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Do parental psychopathology and unfavorable family environment predict the persistence of social phobia?

Knappe, Susanne, Beesdo, Katja, Fehm, Lydia, Höfler, Michael, Lieb, Roselind, Wittchen, Hans-Ulrich 13 April 2013 (has links) (PDF)
Parental psychopathology and unfavorable family environment are established risk factors for onset of offspring social phobia (SP), but their associations with the further course, e.g., persistence of the disorder, remain understudied. A community cohort of 1395 adolescents and their parents was followed-up over almost 10 years using the DIA-X/M-CIDI. Parental diagnostic interviews were supplemented by family history data. Parental rearing was retrospectively assessed by the Questionnaire of Recalled Parental Rearing Behavior in offspring, and family functioning by the Family Assessment Device in parents. Persistence measures (proportion of years affected since onset) were derived from diagnostic interviews, using age of onset, age of recency, and course information. Lack of emotional warmth and dysfunctional family functioning characteristics were associated with higher SP persistence, particularly in interaction with parental psychopathology. Predictors for SP persistence differ from those predicting SP onset. Unfavorable family environment alone and in interaction with parental disorders predict higher SP persistence.
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L'influence longitudinale de la sécurité d'attachement envers les parents et les pairs à l'adolescence sur l'adaptation de l'individu à l'âge adulte = Longitudinal influence of adolescent attachment security towards parents and peers on future adaptation in adulthood

Pascuzzo, Katherine 03 1900 (has links) (PDF)
L'objectif général de la présente thèse était d'évaluer le rôle longitudinal de l'attachement envers les parents et les pairs à l'adolescence sur l'adaptation future de l'individu, en ce qui concerne son style d'attachement amoureux adulte, ses stratégies de régulation émotionnelle et son degré global de symptômes psychopathologiques. Plus précisément, le but de la première étude était d'examiner l'influence de la sécurité d'attachement envers les parents et les pairs à l'adolescence sur le développement des styles d'attachement amoureux anxieux et évitant du jeune adulte, ainsi que le rôle médiateur des stratégies de régulation émotionnelle. Dans la deuxième étude, nous avons évalué l'influence de la sécurité d'attachement envers les parents et les pairs à l'adolescence, ainsi que les styles d'attachement amoureux anxieux et évitant du jeune adulte, sur la manifestation de futurs symptômes psychopathologiques à l'âge adulte. Le rôle médiateur des stratégies de régulation émotionnelle a également été évalué. À 14 ans, tous les participants (1er article: n = 56; 2ième article: n = 50) ont complété l'Inventaire de l'Attachement aux Parents et aux Pairs (IPPA; Armsden & Greenberg, 1987). À 22 ans, l'attachement amoureux a été évalué à l'aide du Questionnaire sur les Expériences d'Attachement Amoureux (Brennan, Clark, & Shaver, 1998), et les stratégies de régulation émotionnelle ont été évaluées à l'aide de l'Inventaire de Gestion des Situations Stressantes (Endler & Parker, 1994) et de l'Échelle de l'Expressivité Émotionnelle (Kring, Smith, & Neale, 1994). À 24 ans, les participants ont complété l'Inventaire des Symptômes 90-Révisé (Derogatis, 1983) afin d'évaluer les symptômes psychopathologiques, ainsi que l'Inventaire de Personnalité NEO-Révisé (Costa, & McCrae, 1992) en tant que mesure de névrotisme. Les résultats de la première étude ont démontré que l'insécurité d'attachement envers les parents et les pairs à l'adolescence prédit, 8 ans plus tard, un attachement amoureux