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Nas sombras da contemporaneidade : da biopolítica à tanatopolítica

Nascimento, Germana da Silva 31 January 2012 (has links)
Submitted by Marcelo Andrade Silva (marcelo.andradesilva@ufpe.br) on 2015-03-05T13:40:59Z No. of bitstreams: 2 Germana_dissert.pdf: 585562 bytes, checksum: fb3157d0aac7b86bb1b372efba11f732 (MD5) license_rdf: 1232 bytes, checksum: 66e71c371cc565284e70f40736c94386 (MD5) / Made available in DSpace on 2015-03-05T13:40:59Z (GMT). No. of bitstreams: 2 Germana_dissert.pdf: 585562 bytes, checksum: fb3157d0aac7b86bb1b372efba11f732 (MD5) license_rdf: 1232 bytes, checksum: 66e71c371cc565284e70f40736c94386 (MD5) Previous issue date: 2012 / A ultrapassagem do conceito de biopolítica para o de tanatopolítica acompanha o desconcerto da nossa atualidade política. A biopolítica entendida por Michel Foucault é uma tecnologia de poder cuja ação estende-se tanto aos indivíduos isoladamente quanto à população como um todo. A partir das investigações promovidas por Foucault acerca da biopolítica trouxemos ao debate a tematização de Hannah Arendt sobre a banalidade do mal, posto que encontramos simetria entre o modo de gerência característico da biopolítica e a consequente formação de subjetividades tendenciosas à obediência irrestrita e, como consequência, descomprometidas com a atividade de pensar. Junto a estas análises acrescentamos às reflexões o panorama teórico de Giorgio Agamben quando trata da nossa contemporaneidade ao inaugurar uma nova representação ao trazer à luz a exceção característica do nosso fazer político e sua produção de hominissacri e vidas nuas.
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El discurso religioso, un discurso simbólico.

Neira Castillo, Carolina January 2004 (has links)
Informe de Seminario para optar al grado de Licenciado en Filosofía. / Es por ello el título de este estudio “El discurso religioso, un discurso simbólico”, pues el simbolismo es la única manera de expresión sensata de la experiencia de lo sagrado. El simbolismo es quien nos hace señas, nos indica, nos muestra, nos en-seña (zuwinken) la situación existencial del hombre, y en este caso, su experiencia existencial respecto a lo trascendente. Los símbolos han sido capaces de des-cubrir otros modos de la realidad. Por esto que, Ricoeur analiza los símbolos. Por medio de ellos, el discurso religioso logra su carácter pre-conceptual y logra referirse a ese nuevo revelado modo de ser o de habitar en el mundo, a través de los símbolos se ofrece una especie de redescripción de la existencia.
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L'Agathologie platonicienne: étude sur la nature et la fonction du bien à partir d'un commentaire du Philèbe

Delcomminette, Sylvain 11 December 2003 (has links)
L’ambition de ce travail est d’expliquer le rôle du bien dans la philosophie platonicienne. Omniprésente dans les dialogues de jeunesse, la recherche d’une science du bien (agathologie) culmine dans la République, où le rôle de l’Idée du bien par rapport à l’intelligible est comparé à celui du soleil par rapport au sensible. La thèse défendue est que cette analogie entre des fonctions ne devient compréhensible que si on la lit à la lumière du Philèbe, dialogue qui examine la nature du bien. Grâce à un commentaire interne et détaillé de ce dialogue, fondé sur les principes de l’herméneutique de Schleiermacher, il est montré comment s’y opère progressivement et de manière rigoureuse le passage d’un examen de la vie bonne à la mise au jour du contenu de l’Idée du bien. Au cours de cette recherche, sont également abordés des problèmes aussi divers que les rapports entre l’un et le multiple, la division de tous les contenus de l’univers en quatre genres, la présence d’une intelligence démiurgique dans le monde, la division du plaisir en ses espèces, la distinction des différents pouvoirs de l’âme, la nature de la perception, les rapports entre la beauté et le type d’émotion qu’elle suscite, la classification des sciences, etc. Au terme de ce parcours, on découvre que le contenu de l’Idée du bien consiste en l’unité de la mesure, de la beauté et de la vérité. Cette unité permet d’unifier au sein d’une discipline unique trois champs de la philosophie qui sont aujourd’hui généralement considérés comme radicalement distincts :la morale, l’esthétique et la science. Cette discipline unique, en tant qu’elle se consacre à l’étude du bien, peut être nommée « agathologie ». Il s’agit d’une science, et même de la science suprême selon Platon, mais cette science ne doit pas être comprise comme un savoir figé qui s’immobiliserait dans la contemplation de ses résultats, mais comme dialectique, c’est-à-dire comme s’identifiant au mouvement de recherche qui mène à ces résultats et qui met en œuvre de manière décisive la mesure, la beauté et la vérité. Cette compréhension de la philosophie platonicienne comme agathologie permet de saisir l’unité profonde de la démarche qui se manifeste dans tous les Dialogues, depuis les premiers jusqu’aux derniers, puisqu’elle montre que tous ne traitent jamais que du bien sous l’une ou l’autre de ses formes. D’où l’importance du Philèbe, dialogue qui donne sens à tous les autres en les organisant relativement à une recherche unique :la recherche du bien. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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A RELAÇÃO ENTRE MAL E MORALIDADE EM IMMANUEL KANT / THE RELATION BETWEEN EVIL AND MORALITY IN IMMANUEL KANT

