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La compréhension orale des registres standard et familier chez des apprenants adultes en francisation de la région de Montréal

Picard, Geneviève 07 1900 (has links) (PDF)
Dans le cadre de ce mémoire, nous avons vérifié si des apprenants adultes en francisation comprenaient mieux des dialogues en langue standard que des dialogues en langue familière. En outre, nous avons vérifié si les apprenants adultes en francisation des niveaux supérieurs comprenaient mieux les dialogues en langue standard et en langue familière que les apprenants adultes en francisation des niveaux inférieurs. Enfin, nous avons vérifié si des éléments de la langue standard et de la langue familière ont entravé la compréhension orale de ces mêmes apprenants et, le cas échéant, les avons identifiés. Pour effectuer ces vérifications, nous avons créé un test de compréhension orale sous forme de documents sonores comprenant des dialogues en langue standard et en langue familière, accompagné d'un questionnaire à choix multiples. Nous avons fait passer ce test à 45 apprenants adultes en francisation des niveaux intermédiaires et avancés d'une école d'une commission scolaire de Montréal. Afin de vérifier et d'identifier si des éléments avaient entravé la compréhension orale, nous avons effectué des entrevues semi-dirigées auprès de dix étudiants. Avant de procéder à l'expérimentation, une étude-pilote a été menée afin de valider nos instruments de collecte de données. Cette expérimentation nous a permis d'apprendre que les étudiants des niveaux quatre, cinq et six comprenaient de façon significativement plus importante le registre standard que le registre familier. Toutefois, bien que les résultats des étudiants du niveau sept démontrent une meilleure compréhension du registre standard, cette différence ne s'est pas révélée significative. Par ailleurs, il semble que plus les étudiants avancent en formation, plus leur compréhension du registre familier s'améliore, contrairement à celle du registre standard. De plus, il semble que ce soient plutôt des variables d'ordre général qui aient entravé la compréhension du registre standard. Cependant, en plus des difficultés d'ordre général, la compréhension orale du registre familier a aussi été entravée par la compréhension et la reconnaissance du vocabulaire propre au registre familier de même que par les structures et les caractéristiques phonologiques propres à ce même registre. Au terme de notre expérimentation, nous sommes en mesure de confirmer les propos d'étudiants affirmant éprouver plus de difficulté à comprendre les locuteurs natifs en situation informelle, de même que ceux des chercheurs à l'effet que plus d'attention doit être accordée aux registres de la langue pour enrichir la compétence de compréhension orale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : compréhension orale, registre de langue, variation linguistique, francisation, français langue seconde
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Le rôle des marques d'accord orales dans la catégorisation grammaticale des noms en français

Couture, Guylaine 10 1900 (has links) (PDF)
En français, les locuteurs doivent savoir à quelle classe de genre appartiennent obligatoirement les noms inanimés qu'ils emploient pour produire des accords grammaticaux, c'est-à-dire pour choisir la forme appropriée des éléments variables en genre qui peuvent accompagner le nom. Cette tâche complexe, maîtrisée très tôt par les enfants francophones, pose un problème notoire aux locuteurs non natifs pour qui cet aspect de la langue française demeure un casse-tête même après plusieurs années d'apprentissage. Comment les locuteurs natifs associent-ils des noms comme poil, toile, musée, fusée, ail et paille à une classe de genre? Certains chercheurs suggèrent que la terminaison d'un nom est le critère qui sert à déterminer son genre. Nous voyons, dans le cadre de cette étude, que la terminaison nominale comme indice du genre des noms inanimés a une portée limitée (aux plans descriptif et explicatif) et que l'apprentissage au cas par cas sur la base d'une association entre le nom et d'autres mots est nécessaire pour un ensemble important du lexique. Cette recherche vise à vérifier dans quelle mesure les marques d'accord orales sont des indices suffisants pour permettre aux locuteurs natifs d'associer des noms à une classe de genre sans le recours aux terminaisons nominales. Plus spécifiquement, nous vérifions si les locuteurs natifs sont capables de catégoriser des nouveaux noms sur la base d'une seule marque d'accord orale et si le déterminant et l'adjectif marqués oralement pour le genre ont un effet équivalent sur la catégorisation des noms. Pour répondre à nos questions, nous avons conduit une épreuve expérimentale à mesures répétées, en modalité auditive, en utilisant des noms fictifs dont les propriétés formelles ne sont pas typiquement associées à une classe de genre. Les principaux résultats montrent que les locuteurs natifs sont capables, suite à une brève exposition à des données de la parole, de catégoriser des noms nouveaux sur la base d'une seule marque d'accord orale. L'effet de catégorisation semble supérieur lorsque les noms apparaissent dans un contexte où la marque d'accord orale est sur le déterminant que lorsqu' elle est sur l'adjectif. Il est suggéré que les marques d'accord orales ont un effet mnémonique très fort qui facilite l'apprentissage du genre grammatical des noms chez les locuteurs natifs. Une application au domaine de l'apprentissage du français langue seconde est proposée en conclusion. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : catégorisation, classe nominale, genre grammatical, marque d'accord orale, acquisition, nouveau mot, français.
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Phonological issues in the production of prosody by francophone and sinophone learners of english as a second language

