retraçant l’évolution de ce mouvement milicien devenu parti politique, notre travail vise à mieux cerner ce « fait social » et à situer celui-ci au sein du vaste spectre des islams politiques. Nous synthétisons ici les phases de maturation idéologique que celui-ci a connues depuis son émergence et retraçons l’évolution structurelle de ce parti politique avant tout caractérisé par son projet de « société résistante ». Chacun de ces deux volets (idéologique et structurel) laisse entrevoir les interactions bilatérales qui se sont créées, dans la diachronie, entre le religieux et le politique au sein du Hezbollah, mais illustre surtout la soumission polymorphe de l’un comme de l’autre à la cause inébranlable de la résistance face à Israël. L’élément fondamentalement nouveau que nous apportons à la littérature scientifique spécialisée est une grille d’interprétation du cheminement global d’une grande partie de la communauté chiite du Liban. Celle-ci a pour point de départ le concept -initialement psychologique- de « résilience », et propose la transposition de ce dernier dans le champ sociopolitique. L’analyse qui en découle met en perspective l’« idéologie résiliente » et la « structure résiliente » que le Hezbollah a progressivement développées dans une optique stratégique. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La création d'un État palestinien, une solution possible au conflit israélo-arabe?

Machon, Elodie 05 1900 (has links)
Pourquoi créer un État palestinien ? Avant tout parce qu’il s’agit de l’unique solution qui détient un fondement juridique, à travers la résolution 181 des Nations-Unies votée en 1947. Cette résolution préconisait la création de l’État israélien et celle de l’État palestinien comme deux facettes d’une unique solution. La création d’un État palestinien n’est pas seulement légale au regard du droit, elle permettrait également le partage des responsabilités revenant à chacun des acteurs du conflit. Une telle création est-elle possible en l’état actuel de la situation au Moyen-Orient ? Telle est la problématique de notre étude, qui comprend deux volets, l’un théorique, l’autre pratique. L’objectif est de revoir les règles du droit international relatives aux critères de formation d’un État palestinien, d’examiner si ces règles sont respectées et de déterminer quels sont les obstacles qui compliquent l’application d’une telle création. La première partie qui consiste à s’interroger sur la formation d’un État palestinien nous mène à examiner quatre éléments : la population permanente, le territoire déterminé, le gouvernement effectif et la capacité à entrer en relation avec les autres États. L’étude de ces éléments montre que la Palestine est un embryon d’État. Même si le concept d’un État palestinien peut être envisagé en droit, qu’en est-il de sa viabilité ? La deuxième partie de notre étude porte sur les obstacles juridiques à la création d’un État palestinien. Quatre éléments qui sont l’occupation, l’édification d’un mur entre Israël et les territoires palestiniens, les colonies de peuplement israéliennes en territoire palestinien occupé incluant la question de Jérusalem et enfin le droit au retour des réfugiés sont étudiés. Il ressort de cette recherche qu’un État palestinien pourrait être créé en droit mais sa viabilité reste conditionnée au bon vouloir d’Israël sur les questions évoquées ci-dessus. Aujourd’hui, les dimensions du conflit rendent particulièrement complexe une entente entre les deux parties. Le cadre juridique international représenté par l’ONU ne peut s’appliquer au conflit israélo-palestinien que s’il bénéficie de l’appui diplomatique clair et sincère de l’ensemble des acteurs internationaux. / Why creating a Palestinian State? Because it is the unique solution which has a legal background according to the 181 resolution of the United Nations Organization voted in 1947. This resolution recommended the creation of the State of Israel and the Palestinian one as two sides of an unique solution. The creation of a Palestinian State is not only legal, it would also allow the share of responsibilities between the protagonists of the conflict. Is this creation possible considering the current situation in the Middle-East? This is the problematic of the study which consists of two parts, the first one being theoretical and the second one looking at practical issues. The purpose is to review the rules of international law related to the criteria required for the creation of a Palestinian State and to examine if these rules are respected in order to determine which are the obstacles that make this creation difficult to achieve. The first part is analyzing if the four key requirements for the creation of a Palestinian State i.e. the population, the territory, the real government and the international legal capacity are met. The survey of these items shows that Palestine is an embryonic State. Even if the concept of a Palestinian State could be legally considered, could it be viable? The second part of the study deals with the legal obstacles of the creation of a Palestinian State. We are then reviewing four major issues which are the occupation, the building of a wall separating Israel and the Palestinian territories, the Israeli settlements in the occupied Palestinian territories, including the specific situation of Jerusalem and finally the right of return of the Palestinian refugees. This study shows that a Palestinian State could be legally created but its viability would be conditioned to the willingness of Israel regarding the questions mentioned above. The various dimensions of the conflict make today an agreement between the two protagonists very difficult to achieve. The international legal scope represented by the United Nations Organization can apply to the Israeli-Palestinian conflict only if it gets a clear and strong support of all the countries.

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