plus anxieux, ainsi que des stratégies de régulation émotionnelle davantage centrées sur les émotions. De plus, les résultats ont indiqué une association positive concomitante entre l'attachement amoureux anxieux et les stratégies centrées sur les émotions à l'âge adulte, tandis que l'attachement amoureux évitant était associé à moins d'expressivité émotionnelle et de recherche de soutien social. En lien avec nos hypothèses, les résultats ont également identifié la stratégie de régulation centrée sur les émotions comme étant un médiateur partiel du lien entre l'attachement insécurisant envers les parents à l'adolescence et l'attachement amoureux anxieux à l'âge adulte, ainsi qu'un médiateur complet du lien entre l'attachement insécurisant envers les pairs à l'adolescence et l'attachement anxieux à l'âge adulte. Ces résultats soutiennent les hypothèses de l'étude en démontrant que l'attachement envers les parents à l'adolescence a un effet direct sur les perceptions de l'individu par rapport à ses relations amoureuses en favorisant le développement d'un style d'attachement amoureux plus anxieux. De plus, notre modèle de médiation suggère que l'attachement envers les parents et les stratégies de régulation centrées sur les émotions devraient être des cibles d'intervention pour les couples en détresse, car ils semblent représenter des déterminants importants dans le développement des styles d'attachement amoureux à l'âge adulte. Les résultats de la deuxième étude ont démontré qu'un attachement insécurisant envers les parents à l'adolescence prédit un niveau de symptômes psychopathologiques plus élevé 10 ans plus tard. Cette association a été maintenue même en contrôlant pour l'attachement amoureux anxieux et le névrotisme. Les stratégies de régulation centrées sur les émotions ont aussi été identifiées comme un prédicteur du degré de symptômes psychopathologiques présentés 2 ans plus tard. Ces stratégies agissent également en tant que médiateur complet du lien entre l'attachement amoureux anxieux et les symptômes psychopathologiques. Finalement, les résultats de la deuxième étude montrent que l'attachement envers les pairs à l'adolescence et l'attachement amoureux évitant chez le jeune adulte n'étaient pas liés aux symptômes psychopathologiques à l'âge adulte. Les résultats de cette deuxième étude mettent ainsi en évidence un modèle développemental qui s'étale sur une période de 10 ans, où l'attachement insécurisant envers les parents et les stratégies de régulation émotionnelle centrées sur les émotions favorisent le développement de symptômes psychopathologiques à l'âge adulte. En somme, les résultats de cette thèse montrent qu'un attachement insécurisant à l'adolescence envers les parents et les pairs influence l'adaptation future de l'individu en ce qui concerne sa façon de réguler ses émotions. Toutefois, seul l'attachement insécurisant envers les parents prédit de manière directe l'attachement amoureux anxieux et les symptômes psychopathologiques à l'âge adulte, soulignant l'impact majeur et unique de l'insécurité envers les parents à l'adolescence sur l'adaptation future de l'individu. Ces résultats sont d'autant plus renforcés par le devis longitudinal de la thèse. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : attachement à l'adolescence envers les parents/pairs, attachement amoureux, régulation émotionnelle, psychopathologie
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Untersuchungen zu den Beziehungen von Kognition und klinischer Symptomatik zu sozialem Funktionsniveau innerhalb einer großen Schizophrenie-Stichprobe / Studies regarding the relation of cognition and clinical features to social functioning in a large schizophrenia population

Leppert, Richard 28 February 2011 (has links)
No description available.
