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Le problème de l’idéologie dans la pensée politique de Paul Ricœur :Contribution aux sociétés africaines en quête de développement

Tulume Kasau Sakasimba, Justin 07 February 2017 (has links)
Notre thèse se préoccupe d’abord de comprendre de manière générale la notion d’idéologie, ensuite faire une analyse approfondie de l’œuvre de Ricœur dans sa dimension idéologique et situer Ricœur par rapport à d’autres penseurs ou courants qui ont abordé le problème idéologique, enfin montrer la contribution de la pensée de Ricœur au développement des sociétés africaines. <p></p>Dans cette dissertation, Ricœur nous présente quelques approches du phénomène idéologique selon les penseurs qu’il a pu étudier. D’après Desttut, l’idéologie désignait l’étude des sciences des idées. Avec Marx, l’idéologie représente les intérêts de la classe dominante. Elle est un phénomène imaginaire, une représentation, un renversement de la réalité et de ce fait, elle s’oppose à la réalité. Pour Mannheim, l’idéologie est un phénomène pour identifier un groupe, un concept paradoxal et non congruent. Chez Althusser, elle se révèle dans l’opposition à la science et lui assigne une fonction politique. Weber la considère comme un moyen de légitimer ou de justifier le pouvoir. Chez Arendt, le totalitarisme comme idéologie avait pour rôle à l’époque du nazisme de nier la liberté humaine et la pluralité d’opinion. Sans doute, pour Habermas, l’idéologie se trouve dans la distorsion qui affecte la praxis ou l’activité de l’individu et dans la médiation symbolique d’action. Geertz pour sa part, voit dans l’idéologie l’intégration sociale et la rhétorique de la communication. Donc, l’on constate que le problème de l’idéologie est manifeste dans les idées, la domination, le paradoxe et la non congruence, la politique, l’intégration, la distorsion, etc. <p></p>Mais Ricœur a étudié l’idéologie pour résoudre un problème philosophique de l’imagination, pour l’enseignement ou l’éducation du monde et pour le développement.Toutefois, il ne manque pas, des approches déroutantes au cours desquelles le phénomène idéologique peut être désaltéré. En effet, selon notre auteur, le mot idéologie vient des philosophes français héritiers de Condillac pour qui l’idéologie est l’étude des idées formées par l’esprit humain. Depuis sa création par Desttut, il signifiait la théorie des idées. Il est à la fois le nom d’une école de pensée et celui d’un domaine théorique. C’est Napoléon qui a attribué un sens négatif à ce concept parce que les idéologues critiquaient son pouvoir. C’est Marx qui a employé ce concept pour désigner les idées des philosophes jeunes hégéliens et de tout ce qui résulte de la défection du système hégélien. De ce fait, le concept est élargi à toutes les formes de productions non économiques, comme le droit, l’Etat, l’art, la religion, l’éthique, la philosophie, etc. Mais déjà il semble que le sens péjoratif de l’idéologie se trouve déjà chez E. La Boétie et B. Spinoza dans la servitude et la sujétion d’un peuple. De plus, avec Ricœur, l’idéologie est une forme de rhétorique, de symboles, de croyances, de représentations assurant l’identité d’un groupe. Elle est une grille, un code pour se donner une vue d’ensemble de l’histoire, du monde. Elle véhicule les idées et les opinions. Elle joue la fonction d’intégration sociale et le rôle de médiation dans la société. <p></p>Lorsque nous considérons l’approche ricoeurienne du phénomène idéologique par rapport à celles de ses prédécesseurs, il se dégage l’idée que d’un côté, il y a la complémentarité et de l’autre côté non. En effet, le problème de développement de l’Afrique continue à se poser jusqu’à ce jour malgré quelques solutions précaires envisagées par-ci et par-là, la question de développement demeure. A la base, l’Afrique traverse une crise idéologique grave qui la déstabilise, la paralyse sur tous les plans ;crise provoquée par le refus de certaines personnes d’adhérer aux idéologies prêchant la paix, l’amour, le pardon, la réconciliation, la cohabitation ou le vivre-ensemble, la solidarité, la fraternité, etc. qui explique bien entendu la prédominance en Afrique des idéologies des guerres ethniques et tribales, des idéologies des rébellions, des idéologies des terrorismes, des idéologies dictatoriales, des idéologies monopartistes, des idéologies des viols des femmes, des idéologies de la pauvreté et de l’endettement, des idéologies des pillages des richesses naturelles ;crise encouragée par les idéologies préconisant l’opposition, l’affrontement, la poursuite des conflits, la recherche des intérêts égoïstes au détriment du bien commun.<p></p> En conséquence, on assiste à des conflits multiformes. Ces conflits caractérisent aujourd’hui toute l’Afrique en général mais en particulier l’Afrique noire. Les presses africaines et étrangères en font écho. En outre, il y a le problème de l’analphabétisme, de chômage et de manque de l’énergie, auquel l’Afrique est confrontée. Mais c’est face à cette situation, que nous avons tenté à la lumière de sa pensée, proposer des jalons de nouvelles approches idéologiques positives capables de soutenir les actions politiques et de développement des sociétés africaines ;pour cela nous avons préconisé l’effondrement des idéologies négatives maintenant l’Afrique dans le sous-développement, de même, nous avons sensibilisé les Africains de prendre conscience de leur situation, en particulier de leurs libertés et droits fondamentaux comme facteurs de développement de l’Afrique mais aussi aidé les Etats africains à prendre en compte le rôle important de ces jalons de nouvelles approches idéologiques positives pour favoriser la paix et la concorde, le dialogue et la cohésion nationale, la réconciliation, le développement multiforme de l’Afrique ;encore faudrait-il la démocratie ou la bonne gouvernance, la cohabitation ou le vivre-ensemble qui privilégieraient un Etat de droit, stable, pacifique avec des institutions justes, gérées par des dirigeants élus démocratiquement et ont de compte à rendre à leur peuple.Ricœur assigne à l’idéologie une fonction positive, c’est pour cette raison qu’elle peut contribuer aux actions politiques et de développement de l’Afrique dans la mesure où l’idéologie a une mission de l’éducation dans le monde entier en raison de son caractère constitutif pour le développement ;elle a un rôle intégrateur ;elle est un concept neutre puisque le terme n’a pas de connotations négatives ;elle englobe les distorsions et les représentations ;elle ne se définit ni en fonction de classe dominante ni en celle de justification ;elle ne s’oppose pas à la réalité, car la réalité n’est autre que l’ensemble des hommes, des êtres matériels et immatériels qui constituent le monde; le soupçon idéologique est remplacé par l’entretien car par ce dernier, on reconnaît les valeurs d’un groupe en les acceptant positivement ;la science peut devenir une idéologie si on prend en compte le raisonnement d’Aristote de l’existence d’un pluralisme scientifique; elle a un caractère paradoxal qui demande l’auto-implication de celui qui parle de l’idéologie ;elle est au service du pouvoir politique. Voilà un peu l’essentiel de notre étude. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Conceptualiser l'asymétrie structurelle du théâtre de la guerre.