Matzenbacher, Ramon Alexandre 22 March 2013 (has links)
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / The present dissertation aims to develop and establish the relation between evil and morality in Immanuel Kant s philosophy. For that aim we will approach the concept of Radical Evil, introduced by Kant in the work Religion within the Boundaries of Mere Reason. We will explore also the proposal of moral foundation exposed by the philosopher in Fundamental Principles of the Metaphysics of Morals. The development of these subjects will remit us overwhelmingly to the concepts of human nature, propensity to evil and moral law. Only through the comprehension these various concepts we will be able to establish the proper connections between evil and morality. / A presente dissertação visa desenvolver e estabelecer a relação entre mal e moralidade na filosofia de Immanuel Kant. Para tanto iremos abordar o conceito de Mal Radical, apresentado por Kant na obra a Religião nos Limites da Simples Razão. Também iremos explorar a proposta de fundamentação moral exposta pelo filósofo na Fundamentação da Metafísica dos Costumes. Desenvolver tais temáticas nos remeterá irresistivelmente aos conceitos de natureza humana, propensão ao mal e lei moral. Somente através da compreensão destes diversos conceitos é que nos encontraremos aptos a estabelecer as devidas conexões entre mal e moralidade.
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Le "roman confession" au XIXe siècle / The "novel confession" in the 19th century

Sango, Sophie 12 September 2015 (has links)
Certaines fictions romanesques du XIXe siècle se présentent sous la forme de récits rétrospectifs faits à la première personne par un narrateur qui propose une relecture de son passé. Ce retour en arrière peut prendre la forme d’une confession. Dans quel but la confession investit-elle le roman ? Pourquoi la confession passe-t-elle par l’intermédiaire d’une fiction ? L’analyse met en évidence l’émergence d’un nouveau genre dans l’histoire littéraire – le « roman confession » –, genre historiquement daté qui a ses propres règles, ses propres critères, sa propre logique, et qui se situe au confluent de deux genres singuliers : l’autobiographie et le roman. / In literature, confessions can be inserted into novels. Confessions belong to the autobiographical genre and can show faults, sins and guilty behavior whereas novels belong to the fictional genre. Our work analyses the extent to which a new genre appears in the literary history, and most particularly in the 19th century. Indeed, the “novel confession” is a genre of the 19th century, with its own characteristics
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Différent, différence et différends : essai anthropologique sur les dissonances de la surdité mal-entendue