Ploquin, Marie January 2009 (has links) (PDF)
Un accent de non-natif peut mener à une incompréhension ou à la perception de degrés différents d'accent d'étrangeté. La prosodie, qui est maintenant reconnue comme un élément important de l'impression d'étrangeté, est relativement peu abordée en recherche en acquisition des langues étrangères. Ceci contraste avec l'intérêt grandissant envers la prosodie en tant qu'élément de la langue maternelle. Dans cette thèse, la recherche phonologique est évaluée quant à sa pertinence dans la recherche sur la prosodie des langues étrangères. Deux aspects de la théorie phonologique sont étudiés: la typologie et l'organisation phonologique. Ce choix est justifié par la présomption générale que l'étrangeté prosodique est créée soit par une différence de typologie entre langue maternelle (L1) et langue étrangère (L2) soit par un transfert de traits prosodiques de la L1. La critique de la recherche en typologie phonologique conclut que, à ce stade, aucun modèle de classification prosodique n'est applicable à l'acquisition d'une L2. En particulier, l'étude démontre que certaines typologies, en particulier la théorie de l'isochronie accentuelle/l'isochronie syllabique de Pike, devraient être exclues parce qu'elles entravent les progrès en recherche sur l'acquisition et la production de la prosodie des langues étrangères. Le second aspect de la théorie phonologique étudié dans cette thèse est l'organisation phonologique. La prémisse est que les différences sous-jacentes à l'organisation prosodique plutôt que les différences phonologiques de surface sont transférées de L1 à L2. Les analyses approfondies de l'anglais nord américain, le français et le chinois standard révèlent d'importantes différences phonologiques entre l'anglais nord américain et les deux autres langues. Quatre expériences évaluent certaines de ces différences. La prosodie de l'anglais produite par des locuteurs natifs du français est analysée dans des phrases rythmiquement simples et des phrases rythmiquement plus complexes. Les résultats démontrent que l'accentuation lexicale est moins problématique que l'accentuation prosodique supra-lexicale. En particulier, il est démontré que les montées de fréquence fondamentale (F0) de début et de fin de syntagme accentuel (SA), typiques du français, sont source d'erreur dans la prosodie de l'anglais langue seconde. Il est cependant montré que cette erreur, bien que remarquée par les locuteurs natifs de l'anglais, n'affecte pas la perception de placement d'accentuation par ces derniers. La prosodie de l'anglais produite par des locuteurs natifs du chinois est analysée en termes de transfert de ton et d'alignement de pic de F0. Les résultats indiquent que les locuteurs du chinois utilisent les tons chinois quand ils produisent des tons accentuels de l'anglais; plus spécifiquement, la majorité des locuteurs utilisent le ton 2 (ton montant) quand ils produisent un ton accentuel montant. La dernière expérience révèle que les locuteurs natifs du chinois alignent le ton accentuel avec la syllabe accentuée à laquelle elle correspond de manière plus stricte que les locuteurs natifs de l'anglais nord américain le font. Les résultats de cette thèse génèrent un aperçu de la progression de la performance de la prosodie d'une langue étrangère. Les conclusions comportent des implications sur le contenu pédagogique et le format de l'enseignement de la prononciation. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Phonologie, Phonétique, Phonologie prosodique, Prosodie, Rythme, ESL, Français du Québec, Français de France, Chinois.
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Prise en compte par des enseignants de français langue seconde des facteurs d'ordre culturel en contexte pluriculturel adulte au Québec