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Qu'est-ce qu'une maladie mentale ? : le libre arbitre en question / What is a mental illness ? : and the question of free will

Seydoux, Guillaume 29 November 2016 (has links)
Ce travail a deux principaux objets : 1) montrer que la « maladie mentale » est un concept subjectif définissable au moyen de termes philosophiques premiers ; 2) tirer argument de certaines données de fait de la psychopathologie à l’appui de la thèse sartrienne de la liberté (« L’existence précède l’essence »). Notre point de départ est une définition de la maladie mentale formulée par le psychiatre Henri Ey (1900-1977) : « La folie consiste en l’abrogation du libre arbitre. ». Afin de nous faire une première idée de la signification de cette définition, et de tester aussi sa valeur, nous étudions minutieusement deux exemples : la dépendance au tabac, état dont les psychiatres s’accordent à dire depuis la fin des années 90 qu’il est pathologique, et l’homosexualité, état dont les psychiatres s’accordent à dire depuis la fin des années 80 qu’il n’est pas pathologique. Après nous être avisés que l’énoncé définitionnel formulé par Henri Ey est incorrect d'un point de vue de philosophe, nous rectifions son énoncé comme suit : « Est malade mental celui qui croit sérieusement n’avoir pas de libre arbitre. »; puis nous montrons que cet énoncé définitionnel rectifié est exact, et qu’il permet dans certains cas de répondre à la question : « Cet état est-il, ou n’est-il pas pathologique ? ». Enfin, nous montrons que les descriptions cliniques des comportements des grands psychotiques viennent fortement étayer la thèse sartrienne de la liberté en faisant obstacle à la formulation d’une quelconque loi du comportement humain. / This dissertation has two main aims : the first is to show that “mental illness” is a subjective concept, which can be defined using foundational philosophical terms ; the second is to expound an argument for Sartre’s thesis of freedom (“existence precedes essence”) based upon certain observations in psychopathology. To begin with, we consider a definition of mental illness formulated by the famous psychiatrist Henri Ey (1900-1977): “Madness consists in the abrogation of free will”. In order to familiarize ourselves with this definition, and to put it to the test, we first examine two examples in depth : tobacco addiction, which psychiatrists have qualified as pathological since the end of the 1990’s, and homosexuality, which they have deemed to be non-pathological since the end of the 1980’s. After arguing that Henri Ey’s definition is incorrect from a philosophical point of view, we offer the following amended version : “Those who seriously believe they have no free will are mentally ill.”; we then confirm that this amended definition is correct, and show that by using it we can, in some cases, answer the question : “Is this mental state pathological, or non-pathological ?”. Finally, we show how the clinical descriptions of the behaviours of severely mentally-ill patients support Sartre’s thesis of freedom by rendering any formulation of a law of human behaviour impossible.
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Psychologische Merkmale jugendlicher Patienten vor einer Gewichtsreduktionsbehandlung

Breinker, Julius L., Schmidt, Ricarda, Hübner, Claudia, Cämmerer, Jana, Körner, Antje, Sergeyev, Elena, Kiess, Wieland, Hilbert, Anja 07 October 2021 (has links)
Übergewicht und Adipositas zeigen bei Kindern und Jugendlichen eine hohe Prävalenz und Persistenz. Entsprechende Therapien sind kaum individualisiert und zeigen nur moderate Erfolge. Die Psychopathologie bleibt zumeist unberücksichtigt. Die vorliegende Studie hat die Psychopathologie von Jugendlichen mit Übergewicht und Adipositas (N = 201, Alter 12 – 17 Jahre) vor einer Gewichtsreduktionsbehandlung erhoben und Alters- sowie Geschlechtseffekte untersucht. Mittels Fragebögen wurden selbstberichtet die allgemeine Symptombelastung, Essstörungs- und allgemeine Psychopathologie, gewichtsbezogene Selbststigmatisierung und die körperliche und psychische Lebensqualität erhoben. Mädchen zeigten hypothesenkonform ein höheres Maß an gewichtsbezogener Selbststigmatisierung und eine stärkere Essstörungspsychopathologie als Jungen. Ältere Jugendliche berichteten eine geringere Lebensqualität als jüngere. Vergleiche zu Referenzgruppen aus Bevölkerungs- und Normierungsstichproben zeigten auffälligere Werte bei Jugendlichen mit Übergewicht und Adipositas für alle untersuchten Parameter. Eine auffällige Psychopathologie ist demzufolge ein wichtiges Korrelat bei Jugendlichen mit hohem Gewichtsstatus und ein potenzieller Einflussfaktor auf den Erfolg einer Gewichtsreduktionsbehandlung. Zukünftige Studien sollten die Psychopathologie bei Übergewicht und Adipositas weiter differenzieren und therapeutische Ressourcen evaluieren. / Overweight and obesity in children and adolescents are highly prevalent and persistent. Current weight loss treatments are rarely individualized and show only small to moderate efficacy. Only rarely, psychopathological parameters are considered. The present study evaluated the psychopathology of adolescents with overweight and obesity (N = 201, ages 12 – 17 years) prior to obesity treatment. The data were analyzed for age and sex effects. Self-report questionnaires assessed general symptom burden, eating disorder and general psychopathology, weight-related self-stigmatization, and physical and mental quality of life. Girls showed higher rates of weight-related self-stigmatization and higher disordered eating behavior compared to boys. Older adolescents reported a lower quality of life compared to younger adolescents. In normative comparisons with population-based samples and norms, adolescents with overweight and obesity showed significantly adverse outcomes in all parameters. Thus, this study identified psychopathology as an important factor in adolescents with high weight status that may affect obesity treatment. Future studies should examine psychopathology more differentially and determine therapeutic resources in adolescent overweight and obesity.