Cabéro, Alain 01 September 2010 (has links)
Considérés pendant de longues décennies comme étant « inéducables », les Sourds ont dû subir la farouche volonté des « Entendant » : les faire parler à tous prix. Faire oublier qu’ils étaient sourds. Sans doute faut-il considérer que la surdité représente « l’handicap de la communication », handicap qui ne se voit pas d’emblée. C’est ainsi qu’au fil des années, il apparu comme nécessaire de faire parler les sourds. Les faire parler pour qu’ils puissent appartenir à cette « normalité » prônée par les Entendant Oralistes ( comme Heinicke au XVIIIème siècle) : « La normalité réside dans la parole vocale et l’anormalité dans la surdité. » Au même moment l’Abbé de l’Épée recommandait la « méthode gestuelle ». La Langue des Signes naissante devint le frontispice de ce que les sourds revendiquent : L’ « Identité Culturelle Sourde ». Actuellement la loi promulgue le « tout intégration », intégrer des enfants sourds en « milieu ordinaire » Cette intégration semble représenter un certain danger pour la communauté sourde qui pressent une atteinte à cette notion d’identité. D’autant que les idées reçues concernant la surdité vont « bon train ». Nous verrons que celles-ci ne correspondent pas à la réalité, que les sourds n’appartiennent pas à ce « monde du silence » dans lequel on veut paradoxalement les enfermer. Bien au contraire, ils vivent dans un monde sonre, allant même jusqu’à écouter et faire de la musique. Et cela c’est eux qui le disent, alors pourquoi ne pas tenir compte de leurs paroles. / Considered for many decades as "uneducable" Deaf people had to endure the fierce desire of "hearing" them to speak at all costs. To forget that they were deaf. Without doubt it should consider that deafness is "the handicap of communication," disability is not immediately. Thus, over the years, it seemed necessary to speak to the deaf. Talk to them they can belong to this "normalcy" advocated by hearing oral (Heinicke as in the eighteenth century): "Normality is the voice and speech abnormalities in deafness. " At the same time Father of the Sword recommended method gestures. " Sign language became the nascent frontispiece that deaf claim: The "Deaf Cultural Identity." Currently the law promulgates the "any integration, integration of deaf children in" mainstream " This integration appears to represent a certain danger for the deaf community to urge an attack on the notion of identity. Especially as the myths about deafness are "good". We will see that they do not correspond to reality, as the deaf do not belong to this "world of silence" which is, paradoxically, the lock. On the contrary, they live in a world of sounds, even listen to and make music. And it is they who say, why not heed their words.
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Pour un Test projectif tactile à partir des planches de Rorschach en relief : de la Perception tactile à la Représentation / Tactilo-kinaesthetic exploration procedures for apprehending the Rorschach test

Raguin, Odile 25 September 2015 (has links)
La plupart des méthodes projectives (Didier ANZIEU, Catherine CHABERT, 1961) ont comme support de travail la vue. Le processus haptique est-il suffisamment discriminatif pour valider la fiabilité de ce test sous ce mode ? Un étalonnage différencié respecte-t-il la valeur donnée à ce test par H. Rorschach ? Le sujet, en perdant la vue, va devoir mobiliser ou trouver des nouvelles ressources physiques et psychiques pour devenir autonome et poursuivre sa vie. Tout en lui est effracté : sa construction narcissique, sa représentation du monde et son altérité dans le regard de l’autre. Le Rorschach permet d’aborder la richesse psychique d’un sujet. Il nous donne à voir les potentialités psychiques du sujet dans sa relation à lui-même et aux autres. Or, il fait appel à une activité visuelle qui organise un matériel informel. C’est une activité imageante qui fait passer du perceptif au projectif, du perçu au vécu…Le toucher, dans certaines situations, peut être un relais de perception, de projection et donner à voir les représentations du sujet. Cette recherche peut permettre d’envisager une autre manière d’étalonner ce test afin de pouvoir le quantifier, le qualifier en changeant par exemple l’item « couleur » par l’item texture…Dans cette étude, il nous faut vérifier que cela n’enlève pas la valeur que donnait H. Rorschach à ce test, à cet item mais au contraire l’ouvre à une autre dimension clinique, celle d’une clinique spécifique du sujet mal ou non-voyant. En respectant un protocole spécifique, une telle passation permettrait une médiation pour le sujet en situation de handicap visuel vers une « meilleure » ré-élaboration de son projet de vie. Par ailleurs, cette étude pourrait ouvrir d’autres approches sur le dessin en relief et permettre notamment à toute une partie de la population vieillissante d’utiliser cette modalité dans la vie quotidienne, pour de nouveaux repères. / This research follows a study already begun in Master 1; it deals with the haptic process adapted to 3-dimensional Rorschach-plates. Is the haptic process sufficiently discriminating to validate the reliability of this test under this mode ? Does differentiated calibration respect the values given to this test by H. Rorschach ? After loss of sight, a subject is going to have to mobilize or find new physical and psychic resources to become autonomous and go on living. Everything in that person is broken: their narcissistic construction, their representation of the world and their differences in the eye of others. The Rorschach test allows us to approach a subject’s psychic wealth. It shows us the psychic potential of a subject in relation to himself and to others. Yet the Rorschach test calls on visual activity to organize an informal material. It is an activity based on images which leads one from the perceptive to the projective, from perceived to experienced. In certain situations, touch can be an intermediary for perception, for projection and can show how the subject is represented. Through this research, we can consider calibrating this test in another way in order to measure quantity and quality by changing “colour” for ‘texture’, for example. In this study, it is essential to verify that this does not remove the value given by H. Rorschach to this item in this test, but on the contrary opens it to other clinical dimensions, that specific of the blind or partially-sighted.Moreover, this study could open up new approaches to 3-dimensional drawings and allow a great part of the ageing population to use this method in daily life, to find new bearings. For instance, using certain textures to find one’s way around the flat by 3-dimensional pictograms.
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Le concept d'œuvre de Jacques Derrida, un vaccin contre la loi du pire / Jacques Derrida's concept of "work", a vaccine against radical evil

