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La dinámica del ordenamiento territorial en Colombia : contraste de dinámicas urbano-rurales en la región metropolitana de Bogotá

Carvajal Sánchez, Nohora Inés 01 1900 (has links)
L’aménagement du territoire est le résultat de différents processus économiques, politiques, sociaux, culturels et environnementaux. Le territoire peut être vu de différentes manières et reflète les visions et les intérêts des acteurs qui le construisent. L'objectif principal de cette thèse consiste à explorer les dynamiques qui soutiennent l'aménagement de Bogota, capitale de la Colombie, et d’une municipalité avoisinant Soacha. L'analyse se concentre sur trois aspects qui correspondent aux objectifs spécifiques de cette étude : les récentes politiques publiques d'aménagement du territoire qui régissent la zone étudiée, le rôle des acteurs sociaux et les relations urbano-rurales créées dans ce nouveau contexte. La thèse souligne des éléments contextuels qui servent à comprendre les transformations récentes de Bogota et de Soacha dans leurs implications spatiales. Différents processus ont apparus dans la nouvelle géographie de cette région, y compris la mondialisation, les transformations économiques, les nouvelles lois relatives à l'aménagement du territoire, les nouvelles formes de participation, ainsi que les décisions des administrations municipales qui ont contribué à établir ce nouvel ordre. Les éléments théoriques traitées dans cette étude privilégient deux perspectives ou visions du territoire : 1) celle utilisée par l'État où le territoire est considéré comme un espace limité par des frontières; et 2) la perspective culturaliste où le territoire est défini par son appropriation et par par l’identité qu’il confère. Cependant, une nouvelle tendance émerge à travers l'intégration de ces deux perspectives, autant en Colombie que dans d’autres pays. Ainsi, l'analyse démontre que de nouveaux acteurs ont émergé, par exemple le Conseil territorial de la planification qui représente la concrétisation du discours de participation communautaire exprimé dans différentes lois. De plus, la population paysanne qui a résisté à l'expansion urbaine de Bogota constitue un acteur primordial. Les nouveaux patrons de relations urbaine-rurale démontrent une très grande diversité d'activités et de fonctions présentes dans cette nouvelle « frontière » très dynamique où des éléments urbains et ruraux sont combinés, toujours présents mais aussi toujours en évolution. / Territorial planning is the result of diverse economic, political, social, cultural and environmental processes. The ‘territory’ is seen as reflecting the visions and interests of the actors who participate in its construction. In this sense, the main goal of this dissertation is to explore the dynamics that underly territorial planning in Colombia, in particular in the district capital of Bogota and its nearby municipality Soacha – part of the metropolitan region of Bogota. This dissertation analyzes three aspects that constitute at the same time the dissertation’s specific goals: the recent public policies for territorial planning that apply to the study zone; the role of social actors; and the new situation with respect to urban - rural relations that are present there. The dissertation emphasizes the contextual elements that serve as the basis for understanding the recent transformations of the case study areas and their spatial implications. Different processes have been established in the new geography of the region. Globalization, economic transformations, new standards and laws related to territorial planning, new forms of participation, and the political decisions of the district and municipal administrations have contributed to the construction of this new order. The theoretical underpinnings of this study highlight two perspectives or visions of the territory. On the one hand, there is the vision used and applied by the State in which the territory is understood as a space limited by administrative boundaries; and, on the other hand, the cultural perspective in which the territory is defined by its social appropriation and identity. However, a new approach is emerging, not only in Colombia but in many other countries, from the integration of these two visions or perspectives. The analysis shows how new social actors such us the “Territorial Planning Councils” (Consejo Territorial de Planeación) have been created as a consequence of incorporating