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Effets des mutations sociales sur la construction identitaire. Une clinique interculturelle du sujet adolescent au Cameroun / Effect of the social changes on identity construction. An intercultural clinic of the adolescent subject in Cameroun

Bitogo, Joseph Blaise 10 October 2018 (has links)
Cette thèse traite, d’un point de vue interculturel, de la construction de l’identité à l’adolescence dans une Afrique en mutation. À partir d’une enquête sur le rapport psychisme/culture et l’étude des effets de l’intrication des cultures africaine et occidentale, nous avons dans ce travail démontré que la représentation de soi de l’adolescent Camerounais se trouve modifiée, car désormais coupée du référent fondateur. Par l’enculturation, la famille africaine élargie avait entre autres pour fonction d’accompagner l’adolescent à l’âge adulte en lui conférant une place, une identité. La culture, dans ce rôle de tiers, régulatrice de l’attachement, de la séparation et de la jouissance dans l’interaction fantasmatique entre l’adolescent et sa famille, et même entre l’adolescent et son environnement est sous-tendu par le référent fondateur ; c’est-à-dire par la croyance en un père imaginaire, le père ancêtre. L’ignorance, le refus ou l’oubli du référent fondateur (rupture de transmission, auto engendrement) fait obstacle à la construction identitaire, laissant ainsi l’adolescent Camerounais dans l’impasse. Dans une perspective de culture humaine, nous avons conclu que la façon dont les mélanges de cultures prennent place dans une société en constante évolution, est à entendre comme une atteinte à l’identité subjective, dans la mesure où elle entrave la fonction du père ancêtre, produisant ainsi, à la fois des effets de rupture, d’impasse, mais aussi d’ouverture dans la structuration du sujet. Ces effets, inévitablement, impliquent l’émergence de nouvelles pathologies et donc de nouveaux modes de prise en charge dans la clinique des adolescents. / This thesis deals, from an intercultural point of view, with the construction of identity in adolescence in a changing Cameroon. Based on an investigation on the relationship between psyche and culture and the study of the effects of the entanglement of traditional African and Western cultures, we have demonstrated in this work that the self-representation of the adolescent Cameroonian is modified, because it is now disconnected from the founding referent. Through enculturation, the extended African family had among other functions, to guide the adolescent towards adulthood, by providing him shelter and an identity. Culture, acting as a third party role that controls attachment, separation and joy in the fantasmatic interaction between the adolescent and his family, and even between the adolescent and his environment, is underpinned by the founding referent, meaning by the belief in an imaginary father, the ancestral father. Ignoring, refusing to accept or forgetting the founding referent (due to a failure in transmission or self-generation) is an obstacle to the construction of identity, thus leading the Cameroonian adolescent to a dead end. From a human culture perspective, we have concluded that the way in which a cultural mix occurs within a constantly evolving society is to be understood as an attack on subjective identity, insofar as it hinders the function of the ancestral father thus producing both the effects of separation and deadlock, which also allows a new perspective on the structuring of the subject. These effects, inevitably, imply the emergence of new pathologies and thus new modes of management in the adolescent clinic.