Delain, Pierre 07 January 2017 (has links)
Jacques Derrida est signataire de ce qu’on appelle une "œuvre" : un vaste corpus de textes où d’autres "œuvres", en grand nombre, sont citées, étudiées, analysées ou déconstruites. Souvent, il utilise le mot "œuvre", et plus rarement mais de manière significative, il interroge ce mot ou ce qu'il appelle l'"énigme" du concept d'œuvre. Dans ce qu’il « dit » alors, un double « faire » est impliqué. D’une part, il se demande « Que fait cette œuvre ? », et nous pouvons analyser et commenter ce qu’il dit. Mais d’autre part, nous pouvons aussi nous demander : « Mais que fait Derrida quand il analyse ce que fait cette œuvre ? ». C’est cette deuxième question qui tend à prévaloir dans cette étude. Dans les champs de l'histoire de l'art, de l'esthétique ou de la critique littéraire, il existe une immense littérature autour de la question de l'œuvre. La convoquer, dans le format limité de ce travail, aurait conduit à des simplifications, des approximations ou des omissions. On a donc fait un autre choix : chercher dans le texte derridien lui-même, dans son faire, son auto-hétéro-affection, les éléments qui pourraient conduire à l’élaboration d’un concept d'œuvre spécifique et singulier. Afin de tenir compte de la critique externe et aussi de la longue histoire de la philosophie autour de cette thématique, on a mis à profit la structure d'"invagination" du texte derridien. Dans ce texte même, en prenant appui sur la littérature secondaire, on peut repérer d'autres pensées de l'œuvre, par exemple celles de Lévinas ou d’Heidegger. Cette méthode a conduit aux hypothèses suivantes : 1. Il y a dans l'œuvre derridienne, y compris à travers l’analyse des autres œuvres, la mise en jeu d’un "Il faut", d’une ou de plusieurs inconditionnalité(s), et ce dès les premiers textes. 2. La structure d'auto-immunité, décrite dans l'œuvre, opère dans l'œuvre. "Il faut" se protéger contre quelque chose. Quoi? Notre hypothèse, c'est qu'il s'agit du mal radical. 3. Malgré les apories multiples dont la description occupe une large partie de l'œuvre, le désir de protection, en principe impossible à réaliser, réussit quand même. On peut tenter de démontrer cette réussite, mais on peut aussi, surtout, en témoigner par la lecture : Je dois reconnaître, je dois avouer qu'elle me vaccine. 4. Cette opération, que nous nommons aussi "œuvrance", est performative. Elle passe par cinq principes inconditionnels : laisser l’avenir ouvert, s’adresser à l’autre comme tel, s’aventurer pour plus que la vie, garder le secret, répondre des principes - en ce moment même. 5. Cela conduit à la définition d'un "principe de l'œuvre" spécifique de l’œuvre derridienne dont l'énoncé est le suivant : Ce qui a lieu dans une œuvre s’affirme inconditionnellement, en-dehors de tout calcul, de toute finalité et de toute transaction. / Jacques Derrida signs what is called “une oeuvre” ("a work") : a vast corpus of texts, in which other "works", great in number, are cited, studied, analyzed or deconstructed. He often uses the word "work", and more rarely, but in a significant way, he interrogates this word, or what he calls "the enigma" of the concept of work. In what he "says", then, a double "doing" is implied. On the one hand, he asks himself "What makes this work?", and we can analyze and comment upon what he says. But, on the other hand, we can also ask ourselves : "But what does Derrida do when he analyzes what it is that makes this work?" This second question is the one that tends to prevail in this study. In the fields of art history, esthetics or literary criticism, there exists an enormous litterature around the question of the work. To raise it, in the limited form of this essay, would lead to simplifications, approximations, or omissions. We have therefore made another choice : to seek out, in the derridian text itself, in its "doing", its auto-hetero-affection, the elements that could lead to the elaboration of a specific and singular concept of work. In order to account for external criticism, and also of the long history of philosophy around this thematics, we have privileged the Derridian text's structure of "invagination". In his text itself, drawing on the secondary literature, we can link up other thoughts involving the work, for example those of Levinas or Heidegger. This method has lead to the following hypotheses: 1. In the derridian work, including across the analysis of other works, the setting into play of an "it must", of one or several unconditional(s), and beginning with the first texts. 2. The structure of auto-immunity, described in the work, is operating within the work. "It must" protects itself against something. Against what? It is our hypothesis that this has to do with radical evil. 3. Despite the multiple aporias whose description occupies a large part of his work, the desire for protection, in principle impossible to realize, nonetheless succeeds. We can try to demonstrate this success, but we can also, above all, take note of it by reading : I ought to recognize, I ought to acknowledge that it vaccinates me. 4. This operation, that we also call “œuvrance” (“working”), is performative. It passes through five unconditional principles : leave the future open, address oneself to the other as such, aim for more than life, keep the secret, answer to principles -- in this very moment. 5. This leads to the definition of a "principle of the work": specific to the derridian work whose statement is the following : what takes place in the work, is unconditionally affirmed, beyond all calculation, all finality and all transaction.
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Face à l'angoisse du mal : propédeutique à une ontologie de la vie / Against the suffering of the evil : propaedeutics an ontology of live