Bhanji-Pitman, Shehnaz January 2009 (has links) (PDF)
L'idée que la culture est un phénomène collectif qui sous-tend la façon de penser, de croire, d'agir et de communiquer des membres d'une société a été documentée par un grand nombre de chercheurs. Il est donc probable que les apprenants et les enseignants issus d'espaces culturels différents auront une vision du monde et des perceptions divergentes quant au sens attribué aux messages, ce qui aura des incidences sur divers aspects de l'enseignement/apprentissage d'une langue. Les écrits consultés à ce sujet permettent de constater l'état insatisfaisant des recherches antérieures en faisant ressortir un certain nombre de limites relatives au contexte, au contenu et aux aspects méthodologiques. Eu égard aux considérations précitées, l'objectif général de la présente étude était de décrire et d'expliciter la prise en compte par des enseignants de FLS des facteurs d'ordre culturel dans les modes d'échange communicatif des nouveaux arrivants adultes dans le contexte québécois où les défis liés au processus migratoire complexifient notablement la situation éducative. De nature qualitative, le devis méthodologique de la présente étude s'appuie sur une stratégie de recherche multimodale basée sur l'observation de classe et l'entrevue. L'échantillon s'est limité à huit enseignants de FLS à temps plein ou à temps partiel dans différents types de sites relevant du ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles (MICC) dans la région de Montréal: université, cégep et milieu communautaire. L'examen des concepts à l'étude, en l'occurrence, la communication, la culture et les modes d'échange communicatif, a permis de construire des instruments de saisie de données. L'émergence de deux canevas d'observation, l'un relatif aux modes d'échange communicatif (voir l'Appendice B) et l'autre issu des recommandations de divers chercheurs se rapportant à un enseignement adapté culturellement (voir l'Appendice C), a servi à structurer les observations de classe et à effectuer des entretiens. Le caractère inédit des canevas précités met en évidence la pertinence scientifique de l'approche méthodologique retenue qui pourra faciliter de futures recherches en d'autres contextes pluriculturels. Les inscriptions recueillies ont été traitées en recourant au modèle interactif de l'analyse des données de Miles et al. (2003). L'analyse descriptive des données recueilles auprès de chaque enseignant a permis d'abord de décrire en profondeur la prise en compte des facteurs d'ordre culturel dans divers modes d'échange communicatif. Les analyses comparatives ont permis ensuite de faire la synthèse des actes initiateurs et réactifs dans la prise en compte des facteurs d'ordre culturel en exposant les convergences et les divergences. Enfin, la synthèse de l'ensemble des données a permis de faire les constats suivants. Premièrement, bien que les enseignants observés et interrogés insistent sur l'influence des facteurs d'ordre individuel dans les modes d'échange communicatif des apprenants, en général, leurs interventions en salle de classe et leurs propos lors des entretiens révèlent souvent des considérations qui tiennent compte des facteurs d'ordre culturel. Toutefois, dans quelques cas, lorsque certaines tentatives d'explications se limitent à des référents culturels des sociétés occidentales, les apprenants provenant d'autres espaces sont plutôt désavantagés. Deuxièmement, étant donné que les habitudes des apprenants diffèrent souvent selon les espaces culturels dont ils sont issus, lorsque les enseignants recourent à une pédagogie visible en explicitant leur fonctionnement et leurs attentes, ils les amènent à s'y habituer graduellement et à participer davantage aux activités. Le recours au travail en petits groupes semble également favoriser la participation. Troisièmement, étant donné que la connaissance de la majorité des enseignants semble porter principalement sur les espaces culturels asiatiques, ils comprennent la nécessité de désigner les apprenants afin de les faire participer tous, mais ils lancent parfois des questions à toute la classe. Compte tenu de l'hésitation des apprenants issus des sociétés à forte distance hiérarchique ou à orientation collectiviste à prendre la parole spontanément, lors des entretiens, les enseignants s'accordent pour que la désignation soit fortement recommandée. Enfin, ils insistent tous sur l'empathie et sur une communication chaleureuse afin d'atténuer les défis liés au déracinement. Selon certains, ni la connaissance de la langue ni celle des théories n'aurait les résultats escomptés en l'absence de ces attitudes humanistes. Les constats précités permettent de conclure que la connaissance et la prise en compte par les enseignants des aspects liés à la culture d'origine des apprenants s'avèrent primordiales en toute situation pluriculturelle. Toutefois, dans un contexte où les nouveaux arrivants vivent les défis liés au processus migratoire, certaines composantes relevant de la pédagogie générale, essentielles à tout bon enseignement, s'avèrent être encore plus critiques. Par ailleurs, des patterns culturels semblent avoir une influence sur la manière de mettre en application certains principes de pédagogie générale comme la valorisation, par exemple. Enfin, malgré la complexité du contexte éducatif liée aux épreuves du processus migratoire et la nécessité de la présence des attitudes humanistes, la responsabilité incombe aux enseignants de recourir à l'accommodement mutuel afin d'équiper suffisamment les apprenants pour qu'ils fonctionnent adéquatement dans leur société d'accueil. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pluriculturel, Modes d'échange communicatif, Enseignement, Apprentissage.
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Acquisition du système accentuel russe et de la réduction vocalique par des apprenants francophones