a participatory approach into different public laws and frameworks. Furthermore, actors such as the peasants now carry out actions of resistance to stop or at least limit urban expansion. The new patterns of urban - rural relations show that there is a significant diversity of activities and functions present in this very dynamic ‘frontier’ in which both urban and rural elements are present continually present but always evolving. / El ordenamiento de un territorio es el resultado de diferentes procesos económicos, políticos, sociales, culturales y ambientales. El territorio es visto de diferentes maneras de acuerdo a visiones e intereses de los actores que son quienes lo construyen. El objetivo central de esta tesis consiste en explorar las dinámicas que sostienen el ordenamiento territorial en Colombia, particularmente en el distrito capital de Bogotá y de su municipio vecino Soacha, los cuales forman parte de la región metropolitana de Bogotá. El análisis se concentra en tres aspectos que corresponden a su vez a los objetivos específicos planteados. Las recientes políticas públicas de ordenamiento territorial que rigen para la zona estudiada, el rol de los actores sociales y las nuevas relaciones urbano-rurales allí presentes. La tesis destaca elementos de contexto que sirven para comprender las recientes transformaciones de los estudios de caso y sus implicaciones espaciales. Diferentes procesos se consolidan en la nueva geografía de la región. La mundialización, las transformaciones económicas, nuevas normas y leyes relativas al ordenamiento territorial, nuevas formas de participación así como las decisiones de las administraciones distrital y municipal contribuyen a establecer este nuevo orden. Las referencias teóricas manejadas en este estudio privilegian dos tendencias o visiones del territorio. La utilizada por el Estado y en donde el territorio es considerado como un espacio limitado por fronteras y la visión culturalista en donde el territorio se define por apropiación y por identidad con el mismo. Sin embargo una nueva tendencia emerge a través de la integración de las dos visiones, no solamente en Colombia sino en diferentes países, cada uno con sus particularidades propias. Así, el análisis muestra que nuevos actores como el Consejo Territorial de Planeación surgen como concreción del discurso de participación expresado en las diferentes leyes y que otros como los campesinos realizan acciones de resistencia en el sitio para detener la expansión urbana. Las nuevas relaciones urbano-rurales dejan ver que la diversidad de actividades y de funciones existe en una franja urbano-rural muy dinámica en donde la combinación de elementos urbanos y rurales está presente y en constante evolución.
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La Compagnie minière de l'Ogooué : son influence géographique au Gabon et au Congo.

Villien-Rossi, Marie-Louise. January 1978 (has links)
Th.--Lett.--Bordeaux 3, 1977.
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La transformation moderne de Bruxelles: Processus d’agencement de l’espace urbain bruxellois entre 1949 et 1979

Leloutre, Gery 15 June 2020 (has links) (PDF)
La thèse s’emploie à retracer le système complexe de cristallisation des idées autour desquelles se sont montées les opérations urbanistiques et architecturales qui transformèrent le paysage Bruxellois dans l’après-guerre, une transformation qui s’est faite en absence de système formel de planification. Cette absence, combinée à la mise en œuvre d’importants travaux d’infrastructures ferroviaire et routière dans un contexte de boom immobilier, a forgé une perception générale de cette période comme erratique, destructrice et prédatrice.La recherche s’inscrit dans une volonté générale de reconsidération des effets de la transformation Moderne de Bruxelles dans ce qu’ils représentent dans la structure actuelle de l’agglomération (héritage « tangible ») et dans ce qu’ils révèlent des pratiques de conception et de construction de la ville (héritage disciplinaire), se fondant sur un travail de description des formes urbains héritées et de ses conditions d’émergence.Décrire la transformation nécessite avant tout —c’est la première partie de la thèse— de disséquer —pour s’en écarter— le discours sous-jacent à la l’historiographie bruxelloise, dominée par le concept de « bruxellisation », soit le saccage patrimonial et social d’une ville, dans une collusion entre mondes politique et immobilier, en absence de toute