Yomafou, Adje hippolyte 09 November 2013 (has links)
Au fil de notre voyage philosophique dans l'abîme de l'être-là de l'homme, il nous a été donné de constater que l'unique réaction qui a force de vérité et capable de maîtriser l'angoisse humaine devant la manifestation du mal, c'est le réflexe de la révolte. Cette révolte en la matière est une révolte contre la vie et contre l'auteur de cette vie. L'intelligence du mal y conduit inexorablement. Mais à quel prix ? Au prix d'une interdiction formelle demandant à Dieu de ne plus prendre pied avec l'humanité. Mieux faire le deuil de Dieu afin d'affirmer son moi souverain. Ce prix n'est pas négligeable, il est vertigineux pour l'homme. Il le propulse en un au-delà de lui-même. Tout lui semble permis désormais car il est le seul maître à bord du navire cosmique. Rien ne peut l'arrêter. N'étant plus soumis au pouvoir d'un Dieu suprême créateur, il peut faire tout car il a le dernier mot sur tout. Glorieuse liberté de l'homme ! Et pourtant cette liberté, cette puissance autonomique et pharaonique de l'homme aura révélé l'autre face tragique de la révolte. Une révolte qui aura conduit au pire mal absolu : le meurtre de son semblable. La mort a donc perdu de son caractère naturel, elle n'est plus un fait naturel et biologique, mais elle est devenue un fait imposé par l'homme à l'homme. Autrement dit, dans ce combat pour l'affirmation du moi, le plus grand vainqueur, le maître du monde, le maître absolu de demain, c'est la misère du monde. L'homme s'est révolté contre Dieu parce que l'injustice subie était incompatible avec l'idée d'un Dieu tout-puissant et bon ; ce Dieu a été mis de côté voire interdit de séjour sur la terre, mais la misère demeure. À l'évidence cette misère, plus puissante que la volonté même de l'homme, ne laisse aucune issue à l'homme. L'homme ne peut donc s'en tenir à la révolte contre la vie et contre Dieu, il lui faut une révolte contre la résignation face à cette misère. Cela suppose une révolte contre le désespoir. Désespérer contre toute désespérance. Sainte lucidité. Il n'y a pas d'autre moyen pour initier la sagesse humaine à cette révolte contre le désespoir que d'y entrer résolument dans la vie. Avoir confiance en la vie c'est - non pas comme cet optimisme qui voit dans cette misère une beauté et un bien pour l'homme – avoir le courage d'aimer cette vie. Aimer la vie c'est donner sens à son existence et au monde dans lequel se déploie cette vie. Cette attitude est responsabilité. Cette responsabilité est une chance pour l'homme lui-même et pour les autres. Par responsabilité, l'homme reçoit une nature qui fait qu'il diffère des autres étants et donc capable de dire « oui » ou « non ». Autrement dit, par sa responsabilité, l'homme accorde une valeur intrinsèque à la vie et à son existence. / Throughout our philosophical journey into the depth of the existence of the human, it was given to us to see that the only reaction which has the force of truth and capable of controlling human anguish before the manifestation of evil is the reflex of the revolt . This revolt in this area is a revolt against life and against the author of this life. The intelligence of evil lead inexorably. But at what price? At the cost of a formal prohibition, asking God not to take up with humanity. Better to grieve of God to assert its sovereign me. This price is not negligible, it is breathtaking to human. He propels one beyond himself. How ever it seems possible now because it is the only master on board the cosmic ship. Nothing can stop it. No longer subject to the power of a supreme creator God , he can do anything because he has the last word on everything. Glorious liberty of man! Yet this freedom , this autonomic and pharaonic power of human has revealed another tragic face of the revolt . A revolt that has led to the worst absolute evil : killing one's fellow man. Death has lost its natural character, it is no longer a natural biological fact , but it has become a fact imposed by man to man.In other words, in this struggle for self-assertion , the biggest winner , the master of the world , the absolute master of tomorrow is the world's misery . Man rebelled himself against God because injustice is incompatible with the idea of an all- powerful and good God. That God has been set aside or banned from the earth , but misery remains . Clearly this misery , more powerful than even the will of human , leaves no end to human. The man can not stick to revolt against life and against God , it a revolt against the resignation to the misery it needs. This implies a revolt against despair. Despair against all despair. Holly saintly. There is no other way to initiate human wisdom in this revolt against the hopelessness to enter resolutely in life. Trusting life is - not as the optimism that sees misery as beauty and good for man to have the courage to love this life. Loving life is to give meaning to his life and the world in which this life unfolds . This attitude is responsibility. This responsibility is a chance for the man himself and others . Responsibility for , the man receives a nature that makes it different from other beings and therefore able to say "yes" or "no." In other words, by his responsibility, human gives an intrinsic value to life and existence
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Enracinement et déracinement dans l'oeuvre romanesque de Sylvie Germain / Rootedness and uprootedness in Sylvie Germain's novels