Bolle, Martin 30 June 2020 (has links) (PDF)
La thèse tente de conceptualiser l'asymétrie de la guerre asymétrique telle une prédation à la structure de la guerre, de la paix et de l'ordre politique. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les limites de la violence ; analyse de la conception de la violence d'Albert Camus

Trottier, Yves January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le contractualisme international : défis, portée et limites d'un cadre théorique

Chevalier, Ludovic January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Inclusion et différence : vers une critique constructive de la reconnaissance chez Habermas

Blanchard, Martin January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Modos da soberania e a questão contemporânea do poder / Des modes de la souveraineté et la question du pouvoir dans la théorie politique contemporaine / Modes of the sovereignty and the question of power in contemporary political theory

Cezar Ribeiro, Gustavo 13 October 2014 (has links)
Ce travail divisé en trois parties est un effort de récupération du concept de souveraineté. Le point de départ théorique de la thèse réside dans l’affirmation que la possibilité de penser la politique dans la modernité et à l’époque contemporaine passe par la nécessité d’affirmation d’un principe de souveraineté. Il l’avoue, d’abord, la nécessité d’une brève reprise de son sens historique, revisitant les origines de la pensée politique moderne et en identifient là les éléments constitutifs de la notion de souveraineté qui opèrent aujourd’hui dans les différentes théories du pouvoir. Mais le plus grand effet de cette reprise doit être compris en termes d’un effort de « réhabilitation » de la souveraineté. Cet objectif, cependant, nécessite deux mouvements parallèles : 1) la tentative de reconnaitre la présence de la souveraineté ou de certains de ses éléments-clés au sein des théories qui la rejettent, soit pour des raisons politiques ou épistémologiques ; 2) l’indication des éventuelles nouvelles articulations des éléments de la souveraineté, de telle sorte qu’elle puisse reprendre sa puissance d’analyse et d’explication sur la réalité du pouvoir. En général, le travail cherche à récupérer non exactement l’histoire du concept, mais les opérateurs cognitifs de la souveraineté qui lui ont été attribuées dans un moment historique particulier. De l’identification de ces opérateurs, je tiens à souligner sa présence dans des formulations apparemment défavorables à l’idée du souverain. Cette argumentation a demandé, dans sa première partie, un retour aux ordonnateurs et classiques de ce grand thème. / This work is divided into three parts an effort of reconstruction of the concept of sovereignty. The theoretical starting point of the argument lies in the assertion that the possibility of thinking of politics in modern and contemporary times passes through the need for affirmation of the principle of sovereignty. It admits, at first, the need for a quick recovery of its historical sense, revisiting the origins of modern political thought and there identifying the elements of the concept of sovereignty, which now operates in the different theories of power. But the biggest effect of that recovery is to be understood in terms of an effort to the “rehabilitation” of sovereignty. This goal, however, requires two parallel movements: 1) an attempt to recognize the presence of the sovereignty or some of its key elements in theories that reject it, either for political or epistemological reasons; 2) an indication of any new joint elements of sovereignty, so that it can regain its power of analysis and explanation of the reality of power. In general, the work seeks to recover not exactly the history of the concept, but the cognitive operators of sovereignty that have been allocated in a particular historical moment. From the identification of these operators, I want to emphasize its presence in seemingly unfavourable formulations to the idea of the sovereign. This argument has requested, in the first part, a return to the classics of this great theme.
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Réflexion critique sur les fondements du politique

Lalumière, François January 2007 (has links) (PDF)
