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Étude de réception : des Québécoises issues de la génération Y discutent des représentations des identités féminines dans les magazines féminins québécois

Thomassin, Julie January 2016 (has links)
Ce mémoire porte sur la réception des magazines féminins québécois chez des lectrices issues de la génération Y, à laquelle s’adresse notamment cette presse. En approfondissant l’étude du magazine féminin et son évolution, on distingue la complexité relationnelle qu’il entretient avec la gent féminine. Cette recherche qui se veut exploratoire se propose donc d’analyser, au moyen de groupes de discussions, les effets directs de la consommation de cette presse et son effet de socialisation sur les lectrices elles-mêmes. Trois entretiens comprenant de quatre à cinq participantes pour un total de treize lectrices, toutes âgées entre 25 et 35 ans, ont été menés afin de connaître l’opinion de ces dernières sur les représentations des identités féminines contenues dans les magazines féminins québécois qu’elles consomment. Ma recherche prend assise sur les travaux de différents chercheurs dans le domaine, ainsi que sur des études provenant des Cultural studies, des études féministes en communication et de la sociologie des générations. Je dégage de mon analyse quelques hypothèses interprétatives. De prime abord, précisons que les constats émergeant du discours des participantes laissent entrevoir à certains moments leurs propres contradictions, ce qu’elles admettent jusqu’à un certain point. D’une part, les lectrices ont tendance à dénigrer le contenu de cette presse et sa faible crédibilité, en employant des discours entendus et parfois généralisant et, d’autre part, elles apprécient les thématiques abordées. Néanmoins, les lectrices interrogées dans cette étude se sont montrées critiques envers certaines représentations des identités féminines. Même si elles n’approuvent pas le caractère stéréotypé des modèles présentés, elles admettent toutefois qu’elles se conforment personnellement aux normes corporelles et esthétiques. Par ailleurs, le phénomène de la superwoman leur semble constituer le modèle féminin le plus véhiculé et valorisé actuellement, ce qui contribue à susciter une pression sociale. Ceci dit, elles témoignent également de la fierté envers l’autonomie des femmes et les possibilités offertes à leur génération, qu’elles considèrent illimitées. D’ailleurs, les idéaux et les objectifs du féminisme que les magazines féminins participent à « accélérer » semblent les interpeller personnellement, et ce, de façon positive. Enfin, elles ont affirmé le besoin de se responsabiliser en se montrant critiques envers les messages et les modèles présentés, de ne conserver que ce qui leur ressemble ou leur convient, créant ainsi un espace de négociation dans leur lecture.
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Entre création et réception la poésie amérindienne publiée au Québec et ses prismes de lecture (1995-2008)

Létourneau, Jean-François January 2010 (has links)
La diffusion des oeuvres littéraires des Premières Nations publiées au Québec demeure limitée. La marginalité dans laquelle sont confinés ces écrits est exacerbée par le fait que ces derniers sont souvent perçus comme de simples témoignages culturels dépourvus de valeur esthétique. Dans ce contexte, la question de la réception critique de la littérature amérindienne se pose. En s'appuyant sur les notions propres aux théories de la réception critique et des théories postcoloniales, ce mémoire présente une analyse interne et externe de trois recueils de poésie écrits par des auteurs des Premières Nations : Eshi uapataman nukum (1995) de Rita Mestokosho, L'avenir voit rouge (2008) de Jean Sioui ainsi que Fou, floue, fléau (2008) de Mélina Vassiliou. Il vise à mettre en dialogue une lecture interne de textes poétiques d'auteurs amérindiens avec leur réception critique afin de vérifier l'adéquation entre les deux, et éventuellement, d'identifier les hiatus possibles, surtout sur le plan du traitement des stéréotypes identitaires. L'analyse révèle que les oeuvres à l'étude sont plus complexes que ce qu'une première lecture - ou une lecture trop empêtrée par plusieurs prismes - peut laisser entrevoir. En effet, la richesse des textes se dévoile aux lecteurs qui parviennent à abandonner une posture basée uniquement sur l'opposition manichéenne entre Indiens et Blancs, interprétation féconde en préjugés et stéréotypes de toutes sortes qui limitent la portée et la résonance des écrits. Certes, une telle conception binaire des relations entre autochtones et allochtones est présente dans les poèmes; elle apparaît comme une critique de l'ordre établi de la société dominante. Le lecteur ne peut donc faire totalement abstraction de cette dynamique, mais il est réducteur de ne retenir que cette seule dimension. En effet, l'intérêt des écrits de Mestokosho, de Sioui et de Vassiliou ne réside pas uniquement dans l'esprit de révolte qui y est véhiculé, trait compréhensible compte tenu de l'histoire des communautés amérindiennes; il se trouve également dans l'hybridité qui marque leur univers poétique, fondé par l'influence qu'exerce la civilisation occidentale sur leur écriture et par l'imaginaire hérité du référentiel ancestral de leur nation respective.
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La réception pragmatique de Gilles Deleuze dans la théorie littéraire américaine

Santini, Sylvano January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Las venas abiertas de America Latina de Eduardo Galeano : Paradojas de la recepción