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Ecstasykonsumenten: Neurokognitive und funktionelle Problemkonstellationen und Ansätze zu spezifischen Frühinterventionen

Schütz, Christian G., Indlekofer, Friedrich, Piechatzek, Michaela, Daamen, Marcel, Waszak, Florian, Lieb, Roselind, Wittchen, Hans-Ulrich January 2004 (has links)
Hintergrund: In den letzten Jahren ist zunehmend deutlich geworden, dass Konsumenten von Ecstasy sich hinsichtlich Gebrauchsmuster und -kontext wie auch Spontanverlauf, Risiken und Konsequenzen von Konsumenten anderer legaler und illegaler Substanzen unterscheiden und möglicherweise eine recht eigenständige Gruppe darstellen. Diese eigenständige Gruppe wird im angelsächsischen Raum zum Teil auch als club drug user bezeichnet. Alarmierend waren die Vermutungen aus Voruntersuchungen, dass club drug-Konsumenten auch nach dem Konsum geringer Mengen von Ecstasy bemerkenswerte und möglicherweise überdauernde neurobiologische Veränderungen mit assoziierten kognitiven Beeinträchtigungen und Störungen aufzeigen. Dies stellt an sich eine mögliche Gefährdung der Konsumenten dar, zusätzlich wiederum können kognitive Veränderungen auch Einfluss nehmen auf den Verlauf des weiteren Suchtmittelkonsums und den Erfolg von Interventionen. Ziel: In der MAYA-Studie (Munich Assessment of Young Adults) werden an einer epidemiologischen Bevölkerungsstichprobe junger Erwachsener (Stichprobe A) sowie an einer klinischen Stichprobe von Ecstasy-Konsumenten (Stichprobe B) die Art und das Ausmaß kognitiver Störungen und Defizite in Abhängigkeit von Gebrauchsmustern und anderen Einflussfaktoren untersucht. Bei der Stichprobe A handelt es sich um ein Subsample der EDSPStudie. Zusätzlich zu den bereits erhobenen Charakterisierungen werden spezifische neurokognitive Maße (vor allem Aufmerksamkeit, Gedächtnis und exekutive Funktionen) und Fragebögen (Impulsivität, BDI, STAI etc.) erhoben. Die Probanden erhalten weiterhin ein Screening mit dem neu eingeführten Instrument WHO ASSIST (Alcohol, Smoking and Substance Involvement Screening Test). Wenn indiziert, wird eine Intervention im Sinne eines Motivational Enhancement durchgeführt. Initiale Auswirkungen werden in einem Telefoninterview sechs Wochen später überprüft. Ergebnisse: Die vorläufigen Ergebnisse beruhen auf einer Teilstichprobe. Insgesamt handelte es sich eher um Konsumenten mit geringgradigem bis moderaten Konsum. Dennoch ließen sich Unterschiede zwischen den Konsumentengruppen (Ecstasy, Cannabis, Alkohol) und den Nichtkonsumenten erkennen. Die Konsumenten von Ecstasy unterschieden sich am ausgeprägtesten von den Kontrollen. Die sich bisher abzeichnenden Unterschiede bei Aufmerksamkeit, Gedächtnis und exekutiven Funktionen scheinen bei der Gedächtnis- und Merkfähigkeit am ausgeprägtesten zu sein. Bei diesen vorläufigen Ergebnissen sind die Untersuchungsgruppen noch sehr heterogen und enthalten z.B. Probanden, die ihren Ecstasykonsum bereits wieder aufgegeben haben. / Introduction: In recent years it has become increasingly evident that ecstasy users represent a group distinct from users of other drugs. This is based on consumption patterns, context of use, development of use patterns and other factors. This group of users might be considered "club drug users", given the overlap, similarity of use patterns and consumptions within the class of club drugs. In recent neurobiological research, alarming results have been reported, indicating that persistent neurotoxic effects with concomitant cognitive problems may be induced by ecstasy consumption. Methods: In the Munich Assessment of Young Adults Study (MAYA) two samples of ecstasy users are investigated. Sample A is a sample of users drawn from an ongoing epidemiological longitudinal study of young adults in Munich. Sample B is an additional clinical sample. Both samples are characterized extensively and are neuropsychologically tested for attention, memory and executive functioning. A screening for harmful use is conducted with the German version of the WHO ASSIST (Alcohol, Smoking and Substance Involvement Screening Test). A Motivational Enhancement Intervention is applied when harmful use is detected. With a telephone interview the intervention's initial effect is assessed. Results: Initial results are based on a small sample. Use within the tested population is low to moderate. Still significant differences in attention, memory, and executive functioning could be detected with the current testing. Ecstasy users almost consistently showed the lowest cognitive functioning. The one difference is that ecstasy users were significantly faster in finger tapping and reaction. Note that the results are preliminary. The sample is heterogeneous, including both current and former users. Firmer results will be reported with the full sample size, allowing to further elucidate subgroups and interactions.