Le présent ouvrage se présente sous la forme d'un essai critique. L'intention de son auteur est de proposer une analyse des fondements ontologiques de la science politique. L'oeuvre se scinde en deux sections. Premièrement, il y est exposé en quoi la science politique peut être entendue comme un discours mettant en jeu l'être de l'homme. Partant de cette perspective, l'essai s'aventure aux côtés de Martin Heidegger. L'essentiel de cette section longe la réflexion du philosophe allemand sur le principe de raison. Ce parcours s'effectue à partir d'une méthode généalogique s'ouvrant sur le discours scientifique en matière politique. La démarche généalogique emprunte ensuite un détour par Taylor, Kant, Descartes, Augustin pour aboutir chez Platon. Au final, cette partie de l'essai s'attarde à présenter la récurrence du concept d'essence comme a priori de la réflexion politique ainsi que l'emprise du principe de raison sur cette dernière. À terme, il sera possible de voir l'ontologie et la théologie comme deux modes participant conjointement à une pré-compréhension ontologique structurant nos rapports à l'être de l'homme au sein du politique. Dans un deuxième temps, la réflexion fera volte-face afin de tenter une refonte du discours politique à partir d'une conception ontique de l'être de l'homme en jeu dans le vivre-ensemble. Autrement dit, l'essai cherche à penser le politique sans le concept d'essence. À partir d'un noyau vide d'essence, sera ingénié un abord différent, radicalement autre, de l'objet de la science politique. L'homme est à lui-même son propre objet au sein du discours scientifique. Cette réflexion désire montrer qu'il peut être plus et autre chose. Pour ce faire, ce segment s'appuie principalement sur l'anti-concept d'Unique inspiré de Stirner et de la pensée éthique de Lévinas. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Essence, Fondement, Ontologie, Philosophie politique, Science politique, Principe de raison, Connaissance, Unique.
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La guerre préventive dans la théorie de la guerre juste

De Cockborne, Diane 05 1900 (has links) (PDF)
Les tactiques préventives ont été de nombreuses fois utilisées dans un contexte de guerre. Cependant, peu d'exemples historiques nous permettent d'affirmer que la guerre préventive est une stratégie valable, qui devrait avoir une place au sein des théories de la guerre. En fait, elle fut interdite par l'Organisation des Nations Unies, due à une lacune importante, celle d'une définition précise, qui clarifierait son statut au niveau moral et international : est-il possible de la considérer comme un acte de légitime défense? En 2001, la réponse du gouvernement américain aux attaques qu'il venait de subir a été de mener une guerre préventive contre le terrorisme mondial. La légitimité de ces actions reste à démontrer; cependant, c'est à partir des débats qu'elles ont engendrés que nous avons articulé notre problématique. Ce contexte de menaces terroristes, dans lequel est plongé notre monde, a poussé les États à considérer l'autodéfense préventive comme une option légitime au combat mené. Dans ce travail, nous souhaitons aborder ce problème de la manière suivante : dans un premier temps, nous nous pencherons sur la place que détiennent la guerre préventive et la légitime défense dans les relations internationales. Ensuite, il s'agira, en prenant appui sur deux cas précis, d'appliquer des critères afin d'encadrer du mieux possible une action préventive. Si les États décidaient effectivement d'adopter une telle stratégie à un niveau mondial, ils devraient alors agir selon un guide, des critères qui permettraient de différencier les bonnes actions, des mauvaises; et surtout de pouvoir sanctionner celles qui ne sont pas justifiées. Et c'est précisément le fil argumentaire que nous suivons dans ce travail : l'évaluation des éléments qui pourraient constituer une guerre préventive légitime. Avec la crainte d'actes terroristes, on a pu assister à un retour de la question préventive qui tend à conserver le principe de légitime défense, sans pour autant aller à l'encontre du droit international. Si la légalisation d'un tel concept ne se produit jamais, il est tout de même important d'éclaircir les définitions des concepts de prévention et préemption puisque ceux-ci demeurent très incomplets et enclins à l'amalgame. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : guerre juste, guerre préventive, jus ad bellum.
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Dimensions politiques de l'émancipation à travers les théories esthétiques et des pratiques artistiques