publicité ou concertation. A Bruxelles, le rejet de cette période s’allie à une nostalgie de l’art urbain des tracés, dans un ostracisme caractérisé de l’urbanisme Moderne. Dans ce contexte, la recherche propose d’adopter le regard porté par des chercheurs qui depuis une vingtaine d’année, aborde la forme urbaine non plus via l’histoire de la ville mais celle de l’urbanisation.L’hypothèse de recherche est que la transformation moderne de Bruxelles s’opère d’une manière opportuniste, certes, mais bien plus stratégique que ce qui a été considéré jusqu’ici, où acteurs du développement urbain et concepteurs partagent des idées communes quant au futur de la ville, se réunissent autour de questions urbaines bien définies, et construisent des alliances objectives pour réformer progressivement, mais en profondeur et dans son ensemble, le paysage de la capitale. Si la période de transformation Moderne est spécifique par l’ampleur de son impact sur la structure urbaine, dans le contexte modernisation générale du territoire belge et de la distribution spatiale de cet appareil productif, elle illustre par contre une continuité en matière de pratiques d’aménagement, via des instruments de planification éprouvés, bien ancrés dans une culture spécifique belge de fabrication de la ville, qui amène à s’intéresser tout particulièrement au travail des administrateurs territoriaux, et des concepteurs qui les conseillent.La seconde partie de la thèse s’emploie dans ce cadre à démontrer les concordances de vue entre les différentes administrations compétentes pour le dessin du territoire bruxellois, en observant l’action des deux niveaux de pouvoir alors en présence. D’une part, les communes, qui travaillent, de manière singulière mais coordonnée, pour maîtriser la forme urbaine de l’agglomération en développement. D’autre part, l’Administration Nationale de l’Urbanisme, dont l’existence correspond à la période de la transformation Moderne qui développe une réflexion approfondie sur le positionnement et la gestion de la croissance des villes principales sur le territoire belge et se lance, dès sa création en 1945, dans une tentative de coordonner les mutations de Bruxelles. Cet exercice fait l’objet d’un chapitre particulier, consacré à l’expérience singulière, menée par l’Administration de l’Urbanisme et le bureau d’études du Groupe Alpha, de l’esquisse d’un plan à l’échelle de l’agglomération, resté officieux, mais qui se révèle finalement un miroir fidèle des politiques et opérations en cours.L’analyse du travail des administrations fait apparaître une forme de scénario zéro pour l’époque, soit un futur vraisemblable et potentiel du territoire bruxellois de l’après-guerre. La description de ce scénario zéro constitue la troisième et dernière partie de la thèse.Cette description est structurée à partir de la construction et l’analyse de deux figures spatiales qui correspondent autant à une lecture contemporaine de la ville qu’aux idées sous-jacentes aux exercices de planification de l’agglomération bruxelloise dans l’après-guerre. Ces figures rassemblent une constellation d’éléments hétéroclites, des opérations architecturales, infrastructurelles, des plans urbanistiques, des publications, des discours, éléments dont l’agencement révèlent leurs relations, les débats qu’ils génèrent et les idées qui les animent par rapport à la construction d’une métropole capitale moderne. Elles démontrent le consensus autour des modes de fabrication de la ville, les idées partagées relatives à une forme urbaine aérée, verte et fluide, la volonté commune d’adapter l’espace urbain à la mobilité et à l’économie de la Modernité, et à la fois le profond dissensus opérationnel entre ces mêmes acteurs, montrant ainsi toutes les limites d’un système de gestion du territoire dépourvu de coordination générale et de leviers publics de grande échelle, qui ne pourra que générer des réalisations certainement en partie aujourd’hui signifiantes, mais toujours très parcellaires. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La décision territoriale en conflit : analyse spatiale de l'activité conflictuelle, Ville de Québec, 1989 à 2000

Pelletier, Mathieu 16 April 2018 (has links)