Goire Fernandez, Francisco 02 1900 (has links) (PDF)
Les systèmes accentuels français et russe sont très différents. En français, l'accent tonique se place normalement sur la dernière syllabe du groupe rythmique et il n'y a pas de réduction vocalique sur les syllabes non accentuées. En russe, l'accent tonique peut en principe être placé sur n'importe quelle syllabe du mot et, en plus, certaines voyelles subissent une réduction vocalique dans les positions pré-accentuées et non accentuées. La présente recherche porte sur le processus d'acquisition du système accentuel et de la réduction vocalique du russe chez des apprenants francophones adultes. Nos sujets de recherche sont sept apprenants du russe à l'Université du Québec à Montréal. Nous avons étudié l'identification du contour accentuel des mots (la localisation des syllabes accentuées, pré-accentuées et non accentuées) par les sept apprenants, ainsi que leurs productions orales au début (après 45 heures de cours) et à la fin du niveau débutant 2 (après 90 heures de cours). Les productions orales avaient comme but de tester comment les apprenants francophones prononçaient les dix phonèmes vocaliques du russe dans les positions : accentuée, pré-accentuée et non accentuée, ayant comme donnée l'accent primaire du mot. L'évaluation des productions orales des apprenants a été faite de deux façons : à l'aide du logiciel PRAAT (évaluation expérimentale) et par trois juges locuteurs natifs du russe (évaluation perceptive). Préalablement, afin d'obtenir les paramètres expérimentaux cibles, nous avons mesuré les paramètres les plus saillants de l'accentuation (la durée des voyelles) et de la réduction vocalique (la réduction de l'espace vocalique général dans les coordonnées F1/F2) chez deux locuteurs natifs du russe. On observe une certaine dichotomie entre les résultats de l'évaluation perceptive et ceux de l'évaluation expérimentale, probablement due au fait que l'évaluation expérimentale ne prend en considération, pour l'accentuation, que les contrastes de durée des voyelles et, pour la réduction vocalique, que la réduction de l'espace vocalique général. Cependant, l'évaluation perceptive prend en compte tous les paramètres phonétiques, pour l'accentuation : la durée, l'intensité et la fréquence fondamentale et, pour la réduction vocalique: la réduction de l'espace vocalique général et la qualité même de la voyelle. Trois apprenants sur sept ont atteint la cible idéale pour l'accentuation, mais aucun ne l'a fait pour la réduction vocalique. Ceci démontre que l'acquisition du système accentuel russe par des apprenants francophones est une tâche difficile, mais pas impossible, même au niveau débutant. Par contre, l'acquisition de la réduction vocalique représente un plus grand défi. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : russe, français, système accentuel, réduction vocalique, acquisition des langues secondes.
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Les calculs du prix de revient dans la seconde industrialisation en France