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A new meta-structure of mental disorders: a helpful step into the future or a harmful step back to the past?: A commentary on 'A proposal for a meta-structure for DSM-V and ICD-11'

Wittchen, Hans-Ulrich, Beesdo, Katja, Gloster, Andrew T. January 2009 (has links)
Aus der Einleitung: "The authors of the seven meta-structure papers in this issue have to be applauded for their inspiring attempt to suggest and elaborate a new meta-structure of mental disorders consisting of five ‘ clusters ’. At first sight this proposal seems to be considerably simpler than the current diagnostic classifications structure used by DSM-IV-TR (17 categories ; APA, 2000) and, in some parts, more convergent with the ICD-10 (10 categories ; WHO, 1993). Against the background of dissatisfaction expressed with the current diagnostic classification structure for mental disorders and its principles, the authors provide a selective critical review of relevant research. In particular, evidence is examined to address the question of whether current individual mental disorders differ sufficiently from each other and whether the current more fine-graded distinction of specific mental disorders and their grouping in 10 major classes according to ICD-10 and 17 in DSM-IV-TR is justified. To help answer this question, a prioricriteria were chosen in the form of a wide range of ‘validators ’ grouped into so-called ‘causal’ risk factors (i.e. shared genetic risk factors, familiality, shared environmental risks, shared neural substrates, shared biomarkers, shared temperamental antecedents) and factors thought to be more likely to reflect the clinical picture itself (shared abnormalities of cognitive and emotional processing, symptom similarity, rates of co-morbidity, course, treatment response). The results of this impressive exploration are interpreted to suggest a substantial reduction of the current major classes to five clusters and a fairly large residual category of disorders not yet assigned. Particularly noteworthy examples for classificatory changes associated with the proposed meta-structure involve: the suggestion to group anxiety, somatoform and depressive disorders together under the term ‘emotional disorders ’ ; the allocation of bipolar disorders to the ‘psychotic cluster ’ ; and the formation of a broad externalizing cluster that comprises substance use disorders, some of the personality disorders and impulse control disorders. [...]"