Alonso, Maria Angeles January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Discussions sur les genres des québécoises de la génération X parlent d'autofiction au féminin

Bellerive, Karine January 2011 (has links)
Ce mémoire porte sur la réception, par des lectrices de la génération X, de cinq oeuvres autofictionnelles écrites par les auteures québécoises Marie-Sissi Labrèche ( Borderline 2000 et La brèche 2003), Nelly Arcan (Putain 2001 et Folle 2004) et Mélikah Abdelmoumen (Le dégoût du bonheur 2001), lesquelles appartiennent à cette même génération. Leurs récits ont suscité un certain engouement public et obtenu un écho considérable dans la sphère médiatique et dans le milieu de la recherche universitaire. Les observateurs notent, de façon générale, que les narratrices autodiégétiques, alter ego des auteures, sont brutalement imparfaites, névrosées, mal dans leur peau, sexuellement soumises, assujetties aux désirs des hommes, et qu'elles ne parviennent pas à s'épanouir comme êtres humains, mais surtout, comme femmes. D'une part, les héroïnes rompent avec les représentations largement véhiculées dans les médias et dans la littérature québécoise contemporaine. D'autre part, leur profil correspond aux discours populaires sur la génération X, fréquemment qualifiée de génération sacrifiée, désabusée. Ma recherche, exploratoire, se fonde sur quatre approches théoriques : théorie des genres littéraires, théories de la réception, études féministes et gender studies, sociologie des générations. J'ai tenu cinq entretiens collectifs auprès de seize Québécoises de la génération X. J'ai réuni ces lectrices, qui s'étaient d'elles-mêmes intéressées aux récits, en petits groupe [i.e. groupes] de trois ou quatre participantes. Le compte-rendu et l'analyse de leurs discussions m'ont permis d'observer la portée sociale des récits éminemment personnels de Labrèche, d'Arcan et d'Abdelmoumen. Une interrogation m'a habitée du début à la fin de ma démarche : pourquoi et comment ces récits"parlent-ils", intellectuellement et émotionnellement, aux lectrices de la génération X? Je dégage de mon analyse quelques hypothèses interprétatives. D'abord, les lectrices ont du mal à distinguer les auteures et les narratrices. Elles tendent à appréhender les récits autofictionnels comme des autobiographies et elles procèdent à une lecture littérale des oeuvres. Ensuite, plus de la moitié des lectrices s'identifient, à différents degrés, aux narratrices. Comme ces dernières, les participantes à ma recherche affirment qu'elles ressentent une certaine pression sociale liée aux normes de beauté et de féminité et à l'hypersexualisation de l'espace public. En cela, leurs positions se rapprochent de celles du courant féministe radical. Cependant, les lectrices refusent d'être cantonnées dans un rôle de victime. Elles reprochent aux narratrices de s'autodétruire. Les femmes doivent, selon les participantes, se responsabiliser et se montrer critiques envers les modèles qui leur sont offerts. Enfin, les lectrices reconnaissent dans les héroïnes certains traits associés à la génération X. Elles attribuent en partie la souffrance des narratrices au contexte social dans lequel ces dernières évoluent. Mais elles estiment que cette souffrance est surtout tributaire de carences familiales. Les discussions des lectrices reflètent en quelque sorte leur propre appartenance à la génération X. Ainsi, l'importance qu'elles accordent à la sphère privée, par rapport à la sphère publique, constitue une des particularités des X qui ressort clairement des entretiens. Par ailleurs, leurs observations sont teintées d'un certain individualisme. Bref, à la lumière de mes résultats, je conclus que les récits autofictionnels de Marie-Sissi Labrèche, de Nelly Arcan et de Mélikah Abdelmoumen ont une certaine portée sociale, mais que leur écho résonne davantage sur le plan individuel, chez les lectrices qui s'identifient personnellement aux narratrices. Cela dit, les participantes semblent toutes avoir été portées à se questionner et à réfléchir, pendant et après leur lecture, sur l'identité féminine dans la société actuelle.
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Entre tension et engagement : la réception de la télé-réalité au sein d'un public de jeunes Québécoises

Sironi, Camilla January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La función social de la novela regionalista hispanoamericana

Gagnon, Philippe January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le cinéma à l'épreuve de la communauté : la production francophone à l'Office national du film du Canada

Froger, Marion January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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« La souvenance et le désir ». La réception des poétesses grecques dans l'Antiquité et aux seizième et dix-septième siècles (France et Italie) / “Recollection and Longing” : The Reception of the Ancient Greek Female Poets in the Ancient World and in the 16th and 17th centuries (France and Italy)