Gendron-Blais, Hubert 03 1900 (has links) (PDF)
Devant l'esthétisation croissante de la domination, l'auto-référentialité fonctionnelle du champ artistique et le manque d'inspiration des luttes sociales, il s'avère pertinent d'accorder une attention soutenue à l'imaginaire, à la créativité et aux affects dans les processus politiques. Ce mémoire, issu d'une volonté de ne pas se laisser abattre par l'inconsistance du monde et des rapports humains, pose d'emblée la nécessité de l'émancipation. La réflexion développée ici vise en ce sens à comprendre comment l'expérience esthétique peut contribuer aux processus d'émancipation, de quelle manière les théories esthétiques et les pratiques artistiques sont en mesure d'inspirer la praxis politique émancipatrice. Diverses perspectives théoriques (communisme libertaire, poststructuralisme, théorie critique, phénoménologie, etc.) seront mobilisées à cet effet afin de refléter autant que faire se peut le caractère fuyant, irréductible au discursif, de l'art et de l'expérience esthétique. L'analyse du concept d'émancipation tend d'abord à montrer qu'il s'articule comme un lien intensif et actif entre éthique et politique mobilisant des processus de subjectivation spécifiques et se déployant sous la forme d'un mouvement perpétuel d'affirmation et de négation. L'esthétique, traversée par des dynamiques similaires, entretient des rapports complexes avec l'émancipation, rapports à travers lesquels ces deux notions en viennent à se stimuler mutuellement. Les enjeux problématiques que sont le rapport de l'art à la société et aux institutions ainsi que la tension entre communication et conflit illustrent la manière dont l'art et la perspective esthétique interrogent et approfondissent la démarche émancipatrice. Une telle réflexion est mise à l'épreuve par l'étude critique de trois cas de pratiques artistiques contemporaines venant illustrer la difficulté de réaliser effectivement des processus émancipateurs. Le rapport entre art, esthétique et politique demeure pourtant une source d'inspiration constante pour la praxis émancipatrice, qui voit de multiples pistes s'ouvrir devant elle dans cette voie. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Émancipation, Pensée politique, Esthétique, Pratiques artistiques.
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De l'hostilité, ou, La violence en tant que réalité morale

Richard, Alexis 06 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse est une étude thématique et un essai théorique qui a pour objet la violence en tant que réalité morale. Celle-ci est envisagée au moyen de l'élaboration d'une théorie stratifiée de l'identité morale de l'humanité culminant dans la représentation conceptuelle de l'hostilité. Cette entreprise est menée à terme en quatre temps. (1) D'abord par un effort de problématisation qui s'appuie sur une revue de la littérature récente sur la violence en sciences sociales, problématisation qui permet de dégager les contours d'un complexe logique et moral. (2) Puis par la construction d'un cadre théorique qui épouse le caractère multiforme de la violence en puisant ses fondements dans la philosophie de Nietzsche de manière à définir le « sujet de l'hostilité ». (3) Ensuite en se penchant sur le caractère moral de la violence à partir de la stratification des possibles de l'hostilité humaine, ce qui conduit au discernement de trois modes de production d'identités hostiles (animal, humain et mécanique). (4) Finalement en revenant sur la violence en tant que modalité expressive du sujet de l'hostilité. La thèse se termine sur la discussion d'un cas qui illustre son propos théorique, d'une part, et sur la mise en perspective de la question de la « sortie » de la violence, d'autre part. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : violence, morale, hostilité, humain, culture, philosophie politique

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