Zimnovitch, Henri 12 January 1997 (has links) (PDF)
Si le calcul du prix de revient est un& r)pération qui remonte à la nuit des temps, Marc Nikitin a montré, dans une thèse récente, que son calcul, selon les règ*les de la comptabilité en partie double, s'est imposé en France lors de la Première Révolution industrielle. Pour la seconde industrialisation, notre thèse est que les calculs du prix de revient se développèrent selon quatre étapes. La première période, de 1880 à 1930, prolonge celle de la nalssanc;e de la comptabilité industrielle, avec un prix de revient comptable qui prétend au monopole de la vérité, sous l'influence d'une profession comptable en voie de constitution. Le deuxième temps, de 1930 à 1950, est marqué par une réflexion sur une imputation plus serrée des frais généraux dans le prix de revient. 1 1 correspond également au souci de lui voir jouer un rôle dans 1 a régulation de l'économie via la fixation du prix de vente par une instance extérieure à la firme. Une novation qui fut portée par ce qu'on peut appeler des " technocrates " qui recherchaient, dans une idéologie " pianiste ", voire corporatiste, une réponse à la crise du li b6rai i sm e des années 30. A partir de 1950, les calculs du prix de revient entrent dans !'ère du management, après les missions de productivité qui furent dépêchées aux Etats-Unis. A partir de là, les coûts standard se àiffuseront en France, quarante ans après leur émergence outre-Atlantique. Sans occulter h ~ s dimensions économiques ou culturelles qui peuvent justifier ce décalage, notre thèse insiste sur l'influence du corporatis, né corr.ptable et sur le succès de l'idéologie corporatiste pour expliquer 1 a *quarantaine dont fut l'objet la méthode des coûts pré-établis dans notre pays. Toujours dans les années 50, ce sera au tour du dirbct costing de se diffuser en France, cette méthode sera l'opportunité de dépasser 1 e calcul du prix de revient selon la partie double et de rendre 1 e raisonnement plus perméable aux idées issues de la théorie économique, notamment aux conceptions marginalistes
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Caractéristiques des langues et apprentissage de la lecture en langue première et en français langue seconde perspective évolutive et comparative entre l'arabe et le portugais /

Besse, Anne-Sophie Gombert, Jean-Émile January 2008 (has links)
Thèse de doctorat : Psychologie : Rennes 2 : 2007. / Bibliogr. f. 347-380. Annexes.
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Acquisition in interlanguage pragmatics learning how to do things with words in a study abroad context /

Barron, Anne. January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Universität Hamburg, 2001. / Description based on print version record. Includes bibliographical references and indexes.
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L'évaluation de la progression de la discrimination des phonèmes du français et de la conscience phonologique chez les enfants innus de la maternelle