À l’heure où les villes poursuivent leur croissance et deviennent de vastes régions urbanisées, la question de la planification de ces « nouveaux » territoires est d’intérêt. Ces espaces en profonde mutation créent de nouveaux enjeux et défis pour la planification territoriale. À l’occasion, des conflits surgissent en raison de l’incompatibilité des positions respectives des acteurs au sujet d’enjeux mettant en cause des intérêts divergents. Dans ce contexte, le conflit autour du projet territorial ne fait plus l’exception. La thèse s’attache à mieux comprendre les rapports unissant les spécificités territoriales à trois dimensions de la dynamique de l'activité conflictuelle: la fréquence spatiale, la durée et l'intensité des conflits. Nos travaux se concentrent sur une démarche quantitative et ce, à travers une approche spatiale. La recherche s’appuie sur une base de données qui relate les conflits à l’échelle de la ville de Québec entre 1989 et 2000. Les 199 conflits recensés ont été relevés dans la presse régionale (le quotidien Le Soleil). Le cadre conceptuel proposé aborde le conflit à travers le prisme des processus décisionnels de nature territoriale. Nous associons à la décision territoriale conflictuelle trois espaces géographiques, soit les espaces de l’action, des conséquences et des acteurs. C’est par ces espaces et plus particulièrement à travers celui des acteurs que la représentation spatiale de l’activité conflictuelle est effectuée. Les analyses statistiques indiquent que (1) la propension des individus à se regrouper – au sein d’associations locales et d’organismes communautaires – et leur capacité à prendre la parole, tout comme (2) la nature de la composition sociale se révèlent être des composantes centrales dans l’émergence et le déroulement de la démarche contestataire. L’étude des effets de contexte locaux suggère que les conflits sont de plus longue durée bien qu’ils ne soient pas nécessairement plus intenses ou plus fréquents dans le secteur où (1) la capacité des individus à se regrouper et à prendre la parole est modérée et où (2) la population est à la fois la plus mobilisable et la mieux nantie à l’échelle régionale. Nous pensons qu’il s’agit là des conditions menant à une activité conflictuelle de longue durée, à savoir des individus disposant de temps et de ressources, mais peu outillés sur le plan des stratégies d’actions en moment de conflits. / At a time when population concentration in urban spaces is increasing and cities continue to grow into huge urbanised areas, issues related to management planning for these “ new ” territories is of interest. Such spaces which undergo deep mutations give rise to new stakes and challenges for territorial planning. Occasionally, due to lack of compatibility between the respective actors’ standpoints with respect to high stakes arising from divergent interests, conflicts emerge. Indeed, conflicts that originate from a territorial project are no longer the exception. This thesis strives to better understand the relationships that bind together territorial specificities and the dynamics of conflict activity in terms of its spatial frequency, duration and intensity. The current work uses a quantitative procedure that seeks to understand conflict dynamics by means of a spatial approach. The basis of this research is a database made up of conflicts which occurred in Quebec City over the period from 1989 to 2000. The 199 conflicts considered herein have been collected from the regional press (the newspaper daily Le Soleil). The conceptual framework proposed addresses the conflict through the prism of territorial decision-making processes. We also join in the territorial decision is geographic spaces: action space, consequences space and stakeholders’ space. It is through these spaces and, more particularly throught the stakeholders’ one that a spatial representation of conflict activity is made possible. Statistical analysis indicated that (1) the tendency of individuals to regroup around local associations and community organisations along with their ability to make their voices heard, as (2) the nature of the social composition seemed to be fundamental components both of the emergence and unravelling of the protesters’ approach. The study of the effects of local contexts suggests that conflicts are longer though not necessarily more intense or more frequent in the area where (1) the ability of individuals to come together and take the floor is moderate and (2) the population is both the most easily mobilizable and the better off at the regional level. We believe that these are the conditions that lead to a conflict activity with long duration, ie individuals with time and resources, but not well equipped in terms of action strategies in times of conflict activity.