Debrosse, Anne 29 June 2012 (has links)
Sappho, à la charnière des VIIe et VIe siècles avant Jésus-Christ, affirmait que l'écriture rend immortel : « Mais tu mourras et tu seras gisante et personne jamais n'aura de toi un jour ni souvenance ni désir. Car tu n'as pas eu en partage les roses de Piérie ». Les poétesses grecques qui lui ont succédé, premières voix féminines que l'histoire nous a conservées, ont à leur tour cueilli les roses des Muses, auxquelles elles furent comparées. Mais que reste-t-il de cette « souvenance », quelles formes a-t-elle empruntées et quels présupposés – ou quels « désirs » – la sous-tendent ? Hormis les nombreuses éditions de textes récentes des poétesses, les rares travaux existants ne démontent pas les rouages de leur réception et portent essentiellement sur la période antique ; or, les études diachroniques sur la réception de Sappho ont montré à quel point les lectures successives en avaient déformé les traits. C'est encore plus évident pour les poétesses car, dès l'Antiquité, deux choix entrent en concurrence quand on parle d'elles : on les regroupe en fonction des formes littéraires qu'elles privilégient ou, plus souvent, en fonction de leur sexe. Nous avons cherché à savoir pourquoi, en nous focalisant sur les moments cruciaux de la naissance puis de la renaissance des poétesses, dans les pays qui les ont découvertes. Aux questions traditionnelles de la philologie (attribution, transmission, corruption) s'ajoutent donc des problématiques sur la question de la place des femmes dans le champ littéraire (quels genres peuvent-elles pratiquer ?, quelle était leur audience ?). / Sappho, who lived between the 7th and 6th centuries B.C. stated that writing could ensure immortality: “but you will die and you will lie dead, and no one will ever remember or long for you, for you did not obtain the roses of Pieria”. The Greek female poets who followed her, among the first female voices that have come down to us, next gathered the roses of the Muses, to whom they were compared. But what has remained of this remembrance, what forms has it taken, and based on what expectations? Aside from the many recent editions of the texts of these poets, the rare studies that exist have focused on Antiquity. However, diachronic studies of the reception of Sappho have shown that the reading of her work has changed. This is even clearer in the case of the later poets: since Antiquity, they have been grouped together either in terms of the literary forms they adopted or, more often, in terms of their sex. This study attempts to understand why, by focusing on the reception of the Greek female poets in the ancient world and in the countries that later rediscovered them. In addition to the traditional philological questions (attribution, transmission, corruption) it examines the issue of the place of women in literature (the literary genres they could adopt, their audience).
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Lectures croisées. Étude sur les traductions des récits chevaleresques en France et en Italie autour de 1500 / “Lectures croisées.” A study of chivalric romances translations between French and Italian around 1500

Montorsi, Francesco 01 December 2012 (has links)
Le présent travail a pour objet les traductions italiennes de récits chevaleresques français et les traductions françaises de récits chevaleresques italiens accomplies de la fin du XVe siècle jusqu’en 1560. Il se situe à l’intersection de deux domaines, celui des textes composés au Moyen Age et encore lus à la Renaissance (parfois au-delà), et celui des échanges entre France et Italie en dehors de la culture humaniste. A cette fin, nous nous proposons d’étudier des textes italien et français peu connus, en les comparant avec leurs sources respectives. Pour la France, nous avons retenu les traductions de Guerrin Meschino, Morgante ilGigante, Orlando Innamorato et Orlando Furioso. Pour l’Italie, nous étudions une traduction du Guiron le Courtois de la première moitié du XVIe siècle, conservée à Florence dans un manuscrit. Le même roman de Guiron a été l’objet une adaptation en octaves commandée par François Ier à Luigi Alamanni, poète de cour et figure de l’«italianisme royal». Enfin, nous étudions les traductions françaises de la «collection» chevaleresque publiée à Venise au milieu du siècle (Lancelot, Perceforest et Meliadus).Au-delà du seul domaine des traductions, dans une première partie («Perceptions et usages des romans de chevalerie»), nous questionnons certaines facettes de l’histoire et de là l’appréhension du roman de chevalerie à l’époque étudiée : à savoir la création d’un roman de chevalerie moderne à partir des années quarante, la réception des romans par le public, les frontières du genre dans le système des lettres, ainsi que l’imaginaire lié à la lecture de ces livres. / The purpose of this dissertation is to study Italian translations of French chivalric narrative and French translations of Italian chivalric narrative from the late 15th century to 1560. The work lays at the intersection of two fields of study: medieval texts still read during the Renaissance and literary vernacular exchanges between France and Italy. For this purpose, I have studied some almost unknown French and Italian texts and compared each of them to the original in the other language. Regarding France, I have examined the translations of Guerrin Meschino, Morgante il Gigante, Orlando Innamorato and Orlando Furioso. As far as Italy is concerned, I have analyzed the translation of Guiron le Courtois preserved in a manuscript from Florence (first quart of 16th century.) The same chivalric romance of Guiron was later adapted in Italian verses by the court poet Luigi Alamanni, at the request of the French monarch (1547). Finally, I have studied some Italian translations from French (Meliadus, Lancelot and Perceforest) as part of a chivalric editorial collection published in Venice in the mid-16th century.In addition to the analysis of the translations, I have broadly investigated the chivalric romance with special regard to its late editorial evolution and its reception, especially, the public reception, the invention of a “modern” romance in the forties, the blurred boundaries of the chivalric romance genre and the perception of these texts in the 16th century imaginary.

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