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Mental disorders in ecstasy users: a prospective-longitudinal investigation

Lieb, Roselind, Schuetz, Christian G., Pfister, Hildegard, Sydow, Kirsten von, Wittchen, Hans-Ulrich January 2002 (has links)
Objectives: To investigate the relationship between ecstasy use and mental disorders in a representative sample of adolescents and young adults. Method: Data for this investigation were drawn from the Early Developmental Stages of Psychopathology (EDSP) study, an epidemiological-longitudinal study in which 14-24 year-olds were examined prospectively over a period of about 4 years. Results are based on N=2462 participants who completed the whole study period and for whom drug use behavior could be determined. Results: (1) Ecstasy users, compared with non-users, were at significantly increased risk of DSM-IV substance related disorders, including alcohol use disorders (52.6 vs. 15.6%; OR=5.6, 95% CI=3.8-8.1). Further, ecstasy users also had a higher risk of alcohol use disorders, when compared with users of other illicit substances (52.6 vs. 40.3%; OR=1.7, 95% CI=1.1-2.4). (2) Ecstasy users had significantly higher rates for almost all DSM-IV mental disorders examined when compared with non-users (any non-substance use disorder: 68.7 vs. 44.5%; OR=3.1, 95% CI=2.1-4.4) and compared with users of other illicit drugs (any non substance use disorder: 68.7 vs. 55.5%; OR=1.8, 95% CI=1.2-2.6). (3) Ecstasy users also reported significantly higher rates of prescription medicine use, though they did not use more medical services than non-drug users. (4) Analyses of temporal patterns of ecstasy use and disorder onset revealed that the first use of ecstasy was secondary to the onset of DSM-IV mental disorders in the majority of cases. Still, subjects with mental disorders at baseline also showed a significantly increased risk for initiation of ecstasy use during the 4-year follow-up period. Conclusions: Care should be taken in cross sectional studies in interpreting mental disorder signs and symptoms merely as a consequence of ecstasy use, as ecstasy use might be associated with the use of multiple substances, and onset of mental disorder is more likely to precede rather than to follow use of ecstasy and related substances.
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Adaptation cognitive chez les adolescents ayant subi la maltraitance

Guay, Karianne 02 February 2024 (has links)
Les répercussions développementales de la maltraitance sont largement documentées dans les écrits scientifiques. Sur le plan cognitif, on constate que certains enfants se montrent hypervigilants par rapport aux signaux associés à un danger potentiel, ce qui peut se traduire par une allocation privilégiée de l'attention envers ces stimuli. Un tel biais attentionnel permet de détecter rapidement une menace afin de s'adapter à un milieu de vie adverse. Il peut en contrepartie accaparer inutilement l'attention en contexte sécuritaire. Or, l'état des connaissances demeure limité en ce qui concerne plus spécifiquement la manifestation de ce phénomène au cours de la période juvénile. La présente thèse cherche donc à vérifier si un biais attentionnel envers les stimuli menaçants subsiste auprès d'adolescents ayant vécu la maltraitance. À cet effet, 79 adolescents âgés de 12 à 17 ans sont recrutés dans la région de Québec pour former un groupe de 39 jeunes victimes de maltraitance et un groupe comparatif de 40 participants contrôles. Ils effectuent une tâche de clignement attentionnel (CA) qui mesure l'identification correcte des caractéristiques de visages cibles (C1 et C2) introduits dans des séquences rapides de visages neutres. En concordance avec l'hypothèse que des stimuli menaçants pertinents à la tâche devraient entraîner un effet facilitateur sur la performance, un premier chapitre empirique montre qu'une C2 fâchée présentée en situation de ressources limitées semble automatiquement rediriger l'attention vers ce stimulus. Cet effet de capture attentionnelle prend alors la forme d'une compétence cognitive chez les deux groupes d'adolescents étudiés. À l'inverse, une expression menaçante non pertinente à traiter - comme lorsque l'identification du genre d'une C1 fâchée est plutôt requise - paraît détourner l'attention des autres caractéristiques du stimulus. Dans ces conditions, une capture des ressources attentionnelles disponibles se traduit en une difficulté cognitive qui nuit au traitement de l'information cible pour l'ensemble des participants. Les résultats indifférenciés entre les groupes soulignent essentiellement l'absence de biais attentionnel propre aux participants exposés à la maltraitance. Un deuxième chapitre empirique propose donc une approche quantitative permettant de tester autrement l'existence du biais attentionnel tout en approfondissant la compréhension des données issues de la tâche de CA. Des paramètres empruntés à la théorie de détection du signal révèlent que les adolescents du groupe maltraitance ont plus souvent tendance