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Réseaux écologiques à l'échelle d'un bassin versant analyse comparative d'approches conceptuelles

Bernier, Amélie January 2012 (has links)
Les réseaux écologiques visent à maintenir la biodiversité et les processus écologiques en protégeant les habitats et les liens entre eux. En considérant le rôle fonctionnel du paysage, ce concept permet d'intégrer la viabilité écologique et les activités humaines pour favoriser une gestion durable du territoire. Bien que les réseaux écologiques partagent le même objectif général, plusieurs approches peuvent être utilisées pour délimiter leurs composantes. Le choix d'approche est une source majeure d'incertitude et a des implications sur la configuration spatiale, la valeur écologique et la facilité d'implantation des réseaux obtenus. Dans le cadre de ce mémoire, différentes approches de conception de réseaux écologiques ont été appliquées sur le territoire du bassin versant de la rivière Saint-François (8 700 km[indice supérieur 2]) au Québec.Les approches utilisées sont basées sur des stratégies de modélisation monospécifiques, multispécifiques ou paysagères.Les réseaux écologiques ont ensuite été évalués quantitativement à l'aide d'indicateurs écologiques, économiques et sociaux afin de caractériser l'impact des différentes approches de conception sur la performance relative des réseaux.Les résultats obtenus montrent que le choix d'approche a une influence directe sur la configuration spatiale et la performance des réseaux. Ces résultats sont également mis en relation avec les objectifs poursuivis par l'implantation de réseaux écologiques, l'échelle spatiale et l'utilisation du territoire. Le cadre d'évaluation développé s'avère un outil prometteur pour permettre d'atténuer l'incertitude associée au choix d'approche et faciliter l'intégration des priorités des acteurs locaux et des objectifs de gestion territoriale dans la conception des réseaux écologiques.
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De l'enchevêtrement des frontières à la précarité identitaire : une étude de la représentation des lieux dans Ourse bleue de Virginia Pésémapéo Bordeleau et Kuessipan de Naomi Fontaine

Sioui, Cassandre January 2014 (has links)
L’étude de la représentation des lieux, du territoire, notamment dans les romans, occupe une place de plus en plus marquée au sein de la recherche universitaire, l’espace menant à une compréhension accrue de l’univers diégétique. La littérature des Premières Nations du Québec étant cependant peu analysée de ce point de vue, le présent mémoire vise à montrer la pertinence d’une étude de la représentation des lieux et du territoire dans les romans autochtones Ourse bleue de l’auteure crie Virginia Pésémapéo Bordeleau ainsi que Kuessipan de l’auteure innue Naomi Fontaine. Pour ce faire, le mémoire se sépare en trois parties. La première, dédiée aux diverses théories retenues, pose les assises de l’analyse textuelle à venir. Les notions de topos et de chôra d’Augustin Berque, de hauts-lieux de Mario Bédard, de figures spatiales de Christiane Lahaie et de Fernando Lambert, lesquelles servent à mieux cerner la nature du lieu, y sont détaillées. La seconde se penche sur l’œuvre de Pésémapéo Bordeleau en s’attardant successivement aux figures de la route, des communautés autochtones, des cours d’eau et de la forêt, du territoire cri. Ce chapitre met en lumière une prégnance d’éléments topographiques, de même qu’une quête identitaire de la protagoniste fortement ancrée dans le territoire de ses ancêtres. La dernière se consacre à l’analyse de l’œuvre de Fontaine et s’applique à décrire le même type de figures. Une chorésie se dessine, les personnages innus ayant été transformés au contact de l’harmonie sylvestre, laissant entrevoir le caractère essentiel de la forêt et des pratiques ancestrales qui y sont associées. Cette étude de la représentation des lieux diégétiques dans deux romans autochtones permet de cerner l’importance majeure qu’occupe le territoire au sein des récits, des pérégrinations des divers personnages, cris ou innus. De fait, cette figure spatiale éveille les sens par sa beauté prenante, convie à l’introspection, à la réflexion, fait ressurgir la culture et les traditions ancestrales. Plus important encore : elle conduit les divers personnages à se questionner quant à leur identité et favorise l’accomplissement de soi.