Ben Hamad Feki, Salwa 12 January 2015 (has links)
Avec une oeuvre dense et complexe, Sylvie Germain constitue aujourd'hui l'une des figures marquantes du paysage littéraire français. A partir d'un corpus formé d'une dizaine de romans, représentatifs de son oeuvre, cette étude essaie d'explorer son univers romanesque qui trouverait son fondement dans le Cosmos et ses quatre éléments. L'objet de cette thèse est donc l'étude de la place et de la fonction symboliques de l'imagination matérielle dans l'oeuvre romanesque de Sylvie Germain. Cette dernière met l'accent sur l'importance de l'hérédité, de la racine, de la transmission et des éléments qui marquent une mémoire familiale. En adoptant les approches thématique et psychanalytique, cette étude est menée sous l'angle du couple antithétique : enracinement/déracinement que nous nous proposons d'approcher d'abord dans son acception géographique pour l'étendre ensuite à toute forme d'arrachement, qu'il soit psychologique ou métaphysique. Nous nous proposons également de démontrer que ces deux désirs d'enracinement et de déracinement créent une nouvelle typologie humaine qui remplacerait l'ancienne typologie nomades/sédentaires. La volonté de déracinement se traduit souvent par une volonté de faire table rase du passé et de s'arracher à une filiation, tandis que l'enracinement exige un travail de réconciliation avec le passé et une quête de la filiation. Enfin, pour écrire cette oeuvre de mémoire, Germain développe un jeu intertextuel et intratextuel et inscrit son texte dans la filiation des récits de commencements et dans une tradition littéraire auxquels elle ne cesse de se ressourcer. / With a dense and complex work of fiction, Sylvie Germain has become a prominent figure in modern French literature. Refering to a large corpus of works illustrative of her fiction, this study attempts to explore her fictional universe that is based on the cosmos and its four elements. The subject of this thesis is therefore the study of space and the symbolic function of material imagination in Germain's novels. In fact, she puts emphasis on the importance of inheritance, roots, transmission, and the elements that mark a family memory. Germain resurrects the rootedness and uprootedness problematic that appeared in French literature in the beginning of the 20th century. Following the thematic and psychoanalytical approaches, this study is built on the binary opposition: rootedness and uprootedness, first within a geographical framework, which later extends to every form of extraction, be it psychological or metaphysical. This study also attempts to prove that both desires of rootedness and uprootedness create a new human typology that would replace the old nomadic/sedentary typology. The will for uprootedness is often translated by the will to make a tabula rasa of the past and to split from a filiation, whereas rootedness requires reconciliation with the past and implies a quest for filiation. Finally, in order to depict memory, Germain develops a pattern of intertextuality and intratextuality, inscribing her text in the line of genesis narratives and in a literary tradition, which both ceaselessly inspire her work.

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