à rapporter avoir vu une C2 lorsqu'elle est absente en comparaison avec le groupe contrôle. Une telle propension s'accompagne d'une stratégie décisionnelle à caractère plus libéral que les participants non exposés à la maltraitance, laquelle s'avère effectivement reconnue pour augmenter la susceptibilité aux erreurs de type fausses alarmes ou le nombre de détections fortuites. Les écarts presque significatifs obtenus entre les groupes demeurent néanmoins indépendants de la valence négative des C1 iii préalablement traitées, confirmant ainsi l'absence de biais attentionnel parmi les adolescents ayant subi la maltraitance. En revanche, des corrélations exploratoires avec les échelles de symptômes psychiatriques du Child Behavior Checklist ouvrent sur certains éléments cliniques à considérer en lien avec les résultats obtenus, dont le niveau d'impulsivité/inhibition des participants. Les conclusions de la thèse impliquent une possible résorption du biais attentionnel envers les visages fâchés observé auprès d'enfants victimes de maltraitance. Les retombées de cette découverte sont intégrées aux connaissances relatives à la maturation des mécanismes de régulation cognitive et comportementale lors de la puberté. Une approche évaluative basée sur les processus est encouragée dans la perspective d'élargir les applications cliniques issues de la recherche expérimentale. / The developmental impacts of childhood maltreatment are widely documented in scientific literature. On the cognitive level, some children are found to be hypervigilant in regards to signals associated with a potential danger, which can lead to a privileged allocation of attention toward those stimuli. Such an attentional bias allows a quick threat detection in order to adapt oneself in an adverse environment. It can, in turn, unnecessarily capture attention in a security context. However, the actual state of knowledge remains limited regarding the manifestation of this phenomenon during the juvenile period more specifically. Therefore, the aim of the present thesis is to verify whether an attentional bias towards threatening stimuli persists among adolescents who have experienced maltreatment. 79 adolescents (48 girls) aged 12 to 17 are recruited in the Quebec City region to form a group of 39 youths who have a history of maltreatment and a comparative group of 40 teenage controls. They perform an attentional blink (AB) task which measure the correct identification of characteristics from target faces (T1 and T2) introduced into a rapid serial presentation of neutral faces. In line with the hypothesis that task-relevant threatening stimuli should have a facilitating effect on performance, a first empirical chapter shows that an angry T2, presented in a resource-constrained situation, appears to automatically redirect attention to the stimulus. This attentional capture effect then takes the form of a cognitive competence in the two groups of adolescents. On the other hand, a threatening expression that is not relevant to process - as when identifying the gender of an angry T1 is rather required - seems to divert attention from the other characteristics of this stimulus. Under these circumstances, attentional capture results in a cognitive difficulty that impedes the processing of the targeted information for all participants. The undifferentiated results between groups mainly point out the absence of attentional bias specific to participants exposed to maltreatment. A second empirical chapter thus proposes a quantitative approach allowing to test the existence of an attentional bias differently while deepening comprehension of the AB task data. Parameters based on the Signal Detection Theory reveal that adolescents of the maltreatment group are more likely to report having seen a T2 when it was in fact absent in comparison with the control group. Such a tendency is accompanied by a decision-making strategy of a more liberal nature than participants not exposed to maltreatment, which is effectively known to increase susceptibility to false alarm errors or the number of incidental detections. Nevertheless, these almost significant differences between groups remain independent of the negative valence of previously treated T1, thus confirming the absence of attentional bias among the adolescents who experienced maltreatment. This being, exploratory correlations with the psychiatric symptoms scales of the Child Behavior Checklist open up on some clinical elements to v consider with regard to the results, notably participants' level of impulsivity/inhibition. The thesis conclusions imply a possible extinction of the threat-related attentional bias observed among children with a history of maltreatment. Impacts of this discovery are integrated with knowledge about the maturation of cognitive and behavioral regulatory mechanisms during puberty. A processoriented evaluation approach is encouraged with a view of enhancing clinical benefits from experimental research.

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