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Plan d'aménagement et de développement de la municipalité de Saint-Basile au Nouveau-Brunswick

Girard, Gilles Joseph January 1996 (has links)
Résumé : L'organisation de l'espace basilien est le reflet culturel de ses habitants. Le paysage humanisé actuel est la résultante de divers artefacts culturels. Pour mieux comprendre l'occupation du sol basilien, il convient de percevoir le milieu physique et humain dans son ensemble, d'examiner à fond les séquences de l'établissement humain et d'identifier les déséquilibres spatiaux temporels qui compromettent l'évolution rationnelle du territoire. L'identification des contraintes et des potentiels du territoire favorise l'élaboration et la conceptualisation d'un plan d'aménagement du territoire équilibré, qui met en valeur l'intégrité de la composante culturelle basilienne. En outre, cette recherche tente d'élucider et de corriger certaines lacunes perceptibles dans le territoire de la municipalité de Saint-Basile.||Abstract : The built up area of Saint-Basile represents the cultural iconography of his inhabitants. Apparently, the cultural landscape is set up from former man made modifications. For a better understanding of the Saint-Basile urban land use, it is a must to perceive and recognize distincly the physical and the human factors abroad; to scrutinize the human settlements sequences since the colonization and to identify the internal land use patterns components who jeopardize the rational developpment of the community. The establishement and the identification of the restreints and the potentiels within the town of Saint-Basile will lead to a design and a better urban land use planning which will preserved the cultural identity of his inhabitants. Therefore, the research tends to light up and rectify some visibles linkages of the Saint-Basile urban land use.
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De l'Arc à l'espace atlantique européen. Réflexions méthodologiques à propos d'un territoire en construction.

Balbastre, Olivier 15 June 2010 (has links) (PDF)
L'Arc Atlantique est apparu officiellement en 1990 sous l'impulsion de quelques individus en réaction à la vision européenne de l'époque qui tendait à signaler la périphéricité des territoires atlantiques européens. Prenant appui sur le cadre d'expression communautaire émergent, les régions de la façade atlantique sont devenues un foyer d'échanges et de coopérations. La reconnaissance à travers le Schéma de Développement de l'Espace Communautaire (SDEC) en 1999 d'une zone transnationale d'intérêt, l'Espace atlantique, fait basculer l'incantation vers la réalité. Réuni autour de la notion de maritimité, l'Espace atlantique forme-t-il pour autant un territoire ? L'outil méthodologique et le concept de formation socio-spatiale organise l'approche de cette problématique. Infrastructure visible et superstructure sous-jacente, l'objet d'étude est questionné par sa capacité à être une façade maritime malgré une hétérogénéité évidente. Le diagnostic territorial et les profils régionaux, la distribution et la fonction du toponyme atlantique, les jeux d'acteurs institutionnels et de coopérations sont les entrées privilégiées pour appréhender l'éventuelle trame d'un territoire atlantique. Au-delà, ce travail participe aux perspectives d'aménagement de l'espace européen en macro-territoires destinés à le consolider.
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" L'intégration des PME au sein des dynamiques territoriales d'innovation : Une approche fondée sur les connaissances. Le cas de deux clusters du Pôle SCS "

Dang, Rani 01 December 2011 (has links) (PDF)
Les PME françaises ont des difficultés à innover malgré les nombreux efforts des pouvoirs publics. Face à ce constat, les dispositifs d'aide aux PME ont cherché à se renouveler. Cette évolution se traduit par l'avènement d'une logique territoriale : il s'agit de faciliter l'innovation des PME à travers leur participation à des projets d'innovation localisés (PIL), logique développée par la politique des pôles de compétitivité. Des travaux ont analysé les faiblesses intrinsèques aux PME face à l'innovation, dans cette perspective les PME, de manière plus accentuée que les autres types d'organisations, sont incitées à collaborer pour innover afin de compenser leurs faiblesses en termes de ressources. Or, elles rencontrent de nombreuses difficultés dans ce processus. Cette recherche diffère de ces travaux en prenant pour point d'entrée de la réflexion non plus la PME en tant que telle, mais les dynamiques territoriales d'innovation (DTI). En effet, certaines dynamiques paraissent plus propices que d'autres à l'insertion des PME dans les PIL. Dans un premier temps nous cherchons à identifier les mécanismes qui sous-tendent les DTI, et dans un second temps nous étudions dans quelle mesure ces mécanismes facilitent ou freinent l'intégration des PME dans les PIL. Nous menons une étude de cas de type " grounded theory " (Glaser, 2004) sur deux clusters rassemblés au sein du pôle de compétitivité SCS " solutions communicantes sécurisées " : Marseille-Rousset-Gémenos, et Nice-Sophia Antipolis. Les résultats nous ont permis d'élaborer un " modèle théorique enraciné " explicatif de l'intégration des PME dans les dynamiques territoriales d'innovation. Ce modèle met en évidence un élément clé de l'intégration des PME dans les PIL : la présence de connaissances architecturales au niveau du cluster dans leurs trois dimensions relationnelle, technique et de marché.