Bodson, Hélène 08 1900 (has links) (PDF)
Des difficultés en discrimination des phonèmes ont plusieurs répercussions sur le développement de la conscience phonologique et de la littératie. La présente étude a pour but d'étudier l'évolution de l'acquisition du système phonologique du français ainsi que le développement de la conscience phonologique au fil de l'année scolaire chez les enfants innus de la maternelle (n = 30). Nous avons procédé à plusieurs évaluations des enfants entre le printemps 2012 et le printemps 2013 : une évaluation du vocabulaire en français et en innu (au Temps 1 et au Temps 3), une évaluation de la mémoire (au Temps 1 et au Temps 3), ainsi qu'une évaluation de la discrimination des phonèmes et de la conscience phonologique (au Temps 2 et au Temps 3). Nous avons constaté que les mesures de vocabulaire en français étaient en corrélation avec certaines mesures de discrimination des paires minimales, alors que certaines mesures de mémoire étaient en corrélation avec des mesures de conscience phonologique. De plus, les performances à toutes les tâches s'améliorent de manière significative durant l'année scolaire. Toutefois, les phonèmes qui sont considérés comme des allophones en innu, mais deux phonèmes distincts en français sont moins bien perçus par les enfants que les autres contrastes évalués, tant au Temps 2 qu'au Temps 3. Nous en déduisons que les enfants bénéficieraient d'un enseignement explicite des contrastes phonologiques du français puisque cela pourrait améliorer leur compréhension du français et faciliter le développement de leur littératie en français. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : évaluation, discrimination, phonèmes, conscience phonologique, français, Innus, maternelle.
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L'institution seconde Université d'Entreprise : Une analyse de l'imaginaire organisationnel

Philippe, Xavier 07 September 2012 (has links) (PDF)
L'Université d'Entreprise est un objet peu traité par la littérature. Elle est ainsi majoritairement perçue comme une structure devant, notamment par la formation et le développement des compétences, contribuer à l'atteinte des objectifs stratégiques de son organisation-mère, mais également favoriser le renforcement d'une culture interne. Par-delà cette définition instrumentale, à quoi sert une Université d'Entreprise ? La dénomination même de ce type de structure interroge. Y aurait-il, outre la mission gestionnaire qui lui est confiée, des " fonctions latentes " pour l'Université d'Entreprise ? Comment dépasser la vision culturelle pour en questionner les motivations profondes ? Nous avons souhaité mobiliser au cours de ce travail un cadre interprétatif permettant de dépasser la fonction visible de l'objet et ainsi interroger sa dimension imaginaire. Pour ce faire, nous avons eu recours à deux plans théoriques différents, l'un prescriptif et l'autre analytique, afin d'interroger dans un mouvement itératif les différents rôles et fonctions qui pourraient être ceux de l'Université d'Entreprise. Un dispositif particulier issu de méthodes qualitatives a été construit. Il repose sur le recueil de deux types de discours différents, l'un contrôlé, l'autre spontané, afin de favoriser l'analyse des deux plans théoriques. Par ailleurs, nous avons souhaité interroger l'ensemble des parties prenantes de l'Université d'Entreprise. Dans cette optique, différentes techniques (données secondaires, entretiens, observation et recueil de dessins) ont été utilisées. Les résultats de cette recherche doctorale sont multiples. Ils permettent tout d'abord le dévoilement d'une institution seconde de l'imaginaire organisationnel, l'Université d'Entreprise. Celle-ci, créatrice de liens particuliers entre une organisation et les individus qu'elle emploie va favoriser l'effectivité de l'imaginaire organisationnel. Cela repose sur la formulation d'une promesse faite par l'organisation-mère aux individus. Le développement et la mise à disposition de leur capital humain permettraient ainsi de leur offrir des perspectives de carrière. Cette promesse repose sur trois principes imaginaires qui fondent le rôle de l'Université d'Entreprise : les valeurs promues par l'organisation-mère, le prestige procuré par le partenaire académique et les attentes de reconnaissance que manifestent les individus. C'est sur la base de ce triptyque imaginaire que nous proposons de repenser le rôle institutionnel de l'Université d'Entreprise.

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