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Hôpital, Territoire, Santé : l'émergence d'un contrôle de gestion médicalisé ?

Colasse, Sophie 16 December 2011 (has links) (PDF)
De nombreux travaux ont traité de l'émergence de la fonction contrôle de gestion à l'hôpital notamment depuis la mise en œuvre de la Tarification à l'Activité (T2A). Pour autant, le contrôle de gestion semble souffrir d'un certain nombre d'écueils parmi lesquels une prolifération d'outils essentiellement budgétaires sans lien avec les logiques d'acteurs et sans impact sur les comportements organisationnels. Cette vision du contrôle de gestion nous semble d'autant plus réductrice dans le contexte actuel qu'est celui de la création de la Direction Générale de l'Offre de Soins (DGOS) qui s'inscrit pleinement dans la nouvelle gouvernance du système de santé avec la création des Agences Régionales de Santé (ARS). Elle traduit la volonté affirmée d'avoir une approche globale de l'offre de soins, intégrant aussi bien la ville que l'hôpital. La littérature en management fait état d'un contrôle de gestion qui passe progressivement de l'allocation des ressources au pilotage de la performance dans une perspective stratégique. Cette thèse analyse les insuffisances des outils traditionnels issus de la comptabilité analytique hospitalière dans le contexte d'une déstabilisation de l'objet " hôpital ". Elle repose sur l'hypothèse selon laquelle l'émergence d'un contrôle de gestion médicalisé s'apparente à une démarche de co-conception qui lie la construction de l'instrumentation avec celle du niveau de l'organisation. La réflexion est menée autour de trois terrains sur le modèle de la recherche intervention classés en fonction de deux variables : le degré d'innovation organisationnelle d'une part, caractérisé par des modes de coordination nouveaux renforcés, et l'éloignement par rapport à l'instrumentation traditionnelle du contrôle de gestion d'autre part. Pour autant, même si nous adoptons une démarche plus ambitieuse tournée vers la prise en compte des dynamiques organisationnelles qui se complexifient du fait de l'ouverture de l'hôpital " hors les murs ", nous ne prétendons pas remettre en cause le déploiement et l'utilisation de la comptabilité analytique dans les établissements hospitaliers. Les outils qui en découlent ne doivent pas être considérés dans une optique de prescription et de jugement. Ils doivent davantage être considérés dans une perspective d'exploration et de discussion dans le cadre d'outils imparfaits car reposant sur des modélisations simplifiées et une comptabilité analytique au caractère conventionnel. En positionnant notre réflexion autour des savoirs nécessaires à la construction d'outils de gestion d'une part, et la formation des structures et des relations de dépendance ou de complémentarité qui se créent entre les acteurs d'autre part, nous privilégions une approche qui vise l'action collective condition nécessaire pour rapprocher deux disciplines a priori antagonistes que sont médecine et gestion. Nous confirmons ainsi notre intuition d'un contrôle de gestion médicalisé en tant que processus de conception innovante qui passe par la construction conjointe des savoirs et des relations. Cette question est d'autant plus pertinente que nous abordons différents niveaux de l'organisation, de l'hôpital au sens strict à l' " hôpital étendu ".

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